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Sujet : Lorsque les mots imposent les concepts

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Conscius Conscius
MP
Niveau 4
15 juillet 2008 à 19:51:38

Non. Il n'a rien de mièvre, et il est écrit dans des règles assez rigoureuses.

Pseudo supprimé
Niveau 10
15 juillet 2008 à 19:57:47

Et bien tant qu'à faire, poste le.

Kanbei70 Kanbei70
MP
Niveau 10
15 juillet 2008 à 20:18:26

Je ne peux pas. On ne poste pas ce genre de textes sur internet...

Pseudo supprimé
Niveau 10
15 juillet 2008 à 20:21:33

J'y crois pas. :noel:

Davaroi Davaroi
MP
Niveau 9
15 juillet 2008 à 21:53:36

"Ouais ouais on dit tous ça."
Je ne dis pas ça lorsque je crée un poème en octosyllabe avec des rimes à deux sons, des allitérations, des hémistiches et quelques parallélismes. Petit insolent. :)

Pseudo supprimé
Niveau 10
15 juillet 2008 à 22:13:01

Encore faut-il qu'ils soient bons. :sarcastic:

Davaroi Davaroi
MP
Niveau 9
15 juillet 2008 à 22:56:57

Ah, et aussi avec des formulations qui respectent la sonorité de notre language (sauf si le but est de travailler un style qui vise à la dissonance).

Mais si un poème qui est "bon" obeït à une belle inspiration qui nécessite une expression de ses sentiments personnels ("bons" au niveau du fond), ne t'imagines pas que l'on va les poster. :-p

Pseudo supprimé
Niveau 10
15 juillet 2008 à 23:03:09

:rire:

Quitte à être présomptueux, autant l'assumer. Et il est vrai que pour moi un poème beau ne se résume à accumuler les figures de styles, ceci dit si chacun sa propre définition(pour revenir au sujet du topic, quelle transition !).

Davaroi Davaroi
MP
Niveau 9
28 juillet 2008 à 16:10:34

La lecture de ces topics
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-68-115687-2-0-1-0-ma-theorie-sur-les-genies.htm
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-68-115781-4-0-1-0-pourquoi-le-mal-et-t-il-mal.htm
m'a donné une envie irrésistible de poster un commentaire ici.

De quelle manière apprend-t-on une langue, la signification des mots? Généralement tout simplement avec des exemples.
Pour utiliser les deux topics cités comme exemple, on apprend, dès tout petit :
-Ça, c'est bien et ça, c'est pas bien.
-Lui, c'est un génie et lui, c'est pas un génie.
Des mots dont nos premières utilisations puisent dans nos sentiments, nos impressions.

Une fois tous les exemples enregistrés, il faut créer une définition qui leur corresponde. Mais voilà, comme chacun a ses exemples, chacun a une définition propre.
Et quand on cherche à regrouper les définitions, c'est encore pire. Les mots finissent par ne plus représenter de concepts cohérents et perdent toute signification.

Or, la pensée et la communication sont structurés par les mots. :malade: Comment communiquer lorsque personne ne parle la même langue? Lorsque certains postent des sujets, on ne sais même pas de quel concept on parle.

"génie", "bien", "mal"... tous ces mots n'ont aucun sens. Il faut raisonner à partir des multiples concepts qui les composent, pas des mots eux-mêmes.

Curdt Curdt
MP
Niveau 9
28 juillet 2008 à 16:14:39

Socrate n'a pas bu la ciguë pour rien!

auto-derisoire auto-derisoire
MP
Niveau 5
05 août 2008 à 17:18:58

Bonheur plaisir et joie sont trois mots différents.
Plaisir c'est physique, bonheur c'est intellectuel, et joie émotionnel.
Si on devait regrouper ces trois mots en un, je pense qu'il faudrait les regrouper dans le mot "plaisir", parce que le bonheur et la joie sont tous les deux une forme de plaisir. Par contre le plaisir n'est ni une forme de joie ni une forme de bonheur.
On peut dire plaisir dans le sens bonheur ou dans le sens joie, mais l'inverse n'est pas vrai.

D'ailleurs l'opposé de souffrance c'est plaisir, et l'opposé de bonheur c'est pas souffrance mais malheur.
Quant à l'opposé de joie c'est déception.

Trois mots différents, mais si on veut faire simple, alors c'est plaisir/souffrance qu'il faut utiliser, parce que c'est, dans le sens le plus basique, une sensation physique, et en philosophie, si on veut cerner le tout, il faut être matérialiste.

Davaroi Davaroi
MP
Niveau 9
08 août 2008 à 15:54:58

"D'ailleurs l'opposé de souffrance c'est plaisir, et l'opposé de bonheur c'est pas souffrance mais malheur.
Quant à l'opposé de joie c'est déception."
Merci pour ces précisions. Au milieu des dizaines de définitions de ces mots, celle-ci me semble la plus courante.

