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Sujet : Topic des articles tirés des blogs

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imthere imthere
MP
Niveau 10
10 mars 2010 à 12:34:10

Sur ce topic vous pouvez désormais poster tous les articles issus de blogs, et en discuter.

Les articles tirés de blog haineux sont en revanche refusés.

Yuyu Yuyu
MP
Niveau 10
10 mars 2010 à 14:28:47

Excellent topic, j'en posterai ici.

Shevchenzebo3 Shevchenzebo3
MP
Niveau 10
10 mars 2010 à 15:03:41

Excellente idée, merci.

Raphael_Drake Raphael_Drake
MP
Niveau 10
10 mars 2010 à 15:28:11

Que veux tu dire par "blog haineux" ?

Roxxestar Roxxestar
MP
Niveau 10
10 mars 2010 à 16:18:50

Les blogs du genre ComplotAntiUSA.org, Luttecontreislam.org, Amortlesgauchos.org, Bochesenflure.org, des trucs du genre :noel:

OMGayCoeur OMGayCoeur
MP
Niveau 5
10 mars 2010 à 18:08:50

les blogs du genre salefrancais.org font aussi parti des blogs haineux?

youtriua youtriua
MP
Niveau 3
10 mars 2010 à 18:28:54

Les blogs du Monde sont déjà haineux pour moi, donc tout est relatif...

imthere imthere
MP
Niveau 10
10 mars 2010 à 18:57:24

Roxxestar a bien résumé :noel:

Donc OMGay, il est évident que les blogs de ce genre sont haineux et n'ont pas leur place ici...

Roxxestar Roxxestar
MP
Niveau 10
10 mars 2010 à 20:19:50

http://washington.blogs.liberation.fr/great_america/2010/03/l%C3%A9cole-en-4-jours-pour-d%C3%A9penser-moins.html

L'école en 4 jours, pour dépenser moins

Aux Etats-Unis aussi, la semaine de quatre jours à l’école est une solution de plus en plus pratiquée. Non pas pour épargner les enfants : ici comme en France les pédagogues ou les pédiatres sont souvent hostiles à ce rythme. En Amérique, personne ne cherche même à cacher que la raison première de la semaine en quatre jours est de réduire les frais. Supprimer une journée d’école peut permettre d’économiser l’argent par « cars entiers », lit-on ici, en réduisant notamment les frais de transports scolaires et les factures de chauffage ou électricité.

Dans les écoles américaines, la semaine de cinq jours reste la norme. Mais plus de 100 districts scolaires (sur un total de plus de 15 000) autorisent la semaine de quatre jours et de plus en plus de districts envisagent de s’y mettre ces toutes prochaines années, rapporte le Wall Street Journal. Aux Etats-Unis, c’est la crise énergétique des années 1970 qui avait donné la première impulsion : la semaine de quatre jours avait alors été testée au Nouveau Mexique, puis mise en place dans certains districts ruraux du Colorado, de l’Idaho ou du Wyoming. Les édiles locaux se réjouissent de pouvoir ainsi économiser « jusqu’à 20% » des frais de chauffage ou de transport scolaire, mais les enseignants restent souvent sceptiques. A Gore, une ville de l’Oklahoma, le lundi sans école est compensé par une heure et 40 minutes de cours supplémentaires du mardi au vendredi. Les profs « doivent faire tout un cirque (a dog and pony show, en anglais) pour garder l’attention des enfants » durant ces heures supplémentaires, déplore le responsable des écoles publiques de la ville, Monte Thompson, cité par le WSJ.

Pour mémoire, en Europe, et dans le monde adulte du travail, il y a quelques années, le passage à la semaine de quatre jours (introduite chez Volkswagen en particulier en 1993) faisait figure de grande avancée sociale. Dans les écoles, aux Etats-Unis, c'est clairement un pis aller, pour combler les fossés budgétaires.

imthere imthere
MP
Niveau 10
11 mars 2010 à 11:25:27

La sûreté du réacteur EPR de nouveau en cause

Depuis le début de la semaine, se pose de nouveau la question de la surêté des EPR (European pressurized reactor), ces réacteurs nucléaires de troisième génération conçus et développés par le groupe français Areva. Retour sur le dernier épisode en date d’un conflit qui divise depuis longtemps écologistes, politiques et opinion publique.

Quel est le contexte de la polémique ?

