+ il y a que Radeï qui est appelé par son prénom en 1231

Ouais, les autre c'est le bénitier grenouille, je lai toujours pas comprise elle

Rey, narration à la troisième personne

grenouille de bénitier

Le bénitier c'est le petit pot en pierre avec de l'eau à l'entrée des usines et donc la grenouille de bénitier c'est pour dire de quelqu'un qu'il passe son temps à l'église

Faut imaginer une grenouille dans un bénitier

http://fr.wiktionary.org/wiki/grenouille_de_b%C3%A9nitier

voilà

Je sais ce qu'est un bénitier
Et toi tu les fous aux entrée des usines?

Sur ce, bonne nuit

Usine , église , c'pareil

Ok les gens je viens d'avoir une idée .
On , ou vous , s'entend bien !!! ( je le crois du moins )
Donc puisqu'on s'entends bien pourquoi ne pas créer une team donc ceux qui participent sur le topic on les met dans la guilde de "L'ère des assassin"
Ça vous branche ???

Mais d'où tu sors toi ?
Personne n'aime le multi ici

Il est bien le multijoueurs je trouve
Je suis un inconnu

Et mon texte, Jet ?

Wonjoiut :joir. !

Quel texte?

J'ai du le zapper, donne le liens s'il te plait

Jet Oui, tu l'as zappé, c'est celui-là :

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-531-773-0-1-0-jeu-l-ere-des-assassins.htm#message_791561

Bonjour

Le multi est sympa mais je préfère de loin le solo.

Sinon je balance mon texte aujourd'hui.

Me to Spit'.

En fait ma mission je la posterais plus tard. Pas d'inspiration

Bonjour tout le monde ^^

Voici la partie 2 de ma mission, bonne lecture

"Jusqu'a ce que la mort nous sépare"
-Partie 2

Vindrac retira la lame du ventre de l’homme, qui s’écroula par terre en silence.
Il sortit de la ruelle et retourna à la taverne.
-C’est fait, si vous voulez vérifier je peux vous indiquer l’endroit où se situe son cadavre.
Jennifer s’assis.
-Je vous crois sur parole…..merci.
Vindrac s’assis à son tour.
-Bien, maintenant vous allez pouvoir m’aider.
-Oui, je vous écoute.
-Donc pour commencer, combien y a-t-il d’invités environ ?
-Beaucoup, une centaine de personnes, des membres de la famille de Sarah, des membres de la famille de son mari, et énormément d’amis, avec bien évidemment une dizaine de gardes comme vous.
-Hum…très bien, connaissez-vous le nom de son mari ?
-Philip Richards, mais vous êtes un garde, vous ne connaissez pas le nom de votre employeur ?
Vindrac se mordit discrètement les lèvres, il savait bien qu’il était de moins en moins crédible mais il devait continuer dans sa lancée.
-Non, nous les gardes du corps sommes employés anonymement, nous ne connaissons que le lieu et l’heure du rendez-vous, sans aucune autre information.
Jennifer esquissa un petit sourire
-Si vous le dites, d’autres questions ?
-Oui, où habites votre amie ?
-A quoi cela peut-il vous servir ?
-Je ne vais pas tourner autour du pot cent ans, j’ai fait ce que vous vouliez maintenant vous me répondez, où habites…
Sur ces mots, Jennifer coupa la phrase de Vindrac en posant son doigt tendrement sur sa bouche.
-Je sais depuis le début que vous n’êtes pas un garde du corps.
Surpris, il ouvra grand les yeux, ne sachant pas quoi dire.
-Sa vous étonnes tant que ça ?
-Mais alors…pourquoi ? Pourquoi m’aider et répondre à mes questions ?
-Vous avez rempli votre part du marché non ? Mais il n’y a pas que sa…
-Quoi d’autre alors ?
-Sa

Elle embrassa délicatement Vindrac, encore surpris, qui ne fit rien pour la repousser, ça ne lui déplaisait pas vraiment.

