Bonjour

Après une petite absence je reviens sur ce forum
Je voudrais recommencer à 0 C'est possible?

je tiens a vous prévenir les amis, on vous a plagié.

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-30828-180-1-0-1-0-rp-xcom-agents.htm

Polo oui ce doit être possible

J'ai vu pparlement, j'y suis même allé.

Je me sens toujours responsable du RP, et je supporte pas le vol.

Je suis d'accord avec toi. Moi aussi je me sens responsable du RP, et c'est pourquoi je fais tout pour empêcher ce genre de choses.

C'est surtout qu'il a fallu des années pour perfectionner le RP, et la il se permet de tout voler sans même citer la source.

Ouais, le minimum aurait été de dire que son topic est tiré de ce RP

Spit > 500 pièces, 550 XP et 2 points. C'est bien écrit comme d'hab mais de légères fautes comme "d'un ans", il n'y a pas de -s car c'est au singulier à part si je me trompe.

Sinon pour l'autre RP, faut pas s'énerver comme ça. Je veux dire, c'est sur un autre forum, le gars a pensé bien faire même s'il a oublié de nous citer et de me prévenir avant de poster mais c'est pas un bête plagiaire qui a voulu s'approprier le jeu.

Moi aussi je voudrais bien recommencer

Pour vous prévenir, je risque de ne pas trop passé ici pendant quelque temps (~ une semaine).
Donc si polo ou gyth venaient à poster un texte pendant ce laps de temps, n'hésitez pas à les corriger
Merci

Moi c'est simple, je vais tout recommencer...

Donc je posterai la fiche de mon personnage d'ici ce soir
Et j'aimerai bien garder CTM comme correcteur si c'est possible...

Yosh ça marche si je crée un perso maintenant ou vous êtes déjà en surcharge ?

Lucenfer ! Aucun soucis.

Un petit texte, histoire de tuer l'ennui ~ ~

Quelques jours plus tard, en pleine forêt.
Loras observait la table sur laquelle était disposée une carte de la région où plusieurs forts avaient été entourés par les soins de Dimitri. Celui-ci avait réuni son état-major pour leur expliquer son plan. Comme à leur habitude, ils s'y opposaient, arguant que l'assassin était bien trop jeune pour comprendre ce qu'il faisait.
-Silence ! Hurla Dimitri. Ce fort permet aux anglais d'offrir un abri à leurs convois ainsi qu'une protection. Nous lancerons l'assaut de nuit alors qu'ils ne s'y attendant pas. La force du nombre et la surprise nous apporteront une victoire rapide et peu coûteuse.
-Et s'ils nous attendaient ? Demanda l'un des officiers.
-Nous gagneront quand même, répondit simplement Dimitri. Nous comblerons nos pertes avec les auxiliaires indiens et maintenant, je ne veux plus rien entendre !
-Nous courrons à la catastrophe.

Le soir même.
Loras vérifia que son fusil était bien chargé avant de s'approcher avec prudence à travers la végétation. Une fois hors de la forêt ils seraient à la merci des tirs ennemis avec, pour seul espoir, trois tonneaux de poudre à placer contre la porte en bois du camp afin de la faire exploser. Une tâche des plus risquées pour les porteurs qui pourraient être réduits à néant en une fraction de secondes. Peu confiant, le templier fit une dernière prière avant que l'assaut ne soit lancé.
-Bonne chance, murmura Dimitri à Loras.
-Merci, répondit l’intéressé.
Il dégaina son épée et se mit à avancer au pas rapide tandis que les autres soldats se mettaient à courir. Soudain, un cri anglais fusa ainsi que des projectiles. Loras tourna la tête pour voir que l'un des porteurs de barils était trop prés de lui à son goût. Il aperçut le second porteur qui s'approchait dangereusement de la porte mais, soudainement, une explosion déchira la nuit tandis que tous les soldats proches du baril étaient plaqués au sol par le souffle de l'explosion. De plus en plus de soldats anglais venaient prendre position pour ouvrir le feu sur les français tandis qu'une autre balle fusa et se logea dans la tête du second porteur. Conscient de l'importance de son chargement, Loras retourna aussi vite que possible sur ses pas, prit le baril et le porta jusqu'aux portes du fort. Il sentit le souffles des projectiles passer prés de lui et sentit soudain une vive douleur sur le côté du bras gauche. Il lança le tonneau contre la porte et se jeta au sol tandis qu'un soldat tirait sur le baril qui fit voler en éclat le bois pourtant large.
-Chargez ! Hurla Dimitri.
Les soldats s’engouffraient dans l'ouverture tandis que les anglais les chargeaient également, baïonnettes en avant. Le choc fut rude, aucun camp ne voulant laisser l'avantage à l'autre mais, petit à petit, les français finirent par rentrer dans le camp fortifié. Le combat culmina par un combat singulier entre Dimitri et l'officier en charge du fort. L'assassin paraît les coups de son adversaire avec grâce et aisance avant de répliquer par des attaques rapides et brutales. Finalement, le soldat tenta une frappe à la verticale sur Dimitri qui évita le coup avant de saisir le poignet de son adversaire tout en lui enfonçant la pointe de sa propre épée dans l’œil.
-Victoire ! Hurla l'assassin.
Le résultat de ce duel aurait effectivement du apporter une victoire aux français mais les anglais qui leur avait tiré dessus lorsqu'ils étaient à l'extérieur continuaient à les abattre maintenant qu'ils étaient dans le camp. Forcés de se battre sur tous les côtés, les soldats français tombaient plus rapidement que les anglais malgré la vaillance de leur commandants qui tentaient de les empêcher de reculer. Malgré tout, les tuniques rouges finirent par faire reculer leurs adversaires et à isoler Dimitri qui ne fut sauvé que par une attaque courageuse de Loras et de quelques soldats. Ensembles, ils parvinrent à ceinturer l'assassin et à le tirer hors du camp.
-Nooooon ! Hurlait l'assassin. Retournez au combat !
-Retraite ! Hurla un officier à cheval. Retraite !
Malgré tous ses efforts, l'assassin ne put se soustraire à la force de ses soldats qui le tirèrent loin du camp.

