J'aime bien l'allemand mais j'y pige que dalle
C'est une langue vulgaire je trouve, qui manque de douceur.
Mais bon c'est un avis subjectif.
J'aime beaucoup les pays germanophiles, par contre.
"Le problème, c'est que tu argumentes par rapport au moment où nous sommes morts pour répondre à mes arguments par rapport au moment où nous sommes vivants.
Tu critiques les gens qui ont peur de la mort Ces gens sont donc vivants. Ils ont peur de cet événement qui pourrait leur couper la vie, ce moment qu'ils aiment et apprécient en compagnie d'autres gens qui eux de leur vivant pourront regretter la disparition de ce mort.
Tu n'arrives pas à cerner cet aspect, et c'est bien dommage. Tu argumentes tel un égoïste qui n'a peur de rien du moment où c'est "normal" et que ça doit arriver. Mais une mort prématurée, fait-elle vraiment partie du chemin de la vie que nous voulons de notre vivant ? Et de notre mort, fait-elle partie du chemin de la vie que veulent nos proches ? J'en doute très fortement."
Primo, j'argumentais en effet en parlant du moment où nous sommes morts. Durant la vie, tu as PEUR de la mort. La peur existe, mais pas encore la perte.
Secundo, c'est justement là le point qui m'intéresse. Tu dis "Ils ont peur de cet événement qui pourrait leur couper la vie, ce moment qu'ils aiment et apprécient en compagnie d'autres gens qui eux de leur vivant pourront regretter la disparition de ce mort.". C'est ça qui me dérange. Cet événement leur coupera la vie, inévitablement, et leur coupera de la compagnie des autres. Et alors ? Ils ne s'en rendront PAS COMPTE, c'est ça le truc. Et n'essaye pas de me faire gober que les gens ont peur de décevoir les autres en mourant. Les gens paraissent, superficiellement, aimants envers autrui. Tu parles, confronte-les à la vie/mort et ils deviendront égoïstes.
Tertio, tu parles de chemin de vie. La vie suit-elle vraiment un chemin, Barti ? La vie n'est qu'une succession d'événements qui dépendent d'autres facteurs. Et pour certains, la mort arrive plus vite. Ils auront vécu moins longtemps. Ce n'est qu'un fait. Il n'ont rien perdu du tout.
Quarto, tu interprètes mal mes dires. Je n'ai pas dit que je n'avais pas peur de la mort car "elle était normale". Je n'ai pas peur de la mort car je la considère d'une toute autre manière que vous. Je ne vais pas développer ma pensée, on est le soir, j'aimerais me reposer, ça prendrait très longtemps pour moi d'écrire tout ce que je pense sur la Mort. Sache juste que je ne crains pas la mort car je la considère comme un élément positif. Et tu es, je suppose, d'accord pour dire que toutes les choses "normales" sont positives. Exemple : Tout le monde se blesse, de multiples fois par an. C'est normal. En est-ce positif pour autant ? Pour les masochistes, oui, pour le reste, non.
"Maintenant, si tu t'en fous que d'un jour ou l'autre, tu ne sois plus rien qu'une pensée au travers d'autres gens et que la tienne ne persiste plus, c'est que tu te fous totalement de la vie et que tu ne portes aucun attachement à ta conscience. Ce n'est pas mon cas. La vie me plait, j'ai envie qu'elle dure le plus longtemps possible, j'ai envie que ma conscience persiste, j'ai envie de voir l'évolution du monde et de survivre aux autres. Je n'ai pas envie que mes proches soient tristes si je meurs trop jeune également. "
Primo, je n'ai pas dit que je m'en foutais. J'ai juste dit que ça n'était pas quelque chose de mauvais.
Secundo, ta déduction est fausse, du moins de mon point de vue. Est-ce parce que je ne considère pas la mort comme une mauvaise chose que je me fous de la vie ? Imagine quelqu'un qui se fout de se faire de petites plaies, ça arrive tous les jours, en s'écorchant, en se cognant. Est-ce parce que cette personne ne considère pas ça comme gênant qu'elle s'en fout de la bonne santé, de l'état du corps dans lequel tu n'es pas blessé ? C'est aussi simple que ça.
" La vie me plait, j'ai envie qu'elle dure le plus longtemps possible, j'ai envie que ma conscience persiste"
POUR-QUOI ? Pourquoi, nom de Dieu, pourquoi ? Qu'elle dure ou s'arrête, quelle importance ? Si elle dure, tant mieux, si elle s'arrête, qu'en as-tu à faire ?
Tu penses comme cela car tu es attaché à la vie. Et c'est normal, tout le monde ou presque y est attaché. Imagine que tu manges un délicieux repas. Tu y es attaché, tu as envie que ça dure, car tu en sens le goût exquis, tu veux que le bonheur dure. Mais il faut bien que le repas s'arrête, car il n'est que superficiel.
