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Sujet : La princesse au sommet

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Snoopy_snoopy Snoopy_snoopy
MP
Niveau 8
16 juin 2010 à 14:47:58

Sinon, pour en revenir à l'histoire, pour moi, Carnavale en se servant de topos du genre romantique de l'époque, transpose la façon d'être de notre temps pour dans une sorte d'anachronisme produire un conte à finalité nouvelle. Pour moi ça exprime la dualité, le paradoxe, entre le romantisme ( exprimé par le langage ) et l'importance du culte du corps ( prince bigleux ), et au travers d'un conte romantique, Carnavale donne raison aux corps et au sensible. Le texte en devient lui même un paradoxe puisqu'on a un topos du genre romantique ( la belle dans sa tour ) qui sert à exprimer les maux romantiques de notre temps et leur dualité avec le culte de la beauté. Mais le texte n'est pas un moyen de véhiculer un message, il est une fin en soit, il est lui même l'expression de cette dualité au travers du paradoxe choisi entre le genre ( topos du conte romantique ) et du message choisi. La boucle est bouclée.

Snoopy_snoopy Snoopy_snoopy
MP
Niveau 8
16 juin 2010 à 14:49:12

Je m'exprime comme un pied mais le sens y est... J'ai fait nuit blanche...

Elfen4 Elfen4
MP
Niveau 4
16 juin 2010 à 15:09:28

"La philosophie n'est pas la science des concepts"

La problématisation est le moment où, formellement, elle le devient. Je te renvois ici https://www.jeuxvideo.com/forums/3-68-93350-1-0-1-0-0.htm#form_post pour que nous changions la règle qui veut qu'un défaut de problématique entraîne un lock. Moi, je vote blanc.

"On invente pas un concept de nul-part, on évalue des manifestation de ce dit concept, or évaluer c'est créer, les trésors ne le sont pas, ils sont évaluer en tant que trésor,"

Là encore, susciter la maïeutique avec de la littérature ou un dessin est hors-norme. https://www.jeuxvideo.com/forums/3-68-93350-1-0-1-0-0.htm#form_post . La norme, c'est d'expliciter la sensation pour éviter de tomber dans un élitisme subconscient faisant tri dans la somme de lecteurs.

Ce qui n'est pas explicitation intelligible, autrement dit pratique de la discursivité, ne concerne que nous. C'est une étape première, qui nous regarde. Si, ensuite, la conceptualisation est dénigrée au profit d'autre chose, nous tombons dans l'élitisme égotique où celui qui n'a point vécu ce que j'ai vécu amoindrit ses chances de comprendre ce que j'exprime. Non seulement normativement mais sémantiquement, les seuls facteurs de restrictions, en philosophie, sont dans l'intellect, les capacités à lire, écouter, comprendre ; ainsi, seul un peu de volonté suffit et la restriction dans le lectorat est comparativement lilluputienne.

A la politique du forum de voir si facteurs de philosophie sont admis quand bien même ils ne sont même pas juxtaposé à un moment de philosophie propre. A ce que je sache, nous procédons, ici, comme dans les forums spécialisés.

"désolé pour les fautes :ange: "

A ce niveau, c'est de la dysorthographie.

Elfen4 Elfen4
MP
Niveau 4
16 juin 2010 à 15:17:52

Syndro : "C'est pas l'âge qui définit le mérite d'être vouvoyé."

C'est mwa qui fonctionne comme ça, c'tout. :fou:

Snoopy : "Mais le texte n'est pas un moyen de véhiculer un message, il est une fin en soit,"

Si la fin est d'exprimer une dualité pour le plaisir de le faire, c'est une fin artistique, non ? Où le questionnement est-il suscité ? Il faut rebondir sur l'atemporalité du conte et problématiser en domaine éthique. Depuis quand, en philosophie, le texte est-il une fin en soi ?

Elfen4 Elfen4
MP
Niveau 4
16 juin 2010 à 15:20:05

Snoopy, si tu savais à quel point ils sont formatés, sur France Culture...

Snoopy_snoopy Snoopy_snoopy
MP
Niveau 8
16 juin 2010 à 16:37:48

"pauvre âmes formatés"

Je reconnais que ma grandiloquence, mode je me la raconte " envolée lyrique style ", au milieu de mon champs de fautes d'orthographe et de ma syntaxe bancale, c'est assez craignos et je m'en excuse :)
SyndroMantic : il est vrai qu'il faut distinguer ce qu'il y a de philosophique dans un texte de ce qui est une simple référence à une doctrine philosophique. Maintenant, d'un point de vue empirique, ce que tu appelles le coté " dramatique " peut être une source d'enrichissement du savoir pour n'importe en qui et, en ce sens, peut être dit philosophique.

