Oui il faut noter Alca

Ma note, Lens', s'il te plaît.

Mais j'ai déjà donné la note !

Donnes-moi une mission plutôt !

al :nan je parlais pas de toi /
Ou est pelle ?

Quoi? T'as un problème avec mon protégé?

TRANSMUTATION! Super Râleur

Lens : J'suis là, m'sieur /

J'ai rien fait, j'le jure /

La nouvelle recrue :

1250, France…

Le cliquetis des épées se mit à retentir pendant un instant. La Belette tourna sur elle-même, laissa la lame effleurer son dos, exécuta un demi-tour sur un pied, et frappa. Il s’éloigna de son adversaire d’un pas de danse agile et le regarda tomber à la renverse, la poitrine ouverte de la clavicule jusqu’à l’estomac.
Le second bondit, derrière lui.
Ses sens prodigieux lui permirent de distinguer le sifflement du métal, et d’en déduire la direction dans laquelle l’épée allait s’abattre.
Le chasseur de prime fit une semi pirouette sur la droite, exécuta une torsion du poignet et frappa d’un coup d’estoc rapide. Sa lame fit un brusque aller et retours, devenant rouge sang, en revenant.
Le Templier posa un genou à terre en toussant bruyamment, le poumon perforé. Son regard était empli de panique. La lame se leva et retomba, lui fendant le crâne.
La Belette détourna la tête pour ne pas que la giclée de sang et de cervelle ne lui éclabousse le visage.
Quelques mètres plus loin, l’As de Pique applaudit, avec un sourire émerveillé.
-Ma-gni-fique. Cela faisait longtemps que je n’avais pas senti mon sang bouillir dans mes veines et mes muscles se contracter, juste en regardant une passe d’arme. Parvenir à se défaire de deux maîtres Templiers en même temps, ce n’est pas rien, vraiment.
-Ils ne valaient pas un clou.
La Belette secoua distraitement sa lame pour en détacher le sang poisseux qui dégoulinait jusqu’à la garde.
-Vous êtes durs.
-Peut-être. Mais tu m’avais promis que je pourrais affronter de vrais adversaires en entrant dans votre Ordre. Jusqu’à maintenant, je n’ai eu l’occasion de ne me battre que contre des minables.
-Patience, patience. L’heure de vous frotter aux Assassins n’est pas encore venue.
-Je suis parfaitement capable de vaincre un Assassin. Je l’ai déjà fait.
-Certes, mais vous n’avez pas encore croisé le fer avec un Haut-Maître Assassin, et croyez-moi, c’est une sacrée expérience.
La Belette rengaina son épée d’un air nonchalant et s’éloigna d’un pas tranquille, sans un regard pour les deux cadavres fumants qu’il laissait derrière lui. L’As de Pique l’observa. La Belette était un être instable, impossible à cerner.
Une seconde, il pouvait être avec vous, et l’autre seconde, vous enfoncer sa lame dans le cœur.
L’As de Pique sourit.
-Nous tenons là quelqu’un de vraiment exceptionnel, mes amis.
Les silhouettes qui étaient apparus derrière lui s’éclipsèrent sans un bruit.

