pour msn : oui! et non je pense pas que tu me l´ai deja demandé!

kestion suivante: kelle est ton adresse ( si tu daigne me la donner)

réponse stp

c nicolas_salocin@hotmail.com

merci nicolas, je t´enregistre tt de suite

t connecté là?

ça m´ennuie ces deux minutes a la con!!

alors?? ya personne ds cette université de fous?

oui je suis connecté! mais g pas de nouveau contact!

étrange, étrange... je v te donner mon adresse et on verra:
le_seigneur_dante@hotmail.com

ca yé je t ajouté!
bon prochain post : le chapitre 7 de ma fic!

enfin keyser on aura attendu

sharn----> c´est de la faute a zig : il me deteint dessus!

je veux bien te croire

reuh tt le monde......

atomeman-keyzer dsl de te déranger mai je croi kil ya ce kon peut appeler ds un langage informaitk de gens civilisés: La Spécialité de Microsft; cad un problème..

reuh zig

comment ca j´ai une mauvaise influence

« 1er souvenir « p461 lien : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-7683-10236884-461-0-1-0-0.htm
« Sose le sauveur » p482 lien : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-7683-10236884-482-0-1-0-0.htm
« Un meurtre incompris » p506 lien : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-7683-10236884-506-0-1-0-0.htm
« Et le maître trouva un élève » p549 lien : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-7683-10236884-549-0-1-0-0.htm
« Et le meurtrier se dévoila » p624 lien : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-7683-10236884-624-0-1-0-0.htm
« Un combat inattendu » p700 lien : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-7683-10236884-700-0-1-0-0.htm

Chapitre VII
« Un passé enfin dévoilé »