"Pourquoi penses-tu que je me pisse dessus en pensant à la mort alors qu'il y a uniquement durant les moments où je m'interroge sur ce qu'il pourrait m'arriver que j'ai conscience que je ne suis pas invincible ? Il est bien normal pour quelqu'un qui a envie que sa conscience persiste qu'elle ne disparaisse pas prématurément. "
Non non, tu m'as mal compris. Ce que je voulais dire c'est que tu te pisses dessus lorsque tu penses à l'après-mort. Et pourquoi en as-tu peur ? Bon, je suis assez proche de la normalité pour comprendre ta démarche en parlant d'une mort prématurée. Mais que penses-tu de la mort, à l'âge optimal (à la fin de ta vie), après une longue vie de "bonheur vital", ce truc que vous dites avoir, ce plaisir de la vie ?
"Tu dis que mes arguments sont débiles. C'est exactement la même chose que je pense des tiens, surtout lorsque tu dis que "la mort est une amie". Les gens qui ne portent aucun attachement à leur faculté de perception et au profit qu'ils peuvent en tirer, je peux croire que ça existe. Des gens qui prétendent aimer la vie et considérer la mort prématurée comme une amie c'est un trop gros paradoxe pour que je puisse croire que cela existe."
Oui, je considère la mort comme une amie. Une délivrance au supplice de la vie (ou, pour être plus soft et me rapprocher de votre pensée, disons le poids de la vie). Peu importe qu'elle arrive demain ou dans 50 ans. Elle doit venir nous emmener un jour, alors bon, je m'en fous un peu du temps que je passerai à profiter d'une vie superficielle, et ENCORE PLUS en sachant que mon espèce DÉSINTÈGRE son monde à petit feu et se rapproche chaque jour un peu plus du chaos.
Et c'est TOI qui considère ça comme un paradoxe. De plus je n'ai pas dit "j'aime la vie mais la mort prématurée est une ami". Je n'ai pas parlé de mort prématurée, mais de Mort. Et tu ne peux pas dire qu'elle est prématurée lorsqu'elle survient genre à 20 ans. Personne n'a décrété qu'on devait mourir à 80 ans dans son sommeil. Déjà, l'âge c'est une moyenne, et ensuite il y a bien des façons de mourir. Certaines plus douloureuses, plus désagréables que d'autres, mais c'est comme ça.
Donc parler de "mort prématurée" c'est un peu insensé. Prenons un raccourci, disons "Mort", pour simplifier le concept. Considères-tu comme un paradoxe l'association entre l'amour de la vie et la considération de la Mort comme une amie ? La Vie et la Mort sont toutes deux des amies. Elles sont simplement opposées.
Ouais mais j'ai trop de mal avec l'espagnol
Je préfère le croate en fait
Sinon je connais pas l'allemagne ni l'autriche
Barti Voir le profil de Barti
Posté le 23 septembre 2014 à 21:22:40 Avertir un administrateur
BDG préfère voir son blabla bider. Attention.
J'ai rien dit enfoiré.
"C'est une langue vulgaire je trouve, qui manque de douceur. "
Tu parles en tant qu'habitué du Français et de l'Anglais. J'aime beaucoup l'Allemand et ses sons. Tu trouves les "k", "kr", "g" vulgaires. Mais c'est ton oreille française qui parle.
OMG les gars
j'étais à 90 dans une zone à 30 et un gendarme m'arrête
IL me dit qu'il avait pas ma vitesse mais qu'il pouvait me verbaliser pour conduite inadapté
Mais il m'a dit que ça ira pour cette fois
90 au lieu de 30, je t'aurais mis en prison moi
Enfin je dis 90 c'était peut être 70 je sais pas
du coup il est gentil
90 dans une zone à 30
250 dans une zone à 30 > all.
Fake
koman vs mavé kroivé mdrrr
oui je suis un conducteur responsable
250 dans une zone à 30
Rouler en avion sur une route de campagne > all
La "perte" peut tout simplement définir la venue de la mort dans un moment où nous voulons que notre vie continue. Donc bien sûr qu'elle existe.
J'ai bien compris que les gens ne se rendent pas compte qu'ils sont morts quand ils sont morts, merci. Mais c'est justement ça qui les fait peur de leur vivant. Les gens ne veulent pas ne rien percevoir à partir du moment où ils savent ce qu'est la perception et qu'ils veulent en tirer profit, justement.
En l'occurrence, ce qui me fait personnellement peur, c'est la perte de ma conscience. Et c'est certainement la même chose pour les gens qui tout comme moi redoutent le moment où ils vont mourir, moment qu'ils ne connaissent pas et qui peut tomber n'importe quand. Cette sensation de ne pas connaître le moment d'un événement redouté contribue à intensifier cette peur.
Et si, je vais te faire gober que MOI, je ne veux pas "décevoir" les autres en mourant. Je ne pense pas être le seul dans ce cas, mais bien entendu il y a des gens qui se foutent royalement de ce point de vue, c'est incontestable.
