Son sourire
Le matin du me fais sourire
Le soir tu me fais rougir
Sous cette couverture
Défendu
Tu me souris en me donnant un lys
Ma vie est remplit d’iris
fleuri
Avec toi comme mari
Telle un télé –film
Qui ne fini jamais
Tu es l’être aimer
Je te quiterrais jamais …
Camille
c mon premier poeme jespere quil vous plaira
Toi mon ange de lumière
sous quels horizons tu erres?
tu fais fantasmer mon imaginaire
de doux moments trop éphémères
Tu as un style plutôt classique
tu es terriblement romantique
ton absence me rend nostalgique
nos retrouvailles seront fantastiques
Et je pense inlassablement à toi
tu mets encore mon coeur en émoi
je grelotte loin de toi j´ai froid
prends-moi dans tes bras une autre fois
Remplit mon âme d´allégresse
je veux être ta féline, ta tigresse
celle qui caresse tes rondes fesses
remplit tes yeux de mille promesses
Ton souvenir persistant me hante
ta compagnie attentive et charmante
au plus haut point m´enchante
nourrit une source très ardente
Doumix > merci d´être passé
je te bisouille aussi mon tireur de serviette
Ian > Poésie plutôt impliquée
Rikuchan > mignon et simple
Rikuchan c´est pas mal pour un début.
Red´ j´adore ! Très ressenti encore une fois.
Bonne journée à tous. ;)
sissi,c´est tjs aussi joli
et rikuchan c´est pas mal aussi
come dirait bourreau : bonne journée
bonne journée à vous deux
Bisous!
Aujourd’hui j’ai pu enfin vous parler
Nous étions presque seuls, et vous m’avez vu
A ma grande surprise, vous m’avez questionné
Ma vue se troubla, je ne voyais plus.
Que vous, vos beaux yeux marrons clair
Ses cheveux noirs soigneusement attachés
J’étais là, immobile, enfoncé en la terre
Ma langue se tordait, je ne pouvais parler
Votre voix, si douce prit possession de moi
Je m’agitais dès lors qu’elle changeait de ton
Je n’étais qu’un pantin entre vos doigts
Un simple petit objet fait de carton
Je tremblais, je pensais approcher la Mort
Mais mon bonheur n’en était que plus fort
Je ne sentais plus mon cœur, il était à vous
Mes lèvres s’agitèrent tout d’un coup
Et je parlai, sans entendre mes dires
Puisque tout mon être était voué à votre admiration
Tellement heureux de recevoir votre attention
Mon cœur transi brûlait de désir
J’aurai peut-être du montrer les flammes
Celles qui depuis longtemps me dévore
Mais je ne vous ai pas ouvert mon âme
Et je crains hélas avoir eu tort
Je n’ai cessé de vous conter fleurette
Une discours creux, triste et convenu
Ainsi, lorsque la conversation fut
J’étais triste de déballer tant de sornettes
Lorsque vous avez fini par partir, triste
Je pleurais l’image que j’avais donnée devant vous
Ah mais pourquoi donc l’amour existe
Si on ne peut l’exprimer qu’à genoux
Pourquoi donc, le jour où nous conversons
Faut-il que je perde comme cela ma raison
J’ai été ridicule, grotesque, et imbécile
Il n’y aura pas de deuxième fois, ce serait trop facile.
J’ai eu le jeu en main, j’ai pris les mauvaises cartes, je ne les ai même pas jouées par dépit, et encore une fois j’ai perdu.
Mais pourquoi a t il donc fallu que ce soit devant vous ?
Ian, moi aussi g bien aimé le concept, je vais peut-être essayer de faire pareil, c amusant.
Pas l´air mal sacrfy
Je te veux je te désire
Veux-tu vraiment me détruire ?
Ton regard me fait chavirer
Ton corps me fait transpirer
J’entre en ébullition
C’en est trop, trop de tension
Il faut que ça explose
Je me libère en ces proses
Je te cris tout mon amour
Pourquoi fais-tu le sourd ?
