ENFOIRE DE PUTIN DARGENTIER QUI FUME DES JOIN A LA PATE A JOIN POUR LE CARRELAGE DE PUTIN DE FIST DE MERDE QUI SUCE DES POING
/CACA ENERVE/
http://www.noelshack.com/uploads/14062009/cadavre033978.jpg
T'as vu il est mort.
AHAHAHHAHAHAHA LOL
Arr^^te c'est triste.
NO RAJ
bON JV(.COM) ME COUCHER LOl
O RE VOIR.
MARCI HIHIH JTM
Moi ossi <333
Moi j'ai l'impression d'être un alien, presque que des désavantages (moment de plainte spotted, c'est pas souvent donc osef )
Je suis né plus tôt que prévu, je pesais d'ailleur moins de 3 kilos. J'ai marché à 9 mois, fais du vélo à 3 ans, mais je ne crois pas avoir appris à lire plus tôt que les autres.
Passant une partie de mon enfance sur un bateau ( ), il paraît que j'était caractériel et que je faisait chier ma soeur ainé (qui aime bien châtit bien). J'ai pas énormément de souvenir de mon enfance ni de ma scolarité mais de ce que je me souvient, et je n'en saisi le sens (ok... Un des sens) que maintenant, j'étais assez sensible et je ne me fondais pas complètement dans la masse. Je n'étais en rien le stéréotype de l'enfant rejetté à lunettes (j'en avais pas à l'époque ) victime et premier de la classe ; j'avais seulement un peu plus de mal à m'intégré et j'étais plus sensible que les autres aux remarques de mes camarades ou de mes profs (en fait j'ai peu de souvenir mais il sont suffisamment clair pour que je puisse affirmer ce que je suis en train de dire)
En primaire, j'avais de bonnes note, sans être premier de la classe. Mes parents m'ont placé en étude, mais je ne sais plus quand. En tout cas, je me souviens d'un rendez-vous avec le directeur ou il disait qu'il fallait que je travail un minimum, ce qui ne devait donc pas être le cas (ça remonte à longtemps quand même ). A cette époque, je faisais déjà un complexe d'infériorité je crois, sous une autre forme. Par exemple, j'ai mis du temps avant d'avoir le courage de jouer au foot avec les autres pendant les pause (j'ai un peu galéré au début mais j'ai bien fait de m'y m'être, je suis pas trop mauvais maintenant ). Mon premier et meilleur pote de l'époque enfonçait le clou en disant que j'étais trop nul, et moi je prennais ces paroles pour argent comptant alors qu'il n'avait jamais touché un ballon de sa vie. Bref là je rentre dans les détails
Toujours à cette période, on m'apellais "gens dans la lune", (ce me fais sourire quand j'y re-pense) parce qu'en cours, j'était partout sauf en cours justement. Je n'était pas de ceux qui foutaient le bordel ou qui buvait les paroles du prof, j'était celui qui révassait (je me suis même endormis et tout le monde m'a grillé ), je me demande bien de quoi d'ailleur à cette époque. Maintenant j'arrête de me vouler la face, je suis quelqu'un de sensible et c'est pas le divorce tragique de mes parents qui y a été pour quelque chose (enfin je ne pense pas que ça soit le critère le plus déterminant, c'est plus inné qu'acqui ( ) à mon avis). Je me rapelle d'un moment ou un prof à légèrement haussé la voix à mon encontre (mais c'est surtout le fait qu'il prenne partis contre moi -je ne sais plus de quoi il s'agissait mais je ressens que c'était à peu pré ça-... Suceptibllité ? ) et ou j'avais presque fondu en larme, essayant tant bien que mal de me contenir, ou la fois ou on était tous le groupe d'étude et ou le prof (Mr Palaisi si tu lis ce texte... On arrêtait pas de dire que t'étais le meilleurs prof -pas sur de nombre de smileys restants-) nous avait engueulé pour des broutilles ; un peu de chahut avant la pause ou un truc comme ça... Il avait dis un truc du genre "puisque c'est comme ça vous restez tous dans la sall pendant la pause et vous me recopiez la page x". Bien sur, connaissant la sympathie du prof et le voyant repartir, tous le monde s'est sauvé en courant pour jouer au foot. Mais moi, je ne sais pour quelle raison, j'ai trouvé une exuse pour ne pas les rejoindre et je suis allé faire ma punition (sens de la justice ? Je n'étais pas du genre pemier de la classe mais là je savais que j'étais en tord alors je n'ai pas bronché). Par pur hasard, ma mère avais prévu de venir me chercher ce jour là, et je la vis arrivé avec le prof une dizaine de minutes après la sonneries de la pause. Le "maître" ( ) était étonné de me voir là, tous seul, recopiant sagemment ce qu'il m'avait demandé, alors que, je cite : "je previens toujours au moins 3 fois avant de mettre en application ce que je dis"
