ou plutot

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C´était la photo de Gelez

gelez il fé plus rien depuis l´épanouissement de michalak et maintenant peyrelongue est la doublure de michalak mais bon gelez il est pas perdu il est tjrs là mais bon

pour moi gelez est meilleur que peyrelongue

[LoCkLeSs] Posté le 23 mars 2004 à 19:56:06
pour moi gelez est meilleur que peyrelongue

pas pour moi

ps: je suis pro biarrot ceci explique certainement cela

tu m´étonne

Moi je peut pas trop me prenoncer vu que je n´ai pas vu jouez Gelez depuis un moment.

ouai mais bon gelez et laporte c´est pas trop sa je pense

je pense ke depuis ke le ballon a glissé face à la nvlle zelande
gelez ora du mal a etre selectionné

non, je pense que Laporte ne l´aime pas c´est tout

C´est dommage car c´est un bon joueur il me semble

ouai il est fort

Gelez, pourquoi pas en doublure de Michalak ? Il est pas mauvais mais je pense que Laporte l´aime pas à cause de son jeu ballon en main.

interview de magne
Vous avez souvent battu les Anglais avec les Bleus. Quelles sont les recettes pour y arriver ?
Souvent, je ne sais pas. Je n’ai pas fait les comptes. Mais c’est vrai que cela m’est arrivé. C’est jouissif de les battre, une grande expérience. Et je crois que ce le serait encore plus en s’imposant face aux champions du monde. On ne battrait pas seulement les Anglais mais aussi les champions du monde. Ce serait extraordinaire. Je crois que nous avons mis toutes les chances de notre côté. Les dés sont maintenant jetés et nous allons peaufiner cela toute la semaine avec des petits entraînements.

Sur quoi la France a-t-elle particulièrement brillé lors de ces victoires face aux Anglais ?
La qualité principale est une détermination supérieure à la leur. Sur ces matches, c’est l’équipe qui a le plus d’envie qui l’emporte. Sur le plan technique, nous avons des qualités égales. Les deux équipes se connaissent très bien et cela devient presque un échiquier. La moindre faute se paie cash. Pour battre l’Angleterre, il faut quasiment réaliser le match parfait. Il ne faut pas laisser passer nos occasions.

Quatre mois après cette demi-finale perdue en Australie, existe-t-il un sentiment de revanche de votre part ?
Dire le contraire serait mentir. Ce n’est pas le sentiment qui prédomine cependant. Nous voulons les battre pour continuer notre progression et surtout reproduire à l’extrême ce que nous avons fait de bien durant ce Tournoi. On va essayer d’être encore plus conquérants devant, d’être encore plus agressifs en défense, d’avoir des temps de jeu plus propres pour marquer plus d’essais.

Au-delà d’un huitième Grand Chelem, à quoi servirait cette victoire face aux Anglais pour l’avenir ?
Tout le pays s’est lancé dans la conquête de la Coupe du monde en 2007. Il ne faudra pas le manquer. Pour y arriver dans les meilleures conditions, on doit avoir des fondations solides. Nous sommes en train de les construire aujourd’hui. Ce serait super d’avoir comme fondations un 8eme Grand Chelem.

En quoi les Anglais vous paraissent-ils supérieurs à vous ?
En rien ! Il n’y a vraiment pas grand chose qui nous sépare d’eux. C’est un bras de fer mental qui est très épuisant. Il faut tenir pendant 80 minutes et la première équipe qui craque mentalement perd le match.

Existe-t-il un plaisir plus important à battre les Anglais ?
Evidemment, tout nous sépare historiquement. Nous avons beaucoup de différences avec eux. C’est toujours exceptionnel de les battre. Cela fait bien au tableau de chasse ( rire) ! Il y a un sentiment d’agressivité plus important lorsqu’on les affronte. Ils ne sont pas antipathiques mais c’est une équipe parfois orgueilleuse et on a envie d’aplatir cet orgueil. J’ai beaucoup plus de recul par rapport à ces événements pour canaliser toute cette énergie.

interview de michalak

Comment préparer-vous le choc face aux Anglais ?
Tous les matches du Tournoi se préparent sérieusement, et surtout celui là. C’est encore plus sérieux car nous affrontons les champions du monde en titre. L’affiche est belle. Nous avons la chance de jouer devant notre public du Stade de France face aux meilleurs joueurs du monde. Nos supporters, qui nous suivent depuis le début du Tournoi, seront là et nous voudrons leur faire plaisir.