"Si on devait regrouper ces trois mots en un, je pense qu'il faudrait les regrouper dans le mot "plaisir", parce que le bonheur et la joie sont tous les deux une forme de plaisir."
Il me semble que c'est la deuxième définition de "bonheur" qui rentre dans ce cadre. Lorsque l'on ne fait aucune distinction entre ces mots, on emploie le passe-partout "bonheur".

auto-derisoire auto-derisoire
MP
Niveau 5
08 août 2008 à 18:46:05

C'est vrai que bonheur est plus adapté idéalement, en tous cas pour la majorité des gens c'est bonheur qui englobe plaisir et joie, par contre si on recherche une vérité objective, on se rend compte que bonheur et joie sont faits à la base de plaisir.

Sans ce topic j'aurais pas pu réaliser une chose:

1)
Douleur / Plaisir
Souffrance / Bonheur
Malheur / ---

ou

2)
Douleur / ---
Souffrance / Plaisir
Malheur / Bonheur

?

Telle est la question...

Pasfou Pasfou
MP
Niveau 10
12 août 2008 à 00:06:36

"Mais où est donc le terme qui compose l'essence commune de ces trois concepts, celui qui s'oppose à la souffrance?"

:d) A mon avis, l'erreur est d'opposer souffrance à bonheur/plaisir/joie. :)

En effet, l'opposé de la souffrance, c'est l'absence de souffrance.

Or, d'une part, il peut y avoir absence de souffrance sans bonheur/joie/plaisir.

ex. : l'indifférence ; la léthargie ou autre anesthésie ; la mort...

D'autre part, il peut y avoir en même temps souffrance et bonheur/plaisir/joie.

ex.: Donner naissance à un enfant ; se surpasser ; le sado-masochisme.

Pasfou Pasfou
MP
Niveau 10
12 août 2008 à 17:04:43

Bien sûr, si l'on tire les conséquences de cette remarque, toute la théorie de l'essence commune développée par Davaroi tombe d'elle-même.

-> "Mais où est donc le terme qui compose l'essence commune de ces trois concepts, celui qui s'oppose à la souffrance? Pour m'exprimer, je vais devoir inventer un nouveau terme.
BPJ : « Essence commune des concepts du bonheur, du plaisir et de la joie. Concept strictement opposé à celui de la souffrance. »"

Et l'on s'aperçoit que, par un raccourci de l'esprit, toute la démonstration reposait sur le postulat que le BPJ s'oppose à la souffrance...

Postulat de Davaroi : Soit un ensemble E, dans lequel s'insère nécessairement X, Y, et Z.
Question de Davaroi : Comment se fait-il que X, Y, et Z fassent abstraction de l'ensemble E ?
Réponse de Davaroi : Car les mots ne sont pas pertinents. Il faut donc créér un nouveau mot : le BPJ.

Problème : La pertinence du postulat n'est pas discutée.

Conséquence : Le BPJ est un mot totalement distinct des 3 composantes qu'il est censé représenter. La pertinence des outils initiaux (des mots initiaux) n'est pas remise en cause par l'exemple.

Illustration donnée par cet exemple : Le mot se contente de véhiculer un concept. Si l'on veut créer un autre concept, il suffit de créer un nouveau mot (comme le fait Davaroi avec son BPJ).
Le mot n'impose pas le concept ; c'est le concept qui impose le mot.

Keldorn1 Keldorn1
MP
Niveau 10
16 août 2008 à 20:34:48

Le concept n'ek-siste pas, mais il in-siste. Il appartient à un monde des êtres de pensée, en entendant par pensée quelque chose qui peut se matérialiser aussi bien dans une boîte cranienne que dans une théorie mathématique, ou dans "la nature du monde, en soi".

Prenons pour exemple le terme très commun du "chat".

Il me semble évident que le mot "chat" en lui même est purement arbitraire, je pourrais l'appeler "tachrt", "mzhr", "ledgrad", "kssl", "Kanbei", "pjp" si l'envie me prend ; a une plus grande importance le référent sensible auquel il renvoie et qui lui n'est pas arbitraire. Il faut nécessairement pour pouvoir identifier un concept dans une représentation sensible qu'il se trouve dans la représentation sensible des règles qui renvoient au concept et nous permettent de dire "je vois un chat".

Les concepts s'imbriquent les uns dans les autres, se complètent, se restreignent mutuellement. Lorsque je vois une donnée sensible assimilable à un chat je peux dire que je vois "une chose " , "un animal", "un chat", " un félin", "un vertébrés", "un gnathostome", "un carnivore", et caetera. Tout dépend du point sur lequel JE souhaite insister dans la proposition.

