District de Yaqshid, Mogadiscio, Région de Benadir
Une dizaine de soldats somalien échangeaient des tirs d'armes légères contre une position islamiste, près de l'usine de pâtes alimentaire, dans le district de Yaqshid. Les loyalistes tentaient une percée à travers les lignes rebelles, mais la résistance ennemie était forte et, il ne pouvaient le savoir, des renforts islamistes étaient en approche. L'un d'eux s'écria en arabe :
"- Putain, putain, putain ! Il faut se replier ! Ils sont trop nombreux en face, mec ! Commandant, mec ! J'en ai compté une trentaine en face, parole ! Dalkeenii hooyo ee soomaliya ! Wa Sommaliyee teysoo !" enchaina t-il en somali, tout en tirant frénétiquement à l'aide de son fusil d'assaut soviétique.
Le commandant, un homme malingre et barbu observait les positions rebelles à l'aide de jumelles.
"- Ils sont une trentaine, oui. On va essayer de se replier jusqu'a nos lignes, en attendant les occidentaux. Nous verrons ce que nous ferons, par la suite."
"- Non, non, commandant. Les ordres ont été très clairs : On reste ici, et on tient la position. Au moins, nous laissons le temps au gouvernement de prendre la meilleure décision." s'écria un soldat coiffé d'un bandana noir et portant de larges lunettes de soleil.
Le commandant acquiesca en reprenant son observation.
Soudain, un flot d'hélicoptères fila au-dessus de leur têtes.
"- Putain, les rebelles !" fit un gamin de 14 ans en pointant le canon de son fusil sur l'un des appareils.
"- Mais non, espèce d'idiot. Les rebelles ne possèdent pas de tels machines de guerre." fit le commandant en baissant l'arme du gamin.
"- Ce sont nos alliés ! Ils arrivent !" s'écria joyeusement un caporal, coiffé d'un calot, le seul d'ailleurs.
Le commandant esquissa un sourire, et il leva son fusil bien haut.
"- C'est un premier pas vers la victoire !"
Déjà, premiers hélicoptères étaient pris pour cible par les rebelles. Les loyalistes se ressaisirent.
"- Feu de couverture !"
Aussitôt, les loyalistes ouvrirent le feu sur les positions rebelles. A l'angle de la rue, un hélicoptère venait de débarquer quelques légionnaires espagnols sur le toit d'un hotel.
L'Opération Moadhin était mal partie, pour les rebelles...
Empire Hindouiste des Indes Orientales
http://ipc.iisc.ernet.in/~H3_2009/reliance.png
Reliance Industries répond présent à l’appel d’offre australienne (MSN).
Secret Défense
http://www.privatejetcharter.com/images/aircrafts/exterior/falcon7x-ext.jpg
Un homme blanc en costume sur-mesure français, bagué d’or et armé d’une petite mallette code grise débarque d’un avion privé, un jet de Dassault, à Marka, en Somalie. La luxure de ses habits le font remarqué, mais il monta bien trop vite dans le SUV noir de Chevrolet, aux vitres tintées, pour qu’on puisse tenter de le dévisager à travers ses solaire. Le véhicule démarre, escorté par un pick-up conduits par quelques garde du corps, tandis qu’à l’intérieur l’homme prend contact avec l’Inde grâce à un téléphone par satellite.
- « Dites au Buffle que je suis arrivé. », se contente-t-il de dire avant de raccrocher.
Mogadiscio, Région de Benadir, République Fédérale de Somalie
Les islamistes sont pris de court. Ils ne s'attendaient pas à une réaction aussi rapide de leurs ennemis. Les bombardements espagnols ont eu pour conséquence d'immobiliser les opérations rebelles dans la capitale. Les renforts islamistes continuent d'affluer à l'extérieur de la ville. Le commandement islamiste attend de regrouper la totalité de ses hommes, dans la ville, avant de lancer un assaut generalisé tous azimut sur les points loyalistes.
Dès le début de l'assaut, les rebelles ont subis de lourdes pertes. Les estimations varient de 100 à 200 morts et encore plus de blessés.
Autour du palais présidentiel, les loyalistes de la coalition Alliance pour la relibération de la Somalie et du Gouvernement Fédéral de Transition sont appuyés par les Légionnaires et les Marines espagnols. Des unités loyalistes font jonction avec les soldats de l'armée espagnole, partout dans la capitale.
