White : les situations c'est comme les crépes, si tu sais pas comment les retourner, ne les fais pas sauter

J'suis pas mécontent du clin d'oeil que j'ai inséré

Bien trouver lens

C'est juste que j'ai divers possibilité et je sais pas laquelle choisir

[1780, France]
-Père, quelle sera ma tâche ? Demanda Loras.
-Tu vas aider ce monde. Un trafiquant d'esclave revenant d'Amérique se trouve quelque part dans les environs et il se trouve qu'une des personnes sur cette liste a pour mission de le capturer. Viens en aide à cet officier et cela facilitera son ralliement à notre cause.
-Que dois-je faire du trafiquant ?
-Fais en sorte qu'il ne fasse plus le moindre à personne.
-Bien, père. J'y vais de ce pas.
Loras retourna prendre son cheval tout en s'interrogeant sur ce qu'il aurait à faire. Devait-il tuer cet homme ? Le donner aux autorités ? Le priver de tous ses moyens ? Il ignorait encore qu'il avait à faire mais s'il n'avait qu'une seule et unique certitude, c'était celle qu'il sauverait la vie de bon nombre de personnes ou, au moins, en améliorerait au moins autant. Certains personnes étaient nuisibles à la société et il se devait de protéger la population de leurs méfaits. Il avait malheureusement trop peu de missions à son actif pour envisager ce qu'il aurait à faire pour le bien commun. Bien assez vite, il finit par trouver un groupe de soldats visiblement occupés à fouiller une grange.
-Hola messieurs ! Je cherche le capitaine Kevin de.....
-Le gueulard ? Demanda un soldat. Vous le trouverez près du moulin.
-Bien.... Merci....
Il était toujours intéressant de connaître les surnoms des gens afin de savoir à quoi s'attendre et, visiblement, cet officier devait passer un temps considérable à faire comprendre ce qu'il pensait à ses subalternes. Pendant un moment Loras eut un léger doute quant à la personne qu'il allait voir mais en voyant le moulin se rapprocher de lui, il se résolut à tenter sa chance. Échouer devait être moins pire que ne pas essayer, après tout.
-Hola ! Qui va là ?!
Loras vit plusieurs soldats menés par un homme au physique tout à fait quelconque. Ses galons indiquaient clairement le grade, poussant Loras à descendre de son cheval et à s'incliner.
-Capitaine Kevin.... J'aimerai vous parler.....
-Pas le temps ! Je travaille ! Répliqua aussitôt le militaire.
-Si je vous aide à capturer votre esclavagiste, m'écouterez-vous ?
-Il faudrait déjà que vous le trouviez.
-Je vous remercie, répondit Loras.
Le jeune homme s'éloigna aussitôt et chevaucha en direction de la grange que les soldats avaient fouillé peu de temps auparavant. Il rechercha longuement dans la paille jusqu'à trouver une inscription sur une poutre. Il scruta avec attention la marque jusqu'à pouvoir comprendre ce qui avait été écrit.
-« Auberge abandonnée coucher soleil » lut Loras.
Le jeune homme retourna à son cheval, comprenant que la zone de recherche s'était considérablement réduite. Il se mit à chercher tout autour de lui jusqu'à trouver un paysan qui lui indiqua une auberge abandonnée. Il ne se fit pas prier et fit aussitôt galoper sa monture vers la direction indiquée jusqu'à trouver le lieu en question. Il en fit le tour jusqu'à trouver un cheval attaché à un arbre, indiquant la présence d'un individu. Sachant ce qu'il aurait à faire, il dégaina son épée et entra dans la veille auberge qui semblait encore en assez bon état. Il observa les poutres qui étaient visiblement encore en très bon état.
-Quelqu'un est venu il y a peu, pensa Loras.
-Hé ! Toi !
Il se retourna et vit un homme à forte carrure prendre une hache et venir dans sa direction. Comprenant qu'il allait être attaqué, il tenta d'attaquer son adversaire qui dévia le coup avant de tenter de le frapper au niveau du cou. Heureusement, le jeune homme était plus rapide et il n'eut qu'à se baisser pour éviter l'attaque. Malgré sa taille et son arme, son adversaire attaquait à un rythme soutenu, obligeant Loras à éviter difficilement les attaques ou à les dévier maladroitement.
-Crèves !
Loras tenta de passer derrière une poutre pour gagner quelques secondes. L'initiative fut bonne car son adversaire le manque de eu et plante sa hache dans la pièce de bois. Il y eut soudain un bruit d'objet brisé qui attira l'attention de l'homme. Profitant de cette ouverture, Loras lui enfonça son épée dans le ventre. Son adversaire se mit à tousser quelques gouttes de sang avant de s'effondrer.
-Mon dieu....
Loras observa un moment le corps face à lui. Les yeux encore ouverts sans la moindre lueur de vie, la bouche ouverte et souillée par le sang et le corps raide. Il eut aussitôt un air de profond dégoût en voyant le sang couler le long de sa lame. Écœuré par ce qu'il venait de faire et ce qui restait face à lui, il se baissa et ne put s'empêcher de vomir. Il entendit soudain un long cri de terreur qui le rappela à sa mission. Il emprunta les escaliers de l'auberge pour atteindre l'étage supérieur. Les cris venaient d'une pièce où quelques planches de bois attachées entre elles constituaient une porte de fortune. Préférant ne pas se jeter dans la gueule du loup, il tenta de voir ce qui se passait. Dans un premier temps il ne pu rien voir, à l'exception d'un feu dans une cheminée, mais soudain un objet traverser la pièce en volant. Un gémissement plaintif se fit alors entendre, révélant ainsi la nature de l'objet qui n'était autre qu'un être humain.
-Misérable chien ! Tonna une voix.
Loras vit soudain un individu massif venir saisir l'homme qui venait de voler à travers la pièce. Il le souleva, lui asséna un violent coup de poing au visage avant de le traîner vers la cheminée.
-Esclavagiste ! Tu pensais réellement nous échapper ?!
L'individu prit l'esclavagiste par le visage et le lui plongea dans le feu. La malheureuse victime poussa un long cri de douleur qui laissa Loras hésiter sur ce qu'il avait à faire. Devait-il sauver celui qu'il était venu mettre hors d'état de nuire ? Devait-il affronter ce colosse qui s'en prenait à la même cible que lui ? Tant de questions se bousculaient dans sa tête. Finalement le colosse retira la tête de l'esclavagiste du feu et le mit à genou.
-Je te laisses la vie sauve …....
-Merci, répondit l'esclavagiste en pleurant et en lui saisissant la jambe, tel un animal battu.
-Mais je ne te laisse pas la vue.
Le colosse lui enfonça les doigts dans les yeux jusqu'àretirer un objet de petite taille tandis que l'esclavagiste s'écroulait en poussant un cri de douleur inhumain. Le colosse se détourna aussitôt et passa par une fenêtre pour quitter les lieux. Ne sachant que faire, Loras se contenta de sortir de l'auberge et alla chercher quelques soldats pour aller récupérer les corps. L'esclavagiste avait visiblement survécu mais il avait perdu la vue, un œil brûlé et l'autre arraché.
-Mais qu'est-ce que vous avez branlé ? Demanda le capitaine.
-Il y avait quelqu'un ….. C'est lui qui s'en est prit à votre homme pendant que son complice essayait de me tuer.....
-En tous cas vous m'avez bien aidé..... De quoi vouliez-vous me parler ?

