Laissez le, il est bien trop occupé à aller pêch...
Ah non, je n'ai rien dit, oubliez.

Owi

cette raclure il nous fait baver et mtn il nous laisse en chien sur notre faim en attendant la fin

dddddd4rkkkkk Si tu veux, je poste la suite après demain.

Sweet dans 5 minutes.

PTDR je suis qu'une pute, j'me chie tellement dessus que j'ai allumer la lumiére cash

Aight McKay te pardonne pour le citron.

ya pas de sweet dans 5 min ou autre ... tu perds tout le monde ça fait 20 min que j'attend la sweet je te suis depuis le début

A la toute fin il ouvre la porte, il crie un truc, un ours de pointe et réponds "TOI MEME !"

Fin,

You've been trolled.

si il va poster la fin j'en suis sur

À la fin, un homme effrayé est au bout du couloir et se sauve de son hotêl

Mais oui il va la poster, j'le fou tout seul dans un jumper sinon.

Go il est :33

C'est bon, j'écris la sweet là.

Laissez le se concentrer, c'est une opération très délicate.

Putain tu fais chier, je croyais que tu l'avais déjà écrite

Ah bon, pcq tu l'avais pas encore écrite espece de sale batard ?

Vas bien te faire anculer alors, pouilleux va.

Voilà. Accrochez-vous. Relisez les dernières parties si il le faut, si vous voulez TOUT comprendre. Pensez à relever les subtilités.

8 heures. Pas dormi de la nuit, mais ce n'est pas grave. Ce n'est plus important maintenant.

Il fit très rapidement ses valises, prit soin de ne rien oublier, et évita à tout prix de poser le regard sur le rideau.

Il ferma sa porte à clé, descendit de l'escalier avec ses valises, et commença à traverser le hall, quand la femme l'intercepta.

" -Bonjour monsieur ! Oh, vous nous quittez déjà ?"

Ses nerfs lâcha.

" - Bon, c'est fini vos magouilles, vos histoires, ou ce que vous préparez. Vous pensiez vraiment que je ne m'étais pas rendu compte de... ce couloir bizarre, derrière cette foutue porte dans ma chambre ? Non non non non... Hé hé, vous ne m'aurez pas comme ça, croyez-moi. Je vous dis adieu, car je ne reviendrai plus jamais dans ce pays de fous. Et ne comptez surtout pas sur moi pour vous payer, je vous le garanti."

Il respira un grand coup. Ça faisait du bien. Mais il attendait sa réponse, par curiosité, et fit une grimace quand il vit que la femme ne semblait pas du tout choquée ou gênée de ce qu'il venait de dire.

"- Bon dieu, vous ne m'aviez encore une fois pas écouté !
Bon, pour la dernière fois, je vous en supplie, si vous venez à de nouveau être dans ce couloir, surtout, mais alors, SURTOUT, ne blasphème pas ! Ne dites rien, n'ouvrez surtout pas la bouche pour émettre le moindre son !

- Ça ne risquera pas, vu que je m'en va...

Son téléphone sonna. C'est son premier client. Que va-t-il lui annoncer maintenant ? Qu'il annule son contrat ?

"- Allô ? Oui... Non, ne vous inquiétez pas... Demain ? Désolé monsieur je pars tout de s.. Quoi ? 2 millions d'euros..? C'est... une blague ? Un héritage vous dites ? Je... Bon, d'accord, je viendrais tout récupérer demain. Merci beaucoup, bonne journée, au revoir."

Il n'en revenait pas... 2 millions d'euros. Il était déjà riche, mais avec cette somme, il pouvait dès à présent arrêter de travailler, et concevoir une vraie vie de famille.
Mais il n'eut pas le temps de rêvasser qu'une voix familière le réveilla.

"- Bon, je vois que vous restez, au final. Laissez vos bagages là, je les remonterai pour vous. Je suppose que vous avez beaucoup à faire aujourd'hui, alors ne perdez pas de temps, bonne journée monsieur !"

Elle n'était plus qu'un mauvais souvenir. Toutes ses mésaventures n'étaient plus que ruines et poussières, face à la somme qui l'attendait demain.

" - Ouais ouais, c'est ça. Fermez-là et remontez-moi tout ça.

- D'accord monsieur."

Ah, et enfin elle fermait son clapet et obéissait. Il n'arrive même plus à savoir pourquoi il se sentait si mal ce matin, et n'arrive pas non plus à concevoir ce qui pourrait de nouveau le faire tomber en dépression.

Sa journée passa rapidement, comme il espérait. Il réfléchissa à comment il pourra utiliser son argent, combien d'escort-girl il pourrait se payer en même temps par soir, tout en se promenant dans cette sinistre ville. Pas si sinistre d'ailleurs, il lui trouva un petit côté poétique et mélancolique.

Il rentra tard. La nuit était déjà tombée depuis longtemps. Il traversa le hall, et regarda la réceptionniste. Depuis 4 jours, elle n'avait jamais bougé. Mais, peu importe.

"- Bonsoir monsieur, vous avez passé une belle journée ?

- Vous savez, ça fait depuis quelques temps que je me retenais, mais je n'arrive plus à me contenir. Fermez votre gueule. Honnêtement. Votre sourire hideux, votre affreuse voix, votre visage de monstre... On comprend pourquoi personne ne viens ici. Remettez-vous en question ma belle. Optez pour le suicide, ça sera plus simple et rapide.

- J'en conclu donc que oui. Nous ne nous verrons pas demain matin, donc si vous pouvez poser sur le comptoir les 100 euros que vous avez parier hier soir dès maintenant..."

- Faites votre maligne, oui. Faites comme si vous ne m'aviez pas entendu, mais vous ne pourrez pas fuir éternellement, vous savez ?"

Il posa les 100 euros sur le comptoir. Il eut un léger frisson, comment a-t-elle su qu'il les avait parié ?

"- Je vous souhaite une très, très bonne soirée, monsieur. Adieu."

Il monta rapidement les escaliers. Finalement si, elle avait réussi à sapper son humeur, avec ses allusions et histoires bizarres...
Il ouvrit de nouveau la porte de sa chambre, lui qui pensait ne plus jamais l'ouvrir. Et l'horreur le frappa.

Les rideaux étaient tirés, le tiroir de la table de chevet ouverte. La porte était également ouverte, la clé dans sa serrure, donnant sur le sombre couloir. Tout était sombre, nulle lumière allumée...

Mais ce n'était plus de la peur qu'il ressentait. Lui qui se sentait si fort désormais, si fier, et que ces événements bizarres lui retombent dessus à chaque fois...
C'était de l'agacement. On pouvait lire une lueur de courage dans ses yeux. Il s’avança dans le couloir, tranquille, sans peur. Il entendit d'étranges sons venant du fond du couloir, comme une respiration saccadée, mais pas humaine...

Mais il s'en fichait. Il repensa au mots de la femme de ce matin.

"je vous en supplie, si vous venez à de nouveau être dans ce couloir, surtout, mais alors, SURTOUT, ne blasphème pas ! Ne dites rien, n'ouvrez surtout pas la bouche pour émettre le moindre son !"

- Ah oui, hein ? On va voir ça.

Puis, il cria :

- " Hé, sale con !"

Plus un bruit. Un silence. Un silence, de mort.

Soudain, un rugissement. Fort et terrible. Le sol et les murs se mirent à trembler, et du fond de l'obscurité du couloir se dessina une affreuse silhouette.

Et la, un immense gorille sortit du couloir, choppa l'homme par le col, et lui cria :

"- Toi même !"

Puis il retourna dans l'obscurité.

Voilà

Thx =P