Royaume d'Espagne - SECRET
Rapidement, les drones rapportent l'arrivée d'Islamiste depuis l'extérieur de la ville. L'Etat-Major ordonne le "blocus" immédiat de Mogadiscio, une dizaine de F-35B, une dizaine de Harrier, des drones de combat Barracuda et RQ-11 survolent les alentours de la capitale afin de détruit tout véhicule ou groupe tentant de pénétrer dans celle-ci sans l'autorisation de l'armée Espagnole ou du gouvernement Somalien.
Quelques chars Leopard 2E débarquanst sur les plages contournent la ville afin de se placer autour de celle-ci et défendre les positions, un soutient des hélicoptères de combat Tigre est parfois requis. L'aviation fait la plus grande partie du travail pour rendre le blocus complètement étanche.
Au sol, les sections Espagnoles commencent à bien prendre position et connaître le terrain, les combats sont parfois violent, on rapporte déjà quelques morts et blessés mais l'armée continue à combattre avec force et courage contre les Islamistes. Le QG sur le Juan Carlos I coordonne la totalité des actions au sol, sur mer et dans les airs afin d'être le plus efficace et d'avoir le moins de perte possible.
Viet Connecte toi.
Euh, après. J'vais becquetter la. Bon app' !
Moi je vais aussi allé manger et ensuite je dois prendre la route, donc je serais absent une partie de l'après midi. Donc tu fais comme tu veux pour les combats Viet. On verra ça.
Bonne année à tous!
Brésil
http://www.rfi.fr/actufr/articles/076/article_43212.asp
La crise du pétrole, causée par l'irresponsabilité et les intentions belliqueuses russes, touche très peu le Brésil, en effet, 60% des Brésiliens roulant à l'éthanol et le reste quasiment uniquement avec du pétrole brésilien, les actions étrangères sont négligeables...
Le nouveau président Marco Maciel, ancien premier ministre de l'ancien président(avant Lula), élu contre toute attente, qui a nommé pour la première fois depuis le parti unique militaire, un ancien militaire comme premier ministre, le capitaine Furacao. Donc, celui-ci saute sur l'occasion de la crise pour proposer son éthanol à l'exportation, ainsi que du pétrole à moindre mesure, mais bien moins cher que celui russe ou Kazakh, il espère des réponses rapides, le Brésil se dit même prêt à créer et à maintenir les stations services à ethanol.
Par ailleurs, le Brésil cherche un véritable constructeur automobile pour travailler en partenaria. Le Brésil propose l'exclusivité du marché brésilien, mais une vente de voitures fonctionnant uniquement à l'éthanol, pour petit à petit, réserver le pétrole uniquement à l'exportation (2,6 millions de barils/jour) et à l'armée.
República de Chile
Après les mouvements de liesse du Nouvel An réchauffés par l'exaction d'alcool ou les ébats intempestifs sans oublier les miasmes sarcastiques du désespoir des plus pauvres, les esprits sont désormais tourmentés par l'approche inéluctable de la " dernière tentative " d'élections Présidentielles. Après deux essais fort peu fortuits, les yeux sont rivés sur les deux visages de la Nation: Sebastian Pinea du National Renewal et son concurrent, Eduardo Frei Ruiz-Tagle, de la " Christian Democrate Party ". Principaux antipodes, ils masquent les intéressés de moindre ampleur nommés Marco Enrique-Ominami ( un indépendant ) et Jorge Arrate ( représentant du Parti Communiste ).
Le " runaway " se met en marche avec une forte pression médiatique en faveur des deux principaux opposants, véritables hercules enchaînant parallèlement les Douze Travaux afin de remporter la consécration finale: La Présidence, avec sa place au chaud au Palais Présidentiel. Entre affiches placardées sur des cabarets douteux, visages bariolés en spots publicitaires hypocrites ou encore les innombrables invitations aux plateaux télévisés de Santiago, la question n'est autre que le " Qui ", qui sera le fin mot de cette affaire.