-Je…
-Tu ?
-Je ne comprends pas, je jouais aussi mal le garde du corps que sa ?
-Oui
-Mais, pourquoi ne pas me l’avoir dit directement, pourquoi m’avoir fait tué un homme ?
-Et bien, j’ai su dès le début que tu n’étais pas un garde du corps comme je t’ai dis, j’ai tout de suite vu que tu voulais assassiner Philip Richards, mais je n’étais pas sûr, et en te demandant d’assassiner mon ex-mari, tu m’as libéré d’un poids lourd et tu as confirmé ce que je pensais.
-Hum….bien joué
-Merci.
Il n’y avait pas encore de clients dans la taverne, Jennifer se dirigea vers la porte et tourna le panneau sur « Fermé », elle prit ensuite la main de Vindrac et ils montèrent dans la chambre.

Environ une heure plus tard, dans le lit, Vindrac s’interrogea.
-Mais, pourquoi m’avoir répondu alors que tu savais que je voulais tuer Philip Richards ?
-Tout simplement car je ne l’aimes pas, étant une amie de Sarah, je l’ai toujours conseillée dans ses relations, et je lui ai dit depuis le début que cet homme ne s’intéressait qu’à son argent, ça saute aux yeux mais, aveuglée par l’amour, elle ne veut pas m’entendre. Qui plus est, cet homme est louche et il doit être impliqué dans certaines affaires, ce qui pourrait lui porter préjudice aussi, il n’est pas aimable non plus et il ne m’aime pas, ça fait assez de raisons ?
Vindrac lui sourit
-Oui, bien assez.
-Bien, le mariage est dans quatre jours, je t’aiderais du mieux que je peux, ça me fait du mal de trahir mon amie mais c’est pour son bien, c’est plutôt un service que je lui rends.
-Bon, reprenons où nous en étions, où habites Sarah ?
-Au second arrondissement, je peux t’y conduire.
-Est-ce qu’il est avec elle ?
-Oui surement, ils doivent être en train de se préparer pour leur mariage.
-Très bien, en route !

Vindrac enfila sa tenue et Jennifer s’habilla, puis ils se dirigèrent vers la sortie, et marchèrent paisiblement dans les rues de Marseille, main dans la main.
-Tu as de la famille Jennifer ?
-Oui…mais je ne revois plus personne.
-Pourquoi ?
-Ma mère est morte, et j’ai tourné le dos à mon père, ce qui m’as valu de tourner le dos à tout le monde.
-Pourquoi tu lui as tourner le dos ?
-Il est responsable de la mort de ma mère…je n’ai pas trop envi d’en parler pour le moment….
-Oui je comprends excuses-moi, tu étais fille unique ?
-Non, j’ai un frère, Charles.
-Lui aussi t’as tourné le dos ?
-Je ne l’ai jamais connu, ou du moins j’étais trop petite pour m’en rappeler, il est parti de la maison très tôt.
-Pour faire quoi ?
-Je ne sais pas.
-D’accord…on est bientôt arrivés ?
-Oui c’est la villa du fond quand on tournera à droite.
Ils arrivèrent dans la rue, qui était normale, avec des maisons à droite et à gauche mais au fond, une villa la surplombait, magnifique et immense.
-Et ben.
-Tu as de la chance, regardes le nombre de gardes, ça va te faciliter la tâche d’être avec moi.
Devant l’énorme portail de la villa, six gardes, tous vêtus de noir, bras croisés, veillaient devant la maison.
-Bonjour Madame Lee.
-Bonjour Franck, vous allez bien ?
-Très bien merci, vous êtes avec un ami ?
-Exact, Sarah et Philip sont-ils là ?
-Oui bien sûr, ils sont en train de préparer leur mariage, entrez.
-Merci, à plus tard.

En marchant dans l’immense jardin, Vindrac se réjouit d’être avec Jennifer qui lui est bien utile sur ce coup-là. Arrivés devant les portes de la villa, Jennifer sonna à la porte, et peu de temps après, son amie arriva.

-Jenny !!! Je suis si heureuse de te voir, comment vas-tu ?
-Très bien merci, alors tout se passe bien avec Philip ?
-Oui parfaitement, on est en train de finir les préparatifs du mariage, mais qui est ce charmant jeune homme ?
-C’est un bon ami.
-Bonjour Madame.
-Oh je t’en prie, appelles moi Sarah, enchantée, mais entrez-donc ne restez pas dehors !

Franchissant la porte, Vindrac découvrit l’intérieur, il y avait énormément de salles, avec une tapisserie rouge magnifique, de grands chandeliers dans les couloirs, et de très beaux escaliers en marbre. Ils suivèrent Sarah, qui lui présenta les différentes pièces de la maison, ce qui prit trente minutes, avant de monter et d’arriver dans un bureau où son mari semblait faire des papiers.

