Destroyers > Tu prends Cortex en élève ou tu t'en occupes le temps que Jet revienne?
Aikru > Ton maître sera PParlement. Il ne sera pas sévère sur les fautes mais par contre moins intransigeant sur la qualité et l'originalité de tes textes.
En effet, officiellement et se pour peut-être quelque temps, je serais ton maître Aikru.
Pauvre Aikru
Mais il est passé où jet?
(Je l'ai tué)
Je sais pas.
CTM : bloqué en haut d'une tour
Au faite, je pourrais pas poster beaucoup de texte cette semaine, rien que celui que je suis entrain d'écrire je suis loin de l'avoir fini.
J'ai minimum deux contrôle par jour de 1H à 3H pendant les deux prochaine semaine
lenski Il reviendra alors quand il n'aura plus de cookies
La gourmandise, ce petit péché mignon
Bon courage gyth
Plus qu'à attendre /
On l'aura
Il va souffrir
Oh !
Un cookie
"vole le cookie a Aikru"
C'est quoi le rôle exacte du maitre ?
Scheise (partie 1) :
1250, frontière Franco-allemande…
L’officier Von Hurzitch jaugea la scène qui se déroulait devant lui d’un air satisfait. Des dizaines d’hommes s’affairaient sur le chantier, transportant des caisses de matériel, sciant des planches de bois, étudiant des plans étalés sur des tables fabriquées à la va-vite, faisant circuler des chariots, lançant des ordres de tous les côtés.
L’agitation était à son comble, mais les travaux avançaient plutôt bien.
La future forteresse de Bürginton n’était encore qu’un gigantesque bâtiment constitué de poutres, d’échafaudages et de pièces métalliques, autours duquel se démenaient une bonne quarantaine de charpentiers et de soldats.
Mais une fois bâtis, -dans un an selon les estimations du charpentier en chef- il serait un véritable atout stratégique pour l’armée Allemande, capable de loger plus de deux-cent hommes et de stocker une importante quantité d’armes et de nourriture.
En cette époque de guerres et de conquêtes, tous les moyens étaient bons pour grignoter du territoire à ses ennemis.
Le roi Louis IX n’allait rien voir venir, quand les troupes germaniques déferleraient sur l’Alsace-Lorraine.
-Vous avez l’air heureux, capitaine, lança une voix douce.
L’officier se retourna.
Une jeune femme s’approcha. Elle portait une tunique blanche immaculée et sa capuche rabattue sur sa tête empêchait de distinguer ses yeux mais ses lèvres étaient pulpeuses et son visage d’une beauté époustouflante.
Ses courbes étaient une véritable tentation, pour n’importe quel homme, mais Von Hurzitch savait à quoi s’en tenir, avec elle.
C’était une Assassin, mandatée par le roi de Germanie pour surveiller les travaux et protéger le chantier d’une éventuelle attaque.
L’officier l’avait déjà vu se battre, quelques jours après son arrivée sur les lieux, contre un groupe de pillards. Ils étaient sept, elle était seule. Il n’y avait eu aucun survivant. Le spectacle des sept corps couverts d’estafilades sanglantes et de la jeune femme –il ne lui donnait pas plus de vingt ans- essuyant calmement sa rapière encore dégoulinante de sang, avait suffit à calmer ses ardeurs.
Et celles de ses hommes.
Von Hurzitch savait très bien qu’elle n’était pas allemande. En revanche, il ignorait où elle avait appris à parler si bien la langue, avec un accent à peine perceptible, et quels liens elle avait avec le roi.
Il s’en contre-fichait.
-Bien le bonjour, mademoiselle Anastasia Magerlan. Belle matinée, n’est-ce pas ? Vous venez de vous lever ?
La jeune femme s’étira d’un air sensuel. L’officier prit cela pour un oui.
-Il fait un peu frisquet à mon goût, capitaine.
