Je m'inscris (desolé je l'avais dit sur le MP)
Ais-je besoin de dire que je m'inscris ? ^^
On va uper un peu quand même.
Edition 12 Crimes
Les inscrits
- ElfydIC
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- Sora
- Hadriake
Dommage Soda
ça doit être ton style, mais on dirait un peu une sorte d'exposé, comme si tu lisait les faits divers dans le journal. T'a bien essayé de mettre plus d'émotion dans le texte grâce "Il continua encore plus dans l'horreur" "Comble de sauvagerie" "Là, il franchit un pas dans l'horreur"...
Mais ça reste encore très "plats"
Le conseil que je pourrais te donner, c'est peut être de ne pas imaginer la scène derrière un cadre, comme à la télé, mais d'en faire partie, de te sentir à la place du personnage, où un observateur présent dans la scène
Pas con, c'est vrai que ça fait pas très histoire, mais bon, j'ai déjà réussi a faire un texte plus long que mes anciens donc je suis content.
Bien le bonjour, je peux participer?
Je tient juste a dire que je suis pas un expert et que je n'égale pas les gens sur ce topic.
Mais je vais faire du mieux que je peux
Il y a qu'elle qu'un?
D'accord dyspraxique, fais le plus que tu peux
D'acc' je vais poster ma petite histoire plus tard parce que je fais des devoirs
Est-ce qu'il y a des restrictions a pars le thème?
Non, ya pas de restrictions, tu peux faire le texte que tu veux.
Ah sympa
Je vais faire ça
C'est cool ça d'avoir des nouveaux.
C'est toujours cool
Fais juste un texte de plus d'un trentaine de lignes, c'est suffisant
Et rien ne t'empêche de faire plus
Prend exemple sur Jet ou Hadriake, leur textes sont toujours sublissimes. Et prend aussi exemple sur les autres, enfin sauf moi.
Est-ce qu'on peux faire des suites a nos histoires?
Une petite brebis gambade dans une clairière. Elle a l’air si joyeuse, si pure… La petite brebis s’amuse à se rouler dans l’herbe fraiche, en bêlant de plaisir. Le ciel étoilé est une aurore boréale et éclaire la clairière de lueur bleu, verte et rose. La petite brebis broute paisiblement l’herbe grasse et verte, sans ne se soucier de rien. Soudain, le ciel vire au rouge et la brebis se retrouve totalement affolée. La nuit devient sombre, froide et inquiétante et la brebis, si douce, si joyeuse et si pure, se recroqueville en hurlant d’un cri ni animale, ni humain. Elle commence à affreusement trembler et en poussant un dernier cri de douleur, des pattes de vache, large et poilue commence à pousser en déchirant l’estomac de la brebis. Alors que du sang gicle, que des boyaux se déverse et tâche l’herbe verte, la brebis monstrueuse se lève sur ses pattes arrière et hurle de colère. Une deuxième tête, semblable à une tête de cochon se met à lui pousser. Puis, un immense objet sexuel, gros comme celui d’un cheval apparait dans l’entre-jambe de la créature. La deuxième tête semble couiner au secours alors que des rires déments et tonitruant, sortît d’outre-tombe, couvre les cris de la brebis et du cochon dans un orchestre de son horrible et cauchemardesque.
Je me réveille, complètement assommé par cet horrible cauchemar. Ma gorge me pique atrocement, j’ai les lèvres sèches et mes jambes me font atrocement souffrir. Cela fait déjà cinq journée que j’étais enchainé sur cette maudite table, que j’avais vu mes amis mourir un par un, torturé jusqu’à leur dernier souffle par une bande de psychopathes. Mes amis y étaient tous passé… Et j’étais le prochain…
C’était pourtant des vacances qui s’annonçaient tellement agréable. Mes amis, ma copine et moi avions décidé de partir, faire du plein air afin de fêter les cinq ans de sobriété de Marty, un ancien alcoolique que l’on affectait tous particulièrement et qui était aussi notre ami. Nous étions partis dans une petite camionnette jusqu’en Alabama afin de visiter les célèbres Appalaches. Tout se passait si bien… Jusqu’à ce que nous tombions en panne d’essence et qu’à la recherche d’une station d’essence, nous tombions sur de brave inconnue, une famille de fermier, qui ont accepté de nous aider. Ils étaient cinq : il y avait Billy, le cadet de la famille. C’était un immense gaillard, aux cheveux rasés et à la barbe impressionnante qui avait perdu ses cordes vocales suite à une opération. Il y avait ensuite Joe, c’était un homme ordinaire si nous ne considérions pas le fait qu’il était albinos. Et il y avait Michelle, une petite fille