Elfen : "Ce qui n'est pas explicitation intelligible, autrement dit pratique de la discursivité, ne concerne que nous. C'est une étape première, qui nous regarde. Si, ensuite, la conceptualisation est dénigrée au profit d'autre chose, nous tombons dans l'élitisme égotique où celui qui n'a point vécu ce que j'ai vécu amoindrit ses chances de comprendre ce que j'exprime. "

Au contraire, je trouve que c'est toi qui élitiste et paradoxale en plus. Élitiste d'une part parce que pour toi il existe une sorte de vérité universelle venue d'on ne sait ou, qui ne serait accessible que par le rationalisme dogmatique... c'est de la métaphysique ça. Oui, la logique et le seul moyen de faire progresser des équations métaphysique... ok et alors ?
Un exemple, prenons le concept d'amour pour rester dans le thème choisi par Carnavale. Comment décrire l'amour dans le cadre d'un paradigme rationaliste, par le logos et ça donne :

"L’amour désigne un sentiment d'affection et d'attachement envers un être ou une chose, qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité, pouvant être physique, spirituelle ou même imaginaire, avec l'objet de cet amour, et à adopter un comportement particulier (plus ou moins rationnel) en conséquence. "

Putain, je suis bien avancé. J'ai une définition conceptuelle du truc, ça m'a vachement enrichi... La philosophie c'est quoi ? Personnellement je croyais que c'était " l'amour de la sagesse ", pour moi c'est chercher à relativiser ma vision du réel sous l'influence de tout ce qui sera susceptible de le faire. Alors maintenant, franchement, est ce que je suis plus susceptible de me faire une idée de l'amour en lisant Roméo et Juliette, en regardant Titanic ou en écoutant du U2 ( ou autre chose qui ne pue pas l'eau de rose comme les exemples cités précédemment, ça n'engage que moi ) ou en lisant l'intelligible définition de wikipédia ? Il n'y a pas de vérité intelligible en ce qui concerne l'amour il n'y a qu'une multiplicité d'empirismes et plus j'en ferai l'expérience plus je serais " sage "...

"Si, ensuite, la conceptualisation est dénigrée au profit d'autre chose, nous tombons dans l'élitisme égotique où celui qui n'a point vécu ce que j'ai vécu amoindrit ses chances de comprendre ce que j'exprime."

C'est claire que pour s'enrichir en regardant Titanic faut avoir baigné pendant une demi-heure dans une eau à 2 degrés...

" les seuls facteurs de restrictions, en philosophie, sont dans l'intellect, les capacités à lire, écouter, comprendre ; ainsi, seul un peu de volonté suffit et la restriction dans le lectorat est comparativement lilluputienne. "

Oui, c'est vrai puisque tu parles de métaphysique, et c'est pour ça que je dis que t'es paradoxal, parce qu'en disant c'est toi qui est élitiste en réservant la philo à un groupe d'intellectuels qui raisonnent dans l'abstrait et qui construise des concepts de plus en plus complexes logiquement vrai en s'éloignant de plus en plus de la réalité des choses pour affirmer des trucs du genre " le mal est une nécessité morale à l'existence du monde le plus parfait possible voulu par Dieu " pour paraphraser Leibniz dans un exemple ou la métaphysique est admise par son auteur comme prédicat.

" Si la fin est d'exprimer une dualité pour le plaisir de le faire, c'est une fin artistique, non ? Où le questionnement est-il suscité ? Il faut rebondir sur l'atemporalité du conte et problématiser en domaine éthique. Depuis quand, en philosophie, le texte est-il une fin en soi ? " Dire que le texte est une finalité en soi ne veut pas dire interdire toute réflexion qui pourrait partir de cette dite fin. Si le texte n'était q'un moyen de véhiculer un message, autant comme tu dis expliciter le message clairement, toutefois si le texte, en tant empirisme philosophique est une fin en soi alors il m'enrichi et me permet de débuter de nouvelle réflexion sur la base de cet empirisme tout en ajoutant un coté ludique à cette approche et j'ai l'impression que c'est ce que vous dénigrez tant.

Elfen4 Elfen4
MP
Niveau 4
16 juin 2010 à 18:21:30

Il faut que l'on m'explique comment passer de l'idée de conceptualisation (activité de traduire en expressions abstraites) à l'idée d'élitisme leibnocentriste.

Diffamation assumée, énorme fatigue, ébriété, stupidité, ... ?