-Admirez un peu ça. Dans moins d’une année, vous ferez face à un fort de toute beauté. Dont j’aurais le commandement.
-Ravie pour vous, dit Anastasia avec un air qui démontrait qu’elle n’en avait absolument rien à faire. Je doute de rester là jusqu’à la fin des travaux.
L’officier pivota vers elle.
-Il paraîtrait qu’un homme traîne autours du chantier, depuis quelques jours. Il vient la nuit, et disparaît, tel une ombre. Un de mes gars l’a aperçu un soir, mais il n’a pas réussit à l’attraper. Je crains que ce ne soit un espion à la solde du roi de France qui chercherait à s’emparer des plans. Vous allez vous en charger ?
-Je suis sur l’affaire. Mais ne vous inquiétez pas. Je le connais bien.
-Il est de notre côté ?
-Oh, non. Du moins, pas aujourd’hui. Mais il a jadis été du mien. C’est une longue histoire, une de celle qui se raconte au coin d’un feu, lors d’une soirée d’hiver.
-Il a été votre compagnon d’arme ?
-Non, mon amant.
L’officier faillit s’étouffer en avalant sa salive.
-Hein ?
-Bon, je retourne à mes occupations. Bonne journée, capitaine.
-B... Bonne journée.
Fenn déchira un morceau de la cuisse de poulet qu’il avait en main, d’un coup de dent. Cela faisait des jours qu’il se tenait tapis au sommet d’un arbre, à scruter le chantier, trois cent mètres plus loin. Et il était bien gardé.
Les seuls moments où il pouvait s’en approcher discrètement était la nuit, et encore, il ne pouvait guère pénétrer à l’intérieur du camp des ouvriers pour y dérober les plans. Les soldats se relayaient toutes les demi-heures et effectuaient une surveillance si vigilante qu’une fourmi n’aurait pas pu échapper à leur yeux.
Quant aux plans, ils se trouvaient dans la tente du charpentier en chef, elle-même gardée par trois soldats d’élite faisant une ronde extrêmement serrée à toute heure de la nuit comme du jour.
Bref, rien d’insurmontable, pour quelqu’un comme Fenn.
Non, ce qui l’empêchait de mener à bien sa mission, c’était elle. L’Assassin qui surveillait les travaux et qui ne quittait jamais le chantier du regard, veillant avec une minutie extrême sur le moindre ouvrier.
Anastasia Magerlan.
Fenn s’était d’abord demandé ce qu’elle faisait au service des Allemands. Puis, il avait renoncé. Les Magerlan n’étaient pas de ceux dont on pouvait trouver une quelconque logique à leurs actes, du moins, pas elle.
L’Assassin avait connu un grand nombre de femme dans sa carrière, mais des comme elle, jamais.
La lune était haute quand Fenn descendit de son perchoir, la main sur le pommeau de son épée, prêt à tenter une énième infiltration du camp dans l’intention de voler les plans demandés par le mentor Français.
Cette fois, il ne put même pas faire trois pas.
Un sifflement retentit, léger comme l’air, et un couteau de lancer se ficha dans un tronc d’arbre, à quelques centimètres de la tête de Fenn.
-Tiens, tiens…
-Salut, Fenn. Ca faisait longtemps.
-Trois ans, plus précisément.
-Tu ne m’as pas manqué.
-C’est réciproque.
La jeune femme était sortie des fourrés avec l’agilité d’un félin, sans faire craquer une seule branche sur son passage. Aujourd’hui encore, Fenn admirait sa façon de se mouvoir dans la nature et sa discrétion.
Si elle l’avait voulu, elle aurait pu le tuer sans jamais qu’il ne s’aperçoive de sa présence.
Anastasia Magerlan ne connaissait pas de rival dans le domaine de l’assassinat silencieux.
Mais elle s’était découverte d’elle-même.
