Et des mecs qui se niquent le cerveau uniquement pour atteindre un état de joie qu'ils ne sont même pas capables d'atteindre sans l'aide de substances illicites, j'appelle ça des faibles
Alors là, +1000
Marquis-de-Sade je parle du cannabis en tant que plante Tu peux la consommer sans la fumer.
" Effets secondaires indésirables [modifier]
Sommité fleurie de cannabis, partie destinée à être consommée
Même si les effets durent en général quelques heures, le cannabis reste entre 18 à 24h dans le sang et l'élimination de celui-ci par le corps est particulièrement lente : plus d'une semaine pour éliminer la moitié de la dose absorbée. Ainsi il suffit d'un joint par semaine pour que le THC s'accumule dans le corps.
Après la consommation, l'usager peut manifester les symptômes suivants :
* yeux rouges, mydriase[32] ;
* tachycardie, hypertension/hypotension (parfois jusqu'à l'évanouissement) ;
* assèchement buccal (familièrement appelé « la pâteuse » ou « moquette » souvent caractérisée par un blanchiment de la langue) ;
* anxiété ;
* difficulté de concentration ;
* altération de la mémoire immédiate ;
* troubles de la perception du temps (quelques minutes semblent être des heures, ou l'inverse) ;
* paranoïa ;
* repli sur soi-même ;
* nausées, vomissements, évanouissement ;
* chute de tension (peu après l'effet recherché).
* tremblements;
* sensation de froid intense.
Les effets psychiques sont liés à la personnalité de l'usager.
Le cannabis altère la mémoire immédiate, la concentration, le rappel des souvenirs ou des mots et peut donc diminuer les capacités d’apprentissage. En l’état actuel des connaissances, la mémoire ne semble pas affectée au-delà du temps des effets du cannabis, c'est-à-dire quelques heures[33]. Cette amnésie est multipliée en cas de consommation associée avec de l'alcool[34].
L'usage de cannabis peut traduire un mal-être psychique – parfois insoupçonné – pouvant se transformer en paranoïa, crises d'angoisses, sentiment d'oppression. Il existe aussi quelques cas de psychose cannabique aiguë[35].
Au niveau neuro-psychiatrique, la substance peut diminuer l'attention, aggraver ou révéler des troubles psychiques comme n'importe quel psychotrope. Un syndrome amotivationnel (démotivation) peut apparaître, ainsi que : manque d'estime de soi, intempérance, dépression et tendances suicidaires. Il existe une corrélation entre l'usage prolongé du cannabis et la dépression chez certains patients mais il reste difficile de dire si le cannabis produit la dépression ou si la dépression favorise une consommation chronique... Différentes études, à la crédibilité variable, suggèrent des liens entre schizophrénie ou psychose[36] et cannabis (plus de détails dans l'article).
À long terme, les effets sur l'homme ont besoin d'être étudiés. On cite cependant des affections durables des voies respiratoires similaires au tabac : toux, cancer bronchique, bronchite chronique, emphysème (du fait d'inhalations profondes et prolongées). Par ailleurs, l'inhalation de la combustion de produits de coupe souvent présents dans le haschisch expose l'usager à des risques aussi aléatoires que néfastes. L'herbe a été exceptionnellement coupée à l'eau, au sable voire au verre pillé afin d'alourdir la masse et donc d'augmenter les prix[37].
Une dépendance physique existe, même si elle est moins marquée que pour d'autres produit, probablement du fait de la demi-vie plus longue du THC dans le corps. Il faut également signaler qu'une dépendance physique au tabac, utilisé dans la confection du joint, se manifeste très souvent chez les fumeurs réguliers de cannabis. Cependant, un joint peut également être confectionné uniquement avec la substance.
