T´inquiètes Elfy
ouai encore de la musique de vieux lol t´étais pas née..mijh non plus je crois ou alors tout pitit
je disais ca pour plaisanter . .. heureusement que je ne vais pas me faire tapper dessus parce que je connais pas . .. ca serait le comble ! !! ! !!
lol
et apres on s´étonne que je ne connaisse pas . .. . .. lol
je connais pas non plus je peux le dire puisqu´on ne risque pas de représaille lol
Norka>toi a part Try Yann
Elfy>moi je tappe pas les femmes
ni les hommes, chui peace & love
" I love rock ´n´ roll
So put another dime in the jukebox, baby
I love rock ´n´ roll
So come and take your time and dance with me..."
Ca je connaissais qd meme . .. meme si j´ai moins de mal avec " Aligators 427" . .. ! !
Pauv´ ´tit grenouille...
" Vos luttes partent en fumée
Vos luttes font des nuées
Des nuées de scrupules
Vos luttes partent en fumée
Vers des flûtes enchantées
Et de cruelles espérances
Me lancent
Des dagues et des lances
En toute innocence
J´cloue des clous sur des nuages
Un marteau au fond du garage
J´cloue des clous sur des nuages
Sans échafaudage..."
rahhhhhhhhh Bashung
Là haut, l’éphémère oui ! Une merveille bleutée
Et je la vois, si vive…
Elle file haut, chétive…
Ola, l’halo d’or oui ! Belle auréole lactée
Et je la vois, si vive…
Lueur, si douce oui ! Une flamme étoilée
Ola, l’halo d’or oui ! Belle auréole lactée
Du grand Cosmos, native…
Lueur, si douce oui ! Une flamme étoilée
Son bon parfum, enivre…
Du grand Cosmos, native…
Voila, c’est une fée, oui ! Une comète est passée
Son bon parfum, enivre…
Hopla, vite un voeux, oui ! Bien heureux vous serez
Voila, c’est une fée, oui ! Une comète est passée
Sa grande chaleur, ravive…
ouai bin moi aussi je sais le faire . ..
La complainte de l’ex-fumeur
Affranchi comme une carte
D’un timbre sur l’épaule droite
C’est la traversée du désert
Je viens d’écraser la dernière
Comme un grand coca glacé
Sous la canicule d’été
Qu’on vous empêcherait de boire
Et sur lequel on peut s’asseoir
Vingt-quatre heures sur vingt-quatre
La blessure arbitraire
La convoitise opiniâtre
D’une bouffée salutaire
J’ai beau mâcher des trombones
Et tordre des clous
A cette idée qui se cramponne
J’aimerais tordre le cou
C’est décidé, j’assume
Déterminé, j’arrête
Je ne fume plus une cigarette
C’est sympa de m’accompagner
Dans le renoncement du vice
Tout le monde m’a félicité
A part Philippe et Morris
Qui m’attendent au tournant
Quand j’irai en cachette
Désespérément
Craquer l’allumette
Un, deux, trois, quatre
Jours sans tabac
C’est pas beaucoup, certes
Mais dans vingt-six, ça f’ra un mois
On me trouve légèrement irritable
Et j’me demande bien pourquoi
Sans doute parce qu’hier à table
J’ai défénestré l’chat
Adieu ma blonde, je t’aimais bien
Mais tous les deux c’est plus possible
J’suis venu te dire que tu t’en vas
Notre amour est nuisible
C’est écrit en gras
Sous le dromadaire orangé
Qui regarde narquois
Les caisses de l’état engranger
Et ça part en fumée…
Quelle tristesse, c’est pas gai
Tout cet air pur qui s’infiltre
Sans vouloir mégoter
Ma vie ne tient plus qu’à un filtre
Je regrette le temps jadis
Où j’occupais mes doigts
Et trouvais consistance
Sans forcement prendre du poids
A combler le vide d’air
Par le contenu du frigidaire
Je céderais mon trône pour un mégot
Mon royaume pour un chameau
Et si je déclarais forfait
En plein milieu du match
Personne pour me dire
Echec et patch !
Yep mais c´était le rock du coyote pas celui d´un autre
grabbes Au pif... Aldebert
Ben ouai j´avoue . .. . ..
ben>c´etait pas dur
Vil>
Clair swilly
Ecoute ces cris.
Ecoute bien l´enfance.
Ecoute la vie.
Ecoute l´insouciance.