Bonsoir toutes et tous, pour ce qui suit, je demande toute votre indulgence ...
J’écoute "The Reason" de "Hoobastank" et j´ai changé un tout petit peu les paroles (bon c´est pas parfait parfait pour le rythme, mais ça passe bien chanté en même temps que la chanson d´origine)
Je me réveil dans la nuit
Et je vois ton visage qui me sourit
Mais je me rends compte que ce n’est
Qu’un rêve que je fais tout éveillé
Je te sens si près de moi mais pourtant
Je sais que tu es si loin
Si loin de mes sentiments
De tout ce que je ressens
De tout ce que je voudrais vivre
Avec toi dans tes bras
J’aimerai tant commencer
Un instant avec toi d’éternité
Me retrouver là dans tes bras
Et ne les quitter que pour un instant
Juste l’instant pour nous de contempler
Celui qui a su donner
A l’autre l’amour recherché
Cette tendresse inespérée
Ces moments de complicité
Je les ai près de toi
Je les ai près de toi
Je les ai près de toi
Je les ai près de toi
Je sens le sommeil revenir
Et m’attirer de nouveau vers la nuit
Dans cette obscurité si loin de toi
J’aimerai que mon réveil
M’emporte là dans tes bras
Au creux de tout’ta tendresse
Au plus près de tes doux regards
Au sein de notre amour
Te serrer tout contre moi
Ne jamais laisser s’échapper
Ce moment qui grandit en moi
L’histoire de notre amour.
mardi 17 janvier 2006 02h13
Pascal
ouahhhhhhhhhh c´est tellement beau Gor
pis ça me fais trop penser à quelqu´un que j´aime bien
comment trouver d´autres mots après avoir lu ça...
Scarfy > beaucoup aimé ta poésie
pis je sais pas j´ai l´impression que c´est du vécu... (on les sent toujours mieux celles-là je trouve mais t´es pas obligé de répondre)
sinon...
Que vous, vos beaux yeux marrons clair
Ses cheveux noirs soigneusement attachés
J’étais là, immobile, enfoncé en la terre
Ma langue se tordait, je ne pouvais parler
Second vers > je mettrai plutôt "vos" cheveux noirs...
Un air de vacances...
Sous ce palmier ombragé où dansent des branches sous le vent
je profite de la brise veloutée qui frôle mes cheveux
ne serait-ce pas plutôt un effleurement persistant?
non j´ai sûrement rêvé, quel plaisir bienheureux
Je ferme les yeux et je savoure pleinement
la farniente que je vis présentement
il ne manque à mon bonheur
que ta présence pleine d´ardeur
Et les relents de ce sable chaud
me rappelle tes vibrants trémolos
quand, de mes mains, je caresse
ta peau torride, cette diablesse!
Comment te résister? Comment ne pas succomber?
j´ai trop envie, dans tes bras, de m´abandonner
mon âme chavire, mon esprit tu tortures
mes pensées ne sont pas chastes et pures
Mais je me suis égarée, comme toujours loin de toi
faut vite me rattraper, c´est de bon aloi
j´aimerais bien déguster un savoureux cocktail
ou encore un rafraîchissant verre de ginger ale!
Et ça me ramène à tes yeux si pétillants
ton regard si malicieux et amusant
les doux frémissements que je ne peux oublier
quand de tes mains expertes tu m´as touchée
Impossible de te chasser de mes idées
même les plus beaux spécimens de masculinité
n´arrivent pas à me déconcentrer
de toi mon amour, mon aimé
Gor, c´était très beau... On le chantera ?
Red, toujours égale à toi-même
Bravo a scarfy,bourreau,gor et sissi pour leurs poèmes
Mistie -> Mirci, et on la chantera avec grand plaisir (et on la fera chanter à F&S), mais ça ne nous empêchera pas de chanter ... "comme un ouragan"
Pardon pour ce nouvel exercice de style, Princesse Sissi, et n´en prenez pas ombrage,
Mais votre poème si subtil, si exquis, a déclenché l´envie de me remettre à l´ouvrage
Bouleversé par les sentiments si joliment narrés de cette aventurière sur le rivage,
J´ai pris la liberté de réarranger vos propres termes, leur donnant un autre éclairage.
