Salut all!

Sweet à 14h10! (Je viens de me lever)

Super original dis moi ?

Bon en fait la sweet maintenant.

Ok. Je m’étais arrêté où déjà ? Ah oui le pot de Nutella.

Donc comme je le disais la journée s’annonçait mauvaise.

Mais j’étais loin de me douter qu’elle serait aussi mauvaise.
Après avoir pris mon petit déjeuner, je pris mon sac et partis au lycée comme tous les matins depuis deux mois.

L’arrêt de bus était à 2 minutes de chez moi. Je mis donc mes écouteurs et lançai « Sweet Home Alabama » des Lynyrd Skynyrd. Au bout d’une minute j’eus l’étrange impression d’être observé.
Je tournais la tête de tous les côtés mais n’aperçus rien. La rue était vide. Pas un chat.

Enfin l’arrêt. Je n’eus pas à attendre longtemps. Le bus arriva une vingtaine de secondes plus tard. Bizarre. Il était prévu pour dans deux minutes.
Je montais donc dans le bus et tout de suite je remarquais que quelque chose clochait. Aucun enfant n’était présent. Aucun ado. Aucune femme. Juste quatre hommes habillés en costume cravate rouge flamboyant, chacun à un coin du bus. Autant vous dire que je commençais à flipper.
Mais bon. Je pris un siège et m’asseyais. Je fermais les yeux et me plonger dans ma musique. Je les rouvris 3 minutes plus tard. Quelque chose n’allait pas. Le bus ralentissait pour s’arrêter dans une grande étendue de terre entourée de bâtiments délabrés.

Je me précipitais alors vers la porte. Fermée. Les hommes en rouge s’approchèrent de moi. Puis plus rien. Le noir total.

up

Sweeeeeeeeeeeet

Faites la partager sur les autres topics please

Continue ta fic, elle est pas mal, mais évite les incohérences

Ok sweet dans 1/2 heure !

Non tout de suite !

ok j'aime bien mais faut que tu mettes du temps entre chaque suite pour du succés

ett sweeeet

Je te suivrais jusqu' à ma mort

Sweet

Ok sweet dans 2 minutes

Cela fait déjà 4 minute et 29 secondes de trop

-Réveille-toi p’tit con !

Tout est flou Aucun souvenir Putain Deux personnes, non trois C’est quoi leurs visages

-Je t’ai dit de te réveiller !
Ta gueule, j’ai envie de lui dire. La pièce. Grande, carrée, grise austère Je reçois un saut d’eau sur la tête. Je suis enfin lucide.

Trois personnes me regardent d’un air sombre. Un homme de 2m, en T-shirt Metallica, genre armoire à glace, avec une tête de bouledogue ; un homme de carrure classique mais habillé en costume rouge, chaussures rouges, cravate rouge, cheveux rouges et lunettes de soleil rouges ; Et derrière non Je rêve pas possible...
Ma prof principale, Mme David. Elle se tenait debout bien droite, les mains croisées et me fixait d’un air colérique. Je n’avais pas oublié la gifle mémorable qu’elle m’avait flanquée en début d’année.

-Que Que
- Tais-toi ! Me fit ma prof.
-Mais
-Ta gueule, tu sais pourquoi tu es ici ! Je ne comprenais absolument rien. Mais je savais que ça allait mal se finir.
Soudain je remarquais dans la poche de Metallica un Colt M 1911. Il n’y faisait pas attention et le flingue dépassait.

L’homme n’était manifestement pas un professionnel.
-Tu nous a vus le 31 août et on le sait très bien. Tu es face à une organisation puissante et tu ne peux rien. Nous allons donc te liquider tout de suite.

C’en été trop. Je me levai, prenais le flingue de la poche de Metallica, enlevait le cran de sécurité et lui tirais une balle dans la tête. Elle explosa littéralement. Je vis le père noël prendre le sien et lui logeait une balle dans l’estomac avant de l’achever dans le cœur. Puis ma prof paniqua et s’enfuya à toutes jambes vers une porte. Je visais mais ne réussissait qu’à toucher les jambes.

Je n’eus pas le temps de finir le travail. Une armée rouge déboula sur moi. Je pris mes jambes à mon cou et franchis une porte. Deux solutions : A droite ou à gauche. Par instinct je choisis la gauche. S’en suivit une course poursuite dans les couloirs du bâtiment.

J’arrivais enfin dans le terrain vague du début. Comment faire pour m’enfuire. Au fond du terrain : une Lexus avec quelqu’un au volant. Je courrai alors à découvert vers la voiture. Des coups de feu fusèrent. A dix mètres de la voiture, je fus touché par une balle à la jambe. Non !

Je tombais par terre et mon regard se brouillait. Je fis alors un effort surhumain et me trainais vers la voiture. Je menaçais le chauffeur avec le flingue, m’installai au volant et quittais le terrain vague à une vitesse folle, le regard se brouillant de plus en plus

Sweet?

? Vous lisez plus?

Franchement j'aimait bien, mais ça commence à devenir un peu du n'importe quoi.