luciole attends tu peux me passer ton adresse MSN c pr le reso ca marche pas (dumoins pas tt des usite jai su ke tavais AOL, moi aussi!
ok mickael_boitel@hotmail.fr
bon le online, ca peut passer, c le DNS ui me blok: luciole, jaurais besoin de toi sur MSN pr ke tu me passe ton DNS de AOL, parce que moi ca blok. et me dire exactement coment t´as procédé.
Sur ce, je vais me coucher.
coucou ^^
apres une bonne nuit, j´ai plein de tres bonne idees et gag pour mon roman
voila la suite ^^
Chapitre 11 : En quête de earth cristal
Nous devions partir chercher des cristaux dans la région volcanique, la zone la plus dangereuse au monde, disait-on.
Nous étions devant le grand volcan.
Tous les 3 : cool drink powwa
Nous avions commence notre montée…
Bordg : eh regardez des velocipreys rouges…
Tania : il me semble que ce sont des iopreys.
_oui ce sont bien des iopreys, ils sont très dangereux !! !
Bordg : dangereux ça !! ! Regarde les, riens qu’avec leur bosse sur le nez, moi ils me font pitié !! !
_hum !! !!
Bordg : tu sais pourquoi ils ont cette bosse ?
Tania : oui erreur de la nature, un peu comme toi !! !
Bordg : aller sérieusement, Sue tu sais pourquoi ?
_ Bien sur !! ! Étant jeune ils n’étaient pas sage donc maman iodrome les tabassaient !! !
Bordg : eh ben pas commode celle la !! !
_NON TU CROIS !! ! TU AS L’INTELIGENCE D’UN YIAN KUT KU
On rigolait.
Nous avions fait la moitie du chemin, d’après la carte.
Il faisait une chaleur à crever, nous étions presque dans la chambre du volcan.
Une étroite bande de terre traversait la lave en fusion.
Nous la primes.
_il fait vraiment très chaud !! !
Bordg : oui on se croirait dans un barbecue géant.
Tania : attention là-bas, 5-6 iopreys nous barrent la route.
_c’est partit
Je sortis mes cutlass et commençai à découper les monstres, mais je sentais que mes lames glissaient sur leur peau. Bordg les explosait avec son marteau kut-ku.
Tania : voila c’était le dernier, on ferait mieux de se dépêcher, je n’aime pas du tout cet endroit.
Nous continuons a grimper ; au bout d’une heure, nous étions enfin arrive.
Bordg : allez, chercheurs d’or, creusons !! !
Tania sortit une stone de la roche et la balança sur Bordg
Tania : tiens c’est pour te faire taire
Bordg : aie, mais ça fait mal
_une vrai gonzesse ce Bordg !! !
Nous avions tous les earth cristal, et nous prenions le chemin du retour…..
Mais devant nous, le sol tremblait, se fissurait, s’approchant de nous………
la suite !! !!!!!!!
j´essayerai avant ce soir
lol je me marre à chaque recits... je vs promets un texte de taille aujourd´hui!!! le retour de kali et yuri!!!
je passe une annonce importante à tout les écrivains Fan fics: il est imperatif d´enregistrer vos textes!!! en raison du trop grand nombre de textes apparus, je nai pu continuer à enregistrer le texte de chacun...
dy penser, c surtout pour vous
yo les gars,
kali, tu pourrai enregistrer mon texte, car si c´est sur word que vous le faîte, moi non, donc, je ne peux pas enregistrer mes textes.
en fait, je dois vous avouer quelque chose : je fais mes textes à l´improviste, avec mon inspiration.
ben ecoute moi aussi ^^!!!!!!!! je vais enregsitere si tu veux! t´as une adresse msn?
non, malheuresement. Je n´est qu´une adresse e-mail. d´ailleurs, tous ceux qui en ont une, pouvez vous me la donnez ?
PS : oui kali, tu serai simpa d´enregistrer mes textes
t´inkietes ludo, je les enregistre tes textes
KaliLockheart@aol.com
Kurtisnake@hotmail.com
Chapitre 24 :
Le monstre nous happa soudainement. Je nus pas le temps de prendre mon souffle et bu la tasse. Le froid p&énétra mon corps. Mes jambes devenaient lourdes. Je me dirigea vers la tête du monstre et, avec toute ma force, lui donna un coup d´épée : celui-ci creva un oeil du monstre qui, sous la douleur, remonta à la surface. Nous fûmes projettés sur la rive. Je cracha l´eau contenu dans mes poumons, me releva, et scruta la surface de l´eau. Elle était calme. Je me retourna pour voir dans quel état était mon amie, mais à peine eus-je le temps de tourner la tête que je senti un énorme choc dans mon dos, tellement puissant que je cracha du sang par la bouche. Je senti mes épaules et mon dos se disloquer sous la puissance phénoménale du choc. Je tomba à terre et m´évanouie.