Lundi 8 et mardi 9 mars, Nicolas Sarkozy a organisé à Paris une conférence ministérielle, réunissant 65 pays, sur l’accès au nucléaire civil dans le monde. Fidèle à la doctrine française, le chef de l’Etat s’est prononcé en faveur des “normes les plus strictes” en matière de sûreté, notamment par le renforcement du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) de 1968. Il a dans le même temps fait la promotion de l’EPR, notamment à destination des pays du monde arabo-musulman. Une manière d’effacer le revers infligé par les Emirats Arabes Unis au réacteur de troisième génération proposé par EDF, GDF, Areva et Total. En décembre dernier, Abu Dhabi avait en effet préféré l’offre sud-coréenne pour la construction de centrales nucléaires sur son sol, avec à la clé un contrat d’au moins 20 milliards de dollars (15 milliards d’euros).

Pourquoi la surêté des EPR est-elle de nouveau mise en cause ?

Le réseau Sortir du nucléaire, l’Observatoire du nucléaire et le Comité de réflexion, d’information et de lutte antinucléaire (Crilan) disent avoir reçu “très récemment” des documents internes et officiels d’EDF, transmis par une source anonyme chez l’électricien. Ces données, qui couvrent la période de 1999 à 2007, révèlent que la conception du réacteur EPR en construction à Flamanville (Manche) “implique un sérieux risque d’accident majeur”. En cause, les “crayons” du réacteur. Il s’agit de cylindres contenant les éléments radioactifs, carburant de la centrale. Dans certaines conditions, ils pourraient se briser, entraînant une forte hausse de la température du réacteur. Avec, au final, un risque de fusion des éléments radioactifs et de perte de contrôle de la réaction. “Certains modes de pilotage peuvent provoquer l’explosion du réacteur, explique Philippe Brousse, directeur du réseau Sortir du Nucléaire. Il semble bien que la conception de l’EPR accroisse le risque d’un accident de type Tchernobyl.”

Quelles sont les réponses apportées par EDF ?

Du côté de l’électricien, on se veut rassurant. Ces analyses de risque font partie des études habituelles qui permettent de constituer le dossier de mise en service de l’EPR, qui doit être soumis à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) à la fin de l’année. Par ailleurs, les documents datant de 2007, certaines améliorations pourraient déjà avoir été mises en place.

La surêté des EPR avait-elle déjà fait l’objet de réserves ?

C’est là que réside le problème : à plusieurs reprises déjà, les autorités nucléaires ont émis des réserves sur les systèmes de sûreté des EPR. En novembre, l’ASN ainsi que les autorités britanniques et finlandaises avaient par exemple souligné une trop grande interconnexion entre deux systèmes de contrôle, supposés être indépendants, l’un faisant fonctionner le réacteur et l’autre assurant sa sécurité. Le niveau de sûreté des systèmes de contrôle-commande, cerveau de l’EPR, avait aussi déjà été pointé du doigt en avril par l’inspection des installations nucléaires britannique.

Combien d’EPR sont en construction ?

Areva construit actuellement quatre EPR : une unité de 1600 MW à Olkiluoto (Finlande), une de 1600 MW à Flamanville (Manche), depuis 2007, et deux de 1600 MW chacune à Taishan (Chine). Un débat public sur la construction d’un autre EPR sur le site de la centrale nucléaire de Penly, près de Dieppe (Seine-Maritime), doit s’ouvrir le 24 mars. D’autres projets sont à l’étude, notamment aux Etats-Unis et au Royaume-Uni.

http://ecologie.blog.lemonde.fr/2010/03/11/la-surete-du-reacteur-epr-de-nouveau-en-cause/#xtor=RSS-32280322

pays_reel_8 pays_reel_8
MP
Niveau 4
11 mars 2010 à 12:17:57

B. Marzel à Bar Refaelli : "N’épouse pas Leonardo !"

mercredi 10 mars 2010

C’est ce que vient de d’écrire Barouch Marzel à Bar Refaelli, la magnifique israélienne devenue mannequin de renommée internationale, à l’occasion de la visite de cette dernière en Israël. Dans cette missive, Barouch Marzel exhorte Bar de reconsidérer son mariage avec la vedette hollywoodienne, Leonardo Di Caprio.

Barouch est un activiste israélien, résident du quartier de Tel Romeida à Hébron, ancien aide parlementaire du regretté Rav Méir Kahana.

Bar, Shalom

Je voudrai profiter de l’occasion de ta venue dans notre Terre de sainteté pour t’écrire quant à ton intention d’épouser Leonardo Di Caprio.