Je n'était pas sans amis mais il est indégnable que j'étais plus solitaire que les autres. Desfois, quand je marchait tous seul dans la cour, les pions me disaient "bha purquoi tu fais cette tête ? Ca va pas ? Souris voyons"... Je croyais que c'était normal et que tous les enfant "tiraient la tronche" (enfin je tirait pas la tronche, je ne témoignait juste aucun signe de joyeuseté. Est-ce que j'était malheureux ? Je ne m'en souvient hélas plus
Dés la 6e, dés lors que je n'allais plus en étude, je n'ai fournis plus aucun travail personnel. Je m'en suis "bien" tiré la première année avec + de 14 de moyenne, mais moins bien les années suivantes. Je ne me cherche pas d'exuse ; bien que j'ai du voir ma mère une 20aine de fois depuis mes 9 ans, âge de la séparation. Mon père avait arrêté l'école à 15 ans, en 3e, pour se conssacrer à sa passion, la guitare ; et naturellement, bien qu'il soit concsient des relatifs avatages que peuvent procurer les études par apport à une autre voix standart, il ne m'a jamais poussé, n'a par exemple j'amais regardé mes devoir... Et moi, j'ai ai profité, n'ouvrant aucun cahiers et ne faisant rien (bon desfois j'écoutais le cours, mais vu mon nombre énorme d'absences, ça ne servait pas à grand chose). J'ai pour philosophie de ne rien regretter et heuresement car sinon je ne sais pas dans quel état je serais... J'ai été lamentable dés le début, redoublant ma 4e, sans que ça ne change quoi que ce soit. Au niveau social, ce n'était pas la joie non plus. Même si je suis plutôt apprécié de tous grâce à mon côté sympas, je suis différent et je le sais. A l'époque, à l'intérieur du collège, j'avais quelques "potes" sans être populaire ni quoi que ce soit, j'essayais juste de suivre mon cour simplement ; même si par exemple, et ça aussi je croyais que c'était normal, je sressais dans le bus le matin et à chaque fois, au même endroit, j'avais cette pu**** de boule de le ventre avant de sotir du bus et de me confronter à tous ces gens, même quand je savais que j'allais retrouver des potes. En fait, je crois que j'ai toujours été une cou**** molle (façon de parler) et que je n'ai jamais été dans mon élément entouré par la masse (aucun sens péjoratif dans cette phrase, je me trouve débile c'est pour dire. Je parle de masse au sens premier du terme). Cette boule au ventre, se transformant parfois en horrible mal persisant, donnant l'impression qui des lames de rasoir, des boules de feu ou des boules pleines de piques aiguisés nous transperse le ventre de l'intèrieur (je vous jure que parfois c'est aussi aigu), elle ne m'a pas lachés et devant la récurrence de son apparition, créant des complits avec mon père car à l'origine de nombreuses absences (ça + le ratage de bus casi journalier...), aucun diagnostic médical n'a pu déceler un mal quelconque conventionnel ; ce qui énerva encore plus mon père (je le comprend maintenant, mais bon ça, au moins, ce n'est pas ma faute -même si j'ai aussi fais semblant, mais pas la mojarité des fois-). L'orine (phsycologique, c'est presque sur) vient peut-être de ma différence, peut-être de ma situation (divorce... C'est en tout cas l'hyopése de l'assistante social et d'autre gens avant elle). En tout cas, ça ne se manifeste plus ces temps si, temps mieux
3e : niveau insuffisant et vu ma non-challence et mon nombre d'absences, le proviseur ne me veux plus dans son établissement (je voulait redoubler, chaud l'autiste !!! ) et je suis passer au lycée en force, grâce à l'argumentation de mon père et la falsification de ma prof d'anglais... Elle a changé le niveau a ou b, enfin un truc qu'il fallait que je valide pour psser et que je n'ai biensur pas validé ; l'anglais c'est du chinois pour moi, depuis très longtemps
