Encore une:
Entends-tu le chant du coeur
Evoqué par une passion
Et le désir de partager ses douleurs
A travers une simple chanson?
Les mots se crient, se chantent et s´oublient,
A travers les désespoirs de la vie
Ils vivent, meurent, nous font avoir peur
Mais touchent à chaque fois notre coeur.
Les mots parlent de regrets
Ou du plaisir de ne pas en avoir
Rappelant le souvenir d´un lointain été
contant la veillée d´un brûlant soleil rare
Il arrive que les mots nous fassent pleurer
Ou puissent nous engager dans des combats
Mais ils ne peuvent être que mal prononcés,
Et jamais usurpés de n´importe quel droit.
Car les mots révéleront notre vrai sens
Et ne seront jamais délaissés d´attention
Et même s´ils sont parfois simples d´innocence
Les mots vivront toujours à travers nos chansons.
celui la aussi été beau, j´ai vraiment beaucoup apprécié...
Lyrics si t´as fait ça à 10 ans vraiment... ça promet!
Lilie jolie poésie mais fait gaffe aux fautes! Le "sms style" dans les poésies...
En voilà une que j´ai faite ce matin en bossant...
Soleil relaxant
Les chauds rayons du soleil entrent par la fenêtre
Ils viennent ainsi réchauffer tout ton être
Tu restes là, à paresser, ressentant les bienfaits satisfaisants
De sa chaleur qui te comble d´un plaisir béatifiant
Tu fermes les yeux et profites de l´instant
C´est tellement bon de demeurer ainsi nonchalamment
L´astre lumineux a délicieusement embrasé ta peau
T´obligeant à te tourner inévitablement sur le dos
Et là, c´est la détente totale! Étirant ton corps de tout son long
Profitant de ce moment divin de saine tranquillité
Tu te relaxes calmement en faisant bien provision
D´une sérénité qui te seras bénéfique pour la suite de ta journée
non j´en avais 12.
A 10 ans je veux bien en poster une mais ça risque d´être nul
moi c´est pas vraiment un poême mais je le poste quand même :
Obsess
I
Change sans cesse, il est à la fois ennemi et amis.
Ce n’est point le plus beau, pourtant sans cesse
Me calme et me nourrit.
- C’est la source !
Et le Graal ; pris d’une terreur panique, il m’attend encore là, ce sale lâche. Je lui jette des pierres , et pourtant
Il revient
Car une main plus douce
Le nourrit de pain .
Il est si fort , si sournois ; qu’il as envahis mon esprit depuis longtemps , et de sous arbres en sous branches , tend , vogue vers l’infini .
II
- Qu’un jour alors les autres rient de lui
que je participe au débat ; je vais te pendre , te noyer ; et moi , un peu par l’occasion .
- Je rie !
Et vous ne savez pas ……
Origine
Bleu, noir et blanc
Par une sombre matinée de janvier
Ils m’ont portés au loin de la ville car je suis l’hôte actuel de ces bois .
Je me suis laissé aller à un badinage qui n’as point duré , pieds nus j’ai du tresser fils et filaments , sons , couleurs de l’outre ciel.
Mais j’étais fier de mon coucher flamboyant ! Epuisé, mourant de soif, j’ai crié ! Ces êtres aux drôles d’accents riaient sous leurs masques.
Je faisais escale forcée et leur en serais bientôt reconnaissant.
J’ai pleuré des jours et des nuits puis j’ai tourné le regard , observé plus loin que les cheminées et les fumées des usines .
Alors j’ai vu !
Cette avalanche d’images, ces cristaux scintillants bleus azurs ou voguent des navires, un feu de lumières étincelantes, tel le kaléidoscope de mon enfance.
Je préfère le second texte parce que j´ai rien compris au premier désolée
moi j´en ai deux à poster que j´ai fait aujourdui pendans les cours tant je m´ennuyai.
La lune malade
Je viens à toi
Mais qui a-t-il ?
Aurais-tu peur de moi ?
Non, mais que se passe t-il ?
Racontes moi tout
Pourquoi es-tu si triste ?
Qu’as-tu ce matin où je suis partout ?
Moi tu vois, je suis pacifiste
Jolie petite amie
Es-tu malade ?
Pour guérir faut chanter une sérénade
Tu m’inquiète, toi ma meilleur amie
Mais voyons, tu es la lune
En ce ciel étoilé
Ta lumière faibli ma petite prune
Ma pauvre amie la lune, ce soir elle est voilée
voici la première...
et la seconde
L’envole de la plume
Sa y est je m’envole
Enfin c’est le grand jour
Mon cœur batifole
Oui pour toujours
Cela fait longtemps
Si tu savais combien de temps
Depuis le jour de ma naissance
J’entends cette essence
Oui c’est l’essence de la vie
Nous vivons tous, pour mourir un jour
Mais moi, je vais errer éternellement sans vie
Sous un soleil de plomb
Ou sous une lune glaciale
Mais jamais je n’aurai de tombe .
Et voici la seconde… alors ?
en voici un que je viens d´écrire!
Pour rire? non, pas du tout! Cela parle d´un homme qui part chercher le bonheur vous saurez où en lisant ma poésie!
O ma maîtresse O ma comtesse
Pour un seul soir, une seule nuit
Emmène-moi entre tes fesses
Au septième ciel de mes envies !
O toi, ma belle putain
A mon tour d’être entre tes cuisses
O toi, ma belle catin
Au grand tarif pour quelques bises
Si misérable que je suis
De n’avoir aucun cœur à t’offrir
Ainsi avant de mourir
Ressentir une dernière fois le plaisir
Et de toi voila que je m’enfuis.