Le soir.
-Alors, comment s'est passée....
-Père, commença Loras. C'était horrible.
-Vous avez tué un homme ?
-Oui …. C'était ….. écœurant ….. Je vois son visage, froid, souillé par le sang ….. Le regard vide…
Il l'avait mérité.
-Ce n'était pas …. l'esclavagiste mais un homme de main …..
-Mais l'esclavagiste ?! Que lui est-il arrivé ?
-J'ai vu un homme.... Un homme grand et musclé.... Il lui a plongé la tête dans le feu.... Sans la moindre hésitation ….
Le père de Loras eut soudain un air soucieux. Il prit une feuille et dessina aussitôt un symbole qu'il montra à son fils.
-Portait-il ce symbole ?
-Oui ….. Et après …. Il lui a arraché un œil à main nue ….. Je n'ai rien pu faire …. J'étais …. pétrifié…. Comment un homme peut-il faire souffrir un autre homme d'une telle façon et sans montrer le moindre sentiment, la moindre hésitation ?
Arthur se mit à blêmir et à transpirer face au récit de son fils. Il se leva alors subitement et alla prendre un pistolet qu'il cacha dans ses vêtements. Il mit une main sur l'épaule de son fils et le fixa droit dans les yeux.
-Nos ennemis sont des gens cruels et violents.... Lorsque tu reverras ce symbole, soit toujours prêt à être attaqué. Ces gens se nourrissent de la souffrance de leurs victimes ….