Pour l'instant, le taux de participation au vote ( en calculant théoriquement le taux d'abstention ) est évalué aux alentours de 63% à 67% au grand dam des observateurs des Nations Unies. Par ailleurs, il n'en reste pas moins que le petit peuple semble " incommodé " par ses festivités: En effet, on peine à y croire du moment que ces représentants de la Nation sont financés par quelques comptes douteux des 10% de la population percevant largement le double voire le triple des revenus de la classe inférieur. On suit mais sans y croire, même en y mettant du coeur. Du coup, dans les bas quartiers en contre-bas de l'à pic des montagnes entourant le capitale, où les villas luxueuses et jeunesses dorées jouxtent fièrement, on préfère se gausser et faire quelques vanes bien pimentées entre deux lampées de bière, plutôt que d'en prendre réellement conscience.
République Fédérale de Somalie
Les cieux de Mogadiscio sont sous le contrôle des loyalistes et de leurs alliés. Les espagnols et les somaliens n'ont de cesse de harceler et de bombarder les colonnes rebelles, en route vers Mogadiscio. Les islamistes tentent de dégager les carcasses hors des routes, afin de progresser rapidemment vers la ville, sous le feu des avions espagnols.
Les islamistes d'Al-Shabaab déploient des RPG-7 pour tenter d'abattre les appareils, et ouvrent le feu à l'aide de quelques rares ZU-23, montés sur des pick-up et des camions.
Les MiG-23BN Flogger-F éthiopiens arrivent dans l'espace aérien de Mogadiscio et commencent à bombarder les zones rebelles, à leur tour.
Au large de la Somalie, les frégates Floreal, Aconit et Commandant Ducuing lancent une seconde salve de missiles Exocet contre les positions rebelles.
Au même moment, dans la moitié Nord du pays, la milice Ahlu Suna Wal'Jamaa entre en scène. Depuis Cadale et Aadan Yabaal, les miliciens fidèles aux gouvernement loyalistes, attaquent les lignes rebelles dans la région du Shabeellaha Dexhe. Les garnisons islamistes ont été très dégarnis dans la zone. Les "techniques" d'Ahlu Suna Wal'Jamaa foncent à toute vitesse en direction de Jowhar.
De nombreux volontaires étrangers s'embarquent vers la Somalie, pour combattre les loyalistes et triompher au nom d'Allah. Le Hizbul Islam et Al-Shabaab fait appel aux "moudjahids" étrangers. La majorité des combattants viennent du Moyen-Orient et d'Egypte. Ils sont rassemblées dans plusieurs villes tenues par les islamistes, en attendant les ordres.
République du Brésil
Le nouveau Président a annoncé, avec l'appui des sénateurs, s'être décidé sur le plan de relance de la marine, et de l'armée en générale. Marco Maciel a vu américain pour la Marine, en effet la majeure partie des achats seront américains. Le Sao Paulo sera retiré en 2018 et sera remplacé par quatre "classe Wasp", deux "classe Tarawa", un "classe San Antonio" et un "classe Blue Ridge" équipés comme suit:
2 Classe Wasp: Sea Control
20 AV-8B Harrier II
6 SH-60F/HH-60H ASW hélicoptères
1 Classe Wasp: Assaut
42 CH-46 Sea Knight hélicoptères
1 Classe Wasp: Standard
6 AV-8B Harrier II
4 AH-1W SuperCobra hélicoptères d'attaque
12 CH-46 Sea Knight hélicoptères
4 CH-53 Sea Stallion hélicoptères
3 UH-1N Huey hélicoptères
Classe Tarawa: Transport
6 AV-8B Harrier II, 4 AH-1 Super Cobra, , 19 CH-53 Sea Stallion, 4 UH-1N Huey
Classe San Antonio: Transport Rapide
4 V-22 Osprey
Classe Blue Ridge: Standard
1 Sh-60 SeaHawk
Voilà pour la navy, pour l'armée de l'air, Le Brésil a confirmé sa demande à Embraer pour le KC-390 qui aurait pris du retard, au rappel, seront au nombre de 22 et 40 au final, ainsi que deux KC-390 "Tanker" prévu pour 2013, toujours en développement.
Le projet d'un nouvel avion pour l'armée de l'air est fixé, ce sont le F-16 et le F-35 qui remporte le concours, contre toute attente, et par demande du premier ministre, M. Furacao. Le nombre n'est pas encore fixé.
Pour l'instant, l'armée de l'air a reçu 18 des 50 EC-725 prévu ainsi que les 12 Mi-35M prévu, par ailleurs elle attend ses 9 P-3AM Orion et ses 16 nouveau UH-60 prévu en 2009.