« La Botte de Rénoit, dit du Fourbe, est une teschnique inventée en l’an 645 par l’illustre et feu mestre d’arme Henry Jeyckam François Rénoit, esgalement haut mestre de la guilde des Assassin, qui estoit la première teschnique de combat recensest dans un manuel d’Assassin.
Elle consiste en un audacieux blocage en garde mesdiane, suivie d’une rotation des hanches et d’un tour complest sur soit-même, et d’un moulinest extérieur afin d’escartasse l’épée de l’ennemi et d’ouvrir sa garde pour s’y engouffrer dans la seconde mesme et, d’un pas chassé et d’une semi-pirouestte, frapper en diagonale vers le haut et ouvrir l’artère juste sous l’aisselle. »
Fenn referma le vieux livre poussiéreux, un très ancien traité de combat écrit plusieurs siècles auparavant. Les Bottes qui y étaient décrites étaient redoutables mais nécessitaient un long et fastidieux entraînement.
Et le temps de s’entraîner, Fenn ne l’avait pas.
A peine rentré à Paris de sa précédente mission, avec les plans du chantier dans sa veste, Fenn s’était aussitôt vu remettre un autre contrat urgent. Il n’avait même pas pu s’entretenir avec le mentor de la présence d’Anastasia Magerlan sur les lieux, celui-ci étant très occupé avec la paperasse et n’ayant visiblement pas de temps non plus.
Fenn devait se rendre dans l’Est de la France, pour répondre aux appels à l’aide de quelques villages perdus dans les Vosges. Ceux-ci étaient des alliés de l’Ordre depuis un certains temps et le mentor avait été dans l’obligation de leur envoyer au moins uns de ses éléments qui puisse résoudre le problème.
Cependant, le problème était pour le moins étrange : les habitants rapportaient qu’une sorcière avait jetée une malédiction sur leurs patelins.
Du jour au lendemain, les animaux s’étaient mis à mourir en se désaltérant dans les rivières, et les pêcheurs à ne récolter que des cadavres de poissons. Quant aux habitants, ils étaient pris de maux de ventre terribles, et dans de rares cas, de décès.
Selon le mentor, un personnage mal intentionné essayait d’empoisonner l’eau des villages. Dans quel but ? De quelle façon ? C’était à Fenn de le découvrir. Et de régler le problème à sa façon.
« Tu as carte blanche », furent les seuls mots que le mentor pu glisser à l’Assassin, en le croisant au détour d’un couloir du Q.G.
Et ça allait parfaitement à Fenn.