En avant-propos, je tiens à préciser que je n’ai absolument rien contre Leonardo et je ne doute pas qu’il s’agit là d’un grand artiste. Toutefois, je m’adresse à toi au nom de l’organisation Lehava qui s’occupe de cas comme le tien, de femmes Juives sur le point d’épouser des non Juifs, des hommes ne faisant pas partie du peuple d’Israel.

Le peuple d’Israel est une peuple de prédilection et ce n’est pas l’effet d’un pur hasard que tu es née juive. Ta grand-mère et la grand-mère de ta grand-mère n’ont pas rêvé et n’ont jamais espéré qu’une de leurs descendantes ne franchisse le pas qui sortirait leurs générations à venir de la famille du peuple juif.

L’assimilation est l’un des ennemis les plus âpres du peuple juif depuis toujours.

A notre immense regret, tu ne seras pas la première à faire cela, et le destin des générations futures qui viendront après toi sera comme celui de toutes les générations d’assimilés qui se sont coupés du peuple juif.

Je sais qu’au moment où tu lis ces lignes, tu dis à toi-même : "Bon ! D’accord ! Ca, c’est la vielle génération, des religieux, des obscurantistes, des gens rétrogrades !". Tu dois cependant te souvenir que tu es juive du fait de ces "obscurantistes rétrogrades" qui ont lutté pour leur judaïsme même quand ils ont dû en payer le prix le plus lourd.

Un acte comme celui dans le quel tu as l’intention t’engager peut influencer négativement le grand public qui voit en toi une célébrité, une image de marque à imiter.

En conclusion, je voudrais te dire que plus d’une fois, j’ai traité de cas comme le tien dont certains n’ont pas tenu compte de mes avertissements et cela s’est soldé peu après par un échec.

Je m’adresse à toi dans un dernier appel, je t’exhorte de te reprendre, de regarder derrière toi et devant toi et pas seulement sur le présent. Ne te marie pas avec Leonardo Di Caprio, ne compromet pas tes futures générations.

source : http://www.liguededefensejuive.net/spip.php?article1535

Roxxestar Roxxestar
MP
Niveau 10
11 mars 2010 à 19:46:53

FME: un fonds pour les pays sans fonds

En quelques semaines, la crise grecque a contraint l’Allemagne à abandonner ses tabous les plus Argent solidement ancrés. Ainsi, lundi, Angela Merkel s’est déclarée favorable à la création d’un « Fonds monétaire européen » (FME) sur le modèle du Fonds monétaire international (FMI), une idée avancée ce week-end par son ministre des finances, Wolfgang Schäuble qui a évoqué une prochaine proposition franco-allemande : « qu’est-ce que l’Union européenne peut faire pour s’aider elle-même ? Je pense que l’idée (d’un FME) est une bonne idée », a déclaré la chancelière allemande, car « nos instruments ne sont pas suffisants ». « Lorsqu’on a sa propre monnaie unique, il y a de bonnes raisons de vouloir prendre des précautions », a précisé hier Angela Merkel, lors d’un voyage au Luxembourg, afin de pouvoir faire face « aux situations ultimes ». Il est vrai que l’Allemagne a pris conscience que les problèmes de la Grèce risquaient de déstabiliser l’ensemble de la zone euro… Début février, à la suite d’une rencontre avec Nicolas Sarkozy, la chancelière s’était déjà ralliée à la nécessité d’instituer un « gouvernement économique » de l’Union européenne. Le FME, s’il voit le jour, sera son bras armé. « Cette proposition dénote une évolution positive des esprits allemands », se réjouit-on à l’Élysée. Décryptage.

• Pourquoi un FME ?

La crise grecque montre que la zone euro n’a strictement aucun instrument à sa disposition pour voler au secours d’un pays confronté à une crise de confiance sur les marchés. En effet, les articles 123 à 125 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) interdisent tout sauvetage d’un État membre de la zone euro par l’Union, la Banque centrale européenne (BCE) ou un État membre. Plus précisément, cette clause dite de « no bail out » interdit à qui que ce soit d’endosser les dettes d’un pays de la zone euro. L’idée est que chaque pays demeure responsable de ses finances publiques, les marchés se chargeant de sanctionner les « mauvais élèves » en demandant des taux d’intérêt plus élevés pour prêter de l’argent. L’Allemagne, qui a exigé cette clause, redoutait que ses partenaires ne contrôlent plus leurs finances publiques une fois dans l’euro s’ils avaient la certitude que l’on volerait à leur secours en cas de pépin. En outre, cela aurait posé un problème démocratique : une clause de solidarité générale reviendrait à faire peser sur les citoyens allemands ou français des dépenses engagées par un gouvernement qui n’est pas responsable politiquement devant eux.