-Qu’est-ce que tu fais ici ? demanda Fenn en se redressant. Depuis quand tu joue les larbins du roi de Germanie ? Il n’y a pas si longtemps, tu te battais encore aux côtés de la France.
-Je suis comme un papillon. Je vais là où le vent m’emmène. Un jour je suis d’un côté, le lendemain de l’autre… J’ignore les frontières. Tout ce qui m’importe, c’est de perfectionner mon art.
-Peuh, répondit Fenn avec un air insolent. Dis plutôt que tu partages la couche du roi et qu’il t’a ordonné de venir ici en échange de sa protection. Ce n’est pas le vent qui te guides mais les lits bien douillets. Et l’argent.
-En échange de sa protection, et puis quoi encore. Je ne vois pas de quoi j’ai besoin d’être protégée.
-Si tu le dis… Et l’As de Pique, il se porte bien ? La dernière fois que je l’ai croisé, il m’a laissé une belle cicatrice le long du dos. Et c’était, oh, le jour où tu as quitté la Confrérie Française et que tu as disparu dans la nature. Sale garce, tu t’es servit de moi pour lui échapper ! Tu m’as utilisé comme leurre !
Anastasia écarta ces arguments du revers de la main.
-Oh, cesses de pleurnicher. Tu es toujours vivant, non ?
Fenn se mit à sourire.
-Tu aurais pu me donner de tes nouvelles.
-J’étais très occupé, répondit Anastasia en souriant à son tour.
-Et qu’est-ce que tu as fait pendant ces trois ans ?
-J’ai vagabondé, par-ci par là. En Egypte, en Inde, en Chine… J’ai tué quelques personnes, volé quelques reliques, fuis quelques villes, vécu quelques aventures croustillantes. Je te raconterais. Mais une autre fois.
Elle reprit un air grave.
-Je ne te le dirais qu’une fois, Fenn. Ne t’approche plus jamais de ce chantier. Rentre à ton Q.G et dis à ton mentor que tant que je serais là, aucun de ses Assassins ne fera courir le moindre danger à l’avancée des travaux.
Le sourire de Fenn s’élargit, jusqu’à devenir celui d’un prédateur.
-Oh ! Oh ! Oh ! Ca, ça ne va pas être possible ma belle, tu le sais comme moi.
Anastasia se tut un instant.
-Dans ce cas, ce sera inévitable.
-Oui.
-Ce qu’on a partagé… Cette nuit-là… Dans cette auberge… Ca ne changera rien. Ca n’arrêtera pas ma lame. Pas cette fois.
-Je sais. Tu me connais, ça n’arrêteras pas la mienne non plus. Pour ton bien, chérie, ne te dresses pas sur mon chemin. Tu es douée pour la fuite, alors prend un cheval et tire-toi, loin. En Asie, en Afrique, où tu veux. Loin de l’As de Pique, et loin de la Confrérie. Tu as renié l’Ordre, tu ne devrais même pas être en droit de porter notre symbole.
Anastasie cracha par terre.
-Parle pour toi.
Fenn ferma les yeux.
-La prochaine fois qu’on se verra, ce ne sera pas pour discuter.
-Effectivement.
-Je n’hésiterais pas.
-Tu l’as déjà dit. Moi non plus. Allez, à la prochaine, Fenn. Puisses-t-on ne plus se recroiser, même si j’en doute.
Anastasia disparut dans l’ombre de la forêt.
Fenn soupira. Il contempla un instant le chantier, au loin, et les feux de camps qui brillaient dans la nuit. Il voulut avancer, se stoppa, fit un nouveau pas… Renonça.
Il fit volte-face et remonta dans son arbre.
« Demain… »
Bilbo Il y avait un autre texte un autre texte que j'ai pas lu avant celui la ??
Parce que il y a trop de truc "Magerlan" "As de Pique" j'en ai manquer un je crois. Donne la page svp
Les As de Pique c'est le bien \ /
Au faite qui est mon correcteur ?
On n'a pas encore décidé