L'armée de terre maintenant. Les véhicules en "upgradage" viennent de rejoindre les rangs. D'ici à l'année prochaine elle devrait recevoir ses 16 EC-725 ainsi que les nouveaux IMBEL A2 et les "Gaucho" et d'ici deux ans, le parc automoteurs blindés devrait accueillir ses 2060 nouveau VBTP-MR et ses 200 nouveau 4x4 de reco les Agrale Marrua.
L'armée de terre étudie églament la possibilité d'acquérir +/- 50 batteries S-300 au lieu de batteries Tor M2E.
République Fédérale de Somalie
Un accord a été conclu entre un représentant indien et l'émir des shebab : Moktar Ali Zubeyr.
Cet accord porte sur la vente de systemes AA SA-7 Grail et ZSU-23-4, de fusils d'assaut INSAS et de blindés T-55/72.
Moktar Ali Zubeyr assiste egalemment à une démonstration vidéo de la Gipsy Maruti et du système NAMICA. Il est très impressioné et aussi très interessé. L'émir des shebab assure au représentant étranger, qu'ils se reverront bien assez tôt.
--- République de Corée ---
Base coréenne Proche de Mogadiscio, capitale de la Somalie
8 heures 46 minutes, 27°
Samedi 18 Septembre 2011.
«Tout le monde debout ! Cria un officier.
-Putain, il fait chaud, c’est quand qu’on va avoir se climatiseur, je n’ai pas dormis de la nuit tellement il fait chaud … Demanda un officier dont le nom importe peu.
-Pas avant 3 semaines, à cause que la majorité des navires ou avions arrivent avec des cargaisons de nourriture pour notre propre consommation ou encore des munitions dont on va avoir besoin dans quelques heures par exemples … Répondit Lee Yong-Soon un général Un étoile qui avait déjà fini d’enfiler son uniforme et inconscient parce qu’il vient de dévoiler un élément top secret.
-Pourquoi devrions-nous utiliser les munitions, on sort de la base ? » Les coréens n’étaient en effet jamais sorties de leurs bases depuis qu’ils l’avaient construit et cette future mission devrait être la premier d’une série afin de reconquérir la ville de Mogadiscio dans un premier temps mais ensuite tout le pays ensuite, pour démarrer, l’armée coréenne, devrait intervenir quartier par quartier avec les aides des autres pays, n’est-ce pas ?
« -Ouais mais je vous en ai déjà trop dit… » Lee Yong-Song partit de la salle sans aucun autres mots, il venait de faire une erreur, il avait dit en effet des choses top secret et dont il avait la charge de garder, il avait ainsi échoué dans sa tache.
Lee serra ses points mais pas grave, il alla dans la salle des opérations à quelques mètres du dortoir dont il vient de sortir.
Arrivé dans la salle il fit le salut militaire à tout les personnes déjà présente dans la salle : « Messieurs, l’opération « Part vite et ne reviens pas » va commencer dans quelques heure, le satellite est-il présent au dessus de l’Afrique ?
-Oui en effet, nous avons des images toute les 10 secondes et notre informateurs va nous montrer ou est le chef de cette partie de la ville, là ou l’armée américaine a échoué en 1993, le marché de Bakara, une zone noire ou les milices peuvent s’armer en moins de quelques minutes. Expliqua un officier.
- Bien, l’informateur est-il fiable ? Demanda Lee
-On ne sait pas, à vrai dire c’est le premier que nous utilisons pour nous informer, d’ailleurs un Surion observe sa voiture du dessus qui a une croix au-dessus de sa voiture qui tombe en ruine …
-Bien, très bien.
-Il dit que le chef et quelques officiers importants seront dans ce bâtiment dans quelques heures, c’est l’hôtel d’après lui. Informa le pilote du Surion
-Il en est sur ? Demanda le général.
-Il dit que oui. Répond le Pilote.
-Bien alors dans quelques heures l’opération commencera, je veux que les soldats soient prêt pour l’opération, nous devons capturer ce chef afin que cette partie de la ville soit pacifié.
Base coréenne Proche de Mogadiscio, capitale de la Somalie
13 heures 18 minutes, 34° à l’ombre.
Samedi 18 Septembre 2011.