Même moment, quelque part…

L’homme posa ses deux pieds sur la table. Son visage était caché par l’obscurité mais on pouvait distinguer la lueur brillante de ses yeux verts et le foulard jaune noué autours de son cou.
En face de lui était assis le capitaine Von Hurzitch. Il avait jeté une bourse sur la table.
-Eh bien, vous ne prenez pas l’argent ?
-Mon code me l’interdit. Je ne reçois aucun paiement tant que je n’ai pas rempli ma mission.
-J’apprécie votre état d’esprit.
L’officier allemand tendit le bras et récupéra sa bourse.
-Il faut dire, continua-t-il, que vous avez une réputation d’homme honnête qui ne plaisante jamais avec le travail et la récompense.
-Ma mère a tout fait pour m’inculquer les valeurs qui lui tenaient à cœur. Droiture, honnêteté et honneur. Ainsi que le fait de ne jamais revenir sur une parole.
Le capitaine approuva d’un hochement de tête, même si en son fort intérieur, l’individu qui lui faisait face le dégoûtait et qu’il ne pensait pas une seconde qu’on puisse qualifier un être tel que lui d’homme honorable et droit.
-Si mon roi a fait appel à vous, ce n’est pas pour rien. Vous êtes un fameux mercenaire, et, comme vous l’avez précisé, vous ne prenez pas le travail à la légère. Mais ce qui nous a décidés, c’est que vous êtes spécialisé dans l’élimination d’Assassins.
-Effectivement.
L’homme sourit et ses dents d’un blanc éclatant étincelèrent dans le noir. Le capitaine déglutit, soudain mal à l’aise. Pourquoi avait-il fallu que ce soit lui qui soit désigné pour cette mission ? Il avait horreur de fréquenter ce genre de personne.
-Voila vos cibles. Anastasia Magerlan et Fenn Jalmar. Tous deux Assassins. L’un est encore actif, l’autre a renié son Ordre mais du temps où elle en faisait parti, elle était redoutable.
Le mercenaire se décida à sortir de l’ombre et à se pencher sur les deux feuilles sur lesquelles étaient crayonnées les portraits des deux personnes.
Le capitaine haussa un sourcil. Il ne s’attendait pas à ce que l’individu ait cet aspect.
Il était vieux, c’était le moins qu’on puisse dire. Les rides lui rongeaient le visage et ses sourcils broussailleux lui cachaient à moitié le regard. Sa barbe et sa moustache, toutes deux d’un gris argenté, étaient parfaitement lissées.
Mais ce qui impressionna l’officier Von Hurzitch, ce fut la carrure du vieillard.
Bâti comme un lutteur, il dépassait le capitaine, pourtant assez grand, d’une bonne tête, et possédaient de larges épaules solides. Ses bras étaient aussi épais que des cuisses, et ses pectoraux tendaient sa tunique, menaçant presque de la déchirer.
Le mercenaire fixa les deux portraits pendant de longues minutes, gardant un silence de mort.
-Ca va ? finit par dire le capitaine.
-Oui, oui. J’effectue un simple rituel. Avant chaque mission, j’ai pour habitude de graver profondément dans ma mémoire le visage de mes cibles. Et figurez-vous, capitaine, que notre Seigneur m’a doté d’une mémoire tout à fait exceptionnel. Ce que j’ai vu une fois, je le retiens toute ma vie. Pour vous dire, j’ai encore en tête, comme une véritable peinture, les traits de ma toute première victime. J’avais sept ans, à l’époque.
Le vieillard passa sa main dans sa barbe drue avec un air songeur.
-Ne les sous-estimez pas, le prévint le capitaine. Fenn Jalmar, une crapule de la pire espèce, est un redoutable adversaire.
-Je sais.
-Vous le connaissez ?
Le vieillard plissa les yeux.
-De réputation. Mais ne vous en faites pas pour moi.
Le mercenaire se leva. Il posa un regard pénétrant sur le capitaine, un regard que ne possédaient qu’une poignée d’hommes sur Terre, des hommes qui avaient vus des contrées lointaines, vécues des situations inimaginables, acquis un savoir incroyable, affrontés des dangers inimaginables, et collectés une immense expérience dans leur vie.
-Notre Seigneur m’a doté de trois qualités : Une mémoire infaillible, une chance exceptionnelle qui ne m’a jamais trahie, et…
Le mercenaire caressa le manche de la hache qui pendait à sa ceinture.
-Un talent relevant du génie, dans l’art de donner la mort.

Vas-y destroyers, corrige-moi donc ça

On s'il vous plait d'abord
Malpoli

Je poste la première partie de mon RP, Je ne sais toujours pas comment cela s’achèvera
J'ai battu mon record

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[Rhone, 1781]

Le bateau suivait tranquillement les courants du fleuve.
Incapable de me reposer totalement, j'avais comaté pour rattraper mes heures de sommeil en retard. Depuis ma dernière mission, j'avais rejoint Lyon, de là, j'avais fais une pause, en quête de nouveaux ordres.

J'eus un pincement au coeur en sachant qu'Azir était resté a Lyon, il était fatigué par le périple. De plus, il ne me serait pas utile en ville.

Les mission ne s'étaient pas faite attendre, deux heures après mon arrivée, on me donnait une place dans un navire commercial en direction du sud et un papier me disant que je devais détruire un bateau templier remplis de poudre, le tout de façon à ce que cela ait l'air d'un accident.
Rien que ça !

J'avais un instant envisagé de faire un feu d'artifice, mais j'avais finalement rejeté l'idée en bloc, l'idée de tuer tout le monde, civils, marins le tout sans qu'ils puissent en réchaper étaient trop lache de ma part...

C'est là où tout se corsait pour moi : Dans cette situation, il fallait prévoir un plan et pire, s'y tenir.

Mission impossible.

Toutes les possibilités de scénario se jouaient dans la tête, mais à chaques tentatives je trouvais des objections, des points sombres ou des péripéties hasardeuses.
Je quittais le pont, il me restait que quelques jours pour préparer la marche à suivre.

Si la solution du feu d'artifice semblait improbable, il fallait utiliser la méthode douce et perdre
Peut être briser la coque de l'extérieur ? Difficile à faire dans l'eau.

