Sur mon CV
Pangloss (jaime bien ton pseudo ) quoi sur ton CV ?
ApoIIinaire -> Merci de m'avoir fait remarqué ces quelques erreurs d'inattention.Ça m'apprendra d'écrire tard dans la nuit. Alors, voici la deuxième version de mon poème!
Mes siens
Voyez-moi, cette bande de crétins!
Ils ne cessent qu’engendrer mon dédain.
Simple désir d’écraser son prochain.
Sentiment qui les mène qu’au déclin.
Autant efforts déployés, mais en vain.
Foutue ambition, n’en restera rien.
Vous ne voyez pas, comme c’est malsain?
Salopard, bande de vicieux, de chien!
Ne soudoyant que pour leur part de pain,
Sans vous souciez de son pauvre destin.
Terre, qui nous nourrie tous de son sein.
Mais qu’est-ce que nous réserve demain?
Je peux partager des freestyles de rap ?
À lire sur cette instru :
http://www.youtube.com/watch?v=eN9VngVXpD4
Pompier spécialiste dans l'extinction des passions, puisant mes larmes d'une borgne haine.
Puisqu'enfant, ma maternité m'a, repoussé, à enfreindre les lois divines.
"Maman, je voulais du lait avec un "t"",
Je suis désolé de ma communication lacunaire mais comprenant explicitement que tu l'avais compris avec un "d",
lorsque mes yeux tu bandai, pour que je ne puisse matter, puis munie d'un bic cassé, fit de moi un Picasso.
J'ai beaucoup pleuré lorsque mon corps est décédé,
Tant de tubes anti-acné gaspillé pour une dépouille désistée.
À l'autopsie, les docteurs ont confirmé la cause :
Depuis longtemps, je n'avais plus la foi.
Probablement consumée par le thc, le coeur haché comme ma trachée, bref bien défoncé.
Enfin, maintenant six pieds sous terre, j'ai tout le temps pour philosopher,
Sur la vie, avec mes amis les vers de terre!
Constatant qu'on voit le fond de ma tête à présent,
J'en conclue que le droit des hommes s'efface devant, le droit des asticots.
R.E.P., je reste en peine.
J'aimerais bien voir ce que ça donne lorsque tu "rap" toi même ce texte. Sinon, je ne suis pas un expert en rap, même que j'aime pas trop, mais je trouve ça bien.
Simple effet de style, c'est pour faire classe.
Pleins de poêtes connus en ont usé, personne comprend mais ça marche
No idea.
Tu as peut-être trouvé sans le vouloir une signification. Un indice: ton dernier message, Tanneron.
Sinon, en assimilant l'âme à un flot pur de pensée... ou le flot pur de la vie (qui recoupe le lien eau-vite ou tout simplement le sang).
C'est suggestif, possible que l'auteur n'avait pas lui même une idée fixe de l'interprétation à adopter. C'est aussi ce qui est intéressant en poésie, je trouve.
Paradoxe
Papy neant peint
Chambre en blanc
Allez, pour mon unique fan lestat, je soupire un peu aujourd'hui...
Soupir vaguement amoureux
Je l'ai vu près de la rivière,
Aux cils battants.
Elle était fière, fière, fière ;
Elle battait des paupières,
Comme je fais quand je mens.
Elle prenait peu de place,
Elle avait les jambes en dedans.
Sur les yeux grands
Les cils battants, battants, battants,
Et moi l'espace
Du dedans doucement se froisse
Sous cils battants.
Je suis apeuré, et puis fier,
Je bas un peu des paupières ;
Je deviens bête, bête, bête,
Je baisse lentement la tête
Et je mens.
je remet ici un de mes poèmes je l'avait posté sur le 25/35
Des cascades enchantées s'écoulent de petits êtres
Malicieux et rieurs ils laissent éclater leur vie
Parmi les ruisseaux d'or bordés par des hêtres
Dans les montagnes sacrées où ils ont fait leur lit
Ils vivent à l'abri de nos regards curieux
Protégés par nos yeux qui sont restés ouverts
sur un ton malheureux dépourvu de lumière
pressé par aujourd'hui rattrapé par hier
ils chantonnent en silence des vers inconnu
et leur langue muette nous parvient jusqu'à l'esprit
nous tendant des souvenirs du temps révolu
avant de passer de la couleur au gris
joliment appretés de couleurs flamboyantes
pourtant si discrets sur leur timide existence
jamais ne trahiront le secret des atlantes
que ceux qui n'ont de nom, de réelle consistance
apprenez à voir les ombres qui évoluent
sous un parterre inconnu recouvert de rêves
ou de sentiments vains par des années perdues
qui nous ont accaparés de ces vérités brèves
n'hésitez pas a critiqué je sais que tout n'est pas accordés mais bon je l'aime bien comme ca!
Merci beaucoup Jean_Dezert!! (Rooo comment je kiffe la petite dédicace C'est pour être sûre que j'achète ton livre c'est ça, hein..? )
Bon...plus sérieusement j'ai bien aimé mais personnellement j'aurais pas osé les répétitions. J'ai bien vu que c'est un parti pris mais pour moi la c'est nooon ^^ Trop lourd à mon goût. Et puis bon, quelques autres petites choses de moindre importance. Mais dans l'ensemble j'ai apprécié, surtout l'idée générale et son image.
manyetsonoutil3: Pas mal Continue
Je voulais partager un autre texte de rap, à lire sur cette instru :
http://www.youtube.com/watch?v=4COiiDXkgBM
Dédicacé à
Princesse Léa
La femme de ma vie,
Paix à son âme puisqu'elle n'existe qu'en rêveries.