Examinons de près ce qui nous permet de mettre en évidence le référent empirique du concept de "chat" :
. . . . . . - nous côtoyons des chats dans notre existence, ce qui revient à dire que nos sens nous offrent des faisceaux d'impression que nous qualifions de "chat".
. . . . . . - ces faisceaux d'impression ont une permanence à l'échelle de la vie humaine. Ils sont stables ou métastables.
De cela nous déduisons (1) que le concept "chat" a un référent empirique, (2) ce que signifie de dire cela : à savoir, qu'il est possible de COMPRESSER toute l'information qui est, pour nous, relative au chat, pour dire : de ce faisceau de sensations je déduis qu'elle correspond à une chose en soi qui est le chat.

Cependant, la nature ne connaît pas de chat, il n'y a pas de "molécules de chat", il y a, là où il y a un chat, un continuum de cellules et de molécules, et ce n'est qu'arbitrairement que je décide qu'une cellule d'épiderme morte qui s'envole de la peau soyeuse du chat fait encore partie du chat ou bien n'en fait déjà plus partie.
"Du point de vue de la nature", il n'y a ni chat, ni non-chat. Certes, la nature n'a pas de "point de vue". Ce que je veux dire par là, c'est que, si l'on parle de chat, c'est parce que nous sommes des êtres humains, intéressés à découper le monde en végétaux, animaux et minéraux, et parmi les animaux, en chats et autres espèces.

Il serait envisageable qu'un être de pensée qui serait "tout ce qu'on peut déduire du monde" contienne l'équivalent du concept de chat de manière purement objective et en-dehors de toute référence à un penseur humain. C'est envisageable, mais pourquoi cet être de pensée, qui jouerait en fait le même rôle qu'un penseur, mais de façon désincarnée (cet être de pensée pourrait être "l'algorithme minimal décrivant l'univers"), pourquoi cet être de pensée, dis-je, déterminerait-il les chats plutôt que les chats noirs, ou bien les chartreux, ou bien l'ensemble (chats UNION tigres UNION machine à laver) ? Parce que "chat" est plus fondamental, plus économique que (chats UNION tigres UNION machine à laver) ? Oui, sans doute, mais "eau chaude" et "eau froide", qui sont des catégories distinctes de la langue chinoise sont tout aussi basique que "eau" tout court, catégorie du français.

Dire que le monde ne connaît pas la prédication au niveau ultime veut dire que la nature ultime de l'univers est indistincte, et que tout ce qui est de l'ordre de la prédication est une élaboration consciente sur ce qu'est l'univers. On emploie des prédicats pour penser, mais si la pensée peut se réduire en éléments premiers, il est légitime de penser qu'il existe un degré infraconscient en-deçà du prédicat. La question est : "quel est-il ?".

Pasfou Pasfou
MP
Niveau 10
16 août 2008 à 21:07:45

La nature ne conceptualise pas les différences (rien que de parler de "la nature", c'est d'ailleurs la personnifier abusivement), mais il n'en demeure pas moins que les différences existent.

Dès lors, autant je souscris au début de l'analyse, autant le "la nature ultime de l'univers est indistincte" me paraît inexact (elle est sans doute indistinguée à l'heure actuelle ; de là à dire qu'elle est indistinguable, car indistincte...).

Les limites d'un concept ont une part d'arbitraire, mais en quoi est-ce gênant ?
On peut concevoir de tout pouvoir exprimer en mettant tous ces concepts bout à bout (dès lors que les limites aribtraires collent entre elles et ne laissent pas de vide).

Cet assemblage ne s'approcherait-il pas de la nature ultime de l'univers ? (vu que tout serait traduit en mots)

Davaroi Davaroi
MP
Niveau 9
17 août 2008 à 00:27:35

"En effet, l'opposé de la souffrance, c'est l'absence de souffrance."
En fait, le terme "opposé" a plusieurs significations. Je parlais d'opposition dans le sens de la chaleur opposée au froid. Ce n'était qu'une présentation vague pour exprimer cette pensée. Je n'ai pas trouvé de terme plus approprié.

"chats UNION tigres UNION machine à laver"
C'est ça. Ce que je voulais dire pour la joie, le bonheur et le plaisir, c'est que ce sont des ensembles qui incluent l'essence commune BPJ.

Joie INTERSECTION plaisir INTERSECTION bonheur = BPJ
Or, le langage néglige les intersections, les composants.

Pasfou Pasfou
MP
Niveau 10
17 août 2008 à 00:41:33

Le MDP (malheur/déplaisir/peine), opposé au BPJ (bonheur/plaisir/joie). :-)

Pasfou Pasfou
MP
Niveau 10
17 août 2008 à 00:44:27

Joie INTERSECTION plaisir INTERSECTION bonheur = bien-être

Les mots existent. :content:

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