Entre ouvert et fermé enfin plus fermé quand même
Au niveau des tétons a peu près
Ce qui tombe le plus naturellement possible chez moi
plus je fais coude ouvert et plus je sens les tri
ce qui est absolument genial vu que je peux pas faire de couché coude ouvert a cause de mon avant bras gauche
PUTAIN
ah ok je vois
je pensais que t'utilisais le guidé pour etre dans une position non anatomique on va dire
Au niveau largeur de prise je suis un poil en dessous de la largeur des épaules
Séances après séance je peux rapprocher sans douleur
https://www.youtube.com/watch?v=t750PnuichE&noredirect=1
OMG il y en a des monstrueux
Ah ok, je te demanderai pas comment t'es tombé la dessus (et pourquoi t'as cliqué)
http://fuckarounditis.net/wp-content/uploads/2013/02/57.jpg
le monde a l'envers
Tu peux demander.
Je regardais une vidéo sur un lynx domestique, à côté il y avait une vidéo du combat d'un type avec une hyène, j'ai cliqué, et il s'avérait que le type en question était un BB. J'ai cliqué sur une de ses vidéos et à côté il y avait la compilation.
Salut tout le monde
Existe t il sur internet un pdf des méthodes Lafay en téléchargement gratuit svp ? Je cherche mais je ne trouve pas
quand tu vas dans un bar tu demande a voir les baignoires remplies d'alcool frelaté?
omg ce que regarde l'autre Jean Constantin
+1 jerry de ce jean-freluquet
"Notre temps a l’horreur du vrai, des mots justes, des hommes sincères.
Il faut, pour plaire, ne se servir que d’eau tiède, de mots incolores, ne jamais oser claquer à la face des mous et des canailles les rudes vérités qu’ils méritent.
Désobéir à cette loi hypocrite d’un conformisme asexué, c’est se condamner à l’avance à être traité en sauvage inassimilable et en barbare.
Eh bien, allons-y ! Barbares, nous le sommes.
Nous avons des dents pour mordre, des poings pour frapper, des bottes pour rejoindre ceux qui sont vils, qui salissent, qui déshonorent un temps où plus que jamais on a besoin d’âmes fraîches et droites dans des corps forts.
Nous voyons évoluer sous nos yeux, arrogants, bardés d’honneurs, de l’argent plein les poches, mille fripouilles qui bafouent la vertu et il faudrait tourner quarante-six fois sa plume dans une encre décolorée avant de tracer les mots nécessaires.
Doser ses mots sur la balance d’un pharmacien grammatical, en face d’êtres nuisibles, c’est de la complicité. C’est céder devant le mal, c’est admettre qu’on lui doit des égards. Or, le mal n’a droit à rien, sinon aux coups. Ce qui est mauvais, on saute dessus, on lui plante ses mains dans la gorge et on ne s’arrête que quand il a fini de râler.
Toute autre attitude est de la comédie. Nous ne trouvons rien de plus odieux que ces salonnards qui se battent en n’y croyant pas, qui font des phrases, les cadencent, les policent et les châtient, au moment où il s’agit d’abattre ce qui est faux et ce qui est pervers. On ne nous amènera jamais à ces petites manières-là ! Quand nous trouvons devant nous des politico-financiers qui pillent la nation, nous leur collons – et nous leur collerons demain encore – un point de fer en plein le nez et en plein les dents.
Seuls les dégénérés ont peur des mots qui font image, qui ont de la force, qui jaillissent avec l’élan coloré de lumière et de fleurs.
Pauvres petits, va ! Qui tremblez devant un mot neuf, savoureux, plein de sève et qui vous vous voilez la face avec des airs confus. Qu’est-ce que vous avez dans les veines ?
Tout vous fait peur. Vous ne voyez plus le monde qu’à travers des demi-mots. Quand vous en avez un vrai au bout de la langue, il vous pique, il vous brûle, et vous faites la grimace comme si vous aviez fumé votre cigarette à l’envers
On n’est pas de la même race.
Vous appartenez à celle des impuissants fleuris et pomponnés. Nous sommes, nous, les barbares ! Entendu.
Nous croyons encore au vrai, aux combats qu’on mène pour lui, aux lois magnifiques de la sincérité et à la force qu’on met à son service.
Quand vous vous battez, vous le faites avec des gants beurre-frais, en minaudant. Nous, on met les vrais gants, les gants de boxe ! Et ça tape juste, en plein, quand ça arrive. Et nous poussons, quand l’autre a reçu le coup, un cri vigoureux et triomphant !
Restez dans vos salons, parmi vos dentelles, susurrez vos mots gentillets comme des bonbons minuscules.
La vie est à ceux qui la prennent. Vous, elle vous fait peur. Nous, elle est notre sang, le rythme de nos combats, la vigueur de nos mots en bataille. Et la vie gagne toujours !
Nous aimons mieux être vainqueurs que gentils. Car la gentillesse et la fadeur ne mènent nulle part. Tandis que notre victoire, franche, solide et dure comme la vérité, changera le pays et retrempera les âmes.
Nous dirons toujours les mots qu’il faut, pour servir l’idéal pour lequel nous vivons. Et tant pis, mon vieux, pour ceux qui, lâches ou vils, rencontrent nos coups sur leur route."
pas lu + pavay de Jean yolantin grand mots
Joli texte.
Serveur down on dirait Brachial...
Bonne nuit le topic
http://2.bp.blogspot.com/-q6lbLjwkfLk/TawvQMszoGI/AAAAAAAAAfY/vvhjvWXadIc/s1600/virevoltant-tumbleweed-2.jpg
Présent !
Toujours là depuis le début Emi