Pardonne-moi pour tout
Mon ange, ma dernière étoile
Pardonne moi d’être obèse
Pardonne moi ces mauvais goûts
Mais ce soir il n’y a que nous
Ce soir, adieu la tristesse,
Ce soir, on baise comme des fous !
Pardonnez-moi si c´est un peu choquant!
ne pensez pas que j´abuse mais je viens d´en faire une pour ma soeur et je voudrais vous la soumette...
Une maman
Je te salut ma sœur en ce jour mémorable
Tu es la première à en être capable
Je me suis souvent demandée
Et-elle heureuse de l’avoir désirée ?
Mais maintenant après sa naissance
J’ai découvert une autre sœur
Je me dis que tu as de la chance
Même si moi, je n’ai pas de patience
Si tu savais comme je t’adore
Tu es une fleur épanoui
Quand je parle, tu es toute ouï
Ton amour pour lui vaut plus que de l’or
Même si moi je ne sais pas,
Vraiment comment y faire avec les enfants
Mais quand je sais que tu es là
Ton fils ressemble, au rêve de mon futur enfant .
Celle la est pour ma sœur…
c´est joli aussi!
Je parie que t´as pas aimé la mienne!
Je sais que ça peut sembler choquant, mais il faut voir le point de vue!
dans ce poème, c´est un gros vicelard, désespéré, peut-être saoul qui parle!
oui ct très bien mai un peu tro oser je doi avouer...
en voilà un plus soft!
(Repris d´un poème de Kipling)
Puisses-tu défendre tes amis
Et pardonner à ceux qui te détestent
Lorsqu’aux tournants de ta vie
Tu seras couvert de tristesse
Puisses-tu rester sage
Lorsque tous s’agiteront
Et demeurer hors des nuages
Lorsque l’on vantera ton nom
Puisses-tu peux conserver ta neutralité
Lorsque ton cœur te trahira
Et réapprendre à aimer
Quand il te l’ordonnera
Puisses-tu avoir le courage
De renoncer aux attraits
Et qu’après le surmenage
Réalisé soit ton souhait
Si tu peux savoir rire
Lorsque la vie te punit
Et finalement tout reconstruire
D’un simple tas de débris
Si tu peux demeurer droit
La où les autres font le mal
Et renoncer à ta foi
Même en te sentant sale
Et si tu peux répandre le bien
Parmi les actes les plus immondes
Tu seras, sache-le bien
Le plus grand roi de ce monde.
c´est chaud ça Lyrics!!
Lilie elle me touche beaucoup celle pour ta soeur
Tient Red ça faisait longtemps que j´avais pas posté ici, un petit poème pour s´amuser avec les mots, il a plein de sens, c´est ça qui est bien.
Le signe de l´oiseau pêcheur
Sous la longue obélisque
Il crie mer et pairs soyez moi
Par vos distantes lectures
Faites de moi un être pur
Ne vous distinguez pas des rois
Vous m´avez permit le risque
Jamais ne tutoyez vos peurs
Cent voies elle ne le donneront
Il ne saurait autre ment vie
Que par vos reproche mot coeur
Aux sens inavoué des flots
Veuillez mer et pairs au baron
Rapporter toutes mes envies
Pour eux je ne suis qu´un leurre
Dans le noir je prendrai mes ô
Tu regardera l´ordre des rimes, tu verras...
Fragments
C’est une rêverie qui vient à point, le souffle coupé mais encore remplis de vigueur
C’est le regard baissé qui a fais tombé mes pas ; le sourire tarde à venir, il ne viendras pas.
Ils sont formels.
Je l’ai su bien avant qu’ils me le disent
- ( Ils sont venus de la lune , rien que pour ça )
Il ne reste pas un fragment de la magie de ce rêve
Tout s’est envolé
Pourtant ; J’ai crus ; et ce n’est pas entièrement faux, longtemps qu’une parcelle , un grain , un atome est venu.
- ( N’est-ce point un délire de mon imagination ?)
Car j’ai goûté l’Enfer et je tarde à revenir !
Je disais donc que je crois , je le sais ; Il imprégnait l’air autrefois , je le sais : je l’ai humé plus d’une fois :
On ne l’oublie pas .
C’est pourquoi j’hésite a entrer dans les dédales de ce labyrinthe
Quelle Jeu ! Point ludique
De nombreux hommes se sont perdus autrefois, Et
Dés l’entrée, de joyeux pendus
Me font un signe avec leurs doigts.
Be
I
C’est l’enfant chéri
Qui tourmente et inquiète
C’est l’homme qui manque de détermination,
tant à l’usage ; Qu’encore , à la théorie .
- Mais il est loin !
C’est l’enfant abhorré
Qui provoque et agite
C’était encore un rêve, car il est là et impose sa présence.
- Il voit !
C’est la femme
La fille
Aimée , Aimante
Qui ouvre ses bras
Mais ce n’est alors qu’une mince illusion, car voyez, elle a déjà retournée ses pas.
II
- Tout est Perdu !
On entend le canon
Ils n’ont pas profané le génie ; ce sont justes d’horribles mensonges.
Atroces mensonges ! Horribles secrets
Que cache ce corps frêle et distordu .
J’ai l’esprit remis à la place .
Je cris et je cours ; car il est nécessaire ,
Je cris et je cours.
III
C’est l’enfant brûlé vif
Il a été très courageux , n’a pas prononcé un cri , je cherche et je trouve milles onguents , pommades cicatrisantes mais il est déjà partis en courant , et
Je ne peux suivre ces pas.
une poesie zarbe mais bon:
votez pour moi je baisserai les impots
votez pour moi vous auriez du le faire plus tot
votez pour moi j´augmenterai vos salaires
votez pour moi ne soyez plus dans la misère
votez pour moi il n´y aura plus de chomage
votez pour moi et mangez du fromage!