Quand une mairie interdit un reportage sur « Casse-toi pov’con »

"casse-toi pov'con" est un jeu de société non partisan, dans lequel on incarne un homme (ou une femme) politique devant serrer le plus de mains pour gagner
bref, rien de méchant

mais nous sommes en 2011, en france, pays de la liberté d'expression et anti censure... ou pas
http://vidberg.blog.lemonde.fr/2011/09/11/quand-une-mairie-interdit-un-reportage-sur-casse-toi-povcon/

Gosses ingrats, et maire faux-derche

http://lci.tf1.fr/science/environnement/explosion-d-un-four-sur-un-site-nucleaire-du-gard-6684381.html

ben voila a nous maintenant

M'enfin Wef,c’est un gros fake,ont sait très bien qu'en France ont ne risque rien

Au pays d'Sarkozy, c'est comme dans tous les pays...

http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18607104.html

quelle merde

http://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/Il-imite-un-sanglier--son-beau-pere-l-abat-23189801

http://www.youtube.com/watch?v=vH2GdDrJpKg&feature=player_detailpage#t=182s

Virus du Sida: des joueurs en ligne résolvent une énigme

Plus fort que Second Life et le Rubik's Cube réunis: les adeptes d'un jeu vidéo sur l'internet ont réussi en trois semaines à décoder la structure d'une enzyme proche de celle du virus du sida, une énigme qui tenait en échec depuis dix ans les plus éminents scientifiques.

Pour célébrer l'exploit, la revue scientifique Nature Structural & Molecular Biology, qui a publié dimanche cette découverte, fait exceptionnellement figurer les joueurs de "Foldit" comme co-auteurs de l'étude.

[...]

http://www.liberation.fr/societe/01012360755-virus-du-sida-des-joueurs-en-ligne-resolvent-une-enigme

Alors qui va encore dire les jeux vidéo c'est dangereux ?

http://www.maxisciences.com/satellite/le-satellite-de-la-nasa-pourrait-retomber-sur-l-039-italie_art17175.html

plus qu'à espérer qu'il se crashe en zone déserte

Tu m'étonnes

L’Italie va enfin lancer un gros coup de filet contre la cosa nostra, la corruption, les pickpockets, la frontière passoire, la squadra, tout ça et bien plus encore avec ce satellite. Vous n'imaginez pas tout ce que la Nasa peut faire pour vous

Plus qu'as espérer que ça tombe pas sur Venise

Venise est entrain de sombrer , pas besoin de crash de satellite

Ouep Désertion de la populace, tout comme ses fondements

J'ai encore vue il y as pas si longtemps un reportage, qui m'as fait comprendre que je me suis même fait couillonner sur le prix d'une ballade en gondole

J'ai pété ma carafe de Murano il y as deux ans elle était belle

L’adieu de la Catalogne à la corrida

24/09 17:44 CET
Barcelone - Espagne - Fêtes traditionnelles

L’arène centenaire de la Monumental à Barcelone est la derniere arène de la ville à fermer définitivement ses portes ce dimanche.

C’est la fin de la saison des corridas mais surtout l’arrêt définitif des combats de taureaux en Catalogne puisse que la loi interdisant cette vieille tradition espagnole entre en vigueur le 1er janvier 2012.

180 000 Catalans avaient signé la pétition pour l’interdiction soumise au parlement régional. En votant la loi en juin 2010, la Catalogne a suivi les pas de l’archipel des Canaries qui avait fait de même il y a 20 ans.

Et pour le président de Libera, une association de défense des droits des animaux, d’autres communautés autonomes vont bientôt suivre : “Nous pensons que la Galice va bientôt nous rejoindre même s’il n’y a pas de combats traditionnels de taureaux là-bas comme dans plusieurs régions du nord de l’Espagne. Bien sur il faudra plus temps à Madrid ou en Andalousie mais c’est une question de temps”, explique Carlos López Pérez.

Les “aficionados” catalans ne désarment pas. Ils se mobilisent pour la corrida, mais ils ressentent aussi de la peine, de la rage et surtout ils se sentent impuissants face à cette interdiction : “C’est comme la dictature. Nous n’avons fait de mal à personne et nous sommes interdits après trois siècles d’existence. Dans une ville comme Barcelone où les aficionados pouvaient remplir trois arènes différentes”, affirme Josep Navarro, amateur de corrida.

Une vieille tradition qui n’a cessé de perdre de la vitesse comme dans le reste de l’Espagne. L’ancienne arénas de Barcelone est devenue un centre commercial.

Et pour la veuve du dernier torero mort, en 1974 à la Monumental il est temps de faire le deuil.

“Mes chers amis, les vieilles traditions sont mortes en dépit de tout le mal que vous vous donnez pour les ressusciter”, déclare Rosa Gil.

Paradoxe ou nostalgie, les Barcelonais s’arrachent l’affiche de la dernière corrida à la Monumental où comment replongé dans l’arène d’un temps qui s‘écrit désormais au passé.

Copyright © 2011 euronews

http://fr.euronews.net/2011/09/24/l-adieu-de-la-catalogne-a-la-corrida/

"Nous n’avons fait de mal à personne...."
:troll:

Très bonne nouvelle !

