C'est clair, là c'est juste déplacer le problème, sans régler là où il est à la base : dans les écoles publiques !^^
Monkey, au lieu de discuter, repensez l'enseignement scolaire au quotidien par vous-même. Réappropriez-vous les classes. Brulez les provis... euh, m'enfin tu m'as compris.
On sait tous que les IUFM n'ont jamais réussi à apporter à un enseignant des bases pédagogiques suffisantes. Ce n'est pas tant une question de moyen mais plus de repenser l'école. Voire de la penser tout court quand je vois les errements pseudo pédagogiques des écoles maternelles (Ah ah ah, donner un ordinateur à un gamin de 4 ans tout en lui inculquant les méfaits de la télévision...)
Gan : je veux bien que ce soit la faute des professeurs incompétents, mais j'aimerais que tu essaies de faire cours à une classe de 35 troisièmes en chaleur de cité
Chiche.
La Poste : "2 millions" de personnes ont participé à la votation citoyenne
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 03.10.09 | 18h11 • Mis à jour le 04.10.09 | 20h13
lus de deux millions" de personnes ont participé à la votation citoyenne sur l'avenir de La Poste achevée ce week-end, a indiqué dimanche 4 octobre le comité organisateur, depuis son QG installé à la mairie du IIe arrondissement de Paris. "Nous avons déjà plus de deux millions de votes [dans] 90 départements et il reste encore à comptabiliser 4 ou 5 départements, dont les Bouches-du-Rhône où il y a eu beaucoup de points de vote", a indiqué Pierre Khalfa (Solidaires), aux côtés de Nicolas Galepides, porte-parole du comité organisateur.
Répondant aux accusations de "manipulation" venant de l'UMP, notamment de son porte-parole Frédéric Lefebvre auquel la ministre de la santé, Roselyne Bachelot, a emboîté le pas, M. Galepides a déclaré que "son interlocuteur était le président de la République". Le comité entend maintenant demander le "gel du projet" de transformation de La Poste en société anonyme et l'ouverture d'un grand débat public. "On ne peut pas laisser retomber le soufflé", a indiqué M. Galepides. Le comité national travaillait dimanche à dessiner la carte des zones les plus votantes tout en constatant d'ores et déjà "une forte concentration dans les quartiers populaires et les zones rurales où le problème est le plus cuisant". Les résultats définitifs devraient être annoncés lundi.
"MOBILISATION HISTORIQUE"
Dimanche, alors qu'en principe la votation était terminée, des scrutins ont encore eu lieu sur des marchés, selon M. Galepides, tandis que le téléphone n'arrêtait pas de sonner à la mairie du 2e arrondissement où le comité a implanté son QG : "Les gens appellent pour regretter de ne pas avoir pu voter." Le scrutin, que certains préfets ont tenté d'empêcher en assignant des mairies devant des tribunaux administratifs, n'a pas de valeur juridique au sens d'un référendum, mais les organisateurs estiment qu'il a une valeur test politique, notamment au regard du nombre de participants dans toute la France.
Samedi soir, le Parti socialiste a salué samedi soir la "mobilisation historique" et a annoncé qu'il déposerait une proposition de loi en vue de l'organisation d'un "référendum d'initiative populaire" sur le changement de statut. Selon un sondage Ifop pour Sud Ouest Dimanche, 59 % des Français souhaitent que le gouvernement organise un référendum national sur l'avenir de La Poste, qui sera transformée en société anonyme à capitaux publics le 1er janvier 2010. Les syndicats et l'opposition de gauche dénoncent une privatisation rampante remettant en cause la mission de service public de l'entreprise, qui sera confrontée à la concurrence européenne dès janvier 2011.
La consultation a été organisée par une soixantaine de syndicats, associations et partis de gauche qui s'appuient sur la possibilité offerte théoriquement par la réforme constitutionnelle de juillet 2008 d'organiser un référendum d'initiative populaire sous conditions (1/5e des parlementaires soutenus par 1/10e des électeurs inscrits). Mais le décret d'application du texte n'est pas encore publié. "Cette votation citoyenne est aussi la conséquence d'un engagement présidentiel non tenu", estime Laurent Fabius dans Le Journal du Dimanche daté de samedi. Nicolas Sarkozy "s'était engagé à rendre possible un référendum d'initiative populaire sur ce type de sujet, et pourtant, il a tout fait pour l'exclure en refusant de publier le texte d'application indispensable", rappelle l'ancien premier ministre socialiste.