De l'intérieur ? Impossible de rester discret et éviter le combat sans connaître les rondes, le plan du bateau, les points faibles, les entrées. Étant médiocre au combat rapproché, je doutais faire face à tous les marins sans trépasser.

Éliminer tous les marins un par un alors ? Trop de mort pour que cela n'attire pas de soupons, il fallait rester dans le domaine de "l'accident"

Toutes les possibilités de chemin que j'imaginais se concluait fatalement par une impasse comme des espoirs morts nés. Essayer de prévoir une action revenait à saper en moi ma seule réelle qualité : mon optimisme .

Bon, j'avais un plan, m'en tenir à la démarche habituelle, à savoir, agir sans trop prévoir l'action.

[Marseille, Quelques jours plus tard]

La foule affluait, mon arrivée correspondait au retour mensuel des chalutiers. Dans la nuit et une partie de la mâtinée, j'avais parcouru seule la quarantaine de kilomètre qu'il me restait à cheval.

Les badaud se pressaient autour d'étals improvisées où trônaient fièrement des flopées de poisson. Je me sentais invisible dans cette masse de bruit, d'odeur. Du coin de l'oeil, j'aperçus un pickpocket profitant de la densité humaine. Lui aussi se sentait invisible.

Fendant la masse de badaud en deux, sous les regards agressifs, j'essayais de repérer le bateau que je cherchais. J'avais juste une brève description orale que l'on m'avait offerte à Lyon.

Là encore, ce fut un joli calvaire, parcourant des kilomètres de quai et examinant la moindre barque. Ce fut vers la fin de la journée que je le découvrais, la partie du ponton était gardé par des gens en uniforme antipathique.
Je me joignis à la foule feignant de m'intéresser aux marchandises, même si la plus part du stock était déjà vendu.

C'était un Brick légèrement modifié et aménagé pour une rangée de canons supplémentaire dans chaque cotés de la coque.
Grand, il était muni de multiples voiles triangulaires retenue par des séries complexes de cordes. Seules les deux mâts possédaient des voiles carrées cousue du symbole des Templiers en rouge sang. La proue n'était pas décorée, mais en forme de croix chrétienne. Aucun doute n'était permis.

Calmement, j'avalais la boisson a petite gorgé qui m'était proposé. L'alcool n'était, certes pas conseillé, surtout lorsqu'on est fatigué par une nuit blanche et que celui qui me l'avait offert tentait piteusement de me séduire mais c'était malheureusement une étape obligatoire.

La taverne a deux pas du bateau était à son comble, à tel point que je dus ravaler mon dégoût et me pencher un peu vers la droite - Vers le gorille, pour me faire entendre

« Comme ça, tu es un marin, tu es sur le grand bateau avec une croix sur la voile ? » demandais je, faussement intéressé par sa réponse. Le gorille bomba le torse.

« Ouaip ! Des mois en mer sans poser le pied et... »

C'est marrant de voir a quel point l'homme est influençable. Il suffisait que je porte mon verre à mes lèvres, même sans boire, pour que mon voisin fasse de même, vidant le sien a grandes gorgées.
A ce train là, il sera totalement ivre mort avant que je ne finisse ma choppe. Mais je le voulais juste soûle, puisque parler a quelqu'un d'inconsciente était beaucoup plus dure.

Il se perdit dans ses divagations, j'entrepris de lui demander dans quel pays il était allé chercher la marchandise avant d'abandonner l'idée aussi vite qu'elle était venue. Parler nécessitait de respirer, et pour rien au monde, je ne voulais sentir son haleine putride.

Se méprenant sur mon silence soudain, il exhiba trois chicot maronnâtre comme une parodie de sourire. Je feignis de boire pour détourner son attention et accessoirement, m'éloigner de lui. J'attendais qu'il finisse ses longues gorgées, impressionnée par la quantité inhumaine d'alcool qu'il pouvait ingurgiter.