« Je suis stressé … Dit un soldat première classe de la ROKA : Republic Of Korea Army. Dont le nom sera aussi peu important.
-Il y a rien d’être inquiet, les milices tirent comme des pieds, répondit Kim Hee, un colonel qui n’arrivais pas ses études et qui finit par rejoindre l’armée ou il s’était fait remarqué sur les terrains d’entrainements.
-Beaucoup d’entres vous ne se sont jamais battu en réel, répondit le général Lee qui étaient derrière eux, il était arrivé comme par magie.
Les soldats se mirent aux gardes à vous : « Repos, dit Lee
- Oui, en effet, je n’y avais pas pensé sur le moment.
-Bon j’espère que vous êtes prêt pour la bataille qui s’annonce éprouvante pour les soldats ? Demanda le général. »
Personne ne répondit, c’était évidant, les soldats étaient ici car ils étaient prêts et de toute façon ils sont payés pour cela.
Le général partit les discussions reprirent, Kim voyant un soldat tester ses lunettes à vision nocturne lui dit :
« Tu n’auras pas besoin de cela, nous seront rentré avant la nuit. »
Celui-ci venait de préparer de l’eau et de la nourriture.
« Tu n’aura pas besoin de cela aussi, l’opération ne durera pas jusqu'à le gouté , tu as assez de poids avec les différents objets, prend des munitions si tu veut. »
Quelques minutes plus tard Kim fut dans l’hélicoptère de transport Surion :
« Bon nous serons sur zones dans quelques minutes. »
L’opération consiste à capturer le chef et ses officiers, pour cela il y avait une centaine d’hommes. Il y avait un convoi qui devait aller devant le bâtiment afin de ramener le chef à la base pour l’interroger. Pour cela l’équipement utilisé est : -3 camions au milieu du convoi
-4 Doosan Barracuda autour des camions (2 devant et 2 derrière)
-2 Rotem Scorpion (un devant les Barracuda et un derrière)
-1 K21 qui sera devant le tout.
-7 Surion dont 2 pour observer du ciel mais pourront servir de renforts
-10 500 MD qui serviront de couverture au sol mais aussi au transport d’hommes.
-Le KF-16 pour un soutien aérien au cas où.
Mogadiscio, capitale de la Somalie.
13 heures 31 minutes, 35° à l’ombre.
Samedi 18 Septembre 2011.
Les hélicoptères survolent la ville et seront arrivés dans quelques minutes, mais les milices les ont repéré à cause d’un gamin qui les a alerté par téléphone, l’enfant fut tué à la mitrailleuse mais trop tard, on voyait de la fumée noir s’élevant de la zone, ils bruler des pneus pour bloquer les routes mais le convoi arriva à une rue perpendiculaire à la rue qui passe devant l’hôtel, les hélicoptères se positionnèrent au 4 coins de l’hôtel/
« Allez, allez ! Cria Kim avant de voir un milicien avec un RPG-7.
-Regardez ça ! » Les pilotes l’avait vu mais un gars était partie pour allez à terre, l’hélico évita la roquette in extremis mais le gars tomba de la corde, et tomba à terre quelque 5 mètres plus bas.
« Blessé à terre, blessé à terre ! » Hurla Kim alors qu’il descendit la corde, l’hélicoptère quitta la zone chaude le plus vite possible.
« J’ai besoin d’un médecin ! Un médecin arriva
-Il sait passer quoi ?
-Il est tombé. Répondit Kim
-Merde, apporter une civière pour le blessé, il doit avoir des os cassés…
-Bien emmener-le au convoi avec 2 de mes hommes. » Le médecin écouta et prit un côté de la civière tandis qu’un autre soldat prie l’autre côté, ils étaient couverts par un soldat.
Base Coréenne de Mogadiscio, capitale de la Somalie.
13 heures 35 minutes, 35° à l’ombre.
Samedi 18 Septembre 2011.
« Mon général nous avons un blessé grave, ce mec est foutu ! » Informa un officier.
Le général mit sa tête dans ses mains :
« Que c’est-il passé ?
-Il est tombé de l’hélicoptère… »
Mogadiscio, capitale de la Somalie.
13 heures 37 minutes, 37° à l’ombre.
Samedi 18 Septembre 2011.