Aprés cette ultime souffrance, je suis tranquille pendant une semaine

• se foutte le dos*

Je voulais garder une lueur d'espoir.... Mais ce perso est vraiment pourris Mais le texte est déja mieux

Mais regarder ce que j'ai trouver sa ne te rappelle rien Lens ?

[Allemagne , Février 1871]
-Dietrich !
Meryl sauta dans les bras du héros revenant de guerre tandis que les autres membres de la troupe venaient à sa rencontre . Il fut heureux de revoir ses anciens amis et , pour célébrer son retour , une petite fête fut organisée . Le contraste avec ce qu'il avait vécu juste avant était si troublant que cela lui faisait presque peur . De la joie et du bonheur face à la violence , la haine et la peur durant les batailles . Dietrich avait avait quitté le champ de bataille mais pas la guerre . Une chose qui le surprenait lui-même car il avait déjà connu la guerre , avait eu peur dans un premier temps puis avait finit par y prendre goût voire du plaisir durant la guerre face à l'Autriche . Depuis qu'il avait rejoint les assassins , il avait l'impression d'avoir perdu l'insensibilité qui le caractérisait lui et sa famille . Son regard se fit plus dur et il s'éloigna des festivité avant de dégainer un poignard et d'en observer la lame .
-Qui suis-je ? Suis-je un Lenski ou un prussien ?
Il savait assez de choses sur le clan Lenski pour savoir que cette famille , si elle se rangeait souvent sous le drapeau de la nation qui les accueillait , était profondément égoïste et capable de trahir peuples et empires pour son propre confort ou ses idées . Il connaissait également les quelques témoignages sur cette famille qui les décrivait , soit comme des barbares prompt à déclarer guerres et ordonner l'assassinat soit comme des généraux d'un grand professionnalisme proches des hommes mais , quelles que soient les sources , tous s’accordaient sur le fait qu'il ne montrait que très rarement leurs sentiments et encore moins en guerre . Il était de la lignée de Dimitri Lenski dit « l’apatride » , celui qui avait trahit son roi , sa nation et avait désiré conserver le système oppressif des souverains français et ce au prix de presque toute sa fratrie . En un mot , un être détestable vis à vis du peuple dont il était issu mais , pour les adversaires de Napoléon , il était un individu dévoué au bien être de la France . Lui-même ne savait pas quoi en penser , n'ayant jamais rencontré les héritiers légitimes de Dimitri .
-Dietrich ?
L'officier se retourna en sursaut , le poignard prêt à frapper mais se rassura en se rendant compte qu'il ne s'agissait que de Meryl qui avait l'air inquiète . Il rengaina son arme et se contenta de regarder la lune .
-Tu n'as pas l'air …. Heureux ….
-As-tu déjà été sur un champ de bataille ? Tu comprendrais pourquoi je ….
-J'ai déjà tué beaucoup d'hommes et de femmes , ne t'inquiètes pas .
-Tu ne connais pas . Les assassins doivent se fondre dans la foule et être invisibles , les soldats , eux doivent anéantir la foule face à eux . C'est …. Ignoble …..
-C'est pour éviter cela que nous luttons . Nous combattons pour ….
-Ce combat est perdu d'avance ! Les templiers sont trop nombreux , trop puissants ! Ils ont pour eux des millions de soldats grâce à leur emprise sur les gouvernements . Même les assassins ne peuvent pas faire face ! Nos capacités , nos ruses , nos équipements ….
-Si nous ne pouvons les vaincre , nous pouvons contrecarrer leurs plans . C'est ce qu'aurait voulu le créateur du cirque .
-Ce n'est pas Pierre ?
-Non …. Ce n'est pas Pierre .
-Qui a créé ce cirque ?
-Dimitri Lenski a créé la compagnie peu de temps après Waterloo . Il savait ce qu'il faisait , ce qui allait se passer .
-Tu parles comme si tu le connaissais …
-Je ne l'ai pas connu mais … Je lui fais confiance . Il a tant fait en se mettant si peu en danger et en prévoyant tant de choses …. Je pense qu'il avait des plans précis pour le monde .
-Nous luttons pour la liberté et tu acceptes d'être contrôlé par un inconnu ? Un homme qui a agit dans l'ombre pour provoquer des guerres pendant prés de quinze ans ?!