Le désir de revanche est-il encore plus fort chez vous étant donné votre prestation en demi-teinte de la demi-finale face à ces mêmes Anglais ?
Je ne vais pas parler de revanche. Tout ce qui s’est passé durant la Coupe du monde, je l’ai pris comme un tremplin. J’ai essayé d’analyser ce que j’ai pu faire. Cela me sert aussi d’expérience. Vu mon jeune âge, je n’ai pas encore le mental d’un international qui compte 70 sélections. Je m’en sers comme un exemple et j’espère que je ferai encore mieux que ce que j’ai pu faire.

Pensez-vous avoir progressé depuis cette rencontre ?
Je ne sais pas. J’ai eu la chance depuis de faire plus de matches à l’ouverture. Je suis aussi un peu plus en confiance car je sens que l’on compte sur moi. Je ne sais pas si je serai meilleur ou pas, on verra ça samedi.

Sentez-vous le trac monter ?
Non, je n’ai pas forcément beaucoup de trac. Je pense que je serai stressé la veille ou le jour du match mais je vais essayer de l’aborder comme n’importe quel autre match. Pour l’instant, nous essayons d’analyser tous les points forts de cette équipe, nous regardons leurs matches. Il faut bien s’entraîner toute la semaine. L’excitation est là depuis une semaine déjà.

Vous échappez cette fois au duel face à Jonny Wilkinson dont on n’avait tant parlé au mois de novembre…
Oui, Jonny n’est pas là. C’est surtout dommage pour lui car il est blessé et j’espère qu’il ira mieux. C’est bien aussi pour nous car cela fait un joueur d’expérience en moins chez les Anglais.

interview de pelous

Vous affirmiez la semaine dernière que l’équipe de France pouvait être supérieure à toutes les autres. Pensez-vous que cela sera le cas samedi face aux Anglais ?
Bien sûr, sinon on n’y va pas et on leur donne le match. Nous sommes convaincus que nous pouvons gagner cette rencontre. L’équipe d’Angleterre est une très bonne équipe, ils sont champions du monde et il ne faut pas oublier. Je pense que nous avons les arguments pour les battre. L’Irlande a ouvert une brèche dans leur carapace. On va essayer d’agrandir encore cette petite faille.

Comment l’équipe de France avait-elle construit ses victoires ces dernières saisons face à l’Angleterre ?
Elle avait réussi à imposer un rythme et une densité physique que les Anglais imposent normalement à ses adversaires. Je crois qu’il faudra répondre à ce physique ou à l’imposer. On peut dire ce que l’on veut mais je crois que les Anglais ont remporté la Coupe du monde physiquement. Ils étaient peut-être plus prêts que les autres. Je suis persuadé qu’ils sont un peu moindre au niveau physique en ce moment. On va en profiter pour nous imposer.

Pensez-vous que l’équipe n’a pas encore montré tout son potentiel ?
Je crois qu’elle est très efficace dans l’aspect défensif. Vous savez, en rugby, il y a deux aspects : quand nous avons le ballon et quand nous l’avons pas. Quand nous n’avons pas le ballon, je pense que nous sommes peut-être la meilleure équipe du monde. Mais quand nous l’avons, nous sommes moins efficaces même si on arrive quand même à en faire quelque chose. Il ne faut pas déconner ( rire) ! Pour arriver à ce que l’on veut, c’est à dire être les meilleurs, il faut être bons dans les deux. Nous avons encore des progrès à effectuer.

On sent en tout cas une grosse motivation chez tous les joueurs français…
Evidemment. Nous avons en perspective un Grand Chelem, une nouvelle victoire, le leadership européen. Nous sommes très motivés.

Avez-vous envie d’effacer le souvenir de la Coupe du monde ?
Non, pas du tout. Je n’ai pas d’esprit de revanche par rapport à cela. Même si on les bat, ils seront toujours champions du monde. Ce qui nous intéresse vraiment c’est de reprendre le leadership européen et prouver que nous sommes là.

Pourquoi un match face aux Anglais est-il si particulier ?
Parce que c’est la meilleure équipe du monde. Il y aussi bien sûr une rivalité historique par rapport à eux. Mais je pense que tous les pays du monde sont contre les Anglais. Il ne faut pas non plus leur donner du grain à moudre. Ils se motivent par rapport à cela, au fait que tout le monde soit contre eux. Leur esprit orgueilleux est en touché. Je n’ai pas envie de leur donner une corde de plus pour trouver leur motivation.