C’est à cause de cette clause de « no bail out » que la zone euro a été contrainte de bricoler un projet d’intervention pour venir en aide à la Grèce confrontée à une crise que nul n’avait vue venir. Sous la pression de la France, les seize pays de la zone se seraient entendus pour acheter entre 20 et 25 milliards d’emprunts grecs dans le cas où Athènes n’arriverait plus à se financer sur les marchés. Cette improvisation sous la pression des marchés a fait prendre conscience à Berlin qu’il fallait que la zone euro se dote d’un instrument permanent, non seulement pour intervenir en cas de crise, mais pour les prévenir, le Pacte de stabilité ayant clairement montré ses limites : « à partir du moment où vous le respectez, chaque pays est libre de sa politique économique même s’il est évident qu’elle est déséquilibrée et qu’elle mène à la catastrophe, comme on l’a vu en Espagne et en Irlande », souligne-t-on à Paris.

Le plus étrange est que les pays de l’Union qui ne sont pas membres de la zone euro bénéficient, eux, d’un « fonds européen d’aide à la balance des paiements », créé en 2002 en application de l’article 143 du TFUE, et doté depuis mars 2009, de 50 milliards d’euros. La Lettonie, la Hongrie et la Roumanie en ont largement bénéficié depuis le début de la crise.

• Faut-il modifier les traités européens ?

20091119 Sommet 40 Pour l’Allemagne, cela ne fait aucun doute. « Le Traité de Lisbonne n’est pas la fin de l’histoire. Nous ne sommes pas dans un système statique, je ne veux pas de cela. Je veux une Europe capable de réagir », a argumenté Angela Merkel. Jean Pisani-Ferry, fondateur du groupe de réflexion Brughel, estime aussi qu’il faut en passer par là : « on a été trop loin en interdisant toute aide à un pays. Quand le FMI prête de l’argent à un pays, il n’assume pas la responsabilité de ses dettes. Il suffirait donc de supprimer l’interdiction de faire bénéficier les pays de la zone euro du fonds d’aide à la balance des paiements ». Le problème est qu’une modification des traités prend du temps, plusieurs années au minimum, comme l’a souligné hier le premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, en parlant « d’effort de longue haleine ». En clair, « ce FME ne permettra pas de venir dans l’immédiat au secours de la Grèce. Cela ne lève pas la question d’une aide à court terme », souligne-t-on à l’Élysée.
La Commission, hier, a suggéré de mettre en œuvre le FME sans modifier les traités. Comment ? « Il suffit de conclure entre les Seize un accord intergouvernemental qui fonctionnera en dehors des traités comme on l’a déjà fait avec les accords de Schengen sur la libre circulation », explique-t-on dans l’entourage de Juncker. « On définirait entre nous le montant de la contribution de chacun, les conditions d’intervention, la conditionnalité, etc. Comme ça, on pourrait aller très vite ».

• Comment fonctionnera le FME ?

Pour l’Allemagne, il n’est pas question de prêter sans condition : l’État qui bénéficie du FME devra être contraint d’adopter une politique d’ajustement, sur le modèle de ce que fait le FMI. Il faudra donc prévoir un mécanisme de sanctions en cas de non-respect des engagements : la presse allemande a évoqué le non-versement des aides régionales ou la suspension du droit de vote au Conseil des ministres. Pour Laurence Boone, « chief economist » de Barclays Capital, il faudrait mieux ne verser l’aide que par tranche, en fonction de la mise en œuvre des réformes, un mécanisme qui est compatible avec un simple accord intergouvernemental hors traité. Reste aussi à savoir comment sera abondé ce fonds et dans quelle proportion. Pour Laurence Boone, « sachant que le besoin de financement de la zone euro pour 2010 est de 900 milliards d’euros, il faudra au moins qu’il dispose de 5 % de cette somme pour être crédible avec possibilité d’aller au-delà ». « La création du FME permettra à la gouvernance économique de faire un grand pas », estime Pisani-Ferry : « puisqu’un pays pourra être aidé par ses partenaires, cela justifiera que l’on mette le nez dans ses affaires bien au-delà d’un simple examen de ses finances publiques ».

• Qui est pour, qui est contre ?