[Angleterre , juin 1871]
-Allons-y , William , que veux-tu ? Demanda Dietrich .
Face à lui , un homme entouré par cinq autres personnes observaient le prussien . Finalement William , qui semblait être le chef , fit signe à ceux qui l'accompagnaient de partir . Il se leva , alla à son bureau et ouvrit un coffre placé dans le mur pour en tirer la pomme d'eden . Dietrich eut un mouvement de retour avant de faire face .
-Tu veux me tuer , Sire William Lenski ?
-Mais non voyons …. Tu es un membre de ma famille alors j'aimerai …. Que tu testes la pomme .
-Pourquoi le ferais-je ?
-La plupart des membres de notre famille ont été exposés à ses effets sauf toi , je crois , et j'aimerai que mon fils l'utilise le plus tôt possible .
-Cette chose est bien trop dangereuse . Utilisez la et votre fils mourra . Moi-même je ….
-Je suis certain que vous saurez en faire usage . Essayez .
-Et si je refuse ?
-Je vous forcerai .
-Essayez seulement .
Ils sortirent de la maison et allèrent dans la cour où ils se firent face . William devait avoir la quarantaine , la force de l'âge , alors que Dietrich avait presque la moitié de son âge . Finalement l'assassin anglais se jeta sur lui en dégainant sa lame secrète que Dietrich bloqua en stoppant le poignet de l'assassin d'un coup du tranchant de la main avant de frapper son front contre celui du lord qui recula de quelques pas avant de faire un mouvement . Un sourire de sa part indiqua à l'allemand une menace , le forçant à se décaler avant qu'une corde ne vienne frapper à l'endroit où était sa jambe gauche quelques instants auparavant .
-C'est donc ça , les Lenski ?! S'exclama Dietrich .
Il saisit la corde , la tira de toutes ses forces pour attirer l'anglais et le réceptionna par un coup de pied en plein visage avant de lui tordre le bras tenant la lame secrète et appuya sur la gâchette du pistolet caché . Dans un mouvement rapide , il lui tira le bras en avant tout en le penchant et en lui envoyant un coup de pied retourné à l'arrière du crâne , le projetant violemment au sol .
-Des gadgets et aucune force , commenta l'allemand avec un air de dégoût . Incapable de vous battre par vous-mêmes , des faibles ne pouvant s'en sortir seuls ...
William se redressa avant de s'élancer vers Dietrich qui évita le coup en le soulevant par le cou avant de le plaquer de nouveau contre le sol .
-Minable …. Tu veux que j'utilise la pomme d'eden ? Si tu veux … Je suis sûr que tu n'es même pas capable de la maîtriser .
Dietrich la prit dans sa main et eu une étrange impression . Il se trouvait dans le même décor mais qui semblait moins anciens , les arbres semblaient légèrement moins eux également et les fleurs étaient différentes . Il entendit le son d'une cornemuse qui le guida jusqu'au sommet d'une petite colline ou un homme blond était occupé à peindre le paysage . L'homme ne semblait guère sur ses gardes et il se contenta de peindre le ciel .
-Je vais bientôt devoir la rendre , lâcha l'inconnu . Tu peux t'asseoir ici , si tu veux . De toutes façons cela se passe dans nos esprits …. Sauf cette peinture que je suis en train de réaliser en même temps .
Dimitri Lenski , répondit simplement Dietrich . Vu votre visage …..
-En effet . Ton histoire est sur la bonne route , Waterloo fut une victoire et ta lignée vivra .
-Vous vouliez me parler , je suppose . C'est grâce à la pomme que vous maîtrisez tout .
-Je ne maîtrise pas tout . Je peux influer sur quelques événements , le reste est une progression logique .
-En quoi ma vie faisait-elle partie de vos plans ? Quelle guerre vous intéressait-elle ?
Dimitri reposa sa palette avant de se tourner vers Dietrich et de commencer à le rajouter sur sa toile .
-La guerre …. Quand tu auras vécu autant que moi , tu sauras qu'il faut les éviter autant que possible même si je pense que tu le sais déjà . Non , en réalité je voulais …. Créer une nouvelle lignée différente des autres .
-Plus forte ? Plus stratégique ?
-Plus heureuse . J'aurais voulu que les Von Leinsnitz deviennent des hommes à l'abri du malheur mais … Le destin est plus fort que moi .
-Je ne vois pas où vous voulez en venir , répondit Dietrich .
-Je suis vieux . Je vais avoir une famille , essayer d'être un bon père mais … Je ne peux m'empêcher de penser à ma vie si je n'avais pas lutté contre les flots de l'histoire …. Tant de vies perdues , tant de complots pour …. Rien . La mort , le désespoir , la douleur …. Pourtant , je pensais agir pour le bien de l'humanité et une fois que je me fut emprisonné dans mes propres actions je ne pouvais plus reculer . Je n'ai pas causé les guerres napoléoniennes . J'ai préparé le terrain aux coalitions européennes sans comprendre que les assassins devaient faire évoluer le monde et non le garder dans l'ignorance et l'esclavage …. Comme je regrette beaucoup de mes actes …. Je ne veux pas que tu vives cela .
-C'est un peu tard pour les regrets , non ? Tous ces hommes sont morts et ….
Dimitri observa Dietrich dans les yeux avant de se remettre à peindre .
-Je sais . Les morts ne reviennent pas . Même les fragments d'eden ne peuvent faire revenir les morts. Seule l'ankh peut « réveiller » les morts pendant un court instant mais elle est incapable de redonner la vie , pas plus que le linceul . De mon temps , mes frères de Russie espéraient que leur fragment leur permettrait de stocker les spécificités de chacun d'entre eux …. ça ne marche pas comme ça mais imagine les immenses gains possibles …. L'intelligence d'un membre de la famille , la force d'un autre …... Cette pomme ne peut pas faire cela à moins qu'elle ne le désire elle-même .
-Où voulez-vous en venir ?
-La pomme …. Peut montrer les vents de l'histoire mais pas permettre de connaître le futur pour assassiner l'ancêtre d'un futur tyran . Chaque génération doit faire ses preuves ….. Moi même , je ne peux pas t'apprendre tout ce que je sais mais …. Je peux te transmettre mes conseils ….
-Quels conseils ?
-Restes toujours en dehors de la guerre , éloignes-toi des conflits autant que possible . Nos mains sont dégoulinantes de sang alors …. Profites de la vie mais avec modération . La famille , l'amour , l'amitié …. à mon époque , j'ai tiré l'épée contre mon ami Lazaro , j'ai laissé mes frères mourir et j'ai simplement abandonné celle que j'aimais lorsque j'ai atteint le grade officiel d'assassin ….. Et toi , qu'as-tu fait de ton cœur ?
-Je …..
-Le contact du métal rend le cœur aussi froid que lui . Ne fais pas les mêmes erreurs que moi .
-Pourquoi veux-tu me dire ça ? Tu as forcément un plan , non ? Tu prépares ….
-Non . Je n'ai aucun plan ….