Les 4 millions de votes n'ont pas été atteints,
Nicolas Sarkozy peut s'en laver les mains.
(double alexandrin inside)
ce week end, pour la 1ère fois depuis que je suis installé (soit plus de 10 mois), mon four a servi à autre chose que cuire des pizzas surgelées !
ganda: t'as enfin décidé de cuir un enfant?
nan, même pas
ma devise est "si ça rentre pas dans le micro onde, alors c'est trop vieux", alors dans un four...
forcément avec vos devises à la con aussi
on était plus de 40 par classe quand j'étais à l'école
et j'étais dans le privé parce que ma mère en avait marre de voir mes frères et soeurs quittaient l'école à n'importe quel moment parce qu'un prof était absent/malade ou voir qu'il avait pas envie de faire cours (ouaip ça a existé pour de vrai, un prof de mon frère pour tout dire )
donc bon même si ça reste trop pour une classe ou un enseignement efficace, ça n'enlève pas non plus le problème d'autorité des profs
même si ce ne sont pas toujours eux les fautifs
lorsqu'on voit la réaction de certains parents actuels face à un prof un peu "trop" autoritaire , on comprend vite pourquoi les profs ont les mains liées devant des crétins boutonneux en mal de pseudo notoriété
" même si ce ne sont pas toujours eux les fautifs " C'est évident Xenaphia ! La démission des adultes ne concerne pas que les profs . Le transfert de l'autorité ne peut se faire que si cette autorité existe . La politesse , le respect c'est le rôle des parents de l'inculquer . Si on ne leur donne pas ces notions à la maison on ne transfere aucune autorité on fait subir ses enfants à d'autres adultes qui ont les mains liées effectivement .
Mis à jour le 5 octobre 2009 à 07:33
Publié le 5 octobre 2009 à 06:00
JOURNEE DE L'HABITAT
Un locataire sur cinq vit dans un clapier
Se loger décemment en Wallonie est insurmontable pour trop de personnes. L'ASBL Solidarités Nouvelles manifeste ce matin à Namur.
Un locataire sur cinq (18 %) habite un logement de mauvaise ou très mauvaise qualité. 10 000 personnes, en Wallonie, habitent en camping ou dans des chalets. Aujourd'hui, c'est la Journée mondiale de l'habitat. Solidarités nouvelles, une ASBL qui défend le droit au logement pour tous, organise une manifestation ce lundi à la gare de Namur.
« Se loger décemment devient insurmontable pour de nombreux ménages », dénonce l'ASBL. Et de citer des chiffres qui donnent le tournis. Ainsi deux-tiers des personnes qui disposent tout juste du revenu d'intégration doivent se loger dans le privé et consacrent plus de 50 % de leurs revenus pour se loger.
39 % des travailleurs ont du mal à supporter le coût de leur logement. Plus de la moitié des chômeurs et près de sept familles monoparentales sur dix paient difficilement leur loyer. Par ailleurs, les logements sociaux manquent cruellement. ils ne représentent que 7 % de tous les logements. 40 000 personnes restent en attente, estime encore l'ASBL Solidarités nouvelles.
Selon l'ASBL, le nouveau ministre wallon du Logement, Jean-Marc Nollet (Écolo), n'a guère pris position sur cet enjeu pourtant urgent. « Et il y a bien urgence, plaide l'ASBL. Le droit au logement ne profite toujours pas aux habitants. Dès aujourd'hui des habitants de camping à Binche ne savent pas s'il sera bien tenu compte d'eux au procès pénal qui oppose la ville et le gérant. Le camping devra-t-il fermer et que vont-ils devenir ? » Les habitants des campings sont tous très inquiets.
Pareil à Estinnes pour les habitants du domaine de Pincemaille. Ils ne savent pas si les projets qui doivent améliorer leurs conditions de vie ne mèneront pas à leur évincement pur et simple des lieux. Et ce qui se passera à Pincemaille risque d'être un précédent.