Les soldats prirent possession de l’hôtel, les gardes fut tué facilement mais un gars fut blessé à l’épaule, la balle l’avait juste rasé et donc il ne fut pas trop handicapé mais le médecin le soigna pour éviter les infections. Dans l’hôtel il y avait les officiers mais le chef de cette zone est introuvable, il était en effet informé de l’imminence de la mission coréenne.
Durant ce temps le médecin, le blessé et les 2 militaires furent arrivés au convoi ou le chef leurs demanda : « Que c’est-il passé ?
Il est tombé de l’hélicoptère. Répondit le médecin embarrassé.
-Bon monté dans un véhicule et mettez le blessé dans un Barracuda.
-Bien reçu. » Le chef monta dans le premier Scorpion, et il ordonna d’aller devant l’hôtel pour récupérer les officiers, le K21 tira sur des milices qui lui tirait dessus et un pick-up arriva armée d’une mitrailleuse, il fut rapidement tué par le K21 ou les munitions peuvent transpercer un tank tigre allemand si la cible se trouve à quelques centaines de mètres.
Pendant ce temps les 500 MD déposèrent les soldats qu’ils avaient à leurs bord sur les toits afin d’éviter les snipers ennemis.
Le convoi se mit donc en route, mais une roquette fut tiré sur le K21, sans dégâts puisque le K21 a une protection pour faire déviés les missiles antitanks. Le convoi s’arrêta devant l’hôtel afin de récupérer les officiers ennemis. Ils furent évacués rapidement et touts les militaires atteignirent le convoi à temps.
« Bien partons maintenant, ordonna Kim qui est le plus gradé de tous.
-Bien reçu mon colonel. » La colonne de véhicule démarre.
Mais le chef armée d’un AKS-74U et de 2 hommes équipé tout deux de RPG-7 repérèrent un hélicoptère Surion volant à base altitude, profitant de cela ils suivirent l’hélicoptère très peu attentif, ils tirèrent.
L’explosion endommagea le rotor arrière :
« Qu’attend-tu pour couper l’arrivé d’essence ?
-Oui, c’est fait, tu as des problèmes pour conduire ?
-Non, juste des vibrations… » Mais quelques secondes plus tard l’arrière de l’appareil parti.
« Merde, nous avons perdu l’arrière, j’ai perdu le contrôle de l’appareil ! Préparez-vous au crash ! »
Base Coréenne de Mogadiscio, capitale de la Somalie.
13 heures 48 minutes, 38° à l’ombre.
Samedi 18 Septembre 2011.
« Monsieur !
-Oui ?
-Un hélicoptère est touché, il va s’écraser !
-Merde, nous avons perdu la célérité…
-Il vient de s’écraser …
-Mince, envoyer un 500 MD et voyez si vous pouvez ne pas envoyer des renforts-la-haut.
-Bien mon général. »
Le général mit sa tête encore une fois dans ses mains. C’est sur, avec un blessé grave et plusieurs morts dans le crash, il y avait de quoi s’inquiéter pour son grade même si il faut remplir sa mission à n’importe quelle moyen, n’est-ce pas ?
« Mon colonel, le général nous ordonne d’aller au site du crash à quelques kilomètres d’ici, le Surion va nous y conduire, j’ai déjà ordonné un groupe de combat pour y aller.
-Je vais y aller avec eux, vous vous serez le plus gradé, vous contrôlerez le convoi tandis que moi je serais avec le groupe.
-Bien reçu mon colonel ! »
Le colonel pris son arme : un XK8 modifié dont il est si rare à voir à cause du fait que le K8 ne fut jamais entré en production de masse puisque qu’il fut refusé par les personnes qui décident cela.
Et des munitions, beaucoup de munitions, les milices arrivent de tous les côtés autour du lieu du crash en plein milieu de la zone rouge.
A l’image envoyée par le satellite et un Surion nous pouvons voir un homme qui résiste face à ces vagues de milices armées.
« Au moins il y a un survivant.
-Il sera bientôt mort si les renforts n’arrivent pas rapidement… répondit le général. »
En effet le soldat venait de se faire tirer dessus au bras, il lui reste pas beaucoup de temps avant de tomber sous les balles.