Dietrich eut un léger mouvement de recul avant de redonner la pomme à William et de commencer à s'en aller .
-Tu n'as rien à craindre du fragment ….

Tu pouvais pas juste donner le lien?

White : en fait dès qu'il y a trois gouttes de sang c'est un bon texte pour toi
Mais tu verras, même certains secondaires seront meilleur sur le personnage principal
+bien de cc des pavés au lieu de poster le lien ?

Ha ouai

Sinon je peux quand même poster mes anciens texte sur le fofo du rp? Même si il y a aucun rapport avec ce perso si?

CTM est-ce-que tu pourrais me mettre les avantages et les inconvénients dans tes corrections ? comme tu as fait pour mon premier texte ? ça me permet de voir ce qui t'as plu et ce que je dois changer

De toutes façons quand j'essayais de faire de bons textes tout le monde s'en foutait donc maintenant je fais des textes que je déteste pour que tout le monde haïsse le personnage <^>

Séquence 4 : Nom complet.

Grèce, Athènes, 65 avant Jésus-Christ.

Le lendemain.

« - Je te remercie encore, ce message est très important.

- Comment ça ?

- Je ne devrais pas t’en parler, me dit-il la tête baissée, je te promets de répondre à tes questions un jour.

- Quand ?

- Peut-être aujourd’hui, peut-être demain, peut-être dans un an, seul Teutatès (orthographié Toutatis) le sait.

- Teutatès ? Répondis-je intrigué, tu es Gaulois ?

- Oui, d’ailleurs je ne t’ai toujours pas dit mon nom, je m’appelle Arnhold (signifie Aigle Glorieux en celte), et toi ?

- Je m’appelle Marcus Brictius.

- Ce sont des noms Romains, comment ce fait-il que tu n’as que deux noms ? Me dit-il, surpris.

- Je n’ai pas envi d’en parler, cela remonte à dix ans maintenant, je te dirais simplement que ces noms ne sont pas mes noms d’origine.

- Je respecte le fait que tu veuille garder ça secret, je n’insisterais pas, dit-il en posant sa main sur mon épaule, mais nous devons te trouver un nom complet, j’ai entendu dire que vous second nom vous était attribuer par des faits ou autre.

- C’est exact.