adorable, au cheveu blond étincelant. Tous les trois était les enfants de Deborah et de Ray. Deborah était la mère de famille. Assez vieille, ses cheveux, coupé court et blanc, faisait ressortir ses yeux d’un bleu éclatant. C’était une femme soumise, qui obéissait toujours à son mari, une mère de famille incroyable et une dame très sympathique. Et finalement, il y avait Ray. C’est lui qui nous a trouvé et qui nous a amené à sa demeure. Ray possédait le physique type de l’agriculteur : torse large, gros bras et barbe forte, comme son fils. Le père de famille dirigeait ses enfants et sa femme d’une main de fer… Malgré leur aspect rustique, la famille était très gentille. Mais, très rapidement, le voyage de rêve c’est transformé en véritable cauchemar…
Marty n’aurait pas dû faire de rechute, il ne l’a pas fait exprès, mais il n’aurait pas dû… Je n’ai jamais su ce que Marty a fait, mais ce geste nous a précipités dans un tourbillon de violence et d’horreur. Rapidement, tout a dégénéré. Joe et Billy nous ont capturés et amenés dans leur sous-sol. Ce sous-sol était une véritable salle de torture. Des outils de sadomasochisme, des fouets, des piques et d’autre chose que je n’oserai jamais dire… Cette famille qui nous semblait si paisible, si sympathique, se révélait être une secte qui punissait les voyageurs imprudents. J’ai vu ma copine et mes amis se faire massacrer. Et je suis là, prêt à subir l’ultime torture, délirant et attendant simplement de mourir pour que tout arrête. Soudain, j’entends des pas et je vois la porte du sous-sol s’ouvrir lentement. Quatre silhouettes entre et s’approche de moi. Leur visage est faiblement éclairé par la lueur d’une bougie mais je peux voir une fois de plus les horribles masques d’animaux. Joe porte un masque de cheval, Billy porte un masque de cochon, Michelle portait celui du lapin et Deborah un masque de vache. Soudain, sans avertir, une autre silhouette, trapue s’avance lentement. Une capuche cache ses yeux, ne laissant voir que sa bouche et son nez. Ray lève les bras dans les airs et commence à parler, lentement.
-Lorsque le grand déluge frappa la terre, Dieu demanda à Noé de créer une grande arche, ou vivrait tous les animaux du monde. Noé demanda à Dieu ce qu’il devait faire des êtres humains et Dieu lui dît de laisser mourir les pêcheurs…. Sais-tu ce que cela veut dire inconnue?
Je pleure toute les larmes de mon corps
-Tuez-moi! Je vous en prie! Je souffre tellement…
Ray resta complètement stoïque.
-Dieu punit les pêcheurs car sa parole est une épée qui doit être utilisé afin de laver l’impureté de ce monde dans le sang. Rien ne peut l’arrêter, ni la foudre ni les serpents que vous dresserez sur ma route. Car je suis l’unique détenteur de la parole du Seigneur tout puissant. Je dois laver les impurs.
Ray fit un signe de la main à Joe, qui lui donna un couteau. Ray, d’un signe de la tête, demanda à Michelle de m’administrer l’anesthésient qu’elle tenait dans ses petites mains. La petite fille s’approcha de moi sans dire un seul mot. Je lui suppliai de me tuer rapidement, mais elle ne fît qu’introduire l’aiguille de la seringue qu’elle tenait dans sa main dans mon bras. Lentement, ma vue se troubla… J’entendis la voix de Ray.
-Seigneur, je te donne en offrande la chair de ce pêcheur et te demande humblement de le sauver et de le ramener dans le droit chemin, tel un berger guidant ses brebis.
Je n’avais plus la force de me débattre, j’étais trop fatigué. Exténué de toute cette souffrance, de toute cette douleur. Je voulais seulement mourir…
Soudain, je sens mon corps s’engourdir. L’anesthésiant fait effet. Je lève légèrement la tête. Je vois Ray enfoncer un couteau dans mon ventre et faire un long mouvement latérale. J’ai du sang plein les yeux, mais je suis capable de voir mon bourreau saisir mes tripes et les lever au ciel alors que Joe, Billy, Deborah et Michelle danse en rond, en se tenant les mains. La souffrance est insupportable, mais je ressens enfin de l’espoir. Ma torture va cesser et je vais enfin pouvoir quitter ce monde à tout jamais. Ray saisit un bidon d’essence et en verse sur ma blessure. Je n’ai même plus la force de crier de douleur, je me laisse faire, presque heureux d’être enfin libéré. Ray craque une allumette et la laisse tomber…
Je m’endors enfin, consumer par les flammes qui me purifieront…
C'est stylé Vdd