Mais quelques secondes plus tard c’est un 500 MD qui se posent pour déposer 4 soldats avant de redécoller pour éviter les roquettes. Les 4 soldats allèrent vers l’hélicoptère qui s’était crashé sur le flan droit, le soldat fut mit dans l’hélicoptère afin de le protégé et de le soigner. Ses blessures n’étaient pas très grave, le médecin le soigna rapidement, il regarda les 2 pilotes, tout 2 morts mais il y avait un autre soldat blessé, il fallait faire une désincarcération, mais en plein combat …
En d’autres termes, le groupe avança dans une rue, parallèlement à un groupe de milice, ils furent avertis par le centre d’opération et la rue rejoignait la rue empruntée par les milices, il y aura du combat dans quelques secondes.
La rue rejoignait comme prévu l’autre rue, la milice avait vu le premier soldat, il tira avec sa mitrailleuse, il était sur un pick-up équipé avec une mitrailleuse. Kim lança une grenade, il avait un lance-grenade sur son K8, il toucha le pick-up et son mitrailleur, le milicien perdit un bras, c’étais le premier ennemi que Kim avait tué dans cette opération, il fut étonné par la facilité de tué et de ne rien ressentir ensuite.
Kim et son équipe allèrent vers le site du crash qui se trouver à quelques dizaines de mètres de l’endroit ou l’hélicoptère c’était crashé, mais déjà les milices avaient encerclés le site du crash. Mais à ce moment un bombardement éthiopien vient de se passer proche de Kim, ils sont fou de bombarder la ville alors qu’ils savent que il y a des alliés en ville … ou bien l’état-major n’a pas alerté les alliés afin d’éviter cela …
« Nous avons as alerté les alliés pour éviter ce genre d’erreurs ? Demande un officier
-Non, en effet, nous devions le faire en top secret afin d’éviter qu’ils s’échappent. Explique le Général Lee »
Le convoi vient de démarrer pour le lieu du crash :
« Mettez-nous dans le bon itinéraire et le plus rapide.
-Bien reçu. Répondit un pilote Surion. Alors allez vers la droite et ensuite la gauche. »
Le convoi prit le chemin mais le chemin vers la gauche était coincé par des pneus.
« La route de gauche est coincée, donnez-nous un autres itinéraire !
-Allez à droite.
- Vous ne pouvez pas le dire plus tôt, on vient de passer la route …
-Si vous alliez moins vite aussi …
-Allez moins vite ? Allez moins vite ? Nous somme sous les balles !
-Bien, allez vers la gauche.
-Bien reçu, la gauche. »
Ils furent presque arrivé (je raccourci le truc car ca commence à être long ) au site de crash mais un barrage de pneus coincé la route.
« Bien, foncé dedans, avec le K21 en premier il y a des chances pour que le convoi ne subit pas de dégât. »
Le convoi fonça dans le barrage de pneus en feu, le K21 se fit un chemin dans le barrage et le Rotem Scorpion suivant l’agrandit, avec leurs blindages il y a juste quelques rayures. Ensuite les Barracuda passèrent sans encombre puisque le chemin était déjà fait, les camions eurent plus de problèmes puisque ils sont un peu plus grands, ils montèrent sur les pneus en flamme au prix d’un pneu.
Le convoi s’arrêta, une chenille du premier K21 avait lâché et un pneu de camion était mort, la chenille mettait plus problématique pour le convoi, même si le véhicule pourra résister jusqu'à la base mais ralentira le convoi, la roue du camion est déjà remplacé.
Pour le groupe, ils sont arrivés au site du crash, il s’agit du plein milieu du marché, il y a plein de bâtiments autour et le groupe de combat prit celui le plus haut, il fut nettoyé en moins de temps qu’il faut pour le dire, mais au prix d’un blessé à la jambe gauche. Il faut attendre le convoi et couvrir les personnes dans l’hélicoptère, le convoi a le matériel pour désincarcéré l’homme ou les hommes à l’intérieur.
Mogadiscio, capitale de la Somalie. Place du marché de Bakara.
16 heures 28 minutes, 40° à l’ombre.
Samedi 18 Septembre 2011.
« Le voici, le convoi, il est là. Informa un soldat
-Ah enfin que c’est-il passé ?
- Je ne sais pas. »
Le colonel Kim alla vers le convoi :
« Que c’est-il passé ?
-Un K21 a perdu une chenille, nous devions y aller pas très rapidement afin d’éviter de perdre le K21.
