Bon du coup, c'est bien oopas ?
Du groupe plutôt, Army of the Pharaos.
http://www.youtube.com/watch?v=v5otXhb_LyQ
aris ~> pour moi, mais pour un autre sport
Dans la première, Dump the Clip, j'aime bien la voix du mec et son flow
Tu penses vraiment qu'une personne qui se dit misogyne alors qu'il est pratiquement sûr que cette même personne doit se faire mener par le bout du nez par une fille sur laquelle il est en chien ait une once de crédibilité, Nate ?
D'ailleurs mon pote il adore Ill Bill et Jedi Mind Tricks.
jWas Ouais fin j'ai une copine et tu raconte de la merde pour le coup
Battle Cry
D'ailleurs c'est marrant, Jaws fait des extrapolations complètement hasardeuses sur Nate alors que ce susdit Jaws avait fait un topic sur le fait que les gens inventent des "données" lors de débat.
Rafy, contrairement aux personne que je décries, je ne suis pas sérieux, moi.
Nate, cela t'empêche-t-il réellement d'être attiré par d'autres femmes ?
WOUHOUHOUHOUHOUHOUH !
personnes*
décrie*
Nan ça m'empêche en rien mais je vois pas le rapport ?
C'est toujours plus simple de remettre ça sur l'ironie et le second degré quand on a tort.
Je tiens à être présent pour la 4000eme page.
Étant donné le fait que je pars bientôt
Je dois
booster
Bah le fait que tu sois déjà avec quelqu'un ne t'empêche pas de pouvoir te faire mener par le bout du nez par une autre femme.
Rafy, il paraît évident que c'est de l'humour dans la mesure où on pourrait dire exactement la même chose pour moi. D'autant plus que Nate non n'était pas sérieux quand il évoquait la misogynie.
non plus*
SGANARELLE.- Moi, je crois sans vous faire tort, que vous avez quelque nouvel amour en tête.
DOM JUAN.- Tu le crois ?
SGANARELLE.- Oui.
DOM JUAN.- Ma foi, tu ne te trompes pas, et je dois t'avouer qu'un autre objet a chassé Elvire de ma pensée.
SGANARELLE.- Eh, mon Dieu, je sais mon Dom Juan, sur le bout du doigt, et connais votre cœur pour le plus grand coureur du monde, il se plaît à se promener de liens en liens, et n'aime guère à demeurer en place.
DOM JUAN.- Et ne trouves-tu pas, dis-moi, que j'ai raison d'en user de la sorte?
SGANARELLE.- Eh, Monsieur.
DOM JUAN.- Quoi, parle ?
SGANARELLE.- Assurément que vous avez raison, si vous le voulez, on ne peut pas aller là contre ; mais si vous ne le vouliez pas, ce serait peut-être une autre affaire.
DOM JUAN.- Eh bien, je te donne la liberté de parler, et de me dire tes sentiments.
SGANARELLE.- En ce cas, Monsieur, je vous dirai franchement que je n'approuve point votre méthode, et que je trouve fort vilain d'aimer de tous côtés comme vous faites.
DOM JUAN.- Quoi ? tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne ? La belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse, à toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux: non, non, la constance n'est bonne que pour des ridicules, toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs. Pour moi, la beauté me ravit partout, où je la trouve ; et je cède facilement à cette douce violence, dont elle nous entraîne ; j'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle, n'engage point mon âme à faire injustice aux autres ; je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et rends à chacune les hommages, et les tributs où la nature nous oblige. Quoi qu'il en soit, je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous. Les inclinations naissantes après tout, ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement. On goûte une douceur extrême à réduire par cent hommages le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on y fait ; à combattre par des transports, par des larmes, et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme, qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules, dont elle se fait un honneur, et la mener doucement, où nous avons envie de la faire venir. Mais lorsqu'on en est maître une fois, il n'y a plus rien à dire, ni rien à souhaiter, tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour; si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire. Enfin, il n'est rien de si doux, que de triompher de la résistance d'une belle personne ; et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants, qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent se résoudre à borner leurs souhaits. Il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens un cœur à aimer toute la terre ; et comme Alexandre, je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes, pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses.
SGANARELLE.- Vertu de ma vie, comme vous débitez; il semble que vous ayez appris cela par cœur, et vous parlez tout comme un livre.
DOM JUAN.- Qu'as-tu à dire là-dessus ?
SGANARELLE.- Ma foi ! j'ai à dire… je ne sais que dire […].
Il pleut encore, mercredi aprem quasi foutu donc
Je crois avoir tué tout le monde avec cette très fameuse tirade.
jWas Oui sauf que je suis avec qqun, je suis "attiré" par d'autres sans qu'il y ait les dites affinités, on reste en bons termes. De ce fait, je te prierais de cesser ce discours fallacieux sans queue ni tête visant mon énervement prochain. Je te serais grè de respecter mes sincères salutations, à toi et à toute ta famille. Merci, bonsoir !