Ne fais pas de bruit.
Ecoute ça comme c´est vrai.
Ça ne triche jamais.
Ecoute la chance qu´on avait.
Et si les hommes ne vivent que pour l´argent.
Et si les femmes ne veulent que des amants.
Où est l´amour quel amour.
Pauvre amour c´est fini tout ça.
Trop cher tout ça rêve pas.
Mais qu´est-ce qui va se passer.
Tout le monde se tait.
Et se met à prier.
Dormez en paix.
On va tout arranger.
Toutes nos erreurs seront pardonnées.
Ça c´est ce que vous croyez.
Et si la paix doit faire la guerre tout le temps.
Ouvrir des plaies et se couvrir de sang.
Où est la paix mais quelle paix, pauvre paix.
C´est fini tout ça, tu vois ça rapporte pas.
Mais qu´est-ce qu´on fait.
Qu´est-ce qui va se passer.
Tout le monde se tait.
Et voit son intérêt.
Dormez en paix.
Et surtout faites bien comme si de rien n´était.
On verra pas tout ça on n´aura pas le temps.
Mais nos enfants.
Et si la pluie tombe indéfiniment.
Et si la Terre nourrit plus nos enfants.
Qu´est-ce qui nous reste que les yeux pour pleurer.
Fallait peut-être y penser avant oui avant.
Pour nos enfants.
Bon . .. Désolée Mijh . .. c´est la derniere . . Promis ^^
et ça!
IL NE SUFFIT PAS
( Mano Solo / Mano Solo-Frères Misères)
Il ne suffit pas de s´offusquer
Quand on tue un étranger
De dire que la France à la merde au cul
Qu´à Orange Toulon ça pue
Il ne suffit pas de s´étonner devant les scores
De Le Pen
Répéter mille fois ça m´fait de la peine
Il ne suffit pas de dire ce sont des gros cons
Ni d´écrire de grands articles à sensation
Il ne suffit pas de crier au loup pour ces chiens
Cette meute qui rameute en notre sein
Il ne suffit pas de condamner ces condamneurs
De dénoncer ces dénonceurs
Il ne suffit pas de gueuler plus jamais ça
Et tranquillement rentrer chez soi
Alors que lui il va voter
Son meilleur moyen pour nous niquer
Le cyclope dans sa grotte fuma sa gauloise
En écoutant sa putain de musique bavaroise
Mais qu´est-ce qu´on peut faire
Ils savent mieux que toi faire la guerre
Qu´est-ce qu´on peut faire
Ah putain
Des chansons à la con
Ah, nan, ça me ravi, donnez vous en à coeur joie...
" Emmène-moi danser
Dans les dessous
Des villes en folie
Puisqu´il y a dans ces
Endroits autant de songes
Que quand on dort
Et on n´dort pas
Alors autant se tordre
Ici et là
Et se rejoindre en bas
Puisqu´on se lasse de tout
Pourquoi nous entrelaçons-nous ?
Pour les écorchés vifs
On en a des sévices
Allez enfouis-moi
Passe moi par dessus tous les bords
Mais reste encore
Un peu après
Que même la fin soit terminée
Moi j´ai pas allumé la mèche
C´est lautréamont
Qui me presse
Dans les déserts
Là où il prêche
Où devant rien
On donne la messe
Pour les écorchés
Serre-moi encore
Etouffe-moi si tu peux
Toi qui sais où
Après une subtile esquisse
On a enfoncé les vis...
Nous les écorchés vifs
On en a des sévices
Oh mais non rien de grave
Y´a nos hématomes crochus qui nous
Sauvent
Et tous nos points communs
Dans les dents
Et nos lambeaux de peau
Qu´on retrouve çà et là
Dans tous les coins
Ne cesse pas de trembler
C´est comme çà que je te reconnais
Même s´il vaut beaucoup mieux pour toi
Que tu trembles un peu moins que moi
Emmène-moi, emmène-moi
On doit pouvoir
Se rendre écarlates
Et mème
Si on précipite
On devrait voir
White light white heat
Allez enfouis-moi
Passe-moi par-dessus tous les bords
Encore un effort
On sera de nouveau
Calmes et tranquilles
Calmes et tranquilles
Serre-moi encore
Serre-moi encore
Etouffe-moi si tu peux...
Serre-moi encore
Nous les écorchès vifs
On en a des sévices..."
Un chef-d´oeuvre...