Tu te contredis dans ton "tertio". A la base je me réfère à tes posts précédents où tu considères que la mort doit arriver d'un moment ou à un autre, quand je dis qu'elle suit un chemin. Mais si la vie est une succession d'événements, c'est bien un chemin non ?
De toute manière ce n'est absolument pas le sujet. Je ne comprends pas pourquoi tu me relances sur ce terme.
Pour le "ils n'ont rien perdu", cf mon premier paragraphe.
"Et tu es, je suppose, d'accord pour dire que toutes les choses "normales" sont positives. Exemple : Tout le monde se blesse, de multiples fois par an. C'est normal. En est-ce positif pour autant ? Pour les masochistes, oui, pour le reste, non."
Merci pour l'exemple non concret, le paradoxe et la conclusion que j'allais de toute façon te remettre. Non, toutes les choses normales ne sont pas positives, et tu le dis toi-même avec "pour le reste, non".
Ok pour ton second secundo (loul).
Arrête de me demander pourquoi j'ai envie que ma conscience persiste. J'espère que tu te rends compte que je ne ferai que me répéter. Dire que j'ai envie que ma conscience persiste, c'est exactement la même chose de dire que je veux vivre tant que j'ai envie de vivre. Si je n'ai pas été assez clair, tu auras sûrement plus de facilités à comprendre cela sous cet angle.
Pour ton exemple du repas, je ne suis on ne peut plus d'accord. Mais réfléchis une seconde : Si on veut relier ça au fait que tu considères que les gens qui ont peur de la mort sont débiles, alors tu considérerais également débiles les gens déçus que le gâteau soit terminé ? C'est absurde. Il est normal de ne pas avoir envie qu'un moment agréable ne se finisse. Qui plus est ton exemple est dérisoire par rapport à "la vie" qui englobe à elle seule des milliers de petits exemples comme celui que tu viens de faire.
Pour la suite, je vais essayer de m'expliquer plus clairement : J'ai peur de ne pas savoir la façon dont je vais mourir. J'ai également peur de mourir prématurément alors que j'ai encore des rêves à réaliser. Et si j'ai tellement peur de mourir prématurément malgré tes statistiques rassurants, c'est que je suis d'un naturel hyperactif, très nerveux, et qu'il m'est arrivé à plusieurs reprises d'avoir l'impression de faire un micro-infarctus dans ce genre de moments. Après je ne parle jamais de cela à mes proches, car il se pourrait fort que je suis un gros parano voire un pseudo hypocondriaque, et je ne tiens pas à ce que mon entourage se fasse du soucis ou m'en crée en parlant de cela alors qu'il n'y aurait en fait pas lieu de s'inquiéter.
Tu as sûrement eu du mal à cerner cette "peur" émanant de moi car tu n'avais pas conscience de cet aspect de ma personnalité, et ça joue beaucoup dans ma façon de penser.
Pour la suite, c'est moi qui vais te considérer comme un parano. Du moment que tu profites de la vie, tu ne peux pas considérer la mort comme une amie. La mort est une amie lorsqu'elle vient nous chercher au bon moment. En l'occurrence, si tes espèces de prédictions à la madame Irma sur le sort du monde se réalisent et que tu viens à être en passe de mourir au moment où le monde sera en chaos à tel point que tu ne supporteras plus de vivre dedans, là tu pourras la considérer comme une amie.
Ce que tu dis est un paradoxe dans le sens où la mort englobe la mort prématurée. La mort prématurée ne sera jamais une amie si elle n'est pas voulue. Et elle prématurée bien évidemment si elle arrive à 20 ans en 2014. A cet âge-là tu te doutes bien qu'il ne s'agit pas d'une mort commune, ou alors tu dois revoir la définition de "prématuré".
Pour ton dernier paragraphe, oui je considère bien entendu ça comme un paradoxe. Lorsque l'on veut continuer à vivre, on ne veut pas mourir. C'est un fait. Après pour la qualification d'amie de la mort et de la vie, comme je l'ai dit plus haut, c'est subjectif. Quelqu'un qui en a marre de vivre et veut en finir considérera la vie comme une ennemie et la mort comme une amie. Et quelqu'un qui a envie de vivre considérera la vie comme une amie mais jamais la mort comme une amie.
Corail_Bleu
21:29:06
Tu parles en tant qu'habitué du Français et de l'Anglais. J'aime beaucoup l'Allemand et ses sons. Tu trouves les "k", "kr", "g" vulgaires. Mais c'est ton oreille française qui parle.
C'est sûrement cela, en effet.
Désolé Barti, j'ai pas la foi de lire ce pavé, je lirai et répondrai demain.
Si nous sommes encore vivants demain.
Bonne nuit si tu vas te coucher.
Je ne vais pas tarder
Mais je reste un peu pour insulter Prep
Je vous boude
Comment il vide corail
bide