Plus tard, au lever du soleil.
-Une honte, murmuraient les divers officiers. Nous avons perdu la moitié de nos hommes et en plus de cela, il nous a congédié pour ruminer dans la tente de commandement.
Nous pouvions gagner, affirma Loras.
-Oui, nous aurions pu mais nous ne serions plus qu'une poignée, répondit un officier. Un seul régiment britannique aurait pu ensuite nous vaincre et cet jeune impétueux serait certainement mort.
-À mon avis, continua un autre officier, cela ne devrait plus tarder. J'ai déjà vu de jeunes capitaines de son genre se donner la mort après des défaites bien moins humiliantes que celle de cette nuit.
Doutant, Loras se précipita vers la tente de commandement aussi rapidement qu'il le put, un couteau de lancer à la main. Il pénétra dans la tente avec une vitesse surprenante pour voir son supérieur hiérarchique, le pistolet sur la tempe, et récitant une mystérieuse prière.
-Sur les étoiles et sur Dieu, conclut l'assassin.
Le templier n'écouta que son instinct et lança son couteau qui percuta le pistolet dont le coup alla se perdre quelque part dans la tente. Dimitri se retourna avant de s'effondrer, ses genoux ne semblant plus le porter. Loras parvint à le rattraper juste avant qu'il ne heurte le sol.
-Dimitri ….
-J'ai échoué... j'étais responsable, pleura l'assassin. J'étais responsable de leurs vies. C'est moi qui ait décidé de les éloigner du reste de l'armée, moi qui nous ait emmené loin du reste des hommes... je nous ai tous condamné.
-Non ! Nous vivrons !
-Et pour quoi faire ? Demanda Dimitri. Les anglais finiront un jour par nous retrouver … Plus aucun d'entre nous ne reverra la France.
-Les auxiliaires indiens viendront combler nos pertes et nous aideront à retrouver le reste des nôtres.
-Nous, les blancs, les avons tant tué... pourquoi nous aideraient-ils ?
-Et les Américains! Ceux qui harcèlent les Anglais, ils ….
-Les Américains ! S'exclama Dimitri en se redressant comme si rien ne s'était passé.
Il se pencha sur les cartes et planta alors un poignard dans un cercle tracé sur la carte.
-Les patriotes avec quelques alliés indiens comptent attaquer ce village où des soldats anglais se sont rassemblé. Ils vont attaquer dans deux jours et nous sommes à deux journées et demi de marche dudit village.... Nous allons participer à ce combat avec notre cavalerie et ajouter nos forces aux patriotes !
-Mais... nous n’arriveront jamais à temps.
-Si, répondit Dimitri. Nous allons avancer en marche forcée durant toute la nuit et nous nous reposeront quelques minutes toutes les heures. Nous avanceront vite et ils ne s'attendront pas à nous voir arriver ! Ils ne s'attendront pas à une charge de cavalerie dans leur dos.
-Cela paraît un bon plan, répondit Loras encore étonné par le rétablissement de son frère d'arme.
-Relaye l'ordre ! Nous partons tout de suite.

Deux jours plus tard.
Les anglais fuyaient, dispersés par la cavalerie française et éloignés par le reste de l'infanterie. Dimitri et Loras rejoignirent le commandement américain mais, étrangement, l'assassin s'arrêta devant un indien.
-Tiens donc ! Quelle surprise de te retrouver ici, cousin.
L'individu en question se retourna, un tomahawk en main et dont la lame était une reproduction de l’emblème des assassins.
-Dimitri, murmura l'homme.
-Heureux de te revoir, Demyan.
-Encore un assassin ? Se lamenta silencieusement Loras.

Faut que je remette à lire ça moi

113 pages, j'ai déjà fais pire

• fouette jet*

au boulot /S

Je le ferais

(j'ai pas dis ça avant d'écrire mon prochain texte? )

Bref, bon nuit

Je vais peut-être m'y remettre, moi

Lucenfer! Depuis le temps

Je veux bien te prendre en apprentie

Et effectivement Bilbo, il serait temps