Seconde : année de merde. Je m'était adapté à une "bande" avec qui je trainais ; compasée par plus de fille que de garçon mais soit. Comme d'habitude, que ça soit avec les filles ou autres (surtout avec les filles ^^), je n'avait rien fais, j'était resté dans mon coin, doublement affecté car un attardé, bien que sympa et avec qui je continue à parlé au lycée à lheure actuelle (même passion pour la musique...), me collait aux basques à toutes les pauses... J'avais fais la lamentable erreur de le confondre avec quelqu'un que je connaissait de vue du collège et qui m'avais l'air sympas... Donc je me suis proposé de trainé avec lui et c'était trop tard... J'aurais du mettre mes lunnetes : de une se n'était pas celui que je croyais, ça je l'ai vu dés la première seconde, mais quand je me suis apperçu de ses limites, au bout de 5 minutes, le mal été fait et en plus j'avais tellement honte que je n'osais aller vers personne... Comme si mon associabilité naturelle ne suffisait pas. Heuresement, comme j'allais le dire, une fille de la classe est venu me sortir de cette enfer quelques jours après la rentrée en engegeant la conversation entre midi et 2 alors que je me trouvais tout seul. Même si on avait pas échangé un mot auparavant, elle à dit que j'avais une "bonne tête" (comme une auto-stopeuse... No drague elle était pas toute jeune XD) et donc elle à eu envie de me parler. Heuresement que j'ai ce capital sympatie naturel, sinon je serait bien dans la mer**. Bref, tout vas bien quelques temps puis y'a une embouille avec un grande gueule de la classe, qui est dans la bande en dillétante. En plus, c'est à ce moment là que je m'apperçois que toutes mes bonnes résolutions sont partis en fumée et que j'en ai pas foutu une au premier trimestre. Suite à un clash qui aurait pu être violent, je décide de m'isoler un peu en me disant que de toute façon j'aurais le temps de bosser comme ça. Le hic, c'est que ça a duré : d'un côté j'avais trop de timidité pour me faire d'autres potes, d'un autre côté j'avais trop de fierté pour revnir vers les anciens. Finalement, ce fut une longue traversé du desert ou venir au lycée était chaque jour un calver. Plein de fois, les autres m'ont tenduent la perche pour que je profite de leurs compagnie, etc, mais je m'était enfermé dans un cercle vicieux et je ne pouvait / voulait en sortir... Même si t'aprécie beacoup quelque'un, si tu vois qu'au bout de x fois il te met un vent ou trouve une exuse pour ne pas rester avec toi, tu vas lacher l'affaire plus ou moins vite... J'ai ressenti cette lassitude chez les autres vers la fin du 2e trimestre, enfin c'est vague... Y'a même quelqu'un qui ne m'aprécié pas plus que ça au début de l'année (rien de particulier, juste des choses qu'on sent...) et avec qui j'ai un peu échanger vers la fin de l'année, donc bon. Côté travail, j'ai mis le turbo pendant une relativement courte période, mais sans méthode, sans aller en cours... Avec tous le retard déjà accumulé des années précédente et preque aucun soutient (c'est moi qui l'évité, je le sait... J'ai du demandé de l'aide une fois ou deux) extérieur, j'ai eu quelques améliorations fulgurente mais non sinificative sur quelques ds de science, d'HG au d'option mais je n'ai jamais eu le courage de bosser les langues se qui m'a valu des moyennes + qu'exécrable dans ces matière tout au long de l'année ; sauf en français au premier trismestre ou l'écrit d'invention dont je me suis vu atribuer la note maxicmal m'a un peu sauvé. Résultat des course : le peu de progés que j'ai pu faire c'est vu diluer dans la masse de copies blanche, de devoir non fait et de nullité affligeante dont j'ai fait preuve en ds, même pour les matière que j'aime comme la physique ou les 3 ont été plus nombreux que le seul 17 illusoir reflétant un moment de motivation que ne prendront à juste titre pas en considération le conseil de classe et même la commission d'appel... Et oui, en plus de mêtre complètment isolé, j'ai fait la loque les 3 quart du temps et j'ai persisté dans mon absenthéisme jusqu'au bout de l'année si bien que même en ayant noté seulement le quart de mes absences sur mon carnet de correspondance, le 2e à presque été remplie...