- Bon, nous verrons ça plus tard, je ne te demanderais pas de me rendre un service cette fois-ci. »
Je n’eus voulu lui parler du phénomène étrange qui m’est arrivé lorsque je cherchais le messager, je lui en parlerais, un jour peut-être. Je décidai de sortir marcher, pour réfléchir. Le soleil était déjà haut dans le ciel, les gens vaquaient à leurs occupations. Je marchais dehors, en portant la cape qu’Arnhold m’a donnée, au cas où je passerais à côté d’un groupe de garde. Je décidai d’aller acheter un fourreau pour ma lame. Je me dirigeai donc vers un cordonnier. Sur le chemin, en passant devant une ruelle, j’entendis du bruit.

«- Il y a quelqu’un

- *marmonne des mots*
Je vis un homme, à moitié nu, recroquevillé sur lui-même, un anneau à la main.

- Domine (Dominé = Monsieur), vous allez bien ?

- *il marmonne*…chh..chh… mon précieux... »
Je lui jetai une pièce en m’en allant, il devait être ivre. Je continuai mon chemin, et je vis un jeune garçon courir dans ma direction, il semblait me fixer. Il me percuta, j’eus le réflexe de lui retenir le bras. Je tends mon bras vers lui en disant :

« - Ne fais pas l’idiot. »
Il mit une bourse dans ma main, la mienne en l’occurrence. Je lui donnai deux Dochme par pitié avant de le laisser partir. Si il y a une chose que j’ai retenu de mon père, c’est de toujours…

¤ - …faire preuve de compassion, mon fils. Si quelqu’un te vole, récupère ton argent, et offre lui par la suite, si quelqu’un t’agresse par désespoir, vient lui en aide, si quelqu’un te supplie de l’aider, fait-le. C’est comme cela que tu te feras des amis et des alliés… ¤

Je continuai ma route jusqu’au cordonnier. J’y parviens enfin.

« - Échete maníkia gia aftó to eídos tis lepídas? (Avez-vous des fourreaux pour ce type de lame)

- Tha to deíte. (Je vais voir ça.) »

Il alla dans l’arrière boutique, ça peut durée plusieurs minutes. Je regardais autour de moi en patientant. Soudain, je vis la créature la plus magnifique qui m’ai était donnée de voir. Aliénor, la femme que j’ai toujours aimée. Il s’est passé maintenant trois ans depuis qu’elle est partie, elle n’a jamais voulu me dire où. Elle se dirigeait vers moi. Elle avait les yeux d’un gris aussi clair que l’argent, les cheveux blond tel de l’or, une peau lisse sans imperfection, d’apparence douce et bronzée, des courbes tel celle d’Aphrodite, des lèvres rouge comme le sang, les dents aussi blanche que les nuages, un regard profond et…

« - Brictius, Brictius, réveil toi, c’es pas l’heure de dormir.
Je secouai ma tête.

- Aliénor ? C’est toi ?
Elle sourit, un léger rire sortit de sa bouche.

- Je vois que tu ne m’as pas oubliée, dit-elle en souriant.

- Comment pourrais-je t’oublier ? Nous avons passé 7 ans de notre enfance ensemble, j’ai pensé à toi pendant ces trois dernières années.
Elle me prit dans ses bras. Son odeur m’ensorcela à la seconde où elle se colla à moi.

- tu m’as tellement manqué Romaïkí mikrí mou. (Mon petit Romain)
Je mis avec hésitation mes mains autour de sa taille.

- Toi aussi tu m’as manqué Dea vitae meae. (Déesse de ma vie)

- Qu’est-ce-que ça veut dire ? Un sourire se dessine sur son visage.

- Hum, ça veut dire…

- Kýrie vríka tin thíki pou psáchnete. (Monsieur j'ai trouvé le fourreau que vous cherchiez.)
Je me retournai, les yeux grand ouvert, et dis à haute voix :

- Ah bah tu tombe bien toi !

- Penínta (cinquante) Dochme.

- Je t’en donne même 70, tu fais du super bon boulot. Désolé Aliénor, je dois y aller.

Aliénor me regarda, la bouche ouverte avec un grand sourire? Pourquoi ais-je réagis comme ça ? Ineptus (Idiot) que je suis. Je marchai à grande vitesse, pour rentré le plus vite possible, quand sur ma route, non loin de chez moi, j’entendis des appels à l’aide. J’accouru à l’endroit où j’eus entendre crier. Un enfant courra vers moi, apeurer et affolé.