Vivement notre tour !

il était temps

Le PS proclame sa victoire au Sénat

le 25 septembre 2011 à 06h48 , mis à jour le 25 septembre 2011 à 19h59

Le PS gagne les 23 sièges qui lui permettent d'obtenir la majorité absolue. François Fillon reconnaît une "forte poussée" de la gauche, "accentuée par les divisions de la majorité".

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Article suivant dans TF1 News : Karachi: la République "irréprochable" devient "irrespirable"
Jean-Pierre Bel © LCI

Le scrutin sénatorial qui concernait ce dimanche 71.890 grands électeurs voit un basculement historique à gauche de la deuxième chambre du Parlement, pour le PS. Jean-Pierre Bel, président du groupe PS au Sénat, s'est réjoui à 19h15 d'une "alternance historique". François Hollande parle d'une "décomposition du système Sarkozy prémonitoire pour 2012".
Hollande voit "une décomposition du système Sarkozy"
Sénatoriales : votre département risque-t-il de basculer dimanche ?
Trois ministres dans la bataille du Sénat
Le Sénat va-t-il passer à gauche ?
Vidéo
2min 5s

Sénatoriales : les enjeux d'une élection pré-2012 - 2min 5s
Plus d'infos

Les résultats de Paris ont confirmé dès la fin d'après-midi la forte poussée de la gauche avec la prise par la gauche d'un huitième siège à une droite minée par ses divisions. Pierre Charon, dont la candidature dissidente de l'UMP a été fustigée au plus sommet de l'Etat, a été élu."Plus que 2 sénateurs UMP à Paris, c'est une défaite historique et politique", a lancé Anne Hidalgo, 1ère adjointe PS au maire de Paris, Bertrand Delanoë. Le centriste Yves Pozzo di Borgo a conservé son siège mais la sortante UMP Catherine Dumas a été battue."La gauche progresse partout, on sent une lame de fond. Le ras-le-bol des élus locaux, on le voit dans les résultats du premier tour", a assuré sur Public Sénat, le secrétaire national du PS chargé des élections, Christophe Borgel. "Il y a un refus de la droite des grands électeurs" a renchéri Michel Delebarre, maire de Dunkerque et tête de liste PS dans le Nord où la gauche a gagné un siège et a manqué le 6e à une voix.

Les ministres Gérard Longuet (Défense) et Chantal Jouanno (Sport) ont été élus et Maurice Leroy (Ville) était en ballotage. La réélection dès le premier tour dans le Loiret, département traditionnellement à droite, du sénateur sortant Jean-Pierre Sueur et celle, dans le Morbihan, de la sortante Odette Herviaux, également PS, ont sonné comme un signal très fort pour la gauche.

Le PS dans sa fourchette haute dans de nombreux territoires

Ces deux départements font partie des trois dont le scrutin est passé du mode proportionnel au majoritaire, et sur lesquels le président UMP du Sénat, Gérard Larcher, comptait pour gagner des sièges. Il tablait notamment dans le Morbihan sur la notoriété de François Goulard, député UMP. Les 3 candidats de gauche sont arrivés en tête dans ce département où la droite a deux sortants et tablait sur un grand chelem. Autre victoire très importante, celle au premier tour du président du conseil régional du Languedoc-Roussillon, Christian Bourquin, "frêchiste" exclu du PS mais soutenu par son ancien parti. Le sénateur sortant, Jean-Paul Alduy (UMP), est en ballottage. La Lozère, département rural traditionnellement à droite, enregistre également une progression de la gauche, le sénateur sortant Jacques Blanc (UMP) étant mis en ballottage.

Ce vote est crucial à sept mois de la présidentielle et un Sénat majoritairement à gauche serait un "séisme" politique selon les termes mêmes de Gérard Larcher. La gauche, qui a gagné toutes les dernières élections locales (municipales, régionales, cantonales), ne pouvait a priori que progresser mathématiquement en sièges. Outre ses divisions, la droite pâtit d'une forte grogne des élus locaux, qui ont mal accueilli la réforme territoriale et le regroupement des communes menés à marche forcée par les préfets. "Il y a des endroits où (la poussée de la gauche) va au-delà de ce que l'on pensait", a réagi le sénateur centriste Hervé Maurey. Il a attribué ce "choix de rejet" à "ce que vivent les élus en matière de crise, de scandale". La gauche devra gagner mathématiquement 23 sièges pour obtenir la majorité à la Haute assemblée, dont le nombre de sièges est porté de 343 à 348 (170 sièges étaient en jeu dimanche).

Actuellement, sur 343 sénateurs, la gauche détient 153 sièges : 116 sénateurs au groupe PS et Verts et 24 au CRC (Communistes et Parti de gauche). Elle peut aussi compter sur 13 des 17 membres du groupe Rassemblement démocratique et social européen (RDSE). 29 sénateurs font partie du groupe Union centriste, rassemblant le MoDem, le Nouveau centre, l'Alliance centriste. 149 sont inscrits comme UMP, 7 sont non inscrits, et deux sièges sont vacants. (A lire également : trois ministres dans la bataille du Sénat).

"L’adieu de la Catalogne à la corrida"

ça, c'est une bonne nouvelle !

"L'adieu de la France à la Droite - épisode 1 Le Sénat"