Selon une étude d'une association de consommateurs, fumer trois joints équivaut à fumer un paquet de cigarettes. La fumée de cannabis contient sept fois plus de goudron et de monoxyde de carbone que la fumée du tabac seul[38],[39],[40]. Cet essai est en contradiction avec d'autres travaux scientifiques qui estiment que « fumer du cannabis n'accroît pas le risque de cancer[41],[42] » ou que les risques cancérigènes sont à imputer à la présence de nicotine due au mélange avec du tabac[43]. Alternativement à la combustion, l'usage d'un vaporisateur, en vente libre, délivre une vapeur de cannabinoïde pratiquement pure[44].
La consommation à l'aide d'une pipe à eau augmente très fortement l'inhalation de produits toxiques[45].
Des troubles de comportement sont observés chez l'animal de laboratoire qui y est exposé, y compris chez des espèces très éloigné des mammifères comme l'araignée. Le cannabis est un des produits dont les effets ont été testés sur des araignées dès les années 1950. Comme pour d'autres drogues, les araignées qui y sont exposées, même à de faibles doses, ont produit des toiles tout à fait anormales[46][47], [48], [49]. Plus la toxicité du produit est élevée, plus l'araignée laisse de manques dans sa toile.[50]
Surdose [modifier]
Aucune surdose (=overdose) due au cannabis n'a encore été enregistrée et c'est ce qui contribue le plus à sa réputation de « drogue douce »[51].
Effets sur les adolescents [modifier]
Selon une étude[52], il n’y aurait aucune différence sur le plan cérébral entre ceux qui ont régulièrement fumé de la marijuana au cours de leur adolescence et ceux qui n’en ont jamais fait usage. Une autre étude [53] affirme plutôt que les personnes prédestinées à la schizophrénie voient leurs symptômes précipités lorsqu'elles commencent à consommer pendant l'adolescence. La consommation intensive de dérivés concentrés, comme l'huile de haschisch, favorise, particulièrement à l'adolescence, l'apparition des troubles psychotiques.
Effets sur la conception et la reproduction [modifier]
La consommation régulière de joints, chez l’homme, contribue à une baisse de la fertilité[54],[55].
Pendant la grossesse, la consommation de cannabis risque d'entraver l'activité cérébrale du fœtus, retardant le développement du cerveau in utero[56],[57]. La tératogénicité de la consommation de cannabis durant la grossesse semble cliniquement non significative. Cependant, après une exposition in utero au cannabis, des atteintes cognitives pendant les années d'enfance ont été observées, avant tout sur l'attention et les tests d'hypothèses par voie visuelle[58].
Effets sur les processus de mémorisation [modifier]
Des universitaires américains[59] ont découvert que le cannabis perturbe les processus de mémorisation du cerveau en désorganisant le fonctionnement électrique de l'hippocampe, structure clé du cerveau pour l'activation de la mémoire. Le cannabis aux doses usuellement présentes chez ses consommateurs supprime les oscillations électriques, essentielles dans le processus d'apprentissage et de mémorisation. Les processus cognitifs sont désorganisés.
Selon le professeur Jean Constantin, la principale substance active dans le cannabis, le THC, bloque aussi la libération d'un neurotransmetteur important dans l'hippocampe, l'acétylcholine, affectant le fonctionnement électrophysiologique du cerveau.
En 2006, le service Neuropsychologie de l'INSERM de Marseille avait montré que le cannabis perturbait chez le fœtus la formation des réseaux de neurones dans le développement du cerveau, ce que confirme la proportion très élevée d'enfants ayant un retard mental chez les mères fumeuses.
Autres effets [modifier]
L'utilisation de cannabis augmente significativement le risque de maladie parodontale (maladie du tissu soutien des dents)[60]. Il semblerait aussi que la consommation de cannabis induisent chez les personnes cancéreuses une augmentation plus rapide de la taille des tumeurs. Cela serait en partie dû au THC, qui induirait une réponse immunitaire de type Th2, au lieu d'une réponse de type Th1, nécessaire à la lyse des cellules cancéreuses."
Inoffensif en effet