-Bien combien de temps pour désincarcérer ? Demanda Kim
-Environ 6 heures.
-Autant de temps ?
-C’est un hélicoptère pas une voiture et ce n’est pas des pompiers mais des soldats qui n’ont pas trop d’expérience pour cela. »
Mogadiscio, capitale de la Somalie. Place du marché de Bakara.
23 heures 44 minutes, 15°
Samedi 18 Septembre 2011
« Monsieur, nous avons fini, mais nos véhicules n’ont pas assez de places pour tout le monde.
-Ok allez-y nous on y va à pied.
-Vous en êtes sur ?
-Ouais, allez-y ! »
En quelques minutes Kim expliqua la situation à ses soldats et allèrent en premier vers la bases, ils furent rattrapés par les véhicules. Plus tard proche de la base ils remarquèrent une foule derrière eux mais assez loin pour ne pas se faire rattraper. Ils couraient et quelques minutes plus tars ils arrivèrent dans la base coréenne.
« Kim ! Ah vous voila enfin.
-Je dois y retourner, il y a du monde encore en ville. »
Et c’est comme cela que la mission se termina, avec 5 morts et 11 blessés la mission fut moins meurtrière que celle des USA en 1993.
Messieurs, l’opération « Part vite et ne reviens pas » va commencer dans quelques heure
J'aime <3
J'ai raté mon paris parce que sa me saouler de faire un message
Ce sont pas des 500 MD mais des MD 500
Quoi que les 2 peuvent se dire
République Fédérale de Somalie
Quelques officiers d'Al-Shabaab ont été capturés par les forces sud-coréennes. Les rebelle de la capitale sont momentanéments privés d'une partie de leur commandement.
Les troupes de l'AMISOM entrent en action. 500 ougandais de l'Union Africaine pénétrent dans le quartier de Halwadig, appuyés par 1.000 soldats du Gouvernement Fédéral de Transition et par 200 "techniques" loyalistes. L'objectif est d'attaquer la garnison rebelle d'Halwadig, sevèremment touchée par les combats impliquant les forces sud-coréennes.
Au même instant, 3.000 soldats et 600 "techniques" de l'armée du Galmudug attaquent la ville de Beledweyne, tenue par les islamistes et située sur le fleuve Shebelle. Les premiers tirs sont échangés.
Empire Hindouiste des Indes Orientales
Secret Défense
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Si l’entrevu avec les émissaires islamistes somaliens et l’envoyé du trafiquant d’armes indiens intimida dans un premier temps ce dernier, mal à l’aise parmi les miliciens peu amicaux qui semblaient lui reprocher tous les malheurs que fait subir l’Empire Indien aux musulmans. Mais une fois la conversation engagée les tensions retombèrent au profit de l’euphorie. Après s’être excuser au nom du « Buffle » de n’être pas présent à la réunion, qui n’a pu se présenté à cause de sa notoriété actuelle, l’indien conclut de nombreux marchés sur des chars et des anti-aériens. L’argent fut transféré sur un compte neutre aux Îles Caïmans en attendant d’être versé dans les caisses de l’organisation criminelle ce qui sera fait une fois le matériel livré.
En Inde, dans la résidence présidentiel de New Delhi, le Rashtrapati Bhavan, le téléphone rouge sonna. L’une des secrétaires de l’empereur décrocha. Le coup de fil venait du Népal, d’où « Le Buffle » confirmait la transaction. L’ordre discret fut immédiatement donné à certaines manufacturent gouvernementale de réviser les chars et les véhicules anti-aérien. Les numéros de série sont grattés, polis puis bouchés. L’électronique provenant d’entreprises indiennes est changé par des appareils venant du monde entier, principalement américain, suédois et français. Une couche de peinture uniforme de la couleur du désert est repassé sur les couleurs indiennes.
Une fois passé entre les mains des ouvriers indiens, le matériel prend place dans de grands containers sur le port de Bombay puis est hissé dans un imposant porte-container. Les conteneurs remplis par des chars sont placés au centre du navire, bien à l’abri en cas de fouille inopinée. Les armes individuelles sont rangées dans des caisses submergées par des pommes de terre ou des tomates, puis leurs conteneurs sont stockées près des chars. Le reste du navire sera chargé de denrées alimentaires avant de partir en direction de Somalie. Deux voyages devraient être effectuer.
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