Vous jouerez en prime-time ( 21h). Cela donnera vraiment un air de finale à cette rencontre ?
Oui, je pense que cela sera une très belle promotion pour le rugby. Ce sport a encore besoin de mûrir. J’espère que le suspense et le spectacle vont être là.

Et s’il pleuvait samedi…
Alors il pleuvra ( rire) ! Franchement, je ne fais pas de soucis par rapport à cela. Quelque soient les conditions, je suis persuadé que l’on peut battre cette équipe.

Personne n’a oublié chez les Bleus la dernière confrontation face aux Anglais. Battue en demi-finale de la Coupe du monde en novembre dernier, l’équipe de France avait sombré sous la pluie de Sydney et perdu beaucoup d’illusions six jours avant le sacre de l’Angleterre.

C’était le 16 novembre dernier. Sous la pluie de Sydney, l’équipe de France s’inclinait, au terme d’un non-match, face aux Anglais, six jours avant le sacre des Britanniques contre les Wallabies. Une demi-finale perdue ( 24-7), des espoirs tombés à l’eau, les Bleus se sont noyés en ce triste soir d’automne australien. Pas d’exploit ni de premier titre mondial pour des Français passés, à l’image notamment de Frédéric Michalak pourtant irréprochable depuis le début de la compétition, totalement au travers de l’événement. « C´est la plus grosse déception de ma carrière, lance ainsi quatre mois plus tard Olivier Magne. Avec cette élimination, j´ai vraiment le sentiment d´être passé à côté de quelque chose, bien plus qu´en 1999 lors de la finale de la Coupe du monde. »

Des paroles qui résument assez bien l’état d’esprit de tous ceux qui étaient sur le terrain en ce jour maudit. « Nous avons encore cet échec en travers de la gorge, explique Yannick Jauzion. Quand on a vu que notre stratégie et que notre jeu au pied ne fonctionnaient pas, on n´a pas su relever la tête. C´est un très mauvais souvenir, car sans que les Anglais soient réellement supérieurs, on sentait qu´ils maîtrisaient le match, qu´on n´avait pas la possibilité de renverser la vapeur. » Impuissants tout au long de la rencontre, et ce, malgré un essai de Serge Betsen, les hommes de Bernard Laporte avaient, disent-ils, été cueillis à froid par la pluie après plusieurs jours ensoleillés. « On ne s´y attendait pas du tout, se souvient le Biarrot Nicolas Brusque. C´est un aspect extérieur qui a pesé sur notre préparation »

Laporte : « Parler de revanche, c´est parler du passé »

La pluie donc, un Michalak inefficace dans son jeu au pied, le carton jaune de Christophe Dominici, tout se 16 novembre était allé de travers pour l’équipe de France. Quatre mois plus tard, la cicatrice ne s’est pas totalement refermée chez les Bleus. C’est donc avec un esprit de revanche que la plupart des Mondialistes s’apprête à retrouver les Anglais samedi. « Dire le contraire serait mentir, avoue Magne. Ce n’est pas le sentiment qui prédomine cependant. Nous voulons les battre pour continuer notre progression et surtout reproduire à l’extrême ce que nous avons fait de bien durant ce Tournoi. »

D’autres pourtant semblent avoir tourné la page plus rapidement. C’est le cas notamment de Fabien Pelous, promu, à nouveau, capitaine depuis le départ de Fabien Galthié. « Je n’ai pas d’esprit de revanche par rapport à cela, affirme-t-il avec sourire. Même si on les bat, ils seront toujours champions du monde. Ce qui nous intéresse vraiment c’est de reprendre le leadership européen et prouver que nous sommes là. » Un sentiment partagé par Bernard Laporte, plus que jamais concentré sur l’avenir. « On ne peut pas parler de revanche par rapport à cette demi-finale. Parler de revanche, c´est parler du passé. Samedi soir, ce sera tout simplement un match à gagner. »

Couronnée au mois de novembre lors de la Coupe du monde australienne, l’Angleterre est désormais la référence incontestable. Un exemple à suivre pour toutes les autres nations dont la France qui, à l’image de Bernard Laporte, veut s’inspirer du professionnalisme britannique.