Le droit au logement est pourtant reconnu par la Constitution et le pacte des Nations Unies. Des législations ont d'ailleurs été adoptées ces dernières années pour améliorer les situations des habitants précaires. Mais ces solutions sont visiblement un peu en panne.
« Les intentions des législations sont pour un mieux. Mais sur le terrain, ça ne fonctionne pas trop, explique Davil Praile, de Solidarités Nouvelles. Soit ça se retourne contre les habitants. Soit parce que ce n'est pas appliqué. Vous habitez un logement insalubre. Vous vous en plaignez. Et au bout du compte, vous risquez d'être expulsé. Voilà ce qui se passe trop souvent. »
Les manifestants iront le dire au ministre Nollet qu'ils comptent bien « réveiller » sur cette question. Ils le rencontreront demain à 11 h.
Source : Actua24.be
Pour Xena : les populations de collégiens et de lycéens d'aujourd'hui n'ont plus rien à voir avec il y a vingt ans, lorsque tu y étais toi-même. Par ailleurs, le fait que tu aies fait ta scolarité dans le privé accentue encore largement cette différence entre ta situation de l'époque et les conditions de travail des profs du public d'aujourd'hui. Effectivement, dans le privé, s'agissant d'élèves globalement favorisés, on peut davantage être 35 par classe que dans le public. De même, mon frère, qui est prof de philo dans un des meilleurs lycées parisiens, a des classes de 40 qui ne posent aucun problème. Sauf qu'aujourd'hui, pour de nombreuses raisons (démission des parents, désintérêt des politiques et des électeurs, dégradation des conditions sociales, ghettoïsation des banlieues, dégradation des conditions de travail des profs amenant les étudiants brillants à bouder ce métier jadis prisé, augmentation de la violence dans les quartiers délaissés, etc etc.), pour toutes ces raisons et pour d'autres, une classe à 35, aujourd'hui, dans un quartier un peu chaud, est proprement ingérable. Que quelqu'un qui y connaisse quelque chose me prouve le contraire.
"
Pour lutter contre l’absentéisme, 3 lycées professionnels de l’académie de Créteil expérimentent la mise en place d’une “cagnotte” fixée à 2000 euros dans un premier temps mais qui pourra atteindre 10 000 € en fin d’année si les lycéens font preuve d’assiduité. Cette cagnotte permettra alors de financer un projet (permis de conduire, voyage…).
Dans une période de réduction budgétaire, de suppression de Rased, de non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, de fermetures de classe nous apprenons donc enfin une nouvelle rassurante : il reste de l’argent dans l’éducation nationale ! Youhou !
"
http://vidberg.blog.lemonde.fr/2009/10/05/le-jeu-des-10-000-e/
Pas d'article sur ce post mais une révélation...
Après deux jours de séminaires sur "LA crise", je suis ébloui par l'immense talent intellectuel de mes trois interlocuteurs.
Pour eux, il n'y a pas de crise, il y a la traduction normale d'un système économique qui a des mauvais cotés.
De plus, il n'y a pas de solution pour sortir "officiellement" de cette crise, juste quelque moyens pour calculer autrement certaines données médiatiques (taux de chômage, pib...).
Enfin, j'ai une bibliographie ENFIN intéressante dans le domaine de l'économie.
"Le président Sarkozy avait promis une compensation euro par euro mais il avait oublié de dire pendant un an. C'est tout de même se foutre du monde".
Alain Juppé, à propos de la suppression de la Taxe Professionnelle.
(Sud Ouest, ce jour.)
Le Nobel de la paix attribué à Barack Obama
Le prix Nobel de la paix a été décerné, vendredi, au président américain, Barack Obama, "pour ses efforts extraordinaires en vue de renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples", a annoncé le comité Nobel. (AFP)
il a rien fait !
c'est supersarko qui doit être déçu...
Sarkozy? Il doit être vert de rage !
On va le voir partout maintenant. Il a un challenge à relever.
Mais... faut-il s'en réjouir de ce sacre d'Obama?
"Il a un challenge à relever"
Il pourra pas, il est trop petit