Sans surprise les faucons allemands ont immédiatement donné de la voix. Jürgen Stark, le « chief economist » de la Banque centrale européenne et l’un des pères les plus inflexibles du Pacte de stabilité, est ainsi immédiatement monté au créneau – à titre personnel - en estimant qu’un « tel mécanisme ne serait pas compatible avec les fondements de l’Union monétaire et risquerait de saper l’acceptation de l’euro ». Axel Weber, le patron de la Bundesbank et probable successeur de Jean-Claude Trichet à la présidence de la BCE, a lui aussi jugé que « toute discussion sur des renflouements est complètement contre-productive, la Grèce doit se concentrer sur la mise en œuvre des projets de réforme budgétaire ». « La clause interdisant les sauvetages est un élément essentiel du cadre de l’UE », a-t-il martelé. Il est remarquable que, pour l’instant, les autres banquiers centraux, soient restés silencieux.

Côté politique, certains de mes confrères français (Le Monde, le Figaro) ont estimé que Paris n’était guère enthousiasmé par cette idée, s’appuyant sur une déclaration de Christine Lagarde, la ministre des Finances qui a déclaré, mardi, que « cela ne me paraît pas la priorité absolue du moment dans le court terme ». De fait, on a vu plus enthousiaste. Mais, à l’Élysée, on est nettement plus positif même si Nicolas Sarkozy aurait sans doute préféré être à l’origine de cette idée… Tout à l’heure, à Berlin, François Fillon, le premier ministre, a clairement affirmé que Paris et Berlin étaient sur la même longueur d’onde : « c’est une idée qui doit être expertisée rapidement pour compléter les moyens dont la zone euro et ses membres peuvent disposer pour répondre à des tensions financières qui sont susceptibles de menacer la stabilité monétaire ». Mais, et c’est bien l’idée allemande, « cette forme de soutien n’est acceptable que si les États qui sont confrontés à des difficultés font en parallèle tous les efforts nécessaires pour résoudre leurs problèmes structurels et rétablir leurs comptes », a-t-il précisé lors d’un discours à l’université de Humboldt.

Au sein de la zone euro, le seul pays qui pourrait renâcler est actuellement sans gouvernement : il s’agit des Pays-Bas, qui ont toujours été plus durs que les Allemands les plus durs… À l’extérieur de la zone euro, la Suède a clairement estimé qu’il revenait au FMI d’aider la Grèce... Quant aux Britanniques, ils sont, jusqu’à présent, restés très discrets (on lira ici la chronique très intéressante de Charlemagne de l'Economist). On aura une première idée du rapport de force lors de l’Eurogroupe de lundi soir et du Conseil des ministres de l’Économie et des Finances de mardi.

http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2010/03/en-quelques-semaines-la-crise-grecque-a-contraint-lallemagne-%C3%A0-abandonner-ses-tabous-les-plus-solidement-ancr%C3%A9s-ainsi.html

Belgissime Belgissime
MP
Niveau 4
12 mars 2010 à 00:11:01

Finlande: Une récolte sanglante.

Une enquête menée par Animal Defenders International (ADI)rapport sur l’industrie de la fourrure a été dévoilée lors d’une conférence de presse à Paris le 4 mars par ADI et Fourrure Torture, coïncidant avec les défilés parisiens Automne/Hiver de prêt-à-porter.

Le but est d’interpeller les couturiers utilisant de la fourrure.

ans des fermes d’élevages d’animaux à fourrure en Finlande, premier pays producteur de fourrure de renards révèle l’horreur dans les élevages d’animaux à fourrure.

Cette enquête intitulée « Récolte sanglante : le vrai prix de la fourrure », filmée et photographiée, et ayant donné lieu à un rapport sur l’industrie de la fourrure a été dévoilée lors d’une conférence de presse à Paris le 4 mars par ADI et Fourrure Torture, coïncidant avec les défilés parisiens Automne/Hiver de prêt-à-porter. Le but est d’interpeller les couturiers utilisant de la fourrure.

L’abomination au bout de l’enquête

Sur une période de 7 mois, une trentaine de fermes d’élevage finlandaises ont été sélectionnées au hasard pour mener l’enquête.

L’investigation dévoile des animaux avec des plaies ouvertes et infectées, des signes évidents d’infections non soignées ; des yeux infectés ou manquants ; des queues mutilées ; des pattes difformes et endommagées ; des gingivites aiguës rendant l’abreuvement et l’alimentation difficile ; des renardeaux avec des pattes coincées dans les mailles du sol grillagé de leur cage ; des cages et équipements délabrés et dangereux ; des négligences et souffrances animales généralisées ; des abreuvoirs vides, sales et cassés.