L’Angleterre par ci, les Anglais par là. Vainqueurs, pour la première fois de leur histoire, de la Coupe du monde le 22 novembre dernier au Telstra Stadium de Sydney, les Anglais sont désormais la référence incontestée. Depuis plusieurs années, l’équipe de Clive Woodward était ce qui se faisait de mieux en Europe, c’est désormais la formation à battre au niveau mondial. Une sorte d’exemple vers lequel essaient de tendre tous ses concurrents, et bien évidemment les Français dont les rêves se sont envolés face à ces mêmes Anglais sous la pluie australienne.

« C’est vrai que c’est un exemple, reconnaît Bernard Laporte, le sélectionneur des Bleus. Ils sont surtout un exemple dans la capacité à construire professionnellement, notamment dans la préparation des matches. Je parlais encore avec Rapahël Ibanez samedi à Edimbourg. Il m’a dit, durant 30 minutes, des choses qui m’ont réconforté. Richard Hill arrive le matin à 8h et il s’entraîne jusqu’à 16 heures et il ne prend que une heure pour déjeuner. Raphaël n’y croyait pas. Je crois que si on inculque ça à nos joueurs, nous serons capables de le faire aussi. Il n’y a pas de secret. On doit en faire encore plus. Les Anglais ont compris depuis un certain temps cette exigence professionnelle. On y vient petit à petit grâce au professionnalisme des clubs, de l’équipe de France. Nous avons des joueurs appliqués, consciencieux, déterminés et passionnés. Je ne vois pas pourquoi on n’y arriverait pas. »

Véritable « machine de guerre » pour Jo Maso, les Anglais ont en effet pris très tôt le virage du professionnalisme. Confortés par l’arrivée massive de sponsors voici quelques saisons, les clubs britanniques, à l’image de Leicester, se sont particulièrement illustrés sur la scène européenne. L’équipe nationale n’a fait que suivre let amplifier e mouvement. Avec une préparation physique exceptionnelle, les joueurs de Sir Woodward ont peu à peu rattrapé leur retard sur l’hémisphère Sud avant de le dépasser.

Un credo cher à Laporte qui, une fois la Coupe du monde terminée, s’est véritablement rendu compte du gouffre qui existait dans ce domaine entre ses joueurs et les champions du monde pourtant moins brillants depuis le début le début du Tournoi. « On peut dire ce que l’on veut mais je crois que les Anglais ont remporté la Coupe du monde physiquement, concède le capitaine Fabien Pelous. Ils étaient peut-être plus prêts que les autres. Je suis persuadé qu’ils sont un peu moindre au niveau physique en ce moment. On va en profiter pour essayer de nous imposer samedi. L’Irlande a ouvert une brèche dans leur carapace. On va essayer d’agrandir encore cette petite faille. »

Woodward a affirmer que lors de la coupe du monde, les Frncais aurait pris 50 points si il ne pleuvait pas

Couronnée au mois de novembre lors de la Coupe du monde australienne, l’Angleterre est désormais la référence incontestable. Un exemple à suivre pour toutes les autres nations dont la France qui, à l’image de Bernard Laporte, veut s’inspirer du professionnalisme britannique.

L’Angleterre par ci, les Anglais par là. Vainqueurs, pour la première fois de leur histoire, de la Coupe du monde le 22 novembre dernier au Telstra Stadium de Sydney, les Anglais sont désormais la référence incontestée. Depuis plusieurs années, l’équipe de Clive Woodward était ce qui se faisait de mieux en Europe, c’est désormais la formation à battre au niveau mondial. Une sorte d’exemple vers lequel essaient de tendre tous ses concurrents, et bien évidemment les Français dont les rêves se sont envolés face à ces mêmes Anglais sous la pluie australienne.

« C’est vrai que c’est un exemple, reconnaît Bernard Laporte, le sélectionneur des Bleus. Ils sont surtout un exemple dans la capacité à construire professionnellement, notamment dans la préparation des matches. Je parlais encore avec Rapahël Ibanez samedi à Edimbourg. Il m’a dit, durant 30 minutes, des choses qui m’ont réconforté. Richard Hill arrive le matin à 8h et il s’entraîne jusqu’à 16 heures et il ne prend que une heure pour déjeuner. Raphaël n’y croyait pas. Je crois que si on inculque ça à nos joueurs, nous serons capables de le faire aussi. Il n’y a pas de secret. On doit en faire encore plus. Les Anglais ont compris depuis un certain temps cette exigence professionnelle. On y vient petit à petit grâce au professionnalisme des clubs, de l’équipe de France. Nous avons des joueurs appliqués, consciencieux, déterminés et passionnés. Je ne vois pas pourquoi on n’y arriverait pas. »