« - S’il-vous-plaît, venez m’aidez, des loups attaques mes frères. »

Soudain, une sensation de peur m’envahit pour ces enfants. Je suivais celui qui m’avait prévenu. Je vis deux enfants sur un socle en hauteur. Les deux enfants y étaient assis, appelant à l’aide, trois loups tournaient autour en aboyant et en essayant de grimper sur le socle. Il n’y avait aucun garde et les hommes autour ne bougeaient pas. Je retirai ma cape, pris ma lame dans ma main et m’apprêtais à risquer ma vie à nouveau, cette fois-ci, pour sauvé la vie de deux enfants. Je courus vers les loups, je n’avais pas attirer leur attention. Je pris une pierre et la lancer sur eux, l’un des loups reçu la pierre sur le dos et se tourna vers moi, il se mit alors à courir vers moi et me sauta dessus, je lâchai ma lame sous le choc. . Je repoussais sa gueule de toutes mes forces pour ne pas faire déchiqueter le visage, et je réussi à le lancer sur le côté, les deux autres loups tournaient autour de nous deux. Je me dépêchai de récupérer ma lame et balança mon bras vers le loup qui avait déjà commencer à me sauter dessus, je lui fis une entaille à la côte. Á ce moment, les deux loups foncèrent vers moi. Je fis une roulade sur le côté. J’étais plier sur mes genoux, prêt à leur bondirent dessus. L’un de fonça vers moi. Je pris ma lame par le manche, lame vers le bas, mis ma main prêt de ma joue gauche, et la balança vers les droites, elle se planta dans le coup de l’animal. Je la retirais de son coup avant qu’il ne touche le sol et la lança sur le deuxième. Elle ira se planter sur le côté gauche de l’animal. Il en restait un, celui qui avait reçu une entaille à la côté. Je regardais ma lame qui était plantée dans l’autre loup. L’animal commença sa course vers, puis vînt mon tour de courir dans sa direction. Je prit ma lame rapidement sur le loup, et sauta en l’air en même que celui qui s’apprêtait à me tuer…

• les gens autour :

« - Theé mou. (Oh mon dieu).

- Quel fou.

- Comment peut-on prendre autant de risques ? »

Arnhold se dirigeait vers eux.

Les sourcils plissés en avant, de l’ombre cachait ses yeux, sa bouche ouverte laisser entrevoir sa mâchoire serrée.
Un sourire se dessine sur le visage d’Arnhlod.

« - Je crois avoir trouvé. Marcus… Lupus (loup) Brictius. »
Brictius leva les yeux vers Arnhold. Ce dernier lui tend la main, il avait vu la scène de la fenêtre de la chambre de Brictius. Celui-ci saisit la main d’Arhnold pour se relever *

« - Je crois que tu va avoir la réponse à tes questions bien plus rapidement que prévu. Dès demain, ton entraînement commencera. Tu devrais rentrer pour te reposer. »

Mmmm. je vais faire 3 pages sur word, ça va être assez long, je fais 4 pages, ça à l'air moins long

Alors, Pell ne poste plus de texte parce que sinon je vais jamais m'y mettre

White, non, ça sert à rien, et sache que tu me pond une suite pour quand j'en aurais fini avec Pell

Voilà, sur ce bonne journée

Je poste quand j'aurais envie

Je vais refaire un perso le mien est pourri

Non en fait :hap :

[Dijon, 12 mai 1789]

J’étais arrivé à Dijon, ici tout était tranquille, il n’y avait pas d’agitation et les nobles était en toutes sécurité, je les voyaient me regarder d’un air arrogant, sûrement à cause de ma cocarde. J’étais toujours en route vers Lyon et j’espérais trouver un cheval à voler ici.

Je marchais dans une grande allée quand un enfant me poussa légèrement, c’était sûrement un voleur mais peu importe : je n’avais pas d’argent. Je frottai mon manteau peu après quand je m’aperçu que cet orphelin avait mit quelque chose dans ma poche, c’était une lettre écrit avec une écriture soignée :

« Mes informateurs ont appris que vous étiez sur la route de Dijon, j’ai un petit travail pour vous qui ne devrait pas vous occasionner des ennuis, un agitateur essaye de monter une foule contre la royauté, jusque là c’est plutôt intéressant jusqu’à ce que ce même agitateur soit un Templier.

Tuez-le, et prouvez-le moi avec cet plume. «

Un sceau était posé sur la lettre : un A, aucun doute c’était les Assassins, je me mit directement au travail afin de montrer ma fidélité. Je ne savais malheureusement pas où allé dans cet immense ville.