Je me réveilla. J´était dans une espèce de caverne interieur. Sophia était à côté de moi. Le monstre avait dû nous trainer dans l´eau pour nous amenez ici. J´esaya de me relever : erreur fatale de ma part : je senti ma colone vertébrale me brûler atrocement, comme si on me plantais des centaines de couteaux dedans. L´attaque du plésioth me l´avais disloquer.
Je me retrouvais dans l´incapacitée de bouger, la colone vértébrale complétement brisée. Je me retrouvais dans une situation un peu, même très, embarassante. Soudain, j´entendis des bruits de pas vers l´extérieur de la caverne.
Le plésioth revenai.J´essaya de bouger, mais chacun de mes mouvement étaient de plus en plus douloureux. Je vis le fusarbalète de Sophia. J´essaya de l´atteindre. Le plésioth se rapprochait. Je voyais son ombre. J´étendis mon bras, même si la douleur était atroce.
Le plésioth était là. Il se dirigea vers moi, comme j´était le plus près. J´atteignis l´arme. J´enclancha et tira : chacune des balles atteigna son but : la tête du monstre. Mais chacune ne semblait pas faire effet sur le monstre.
-" Pourquoi ?"
Le monstre arriva devant moi. Il me regarda de son oeil, l´autre que j´avais crever. Il ouvrit la bouche, laissant voir des rangées de dents acérées et pointues. Je me résigna. Je ne pouvais rien faire. Mais soudain, mon regard fut attiré par une forme conique pointue en hauteur.
Une stalactique !! !
Je pris le fusarbalète dans mes deux mains, visa l´objet et tira.
-" Crève."
Le pic de glace, décroché, s´abbatti sur la tête du plésioth. Celui-ci n´eut pas le temps d´esquiver. Le stalactique pénétra dans le crâne de l´animal et se planta dans le sol. Je laissa échapper un soupir de soulagement. Mais se soupir ne dura pas longtemps : la chute du bloc de glace et l´impact de la balle avait disloquer la caverne intérieur. Je vis avec horreur des gouttes d´eau de plus en plus nombreuses, jusqu´à former un filet, s´abattre sur le sol.
Et, dans un fracas soudain, la caverne s´effondra.
le travail c´est la santé, ne rien faire c´est la conserver...
tout le monde fait grève ?
non non moi je pars a toute a l´heure, je ferai aussi ma suite de mon chapitre
Chapitre 3: Un dénouement heureux
Le Céphalos ne lache pas prise, impossible de me décoincer la jambe. Dans un dernier effort, je saisis mon épée du bout des doigts et lui la plante dans la tete.
- Un de moins, me dis-je,
Il en reste 3: 1 à l´agonie depuis que je lui ai brisé la machoire et 2 prets à l´attaque.
Un d´eux me crache du sable. Je n´ai pas le temps d´esquiver. Le jet me percute de plein fouet me coupant la respiration. Je me relève avec difficulté puis glisse sous le monstre à l´aide d´habiles roulades. Je lui plante mon épée dans le coeur. il s´affale sur le sol et meurt. Mais je perds toujours du sang en grande quantité. Je vois les marques des dents pointues du monstre qui me sont rentrées dans la chair. Il fallait en finir au plus vite avec ce test. Le dernier Céphalos en état de combattre essaye de me donner un coup de queue. Cette fois, j´esquive à temps. La queue percute le Céphalos qui agonisait et le tue. Il n´en reste qu´un. Ce dernier est un peu plus grand que les autres et n´a pas l´air commode. Je suis derrière lui à cet instant. Il plonge dans le sable et surgit devant moi. J´en profite pour lui lancer mon épée qui se plante dans sa jambe droite. Déséquilibré, il tombe sur le sol. Je récupère mon épée et lui saute sur le dos. Je lui donne un grand coup dans la nuque ce qui l´acheva. Il était mort.
Fier d´avoir battu 4 Céphalos, je me rappelle que le but de la quete est de ramener un de leurs crocs. Je ramasse donc les fracas de dents tombés sur le sable durant le combat contre le premier Céphalos. Puis, je serre de toutes mes forces un bandeau sur ma jambe droite pour stopper l´hémoragie. Je pris le chemin du retour au village, victorieux.
un ptit parce que là ca descend bien bas!
en force !! !
Obliger faut ke je me mette a ecrir aussi.
G ke le titre pour le moment (et le scenario dans la téte évidemment).