« Il est comment le bateau à l'intérieur ? »
Il sembla un instant sonné, comme si la question lui semblait incongru. Fataliste, je me saisis de mon verre.

L'ivrogne s'effondra ivre sur la table quand mon verre était rempli de moitié. L'homme ne m'avait pas appris grand chose, c'est à peine si j'esquissais le plan du bateau. Il m'avait juste confié rester deux jours avant de repartir
Je me dirigeais vers l'aubergiste pour payer une chambre cette nuit.

« Je ne remonterai plus dessus. Ce navire est infernal, le capitaine est un tyran, c'est décidé, je fuis avant de finir comme mon collègue. »

Un homme s'était exprimé a voix forte, son interlocuteur et lui portaient chacun un uniforme de marin semblable au gorille.

Ainsi, ils étaient eux aussi sur le même bateau ?
Je changeai subitement de cap, me dirigeant vers un joueur de carte près de leur table. Les marins étaient dans mon dos, à quelques mètres de moi. J'écoutais avec intérêt la discution en cours tout en misant quelques pièces avec mon adversaire.

« Écoute, on n'est pas seul, la majorité des marins seront de mon avis. A ce train là, on sera morts avant d'avoir quitté la méditerrané ! »

« Parle moins fort. »

Son interlocuteur.s'adressait à l'autre avec un accent prononcé, détail non négligeable.

Je continuais, l'air de rien, à espionner la conversation avec intérêt. Comme cela les matelots tentaient de s'enfuir, je pourrais peut être profiter de la confusion ambiante pour rentrer sur le bateau et faire mon oeuvre, encore me fallait il plus de précision.

La conversation continuait, si basse que je ne pouvais plus identifier de mot.
A moins que ce soit la fatigue qui me rappelait que je n'avais pas dormis depuis hier. La partie de carte s'acheva par la défaite de mon adversaire.

Puis, sans dissimuler mon empressement de dormir, je pris l'argent avant de partir vers le comptoir et me payer une chambre une bonne fois pour toute. Ignorant le regard méfiant que m'adressait l'étranger.

J'étais en train de dormir lorsque je me réveillais par la morsure caractéristique du métal. Dans le noir, je reconnue les deux hommes, si l'un était à l'écart et observait la scène, l'autre portait une dague juste a quelques centimètres de ma gorge. Allongée, je perçus instinctivement que si l'on m'avait désarmé, mais le gant en cuir ne les avait pas intrigués. J'esquissais un sourire qui déstabilisa l'agresseur.

« Dit ton nom »

Sa voix se voulait froide, mais elle montait légèrement dans les octaves, signe de nervosité.

« Après vous, honneur aux dames »

J'avais parlé le ton léger et détendu qui m'était habituel, même si je sentais que ma propre voix manquait un peu de conviction.

Le gars appuya légèrement, signe flagrant qu'il n'avait pas d'humour. La douleur fut vive, mais je refusais lui offrir la satisfaction de crier, je restais impassible. Il continua sur des questions

« Ca ne sert a rien, elle ne parlera pas » dit il, laconique.

Je détaillais un instant l'homme en retrait, il m'intriguait, même si visage n'évoquait aucun écho dans mes souvenirs. Mais son comportement, sa posture. Il fallait tenter
C'est à cet instant que mon agresseur recula légèrement sa lame de quelques centimètres.
C'est à cet instant qu'il commit une erreur phénoménale
C'est à cet instant que j'attaquais.

«Nothing is true », dis je simplement à l'intention du spectateur.

D'un geste du poignet, la lame apparut au creux de ma main ganté. Elle décrivit un bref arc de cercle avant de percuter la dague qui me menaçait.