Certains d’entre eux n’ont pas la force de résister à ces conditions infâmes, finissent par mourir dans leur cage, et sont laissés ainsi pendant des semaines.

Le stress, l’angoisse et le bouleversement total des conditions de vie de ces animaux leur causent également d’inquiétants troubles du comportement.

Telle est la triste réalité du quotidien pour ces animaux, qui attendent, dans ces conditions, le jour où ils seront électrocutés ou gazés pour leur fourrure.

La vidéo montre que lorsque l’Association Finlandaise d’Éleveurs d’Animaux à Fourrure déclare : « Tous les animaux à fourrure de Finlande sont élevés dans des conditions respectueuses de leur bien-être », ses prétentions sont tout à fait à l’opposé de la réalité, qui révèle toute la souffrance endurée par les animaux.

Source: http://labrajack.over-blog.com/article-finlande-recolte-sanglante-le-vrai-prix-de-la-fourrure-fourrure-torture-co-46454119.html

Un sujet d'actualité dont on ne parle que trop rarement... :nonnon:

Yuyu Yuyu
MP
Niveau 10
12 mars 2010 à 15:59:37

La France fait piètre figure
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-france-fait-pietre-figure-71427

Des signaux sismiques révèlent l’utilisation d’explosifs au WTC le 11/9, selon le géophysicien André Rousseau
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/des-signaux-sismiques-revelent-l-70808

Chez Taddei, coup de gueule de Damien Saez :
http://www.agoravox.tv/actualites/politique/article/magnifique-texte-de-damien-saez-25551

[El_mago] [El_mago]
MP
Niveau 3
13 mars 2010 à 00:38:49

C'est bien, on aurait voulu créer un topic dédié à une flopée d'articles sans aucun rapport, balancés ainsi sans queue ni tête dont personne n'aura le temps ni la patience de commenter comme il se doit qu'on ne s'y serait pas pris autrement...

LordActon LordActon
MP
Niveau 9
13 mars 2010 à 02:25:09

Réchauffement Climatique: malgré la déroute du GIEC, nos gouvernants s'obstinent dans l'interventionnisme vert coercitif

J'ai quelque peu délaissé le ClimateGate et le Réchauffement Climatique ces quinze derniers jours, pour cause duale de vacances et d'une certaine lassitude par rapport à un sujet qui ne se renouvelle guère (cf. le dossier Réchauffement Climatique d'Ob'lib').

Hélas, la multiplication des révélations de scandales, fraudes avérées, erreurs "malencontreuses" et conflits d'intérêts au sein du GIEC, si elle a manifestement retourné nombre d'opinions mondiales, ne semble en rien vouloir faire évoluer les lignes de conduites politiques des gouvernements européens en général, et Français en particulier, sans oublier les USA et l'ONU. Pire, tels des docteurs Knock déterminés à nous rendre malades pour pouvoir justifier leurs honoraires de médecins, nos politiciens semblent à tout prix vouloir rebondir sur les échecs du GIEC pour aller plus loin dans les politiques environnementalistes contraignantes, "économicides" et liberticides.

Mais avant de s'attaquer aux aspects politiques, voyons tout d'abord ce à quoi les lecteurs assidus des blogs climatiques ont été confrontés durant ces quinze jours. Quoique non exhaustive, la liste donne le tournis. Bientôt, les bloggueurs ne pourront même plus prendre de vacances tellement l'actualité de la déconfiture de tous les constructivismes s'accélère.

"Temperatures gates"

Depuis les révélations du Climate Gate, de nombreux groupes de scientifiques indépendants ont disséqué les différences entre données brutes de températures et données ajustées fournies soient par le CRU (l'unité anglaise dont sont parties les mails piratés), le GISS (le centre de la Nasa qui coordonne nombre de mesures terrestres), et d'autres tels que le NCDC ou NOAA.

J'ai déjà évoqué dans de précédents articles des problèmes d'ajustements bizarroïdes en Russie, en Australie, en Nouvelle Zélande. En voici d'autres.

Scandinavia gate

Le professeur suédois Wibjorn Karlen a mis en évidence des anomalies entre températures mesurées et températures "ajustées" par le CRU pour la presqu'ile scandinave. Les ajustements proposés gomment totalement la pointe de chaleur observée dans les années 40, équivalente aux températures actuelles, et la chute de températures observée entre 1940 et 1975. Le graphe proposé par l'article montre qu'évidemment, les courbes "ajustées" par le GIEC ont une toute autre allure "médiatiquement vendable", de jolies "crosses de hockey", que les courbes des températures réellement observées.