Snoopy_snoopy Snoopy_snoopy
MP
Niveau 8
16 juin 2010 à 19:12:49

je dis que ce que t appelles conceptualiser c est de la metaphysique. si tu peux pas comprendre ca c est toi le con...

Snoopy_snoopy Snoopy_snoopy
MP
Niveau 8
16 juin 2010 à 20:57:27

Et pis bon, je vais me coucher, évitons juste que ça tourne à l'affrontement non productif...

wellan46 wellan46
MP
Niveau 10
16 juin 2010 à 21:43:10

je sais que je ne peux pas rivaliser avec vous sur la philosophie mais je me lance quand même
vouz etes en trein de vous disputer sur un texte en essayant de determiner si il est philosophique ou non mais la philosophie est sensé etre objective mais vous débatez sur un sujet en ayant chaqu'un un avis qui diverge or dans un texte philosophique tout le monde devrait comprandre de quel sujet il traite.
moi personnellement je ne trouve pas que c'est un texte philosophique et que ce texte ressamble plutôt à une fable.

Snoopy_snoopy Snoopy_snoopy
MP
Niveau 8
16 juin 2010 à 22:04:32

Une dernière tentative de clarification, je dis que l'artiste et le philosophe sont similaires, ils partent du réel, de l'être, l'évaluent et donc créent de la valeur, ce choix arbitraire est subjectif, c'est l'intentionnalité qui précède le raisonnement ( elle repose sur un jugement de gout ), la création de valeur diffère, c'est le point qui peut être pose problème, l'artiste au sens ou vous l'entendez le fait par le beau, ce qui n'a aucun intérêt philosophique, le philosophe, lui, le fait par le logos. C'est peut être ce problème de définition qui posait problème non ?
Or, dans mon esprit, or je n'envisageais pas le terme d'artiste comme relatif à une personne donnant de la valeur aux choses par le beau. J'employais le mot artiste dans le sens de créateur conscient de sa subjectivité intentionnelle. C'est pourquoi, je disais que quelqu'un qui prétend ne raisonner que purement logiquement est soit un mathématicien soit un métaphysicien, j'ai cité Leibniz pas pour m'en prendre à Elfen, mais tout simplement parce que c'est un auteur qui revendique le terme de métaphysique ( je voulais illustrer mon propos sur Lewis Carol (et pas caricaturer l'autre parano ).
Sur cette ultime preuve de bonne volonté...

Carnavale Carnavale
MP
Niveau 10
17 juin 2010 à 00:09:27

Je suis vraiment étonné et en même temps très heureux d'avoir donné lieu en mon absence à un débat aussi passionné et aussi renseigné. Mon intention, et je remercie Blina et Snoop d'avoir pris ma défense, n'était pas du tout de faire preuve de prétention mais d'exprimer par le biais de la fable un certain nombre de jugements et d'observations sur la nature du sentiment amoureux qui unit deux personnes conscientes de s'aimer et pourtant toujours invariablement à distance. Le côté "voilà ma crotte, débrouillez-vous avec", l'absence de commentaires, peut avoir paru hautain et je m'en excuse mais ce n'était qu'une façon comme une autre pour poser une vision de l'amour.

Le débat sur les supports de la réflexion, à mon avis, ne peut pas avancer si tu continues, Elfen, à caricaturer le cartésianisme dogmatique. La philosophie, comme l'a en gros dit Snoop (dis-moi si je schématise trop), n'est pas qu'affaire de raison, d'axiomes, de postulats, de rhétorique mécanique, de jeux de logique (je me demande même si ce n'est pas la conception béta de la matière, celle qui fait qu'on se rit des philosophes) mais aussi, et peut-être avant, tout de vécu et de senti raisonné. La philosophie a ceci de commun avec l'art qu'elle cherche à trouver les mots pour le dire. Un philosophe n'est pas un inventeur, mais un explorateur du sens, un déchiffreur, et par-là même aussi un créateur.

Le conte de la princesse aura moins eu le mérite d'activer le débat sur les moyens de la réflexion et du débat philosophiques, à défaut d'alimenter un débat sur une certaine représentation contemporaine de l'amour.

Pour le reste, je souscris à tout ce qu'a impeccablement défendu Snoop.

Sofea Sofea
MP
Niveau 66
19 juin 2010 à 00:18:30

Et parce que le texte n'apporte rien sans explication à côté, que le débat qu'il y a eu sera perdu puisque le sujet ne l'appelle en rien, etc. ce sujet se terminera ici, et si vous voulez continuer la discussion (je vous y invite cordialement d'ailleurs) alors créez un sujet approprié.

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