A partir de ce moment, mes gestes devinrent automatiques.
Mon bras gauche le saisit par l'épaule, prenant appuie sur lui, mon genou frappa son abdomen. Je le saisis à la gorge, l'élan le plaqua contre le mur.
Pivotant sur mes hanches, l'homme se retrouva propulsé dans le lit tandis que j'étais là où lui même se tenait quelques secondes avant.
L'attaque avait été fulgurante, l'action n'avait duré que quelques secondes

« everything is permitted » dit la voix derrière mon dos
La lame se rétracta dans mon poignet avec un chuintement feutré.

« Je pensais les français plus respectueux » lâcha l'inconnu, acerbe.

Italien ! C'était un accent italien !

« Moi aussi je pensais les français arrogants, avant de te rencontrer... »

Il y eut un silence glacial. Puis je repris la conversation, sur un ton naturel.

« Mariane, enchantée. Malheureusement je suis au regret de t'informer que tu marches sur mes plates bandes , je croyais que les assassins de chaque pays devaient rester dans leurs dit pays »

«Louis et voici Ernesto, dit il en désignant la masse sur le lit d'un geste. Pour ma défense, j'ignorais que ma mission allait me conduire en France »

« Quelle est elle ? »

Il resta interdit, regardant intensément son compagnon qui s'extrayait difficilement du matelas. Obéissant docilement à l'ordre muet, il esquiva. Louis attendu que les bruits de pas s'estompe avant de continuer.

« Tuer le capitaine du navire en donnant l'air d'un accident. C'est un Templier. Jusqu'à maintenant, je n'ai pas trouvé d'occasion idéale »

« Il faudrait davantage de communication entre les différents membres de l'Ordre dans chaque pays, ma mission sont de même natures, chuchotais je plus pour moi. Je dois couler le bateau, de la même façon. Il y aurait moyen de s'allier... »

Doucement, les informations se formèrent et se fusionnèrent dans mon esprit tordu. Tous se mettait en ordre. Je pris dis une phrase que je n'aurais jamais cru proférer un jour :
« Et j'ai un plan »

Je m'ennui quelqu'un a une mission ?

choco : Bah vas en choisir une dans la liste

pelle : tu vas te relancer dans un jdr infamous ?

Une liste ? Il y a une liste ?!

Lenski : Si y'en a un qui est créé, pourquoi pas ?

http://rp-l-heritage-des-ombres.forumjv.com/1-105416-807-1-0-1-0-tableau-des-missions.htm

Voila la liste des missions.

Alors j'ai été agréablement surpris en découvrant que tu conjuguais avec la conjugaison du moyen age "qui estoit la première teschnique de combat"

PArce que mine de rien ça met bien l'époque en tête, chose qui ne fais qu’améliorer le récit.

Ensuite, Von chef allemands, tu lui donne un souffle de personnalité, tu fais pas un perso que tu laisses et jette pour la mission d'après, tout ce construit, tu pourrais faire une fic à coté tu sais?

Bon, par contre c'est court, et je te le redemande, ça t'importe vraiment de savoir combien je te donne par missions ou ça n'affecte en rien tes textes?

Mmm, j'ai fait une rapide lecture de ton texte Aikru, Je te rendrais un verdict quand je pourrais...

Fraternité: Un de nos frères est recherché par les Templiers pour leur avoir volé une relique.
Il faut qu’il s’échappe de la ville et vous allez l’aider.
Epoque: Toutes
Je prends cette mission même si l'autre n'a pas encore étais corrigé et noté

destroyer : "Bon, par contre c'est court, et je te le redemande, ça t'importe vraiment de savoir combien je te donne par missions ou ça n'affecte en rien tes textes?"

Disons que si j'en reçoit beaucoup pour un texte, ça fait toujours plaisir, mais sinon, ça n'affecte absolument pas mes textes

Mais j'aime bien être noté, histoire d'avoir une idée de ce que mérite le chap pour mon correcteur.

"C'est court"

• regarde la taille du chapitre*

Euh... J'imagine que pour toi, un chapitre long c'est le genre de truc qui prend trois quart d'heures à être parcouru de haut en bas en faisant bouger la molette comme un taré ?

J'ai déjà lu ça /