Je vais faire le gros dégueulasse mais...
A quand le Z+V ?
readmetxt : Je ne dévoilerai rien, pas même sous la torture.
Je n'ai même pas osé résister. La hargne que j'avais il y a si peu de temps avait presque déjà disparu, sa détermination m'effrayait, ses mots incarnaient la fermeté. Elle usait de l'impératif comme d'un rasoir incisif. J'étais sa chose, elle contrôlait tout, elle était douée. Nul doute que peu auraient ne pas agir comme moi.
Ses yeux étaient fermée, sa bouche de même, elle attendait d'être couverte de baisers, de prendre du plaisir.
J'ai gravis les quelques centimètres qui me séparaient de son cou, et je lui ai donné les baisers qu'elle attendait.
La peau de son cou était douce, je sentais quelques cheveux sur mon visage. J'ai cru voir en elle un sourire, si faible soit-il, mais il se peut bien que je me sois trompé. Pourtant, je savais qu'elle aimait ce que je lui faisais, quiconque a déjà goûté à la saveur d'un baiser dans le cou saurait être de mon avis.
Conjointement, je lui détachais ses boutons, n'ayant qu'une seule main de libre j'avais du mal. A la moitié des attaches desserrées, l'un d'eux ne m'a pas cédé. Je devais être gauche, veule et même comique. J'y suis allé avec lenteur, afin de lui faire croire que je n'étais pas en difficulté, bien sûr, elle ne devait pas en être dupe.
J'ai du m'aider de ma tête, ça a été une grossière erreur.
Ayant levé ma figure pour observer comment ses boutons étaient construits, j'ai pu jeter un coup d'oeil furtif vers son bas-ventre, mais sitôt qu'elle sentit que la pression au niveau de son cou s'était relâchée, elle m'a plaqué une seconde fois contre son corps en me tenant par les cheveux, cette fois-ci contre son soutien-gorge. Vous vous doutez bien que ma face n'a pas été torturée par l'écrasement sur ses seins, c'était même vraiment léger et douillet.
Cependant, je ne m'attendais pas à ce qu'elle fasse cela, c'était blessant, je n'aimais pas ce genre de pratiques, je n'avais jamais été attiré par la violence et j'avais toujours essayé d'éviter les bagarres quand elles se présentaient à moi. Non pas que j'avais peur, mais je n'aimais pas ça.
La main qui l'avait aidé à m'envoyer valser était encore sur mes cheveux, qu'elle tenait bien fermement, elle s'est même aidée de son autre main pour ne pas que je ne me recule.
"Obéis-moi si tu veux que ça se passe bien, ok ? elle m'a sommé. En même temps qu'elle disait ça, elle me tirait les cheveux avec vigueur, pour que je réponde. Ca faisait mal.
- Ok, ok, mais lâche mes cheveux!
- Encore un ordre ? s'est-elle amusé à m'envoyer pour me narguer.
- S'te plait..
SWEET
Need sweet
Sweet
Chaud le canard
je l'aurais déjà baffé cette conne
Bifflé même
Bon je l'avoue, je l'aurais Z+A
Need la sweet
Sweet !
J'up le topic
Suite ce soir .
Moi je dis la fille 16 ans parce que je pense qu'a 11 ans on est pas formé comme elle et le gars 20 ans.
à 20 ans tu te casserai la tête à aller chez l'amie de ton petit frère ??
Si mes parent me l'oblige
Et sinon 13 tu la postera quand à peu près la sweet ?
Elle m'a un peu relâché les cheveux, pour que je n'ai plus mal, ou bien pour que je puisse effectuer ce qu'elle voulait du mieux que je pouvais.
Alors j'ai fais ce qu'il fallait, j'ai continué, jusqu'au bout j'étais pittoresque. Mais encore une fois, je ne pouvais rien faire, si je faisais autre chose, elle m'aurait de nouveau pris les cheveux. C'était fort déshonorant mais je vous assure que ça fait mal lorsque nos cheveux sont tirés avec brutalité.
- Trouve-la clé avec ta bouche.
Ma bouche sur son soutien-gorge, en plein milieu, je distinguais maintenant sa couleur, noir. Il était d'ailleurs assez beau, un petit fil séparait les deux parties, il était relativement peu épais. La forme était comme je l'avais déjà remarqué, assez grosse, et formait une jolie courbe. Définitivement, sans mentir, elle ne devait pas vraiment avoir de défaut apparent. J'ai imaginé que la clé devait se situer à l'intérieur de son bustier.
Je ne pensais plus à rien. Enfin si, je pensais, mais plus à autre chose, j'étais assigné à cette tâche, je la respectais, je décidais de le faire, d'obéir encore une fois, une dernière fois. De toute manière quoi qu'il arrivait, elle me ferait porter le chapeau et ça serait fini.
J'ai commencé à m'agiter vers l'un de ses seins, afin de trouver cette fichue clé. Et le désir sexuel a repris. Ma bouche s'est frottée à son tissu. J'ai lâché un baiser. Ca, ce n'était pas ce qu'elle m'avait demandé, j'en faisais plus, c'est donc que je n'étais plus réellement un opprimé, je me suis surpris à penser. Mais en réalité j'en étais encore vraiment un, puisque si j'avais voulu m'enfuir, je n'aurais pas pu.
J'ai continué ma route en caressant doucement le tissu de son sein, cherchant où cette clé pouvait avoir choisi place. J'ai atteint l'extrémité de son sein, où devait être le mamelon. Je ne l'ai pas senti. Je suis alors descendu en bas de son sein, et j'ai raclé mes lèvres contre la clé, que je sentais sous son soutien-gorge.
A ce moment là, je vous jure que j'ai été déçu de la trouver si vite. J'ai été déçu de ne pas avoir à parcourir l'autre sein. J'ai du être dans une phase étrange où je ressentais de l'amour pour cette fille. De l'amour, le mot est bien fort. C'était sûrement une dose extrême d'excitation sexuelle. Ce stade ne m'est pas arrivé souvent ce soir-là, mais parfois pendant que j'étais avec elle, je ressentais des pulsions, une envie d'elle assez forte. Et tout le monde, encore une fois, n'aurait pu s'empêcher d'en ressentir ce soir-là avec cette mystérieuse personne.
sweet !
A quand la sweet ?
Bientôt.
SWEET !