J’aperçu l’enfant qui m’avait poussé sur les marches dans bar proche, je m’approchais de lui en marchant rapidement, mais il me vu et il commença a courir, je rejoignis la course mais certains de ses amis me faisait un barrage, certes le franchir ne me posait pas de problèmes mais je ne voulait pas faire du mal a ces enfants, je sauta sur une charrette et je retomba derrière le groupe d’enfants je repris la course, mais le garnement se faufilait dans les ruelles . Heureusement, il tomba, je lui présenta ma main afin de l’aider à se relever.

Je m’accroupi afin d’être à sa hauteur. C’était un garçon de 12 ans assez petit pour son âge avec le visage recouvert de poussières et les vêtements miteux.

-Pourquoi t’es-tu enfuis ?

-Les…les gens pensent que je les volent…

-N’ait crainte, je ne veux pas te faire de mal….pas à toi.

-Qu’est-ce…Qu’est-ce que vous voulez dire ?..

-Je dois trouver un homme qui parle haut et fort de révolution et d’égalité et qui agite la foule avec ses paroles, tu sais où le trouver ?

-Oui ! C’est un marchand. Il est près du marché sur une estrade.

-Bien, reste ici.

Maintenant que je connaissais la position de ma cible qui était très proche j’accrochait la plume à ma Lame.
J’avançait en direction du marché rapidement et je vit ma cible sur une estrade entourée par une dizaine d’hommes.

-Le Roi vous volent votre pain, votre blé, nombres d’entre vous meurent sous le coups de fouets d’un être infâme ! Libérez-vous de vos chaînes et marchés contre l’imposteur !

Il faisait son discours devant une petite église, l’attaque directe semblait déjà beaucoup moins probable, je traversait la ruelle qui bordait l’église, je cassis un vitrail afin d’entrer après avoir regarder si des gens étaient à l’intérieur. Cependant le bruit attira le marchand qui rentra dans l’église lentement. J’était juste derrière la porte et lorsqu’il la ferma je la fermait complètement à clé.

Je le prit rapidement par la gorge et l’emmena à l’autel.

-Tu as été envoyé par les Assassins, n’est-ce pas.

-Malheureusement pour vous, en effet, vous avez mal choisi votre camp.

-Ce n’est qu’un sale moment a passer, n’est-ce pas ?

-Peut-être. Sachez que j’en suis désolé.

La Lame rentra dans sa gorge en même tant que sa bourse échappa à sa ceinture. Je fermi ses paupières, mit ses mains en position de mort et lui posa un crucifix entre ses mains.

-J’espère que vous n’êtes pas un fidèle de l’Islam.

J’ouvris la porte de l’église et m’adressa brevement à la foule :

-Cet homme n’est pas celui que vous croiez.

Les hommes rentraient dans l’église sans se soucier de moi, je retourna, moi, dans la ruelle où était l’orphelin et passa en faisant tombé la bourse de la victime.

CTM j'ai commencé la mission et, c'est plus fort que moi, elle risque d'être longue (mais je l'aurais pas fini avant ce soir de toute façon...)

Donc si ça te pose problème que ce soit trop long, dit le

Et bien, j'ai corrigé Pell, vraiment rien à redire

Je déconne, j'ai de quoi parler encore

"Le cercle de paysan s’était tu,"
Et un "s" qui s'envole
Mais je reconnais que c'est pas évident

"Ha ! Ha ! Ha ! "
Je pense qu'il serait mieux de dire "il s’esclaffa" que mettre des Ha, parce que ça peut être ridicule en fonction des gens

Chaud, que ça à dire en un texte, heureusement, j'ai plus d'un tour dans mon sac

Bon, j'étais trop absorbé par le texte pour relever les fautes, t'as de la chance, mais j'ai relevé 2 erreurs

La première c'est que tu n'espace pas beaucoup tes textes, bien que tu revienne souvent à la ligne. Alors je te demande pas de sauter des lignes à tout bout de champ, mais après un dialogue ou avant ce serait bien.

Ensuite, bien mr.Indestructible?

Je plaisante, ok il n’affronte que des bouseux, mais même 10 contre un, on a du mal
Je veux bien fermer les yeux parce que tu es habitué à avoir un Assassin super balèze, mais quand même, oubli pas que t'es pas direct un tueur dés le début

Bon sinon j'ai pas encore lu la belette, je voudrai juste savoir:

Flamme Une anecdote en trois parties, c'est 3 récompenses ou une?