Ce qui est également intéressant dans cette affaire scandinave, c'est que Karlen a commencé à avoir des doutes bien avant le Climate Gate, comme le montrent les mels du climate Gate, et a tenté de comprendre auprès d'un des membres de la CGTeam, Kevin Trenberth, pourquoi les valeurs qu'il obtenait par ses recherches étaient différentes de celles publiées par le GIEC. Les échanges de mels entre Karlen et Trenberth, issus du ClimateGate, sont résumés dans ce post annoté et commenté par l'australien Willis Eschenbach, qui a mis à jour des manipulations similaires pour l'Australie. Les réponses de Trenberth virent très vites aux "non réponses" et au noyage de poisson. Aucune réponse consistante aux interrogations de Karlen n'est réellement amenée.

Czech Gate

L'analyste indépendant EM Smith a découvert que sans la moindre raison explicitée, la station météo de Prague-Klementinum, une des plus anciennes et fiables qui ait enregistré la température au sol depuis 1775, a été purement et simplement supprimée des échantillons représentatifs servant à calculer les températures moyennes par le GHCN, l'organisme basé en Arizona qui alimente les bases de thermomètres servant ensuite au GISS ou au CRU pour leurs analyses.

Le problème est que cette station, loin de montrer un réchauffement en république tchèque, montrait un refroidissement depuis 1800 !

Le GHCN a préféré reconstituer les températures du passé par modélisation à partir d'une station installée depuis l'après guerre sur l'aéroport de Prague Ruzyne. Le professeur Jan Zeman, de l'Université de Prague, explique ici pourquoi l'abandon de la station de Klementinum arrangeait bien les réchauffistes, et a recalculé le réchauffement corrigé de l'effet "ilôt de chaleur urbaine" estimé à partir des différences récentes entre la station de Klementinum et de Ruzyne. Il en déduit que le réchauffement moyen observé est de 0,25°C par siècle, pas de quoi sauter au plafond de frayeur.

England Gate

Cette valeur de 0,25°C par siècle sur un peu plus de deux siècles est parfaitement conforme avec les observations faites sur les températures en Angleterre centrale par un autre Sceptique bien connu (et parfois un peu fantasque, reconnaissons le) Lubos Motl, qui a constaté que sur des périodes de 30 ans, on observait des variations importantes du climat à la hausse (jusqu'à +5°C /siècle, et ce dès la période 1691-1720) mais toujours suivies de périodes baissières comparables, et que la variation réellement observée de ce fait en deux siècles était de 0,26°C par siècle, et que par conséquent, la tendance de +4,7°C/ Siècle observée sur l'intervalle de 30 ans 1978-2007 n'avait rien ni d'exceptionnel ni d'inquiétant. L'analyse de Motl est complétée ici par C3H.

...

http://www.objectifliberte.fr/2010/03/rechauffement-climatique-malgre-la-deroute-du-giec-nos-gouvernants-sobstinent.html

LordActon LordActon
MP
Niveau 9
13 mars 2010 à 02:27:56

Des signaux sismiques révèlent l’utilisation d’explosifs au WTC le 11/9, selon le géophysicien André Rousseau
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/des-signaux-sismiques-revelent-l-70808

100% bidon et invalidé largement par le mode d'éffondrement des deux tours.

LordActon LordActon
MP
Niveau 9
13 mars 2010 à 02:36:02

"c’est une explosion souterraine (cas 1) qui a précédé sa chute. "

Et toujours les explosions bidons soit disant venues d'en bas ce qui est strictement impossible étant donné que les 2 tours s'effondrent par le haut (au niveau de leurs points d'impact) par compression.