En dehors des établissements scolaires, ça n'a pas été beaucoup mieux. Mère que je ne vois jamais, père ayant ces (grande) qualités mais aussi ces défauts presque constamment en conflit avec son connard de fils, amis qui se sont éloignés peu à peu, soii à cause de déménagement, soit parqe que c'est moi qui suit parti à la suite de "taillade" trop répétitive (j'ai tenu 3 ans je crois)... C'est moi qui en prennais le plus sur la gueule à chaque fois alors que j'étais celui qui ne faisais chier personne... Je comprend maintenant, on s'acharne tous sur le plus faible psycologiquement (enfin j'ai mais calité mental faut pas croire... Mais je suis sans doute trop faible. Soit je prend sur moi quand c'est de l'humour car j'ai horreur de me moquer des autres ouvertement, soit je peux devenir violent pour pas grand chose si je suis piqué à vif par des paroles ou des geste dont je ne persoit pas du tout l'humour... Mais sinon je suis pacifique). Maintenant je comprend un peu pourquoi je ne m'abaissais pas, malgré moi, à ces conneries. Maintenant, j'ai qu'un seul pote constant (ce qui ne veut pas dire que je ne voit personne d'autre) et récemment il s'est mis à fumer... Régulièrement. J'ai un côté bon vivant et je sais me mettre minable (même trop desfois) mais quand ça devient une addiction je ne suis plus. Il a été influencé par un pote à lui (sympas d'ailleur, mais trop de mauvais côté...), enfin il est assez grand pour faire ces choix mais bon. Je regrette le temps de foot "jusqu'a la mort" et les plan machiavélique qu'il pondait au sujet des "meuf". Ont était un peu complémentaire, moi qui ne comprend rien au femme et qui aurait tendance à me faire "baiser" par elles malgré ma selection assez stricte... Trop gentil, trop timide, trop innexpérimenté. Ces dernier temps c'est le néant (bien que ça n'a jamais été la folie), bien que je me fasse "constamment" draguer au lycée malgré ma passivité extrmême. Je ne peux pas vraiment définir mon qi à l'heure actuelle (même avec un test officiel je ne sais pas si je pourrais admettre que j'ai des "capacités", je suis tellement nul dans telement de domaines), mais je sais que mon qe (oui je sais, moi aussi ça me fais rire, mais c'est pour situer les chsoes ^^) est bien bas. Si je peux plus compter sur mon meilleur pote pour me "battre" contre les filles (contre moi même en fait, et ma nature de santimental béliqueux et hideux, de faible tout simplement), ça va être encore plus dur, je n'aurais ni soutient pour le scolaire, et ni soutient pour le sentimentale, et vu à quel point je suis paumé... Un jour, quand je serait assez aguerris, et c'est pas gagné, je m'autoriserait à croire en l'amour et à donner tout se qu'il y a de bon en moi, et j'espère que ce jour arrivera assez tôt ; mais pour l'instant, je ne prendrais pas le risque de détruire mon âme si fragile en faisant confiance à une de ces biatch actuelles. En tout cas j'espère rester asser fort pour maintenir ma pu**** de nature profonde à l'écart de tout ce qui ressemblera de prés ou de loins à de l'amour pendant ces prochaines année
Dans tout ça, heureusement qu'il y a la musique et le sport (musicien / athlète ^^) pour me libérer, comme je pense souvent "sans au moins un de ces moteurs, je lancerais surement la voiture derrière la falaise" (je ne suis pas du tout sucuidaire hein, justement je tien trop à mes pasion ^^) et pour me sentir plus fort (ça c'est surtout le sport)
Quel rapport avec le titre du pic ? Bha je sais pas. Peut-être suis-je, à l'opposé, débile. Ce qui expliquerait aussi bien mes différences et qui serait plus en concordance avec ma scolarité. Plus il y a de conjecture, plus je suis perdu. Le thème me hante maladivement depuis plus d'un mois, me prend preque tout mon temps et je ne sais pas quand est-ce que ça va s'arrêter. Mes illusions d'un jour ne sont que désillusions et deceptions le jour suivant. La bouée de sauvetage à laquelle j'essaye de me ratacher est trop glissante pour moi et je ne sais même pas si réussir à l'attraper me sauverait de la noyade... C'est rare que je dise ça, car au fond je suis assez fier, mais je vous envie, vous qui avez un super qi et / ou de super notes. Je vous envies, ça ne veux pas dire que je vous jalouse ; je sait bien que chacun doit se contenter de se qu'il a, je sait bien aussi que la la plupart de ceux qui réussissent ont fait ce qu'il faut pour
C'est bien plus que ce que je comptais écrire, mais temps pis, ça fait du bien, et même s'il n'y a qu'un personne sur 1000 qui lis ce texte (on sait jamais...), ou même 0, ça m'aura permis de revenir dans la passer et de faire une petite synthèse de l'état actuel des choses
OOLOLLOO JMEN BAS LES COUILLES
Omg il à foiré le topic avec ses trool celui là
J'ai ris du mec qui a pas compris que le topic est un gros TALC.
C'est vrai que y'a pas trop de VRAIS points en commun avec le titre ...
Oui le topic est un troll mais rien ne l'empêche d'être sérieux. C'est vous qui décidez
C'est d'ailleur pourquoi il fait 30 pages
Jerry a "enfin j'ai mais calité mental faut pas croire."
Non, sérieusement, c'est touchant et je me sens un peu comme toi, mais quand même en moins solitaire je vais dire.
Reste fort et continue surtout tes passions, tout comme moi le sport est est vraiment un de mes seules buts dans la vie.
un but ..
a goal
les test de QI traditionaux ne font que "mesurer" les performances de l'Instant Donné, du lobe temporal gauche ! alors que les capacités intelectuelles d'adaptations, résultent d'un équilibre entre le lobe gauche et le lobe droit,celui du QE, du quotient EMOTIONEL; ainsi qu'un bonne connection des synapses envers les neurones le tout alimenté par une bonne dose de dopamine et de sérotonine...