Si elle était là aujourd'hui,
Je l'amènerais dans les plus sublimes galeries,
Taillerais des rubis à son effigie puis,
Viderais mes poches pour masquer sa mocheté.
Si la chance me sourit, nous habiterons,
Ce qui est nommé littéralement château.
Sera immense et à l'abris des inondations,
Bâti au sommet du Kilimandjaro.
Je n'ai jamais aimé les voisins,
Je serais content n'en voir point.
Plus de regards indiscrets sur nos ébats en forêt.
Plus d'oreilles attentives à nos batailles d'escrime.
Parce que,
J'sais qu'un jour elle embrasserait ma joue gauche,
Alors ma joue droite serait jalouse.
Et de fil en aiguille, finirait par percer mon coeur.
Épuisé de persister, à force de crier, les tympans percés, elle
Quitterait mon palais de vaisselle cassée.
Qu'est-ce que tu crois que j'vais faire sans toi ?
Y'a pas de lendemain sans toi.
Sans toi, c'est comme une main sans doigt.
Tu le sais, j'ai toujours été un pied au lit,
Maintenant t'espères qu'on reste ami.
Mais ce n'était pas très amical d'me planter un couteau dans le dos.
Après, c'est vrai, je regrette dt'avoir fait un oeil au bord noir.
Maintenant j'peux plus fermer un oeil quand j'dors.
Ma vie, un trou noir, sans toi le désespoir, j'ose plus r'garder les miroirs.
J'essaie de me souvenir de jours plus heureux.
Les sourires s'effacent dans le brouillard de jours pluvieux.
Ici, le soleil a disparu, alors je disparais.
Je t'écrirai d'Exodus.
De mon télescope, t'observerai en orbite autour de Vénus.
Sur ma nouvelle planète, les femelles sont vertes,
Ce qui ne veut pas dire qu'elles ne sont pas mûres.
En "faite", bien plus ouvertes,
Pour comparer, toi un mur.
T'inquiètes pas pour moi, la vie est super ici.
Je côtois le concrèt à chaque instant, plus de supercheries.
Mes blessures disparaissent tranquillement, j'espère toi aussi.
Jadis, J'ai gravis des montagnes ardentes.
Aujourd'hui, j'prends mon temps, jles redescends.
J'aimerais me dire triste artiste mais au fond plutôt stoïque comme type.
Si j'te dépeint comme une chimère, c'est que j'suis toujours à ta merci.
Et tout ce que je veux te dire au final,
Faut que j'me confesse, qu'on fasse la paix, c'est
Qu'en dépit de parties de fesse et fantasques festins,
Je n'étais que Maladresse, et tu n'étais pas ma Princesse.
Un carré blanc sur fond noir
C'est ça qu'on appelle l'art
Qui peut faire de vous une star
L'originalité, c'est du flanc
essayez donc pour voir
Un carré noir sur fond Blanc
Jean_Dezert, j'adore ce que tu fais
Ce que j'écris ?
Quelques poèmes,
Ayant pour thèmes
Ce que je vis.
Pur alibi.
à quand une nouvelle sarcastique comme la dernière fois ?
Les danses incertaines
Ses yeux pleins de malice m'amuse
Quand ma divine cendrée s'abuse
Son regard absent, larme sucrée
Offerte au Prince illusionné.
Est-il charmant ce conquérant
Aux aillons de poète errant
Dans sa tentative timide
De dérober, bouche avide,
le coeur chancelant de la Belle ?
Cette imprenable citadelle...
La belle danse que voilà
Son regard amoureux sous l'éclat
Falsifié !
Et le mensonge toujours somptueux.
Les lèvres gonflées par le sang impétueux
Donnent à rire le mystère,
le sourire éphémère.
Masque délétère
de son Enfer.
Une mise à mort indifférente
De sa jolie inconstante.
Que peut-il réussir à faire
Avec cette femme trop terre à terre ?
Il se lance doucement
Pour se découvrir totalement.
Séduction lancinante
Émotions fascinantes.
L'Attente interminable,
L'espoir abominable.
L'éternité infernale
L'oubli détestable.
Puis soudain la vérité
Dans ses iris apparaît !
Elle.
Sans détours.
La flamme l'anime
Belle !
Voilà, ça change un peu de d'habitude, c'est un sonnet.
Pâle, et sentant en moi vibrer des accords sombres,
J'écoutais s'élever la mélopée du vent,
Douloureux adagio dans le soir angoissant.
Plainte ardente. Sanglot tumultueux de l'ombre.
Serait-ce le total de tous ces hurlements,
De tous les craquements du navire qui sombre,
Des gémissements sourds s'exhalant des décombres,
De tous les pleurs, de tous les grincements de dents ?
Hélas non ! Je sais trop que ce n'est que le bruit,
Lamentable et lugubre au tomber de la nuit,
Du vent crépusculaire attardé dans les branches.
De la lointaine action rien ne vient jusqu'à nous...
On voudrait s'élancer, se griser de revanches !
Mais on ne peut qu'attendre, et tomber à genoux.