Le 20 juillet 2018 à 20:44:53 Headspin a écrit :
Les échappements auprès du moteur pour gagner en puissance.
Belle bête.
Belle bête, c'est le mot
il existe d'autres machines de ce genre pour des compétitions (officielles) ?
https://youtu.be/hJL69Udtjkg?t=39
A priori c'est sur mesure.
Le moteur est un GM LSX 454 (7.4L) avec une injection pilotée qui fait 700cv.
Les trains roulants sont à l'avenant.
Le véhicule est 4 roues motrices sans différentiel central : 50/50 de répartition de couple AV/AR.
C'est un c/c d'ici
https://www.spi0n.com/tim-cameron-et-son-buggy-showtime/
Le 21 juillet 2018 à 12:40:10 Headspin a écrit :
A priori c'est sur mesure.Le moteur est un GM LSX 454 (7.4L) avec une injection pilotée qui fait 700cv.
Les trains roulants sont à l'avenant.Le véhicule est 4 roues motrices sans différentiel central : 50/50 de répartition de couple AV/AR.
C'est un c/c d'ici
https://www.spi0n.com/tim-cameron-et-son-buggy-showtime/
merci pour la recherche Head .
Celle-ci est particulièrement réussie, quel look !
Le 21 juillet 2018 à 00:04:43 Yoda_Software a écrit :
Le 20 juillet 2018 à 19:59:57 Caluq a écrit :
Surement un bon gros moteur atmosphérique pour répondre aussi promptementfort probable
C'est curieux le système de ces essieux directionnels, les roues arrières ne braquent pas systématiquement avec celles de l'avant, c'est suivant la situation
probablement un système 3 positions commandé par un simple interrupteur :
- roues à droite
- roues au neutre (droites)
- roues à gauche
Je suis un peu perplexe devant l'idée d'un interrupteur qu'il faudrait actionner manuellement pour changer' électriquement de mode de direction en étant secoué ainsi en pleine bagarre avec le relief, par contre, le concept dont tu parles est réel et de plus en plus installé sur nos voitures .
http://www.fiches-auto.fr/articles-auto/fonctionnement-d-une-auto/s-1860-4-roues-directrices-fonctionnement.php
Pour ces genres de buggy de trial, je pense à un autre système existant, au delà d'un certain angle de braquage, une direction arrière s’enclenche mécaniquement, vu sur des machines de carrières ou autres chantiers, je crois même me souvenir que sur le trophy Andros entre-autres, les pilotes et les mécaniciens décident des réglage à partir de quel angle des roues avant le système arrière va entrer en action .
je n'invente pas, je l'ai vu installé sur une caisse customisée dans je ne sais plus quelle émission sur RMC découvertes
système bien plus simple et bien moins coûteux que le système de roues arrières directrices (limité) des voitures de séries.
Le 21 juillet 2018 à 19:57:34 Yoda_Software a écrit :
je n'invente pas, je l'ai vu installé sur une caisse customisée dans je ne sais plus quelle émission sur RMC découvertes
système bien plus simple et bien moins coûteux que le système de roues arrières directrices (limité) des voitures de séries.
Je n'ai jamais susurré que tu inventais,
. . . . tout en sachant le que le concept de changement de mode de direction que tu décris existe bel et bien .
Les pilotes de ces machines qui doivent franchir de tels obstacles ne peuvent pas dans l'action agir par un interrupteur, c'est impossible, seul un système mécanique de sur-braquage dans certaines situations au niveau du volant est envisageable dans ce type d'épreuve .
Pour ce qui est de nos voitures de série, je crois que c'est la Citroën ZX qui fut une des premières équipée d'un essieu arrière déformable dans sa géométrie par les forces du roulage, je dis bien déformable, une direction non pilotée par le volant mais sachant se déformer par le biais de liaisons souples pour suivre au mieux les roues avant .
Ça, c'était avant .
Les voitures des prochaines décennies, et déjà, vont opter pour une mécanique avec deux systèmes de direction distincts avant et arrière, l'électronique sera présente, bien sur, avec la mécanique qui assure la liaison physique avec le sol .
regarde bien la vidéo, jusqu'à 1min40, les roues arrières restent droites.
ce n'est seulement qu'une fois en haut des rochers que les roues arrières se braquent brusquement pour faire un demi tour rapide sur un minimum de surface.
d'où je pense un système commandé par un interrupteur
Le 22 juillet 2018 à 20:26:54 Yoda_Software a écrit :
regarde bien la vidéo, jusqu'à 1min40, les roues arrières restent droites.
ce n'est seulement qu'une fois en haut des rochers que les roues arrières se braquent brusquement pour faire un demi tour rapide sur un minimum de surface.
d'où je pense un système commandé par un interrupteur
Effectivement, c'est bien sur cet instant de la vidéo que la question se pose (je l'ai maté au moins une quinzaine de fois) .
Ah oui quand même, quand t'as une idée en tête c'est pas autre part.
https://youtu.be/M6YKqaf4Ao4?t=255
Jamais vu ce lien vidéo sur cette course de cote .
4mn18 est le seul instant de cette montée où l'on entend un bref crissement de pneu, l'arrière gauche .
tout le reste est une attaque en sagesse
. . . efficace .
à ma connaissance Loeb détient toujours le record.
cette course de cote est hallucinante, difficile d'avoir des points de repères, de se souvenir de chaque virage d'un circuit qui prend près de 10min à parcourir. En WRC, ils ont un copilote.
j'ai remarqué quand même quelques rails de sécurité, mais ça n'a pas empêché quelques accidents dramatiques. Plusieurs dizaines, voire centaines de mètres de ravin, ça ne pardonne pas.
Pas mal là aussi quand la route n'était pas encore bitumée
https://youtu.be/gsk-5VGx5sc?t=41
C'est un peu plus bourrin comme conduite ...
Et conduire d'une main quand il a le soleil dans la gueule
Le 24 juillet 2018 à 18:52:18 dakota-47 a écrit :
C'est un peu plus bourrin comme conduite ...
La voiture dérive pas mal sur la terre avec plus de temps pour rattraper une erreur, sur le bitume, les autos sont sur le fil du rasoir, un écart peut se payer cher .
le soleil dans la gueule me fait penser à mon tour de circuit nascar au Canada, j'ai eu la même réaction), la main levée pour faire écran alors qu'on venait juste de nous dire qu'il ne fallait jamais lâcher le volant. En plus, le moniteur m'a presque forcé à mettre ses propres lunettes de soleil pensant sans doute que les miennes n'étaient pas assez suffisantes.
Bon j'ai rattrapé le coup peu après en lui offrant un double débrayage comme il en voyait peu.
Simon Pagenaud vainqueur des 500 miles d'Indianapolis
1er français depuis Louis Chevrolet en 1920
Il aurait pu attendre les 100 ans
ça fait une quinzaine d'année qu'il court après ce titre, je ne crois pas qu'attendre le centenaire était envisageable