+ Ah au faite, j'ai trouvé qui était ce William Davon.
Bien joué Arthur, mais nous verrons bien si tes soupcons se confirment
Bah j'y ai réfléchit en cours ( ) et il n'y e a qu'un qui peut correspondre
la suite s'ill te plait
La suite !!!
Pas ce soir, demain peut-être
la suite c'est ce soir alors
Pas sur mais je ferai de mon mieux
Si c'est pas ce soir, c'est demain, promis
d'accord merci d'avance
encore une fois exelent
Bon chapitre avec Black Mask qui se dévoile...
Hâte de voir la suite
vraiment très bien
Merci
a quand la suite
genial la fic jai vraimen hate de lire la suite
J'avais deviné pour Deadshot
Désolé du retard, très bon chapitre
Hâte de voir "le cadeau"
Moi aussi j'avais devine deadshot
la suite la suite!!!!!!!!!!!!!!!
Ce soir
Batman Arkham Origins
Chapitre 2 : Le Bon, la Brute et le Truand - Partie 1
-Alors, monsieur, comment cela s'est-il passé ?
-Voyez par vous même, Alfred, répondit Bruce. Disons que j'ai été légèrement brûlé par un certain... Black Mask. Du moins c'est ainsi qu'il se fait appeler. Un vieil ami.
Alfred souleva la jambe gauche du pantalon de Wayne pour inspecter la brûlure. Le frottement du tissu contre la blessure, ainsi que les turbulences provoquées par l'atterrissage du Batwing, contrôlé maladroitement par le pilote automatique, accentuaient la douleur. Alfred banda heureusement la plaie avec talent, et Bruce parvint à sortir plus ou moins normalement du véhicule.
-J'ai cru comprendre que cette histoire s'est plutôt mal terminée. Aurais-je tort ?, le questionna Alfred.
-Davon est mort. Je suis brûlé, au moins au deuxième degré. Un nouveau chef de la pègre est né, qui m'a apparemment laissé un « petit cadeau » chez Gordon. Donc oui, cela s'est assez mal passé, et ça n'est pas prêt d'être terminé, apparemment.
Une fois arrivé, non sans peine, au rez-de-chaussée du manoir, Bruce alluma la télévision pour regarder les informations. Vicky Vale y parla peu de l'extravagante conclusion de la conférence à laquelle Wayne participa en compagnie du maire, au grand soulagement du milliardaire. Par contre, la une du journal attira particulièrement son attention. En effet, on y raconta que le Pingouin, criminel le plus important de Gotham City, venait d'être trouvé, ficelé et enrobé d'un ruban comme ceux des paquets-cadeaux qu'on reçoit à Noël, aux marches du commissariat. Le lieutenant Gordon déclara que ce n'était pas dans les habitudes du Chevalier Noir, mais qu'il ne savait pas qui aurait pu être à l'origine de cette capture. Vicky conclut en disant que le Pingouin était à présent le troisième criminel d'importance supérieure à être mis en détention à Blackgate, après Carmine Falcone et Salvatore Maroni.
Cette nouvelle aurait dû réjouir Batman, qui passait son temps à pourchasser le Pingouin depuis quelques mois, et pourtant il était assez inquiet de savoir ce dangereux et mystérieux « Black Mask » à la tête de la criminalité de Gotham City. Les hommes du Pingouin avaient dû rallier sa cause, ce qui n'était pas des plus rassurant comme actualité.
Alfred entra dans la pièce. Il portait un sac de glaçons, qu'il s'empressa d'appliquer sur la brûlure. Bruce le remercia.
-Je ne fais que mon devoir, se justifia le fidèle majordome. A propos, je me suis permis de contacter notre ami le docteur Fries. Il devrait pouvoir inspecter votre blessure et pourquoi pas la soigner. Il faut soigner le feu par le froid, comme disait mon père. Et quitte à avoir besoin de froid, quoi de mieux qu'un cryogéniste ?
Bruce découvrit le docteur Fries dans son laboratoire. Celui-ci était en train de faire des expériences avec deux fioles, diffusant une épaisse fumée blanche. Il déversa le contenu du plus petit tube dans l'autre, ce qui provoqua une légère explosion. Suite à cela, la fiole échappa des mains du scientifique, et s'écrasa par terre dans un bruit retentissant. Le liquide restant s'écoula sur le sol du laboratoire et gela instantanément le bout d'une des chaussures de Fries.
-Très cliché, tout ça !, s'écria Wayne.
-Bruce !, dit Fries en se retournant, reconnaissant son vieil ami. Bruce Wayne ! Ca doit f aire des années que nous ne nous sommes plus vus, si je ne m'abuse ?
-Quatre ans et trois mois, en fait, ajusta Bruce, avançant avec sa béquille afin de lui serrer la main.
En secouant sa main, il regarda dans les yeux son vieux compagnon d'université. Il n'avait presque pas changé, ou presque. Il était toujours grand, chauve, au teint plutôt pâle mais gardant toujours un air plutôt sympathique, de bon vivant. Seuls deux petits verres de lunettes ronds étaient venus déranger la sobriété de son visage.
-Dis-moi, comment va ta fiancée, Nora ?, demanda Bruce. Vous filez toujours le parfait amour ?
-Parfaitement ! Et nous sommes même mariés, désormais. Je sais, j'aurais dû te prévenir, mais j'ai honteusement oublié. Nous avons célébré ça en privé, puis nous sommes partis en voyage de noces pendant deux ans sur une base scientifique en antarctique.
Bruce ria de bon coeur à l'idée que son ami n'avait vraiment pas changé. Puis il lui montra sa plaie en grimaçant. Fries l'emmena dans son bureau et appliqua sur sa blessure une pommade, glacée mais efficace. Quelques minutes plus tard, la douleur avait presque entièrement disparu.
-Merci beaucoup, dit Bruce. Je ne sais comment te remercier.
-Oh ! Mais tu n'as qu'à passer plus souvent, pardi !, répondit joyeusement Victor Fries. Oh, mais je manque à tous mes devoirs. J'ai oublié de te présenter notre nouvelle recrue, Jason.
Le jeune homme était présent dans la pièce depuis un certain temps, mais avait daigné se présenter. Il avait l'air plutôt antipathique, et adressa à Bruce un faible 'Bonjour', avant que Fries ne l'envoie nettoyer les dégats causés par la fiole renversée.
-C'est un bon gars, le rassura Victor. Même s'il n'a peut-être pas l'air, comme ça.
Au moment où il allait confirmer, Bruce reçut un appel sur son téléphone portable. C'était Gordon : « Batman. Nous avons un problème. Un gros problème. Venez immédiatement au commissariat. » Bruce raccrocha et se leva.
-Encore merci pour tout, dit-il en serrant une dernière fois la main de son ami. Je suis désolé, mais j'ai une urgence. Remets mon bonjour à Nora. »