LordActon LordActon
MP
Niveau 9
13 mars 2010 à 03:29:23

jeudi, 11 mars 2010
C'est tout la faute des CDS
Avec la menace de dégradation de la note des pays riches, la crise se rapproche des coupables. Le rythme de ces rappels à l'ordre accélère, c'est mauvais signe. Les fonds qui gèrent l'épargne mondiale vont rapidement exiger des taux de plus en plus élevés de leur part (en tout cas, en tant qu'épargnant, c'est ce que j'attendrais compte tenu des risques de n'être jamais remboursé), ce qui promet d'accroître le coût des intérêts de leur dette, notamment pour les Français. Ils atteignent pourtant le niveau du seul impôt sur le revenu à ce jour, imaginez demain. Mais pour la Grèce, la prime est déjà beaucoup plus élevée, avec 2,5 % de plus que les taux allemands (la référence de sérieux en Europe). Concrètement, ses nouvelles émissions de plus de 50 milliards d'euros pour la seule année 2010 vont entraîner un surcoût de 1,5 à 2 milliards d'euros par an en intérêts par rapport à ce qu'aurait payé l'Allemagne (si le marché ne dégénère pas d'ici décembre, soyons optimistes). Entre le trio de tête France-Royaume Uni-Espagne, et la Grèce à l'autre extrémité, il y a toute une chaine de pays qui aimeraient se faire oublier : Italie, Portugal, Irelande. Le peuple islandais a quant à lui fait une croix sur son entrée dans l'euro en votant "non" au remboursement de sa dette à ses créanciers. Les temps à venir vont être durs s'ils souhaitent s'endetter à nouveau. Ceinture.

Preuve de sa parfaite mauvaise foi, la Grèce peste et proteste. Les faits sont clairs pourtant, quoi qu'on dise de Goldman Sachs : le gouvernement grec précédent a bel et bien choisi de faire appel à ce prestataire privé pour dissimuler une petite part de sa dette. Comment prétendre avoir été manipulé ? Vous imaginez Sarkozy dire qu'on a négocié pour lui malgré lui à l'insu de son plein gré ? Tout ce qu'il fait, il en assume la pleine responsabilité. Eh bien les politiques grecs, c'est pareil. Ils ne sont pas plus décérébrés et irresponsables que les nôtres. Ils sont les premiers coupables. En bref, nous voyons tous les gouvernements chercher des bouc émissaires pour se défausser de leur propre responsabilité dans l'affaire (qui commence à sentir le roussi). Dernière cible : les CDS. Belle innovation financière, les Credit Default Swaps sont des assurances contre la défaillance d'emprunteurs, privés ou publics. Ils permettent à des gros fonds d'épargne de couvrir leurs portefeuilles contre leur baisse de valeur sans avoir à en céder les titres et entraîner une spirale baissière. Pour que le marché de ces CDS soit suffisamment étoffé, il est nécessaire qu'à côté des gros utilisateurs, fonds d'épargne et assurances, des acteurs plus petits en assurent la liquidité par des volumes importants de transaction. C'est le rôle des spéculateurs. S'ils sont incapables de créer de grands mouvements (contre la Grèce par exemple), ils peuvent amplifier ou déclencher des tendances sur des fondamentaux économiques bien réels.

Accuser ces opérateurs de menacer de pôvs'Etats innocents, c'est se moquer du monde. A côté de gros paquebots, ils font figures de frêles esquifs. Utiles et nécessaires, mais certainement pas assez lourds au point de destabiliser des pays. Quand on sait que ces gouvernements ont connu des déficits budgétaires importants depuis des années, quand ce n'est pas pendant des décennies pourtant de grande prospérité, il est facile de recentrer les accusations sur ces governqnts irresponsables. C'est d'ailleurs ce que confirme une étude de Gavekal : 85 % du renchérissement du coût de la dette est dû au dérapage de nos déficits, et 10 % à l'absence de profondeur du marché de la dette - c'est à dire qu'il n'y a pas assez de volumes traités par rapport aux stocks détenus par les fonds d'épargne.

Il est toutefois probable que les gouvernements européens agissent à l'opposé du bon sens en cherchant à restreindre l'usage des CDS, dans cette lutte permanente contre toute innovation. Bienvenue hier, rejetée arbitrairement et autoritairement aujourd'hui. La baisse des volumes de CDS, sous contrainte réglementaire, aurait un impact immédiat sur le coût de la dette des pays en difficulté. Les gros investisseurs s'en éloigneraient irrémédiablement, sauf innovation financière de substitution. C'est peut-être ce qui peut arriver de mieux. Par temps de paix, le marché finit toujours par l'emporter.

http://aurel.hautetfort.com/archive/2010/03/10/a88cfb77e419424aa95d244ce01a829c.html#more

imthere imthere
MP
Niveau 10
13 mars 2010 à 11:47:16

el mago tu proposes quoi d'autre? :hap:
C'est le seul moyen, actuellement, de pouvoir poster ce genre d'articles, et donc pour les autres, de les lire.
Et LordActon a commenté, donc certains peuvent bel et bien commenter.
C'est le topic "lien video" sauf avec des liens d'articles de blogs.

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