Véritable « machine de guerre » pour Jo Maso, les Anglais ont en effet pris très tôt le virage du professionnalisme. Confortés par l’arrivée massive de sponsors voici quelques saisons, les clubs britanniques, à l’image de Leicester, se sont particulièrement illustrés sur la scène européenne. L’équipe nationale n’a fait que suivre let amplifier e mouvement. Avec une préparation physique exceptionnelle, les joueurs de Sir Woodward ont peu à peu rattrapé leur retard sur l’hémisphère Sud avant de le dépasser.

Un credo cher à Laporte qui, une fois la Coupe du monde terminée, s’est véritablement rendu compte du gouffre qui existait dans ce domaine entre ses joueurs et les champions du monde pourtant moins brillants depuis le début le début du Tournoi. « On peut dire ce que l’on veut mais je crois que les Anglais ont remporté la Coupe du monde physiquement, concède le capitaine Fabien Pelous. Ils étaient peut-être plus prêts que les autres. Je suis persuadé qu’ils sont un peu moindre au niveau physique en ce moment. On va en profiter pour essayer de nous imposer samedi. L’Irlande a ouvert une brèche dans leur carapace. On va essayer d’agrandir encore cette petite faille. »

FRANCE

Le groupe
C’est une équipe sans surprise qu’ont retenu Bernard Laporte et Jo Maso pour ce qui est sans conteste le match le plus important de cette année 2004. Avec le retour d’Imanol Harinordoquy, forfait en Ecosse à cause d’une blessure au coude, Thomas Lièvremont retrouve le banc des remplaçants. Harinordoquy sera, comme souvent, associé à Betsen et Magne. Pour le reste, pas de changements si ce n’est l’arrivée du demi de mêlée montferrandais Pierre Mignoni dans les 22. Seul Jean-Baptiste Elissalde, blessé au Pays de Galles, fera défaut à cette équipe de France.

Enjeux et forme du moment
Les enjeux sont simples : une nouvelle victoire et les Bleus remporteraient le Grand Chelem, le 8ème de leur histoire et le deuxième à VI Nations après celui de 2002. Galthié, Ibanez, Merceron partis à la retraite, cette équipe de France, où joueurs expérimentés et plus jeunes se côtoient, décrocherait un précieux trophée. Quatre mois après la demi-finale de Coupe du monde perdue face à ces mêmes Anglais, les Français ont l’occasion de « reprendre le leadership européen », selon les termes de Fabien Pelous, et une revanche face à l’ennemi de toujours. En cas de défaite, les hommes de Bernard Laporte pourraient tout de même remporter le Tournoi à condition de perdre par moins de 8 points.

ANGLETERRE

Le groupe
Deux changements avaient été effectués par Clive Woodward, mardi, lors de l’annonce de son équipe. Joe Worsley ( Wasps) prendra la place du troisième ligne Chris Jones, blessé au poignet. Dans le même temps, Paul Grayson, le joueur de Northampton, devait succéder à Olly Barkley à l’ouverture. Mais dès le lendemain, Woodward a dû changer ses plans. Grayson, déjà forfait contre les Gallois le week-end dernier en raison d’une blessure au mollet, devra finalement laisser sa place au jeune Barkley, auteur de 16 points samedi. Avec pour mission de faire aussi bien contre les Français que Jonny Wilkinson en Australie. Pour le reste, pas de changements.

Enjeux et forme du moment
Les champions du monde ont la pression. Sacrés le 22 novembre dernier pour la première fois de leur histoire et de toute l’histoire de l’hémisphère Nord, les Anglais n’auront pas le droit à l’erreur au Stade de France. Auteur du Grand Chelem la saison dernière, la bande de Lawrence Dallaglio, de nouveau capitaine après le départ de Martin Johnson, doit absolument l’emporter samedi pour espérer décrocher le Tournoi. Battue dans leur fief de Twickenham, inviolé depuis 1999, par l’Irlande, l’Angleterre a laissé passer sa chance de Grand Chelem. Les Anglais ne sont pas, ou plus, imbattables. Et ça, c´est une nouvelle très importante...

vous etes pret pour ce soir ?