La visite des deux chevaliers avait vraiment troublé Keyzer. Il se demandait pourquoi le parfait avait été perturbé par son médaillon et pourquoi il avait été surpris par le fait qu’il possédait Bepher et Nepher. Beaucoup de questions résonnaient dans son esprit, il avait besoin de s’isoler, de rester au calme. Il décida donc d’aller marcher dans la petite forêt qui se trouvait non loin de la MUS. Il marcha plusieurs heures sans dire un mot, sans rien penser. Puis au bout d’un moment, il se retrouva dans une petite clairière, il décida que s’était l’endroit parfait pour réfléchir en paix : ici il ne serait pas dérangé. Il s’assit sur un tronc de bois et posa Bepher, la seule arme qu’il avait emporté, sur le sol près de lui. A peine quelques minutes après qu’il se soit installé, une voix se fit entendre.
? ???: ne t’avais je pas dit que nos chemins se recroiserait ? !
Keyzer, à toute vitesse, sauta sur son sabre et le dégaina.
Keyzer : Qui est là ? ??
Sergeil : Allons range ton sabre, je ne te veux aucun mal : si j’aurais vraiment voulu que tu meure je n’aurai pas eu besoin de me salir les mains, il m’aurait simplement suffit de ne pas intervenir lors de ton « combat » contre Thelvyn !
Keyzer : vous ? ?? Que faites vous là ? Et pourquoi m’avez-vous sauver ? Et pourquoi ce Thelvyn a t-il voulue me tuer ? ??
Thelvyn : Doucement, doucement ! Je vais répondre à toutes tes questions, et même plus ! Range ton sabre et je te dirais tout ce que tu veux savoir.
Keyzer écouta Sergeil, il rengaina son sabre et fit signe au grand seigneur de la négation de s’asseoir. Sergeil s’approcha et s’assit face à Keyzer, puis il se mit à lui parler.
Thelvyn : je vais te raconter une histoire
Keyzer : je ne veux pas de vos histoire : je veux des réponses !
Thelvyn : écoute moi, tu comprendras après ! Je vais te parler du royaume d’où je viens : Ariela. Mais dis moi, connaît tu ce royaume ?
Keyzer : oui vaguement ! J’ai grandi dans le petit village de Karnak, qui se situait à quelques kilomètres d’Ariela. Par contre ce n’est pas le royaume d’Ariela mais la Confédération de Duchés d’Ariela !
Thelvyn : c’est vrai mais ce n’a pas toujours été le cas ! Il y a un peu moins de 10 000ans, un homme qui eut hérité des Terres de son père, le grand Bepher, et de son oncle, le non moins célèbre Nepher qui n’avait pas eu d’héritier, fonda un royaume. Il lui donna le nom de sa défunte mère, Ariela, et pris comme armoiries les ailes blanches, symbole de son oncle, tenues par une main démoniaque, symbole de son père. Il divisa ce nouveau royaume en 7 duchés qu’il donna aux 7 lanciers saints les plus fidèles à son père, pour l’aider à diriger ce nouveau royaume. Il confia le sabre de son oncle aux ducs, en symbole de sa confiance en eux mais garda celui de son père. Puis il créa les deux corps d’armée du royaume. Tout d’abord, il créa les chevaliers de la négation, commandés par 12 seigneurs de la négation eux même commandés par le grand seigneur de la négation. Ils avaient pour mission de protéger le roi et de gérer les conflits internes. Puis il créa les chevaliers parfaits, commandés par douze commandants eux même dirigés par un commandant en chef, qui avaient pour mission de protéger les ducs et de régler les guerres et autres affaires externes. Il ne fallut que quelques temps à ce royaume pour devenir très puissant et par conséquent, le roi détenait un puissance politique et militaire extraordinaire, mais tous ce passait bien, les ducs le soutenait : ayant été les plus fidèles hommes de Bepher, il avait voué allégeance à son fils, le nouveau roi. Mais les siècles, puis les millénaires passèrent et les tensions internes devinrent de plus en plus fortes. De générations en générations, les fils oublièrent les allégeances faites par leurs pères. Et un jour, il y a douze ans, une guerre civile éclata : les ducs décidèrent d’usurper le trône du roi. L’ordre de la négation resta fidèle au roi et au duc Van d’Ariel qui fut le seul duc à respecter l’allégeance de son ancêtre, alors que les parfaits suivirent les ducs. Je dus donc me battre et tuer de nombreux parfaits qui autrefois avaient combattu à mes côtés. Mais, un soir, alors que la guerre faisait rage depuis plusieurs semaines, un petit groupe de parfaits pu s’introduire dans le palais royal. Malgré ce que cru ces chevaliers, ils avaient étaient repérés mais tous mes hommes étaient dans les rues pour combattre les autres parfaits. J’étais alors présent dans le palais, je courus vers la salle du trône pour prévenir le roi Hagen III mais il me dit des mots terribles, des mots que jamais je n’oublierais : « la guerre doit se finir, elle a fait trop de mort ! Je dois mourir et faire cesser ces massacres ! Je ne te demanderais qu’une seule chose mon fidèle Sergeil : part, part loin d’Ariela et emmène mon fils, tu dois le sauver ! » J’essaya de lui faire changer d’avis, qu’il parte avec nous mais il avait déjà choisi de mourir, il était déjà mort ! Je pris donc le jeune prince avec moi, ainsi que le sabre de Bepher, trésor de la famille royale, et nous partîmes sur mon dragon, malheureusement, un groupe de parfait nous vu et a coup de puissantes magie, il tuèrent mon dragon et le prince et moi tombèrent en chute libre. Je me réveilla enchaîner dans une des geôles de l’un des ducs. Des parfaits me dirent que ma chute avait été freiné par des arbres mais que le prince, même q’il n’avait pu retrouver son corps, n’avait sûrement pas eu ma chance. Quelques jours plus tard l’ordre de la négation fut dissout et tous les chevaliers de la négation, ainsi que le duc Van d’Ariel, furent bannis d’Ariela qui devint la Confédération des Duchés d’Ariela. Nous dûmes donc quitter le royaume que nous avions servi durant de nombreuses années. Nous restâmes quelques temps tous ensembles pour finalement nous séparer. Je parti à la recherche d’un royaume, d’un roi a servir car c’étais la seule chose que je savais faire, mais chaque royaume, chaque roi que je rencontrait me confortait dans l’idée que je ne retrouverait jamais plus un aussi bon royaume, un aussi bon roi à servir. Le duc Van d’Ariel, quant à lui, parti a la recherche du corps de son neveu pour lui offrir les funérailles que son rang méritait. Je n’eu plus aucune nouvelle de lui, enfin jusqu’il y a deux ans. J’avais arrêté de chercher un royaume à servir, m’étant rendu compte que le seul roi que je voulais servir était mort depuis longtemps. J’avais rangé mon armure de grand seigneur de la négation pour devenir un vulgaire mercenaire. C’est dans un minable bar que le duc me trouva, et m’appris des nouvelles qui me secouèrent. Il venait me dire qu’il avait réussi à voler le trésor des ducs, le sabre de Nepher, et que ce dernier lui avait permis de localiser le fils du roi et le sabre de Bepher. Il venait me chercher pour me demandait de reprendre du service, de reporter mon armure et de reformer l’armée des chevalier de la négation pendant que lui s’occuperait de retrouver le fils du roi. Je remit donc mon armure que j’avais trop longtemps mis de coté, en l’enfilant je sentis toute ma force et ma fougue revenir : j’étais de nouveaux Sergeil de Mork le grand seigneur de la négation. Puis sans plus tarder je me chargeai de retrouver les anciens membres de mon armée et surtout les autres seigneurs de la négation. Ensembles, nous nous mîmes en quêtes de nouveaux candidats pour notre ordre et nous nous chargeâmes de les former. Apres deux ans, notre armée était plus importante qu’elle ne l’avait jamais était mais nous n’avions plus de nouvelles du duc. Mais il y a quelques temps j’entendis des rumeurs selon lesquelles le duc était devenu fou, il tuait beaucoup de monde sur son passage en criant qu’il voulait retrouver son élève qui avait essayé de le tuer. Je compris très vite que, même si le duc était vraiment devenu fou, l’élève qu’il recherchait devait certainement être celui pour qui notre ordre c’était reformé. C’est donc en suivant ses traces que je suis arrivé à la MUS et que je t’ai trouvait toi, Léthésias 1er, fils de Hangen III, prince d’Ariela !
Keyzer : non….non…c’est impossible ! Je ne suis qu’un simple maréchal-ferrant !
En un mouvement d’une rapidité incroyable, Sergeil dégaina son sabre et keyzer se retrouva torse nu, son T-shirt complètement déchiqueté.
Sergeil : alors pourquoi cette marque sur ton dos ?
Le dos nu de Keyzer laisser apparaître un magnifique tatouage sur son dos : deux grandes ailes, partant de ses omoplates et finissant au bas de son dos, tenues en leur jointure par une main démoniaque : c’était les armoiries de la famille royale !
Keyzer : non ! Ce n’est qu’une simple marque de naissance ! Étrange peut être, mais elle ne prouve rien, c’est impossible ! !!
Sur ces mots, Keyzer, affolé, se mit à courir a travers la forêt.
Sergeil : Fuir ne sert a rien, ton destin est tracé! Mais je sais que tu as besoins de temps pour l’accepter, mais on se retrouvera !

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