Sous ce palmier ombragé j´ai déniché une fiole, dans un creux sur la plage couchée,
Quel curieuses volutes ont virevolté autour de mes mèches quand je l´ai débouchée,
Un étrange génie a tournoyé autour de ma personne dans un effleurement persistant,
Me pelotant dans ses enroulements, je persistais à rêver, boudant mon plaisir, hésitant
Les pupilles mi-closes, retardant mon abandon, savourant cette conjonction du destin
Erigeant le farniente en ministère du temps libre, épicurienne invitée à chaque festin,
Légère, un rien m´habille, je me sens si bien en djinn, rien ne manque à mon bonheur
Emanation elfique ou pur esprit, arriverais-je à résister à ta présence pleine d´ardeur ?
Tout mon être ressent la brûlure du sable chaud, mais je n´ai cure de cet effet torride,
Tes mains cajoleuses font vibrer les trémolos, j´ai tellement envie de lâcher la bride,
Tu es un virtuose sachant si bien caresser son archet, que ne suis-je ton stradivarius,
Le diable aurait-il eu ma peau? Je me sens transportée sur la constellation de Sirius.
Te résister? Pour ne pas succomber, faudrait-t-il que je dois de marbre, une déesse ?
Cruel sort que celui des vestales devant résister à l´envie de s´abandonner à la liesse !
Leur âme ne peut chavirer pour un musicien de plage, même si leur esprit tu tortures,
Affrontant le sirocco, gardant leur sang-froid, leurs pensées resteront chastes et pures
Les brebis s´égarent, mais le pasteur sait les regrouper près de soi, retrouver le sérail
Elles prennent leurs libertés, privilège de jeunesse, mais elles reviennent au bercail,
Comme il est doux de se retrouver sous la lune et d´apprécier un savoureux cocktail,
La mosaïque du troupeau se serrant dans la fraîcheur du soir dessinant un joli vitrail.
Génie capable d´exaucer tous les désirs, sans craindre d´affronter mes yeux pétillants,
Ton regard malicieux et amusant me transperce comme si j´étais couverte de brillants,
Des doux frémissements que je devine quand tu fronces les ailes de ta truffe musquée,
De tes mains si expertes lorsque tu m´as effleurée, je ne me suis même pas offusquée!
Impossible de te chasser de mes idées, pourtant y-a-t-il plus évanescent qu´un esprit?
Si je pérore à propos du sexe des anges, je n´ai nul doute à propos de ta masculinité,
Voudrais-tu arriver à me déconcentrer et me faire croire à la faiblesse de ma féminité,
De notre amour j´ai tracé des lettres sur le sable, la prochaine vague effacera cet écrit.
Tiens j´ai deja lu ca qq part
Fort bien roulée votre poésie Ordre
Burns > moi aussi
Que c´est triste d´être seule
j´ai envie de faire la gueule
la mélancolie m´a doucement repris
ton souvenir inlassement me poursuis
Parfois je crains que ce ne soit qu´illusion
tout ce qu´ensemble nous partageons et vivons
puis subrepticement l´espoir me revient
quand je te vois arriver de bon matin
Pardonne-moi de douter parfois de nous
Dans ma vie tu t´amènes et chamboules tout
mais j´apprécie ces imprévisibles remous
je jubile à tes côtés mon tendre chou
Penser à toi ranime ma passion fougueuse
celle qui adroitement me rend amoureuse
je ne rêve que de fondre dans tes bras
te sentir frémir vibrant tout contre moi
Comment entretenir la flamme de nos coeurs?
qui brûle d´un feu ardent à l´intérieur
j´aimerais près de toi m´endormir
et au réveil enfin m´épanouir