-Philip ! Sarah est venue avec un ami, je te présente…
-Vindrac.
-Vindrac !
Philip se leva, fit la bise à Jennifer d’un air glacial et serra la main de Vindrac d’un air tout aussi glacial, sans dire mots, puis il se remit sur sa chaise.
-Hum…bien ! Vous voulez boire quelque chose ?
-Oui je veux bien, et toi Vindrac ?
-Non merci
-Bien, allons dans le salon alors.
Ils se dirigèrent dans le salon, Vindrac se mit à réfléchir, valait-il mieux essayer de tuer Philip maintenant, profitant de l’opportunité qu’il avait grâce à Jennifer ou devait-il mieux le tuer pendant le mariage ? Le choix était vite fait.
Une fois arrivés dans le salon, Jennifer et Sarah se mirent à discuter, Vindrac coupa leur discussion pour les prévenir qu’il partait s’absenter aux toilettes.
Maintenant Vindrac allait pouvoir accomplir sa mission, assassiner discrètement Philip et cacher son corps, puis repartir en vitesse avec Jennifer. Il monta les escaliers lentement, faisant le moins de bruit possible, une fois arrivé en haut, il se dirigea vers le bureau, la porte était ouverte, il entra dans la salle et ne vit personne.

« Mais où est-il ? »

Il se retourna pour fouiller d’autres pièces et se fit violemment frappé par Philip, le prenant par surprise.

-Alors, tu veux quoi toi ?
Vindrac, assommé et une arcade fracturée, se remit de ce coup lentement, allongé par terre, pour lui répondre.

-Mais pourquoi ? Je vous cherchais juste Monsieur…
Philip le pris au col.

-Je sais très bien que les assassins veulent ma mort en ce moment, prouves moi que tu n’en es pas un alors et on oubliera cette histoire.
Il plaqua et pris avec attention le poignet de vindrac, lui souleva sa manche et découvrit sa lame secrète, Vindrac, découvert, le frappa de toute ses forces avec l’autre point, ce qui le repoussa.

-Tu crois pouvoir m’affronter assassin ? Très bien.

Il fonça sur Vindrac qui venait juste de se relever, et le propulsa violemment contre le mur. Pas très endurant, il peina à se relever avant de prendre un enchainement de coups de poings dans le buste du templier, pour finir par un coup de pied en pleine tête, Vindrac s’écroula sur le sol, Philip le releva, puis l’éjecta avec violence contre une grande armoire d’armes en glace, la renversant et brisant la vitre, ce qui fit tombé tout son contenu par terre, beaucoup d’épées, de dagues, de masses, d’haches et d’autres armes en tout genre, ce qui fit énormément de bruit et alerta Jennifer et Sarah, qui s’empressèrent de monter. A leur arrivée dans le bureau, Philip se tenait devant Vindrac, deux sabres à la main, prêt à le transpercer.

-STOOOOOOOOOOOOOOOOOP !!!!!!!!!!!!!!!!! ,Cria Jennifer.
Surpris, Philip arrêta net son mouvement.
-Mais, que se passe-t-il Philip ?
-Sarah, cet homme à essayer de me tuer !
Vindrac sur le sol, n’avait plus de force pour parler, avec ses yeux il cherchait un moyen de s’en sortir.
Il avait peut-être une chance, les gardes étaient uniquement placés à l’entrée du portail de tout à l’heure, et aucun dans la villa. Il devait seulement trouver un moyen de battre Philip, mais il était exténué.
Sarah se tourna vers Jennifer.
-Tu as emmené un homme qui voulait tuer mon mari ici, traîtresse ?
-Bien sûr que non, Sarah ! Je suis surprise…je n’aurais jamais pensé qu’il fasse une chose pareille, vraiment, pourquoi je te ferais ça ?
-Dans ce cas, tues-le !
-Attends ! Mais pourquoi aurait-il essayé de te tuer Philip, que s’est-il passé ? C’est surement un malentendu !
-Il n’y a pas de malentendu ! Cet homme m’as attaqué et heureusement je l’ai contré, maintenant il doit payer, tu n’es pas du même avis Sarah ?
Sarah regarda Vindrac par terre.
-Tu as raison, personne ne se mettra en travers de notre amour, et toi Jennifer tu m’as déçue !
-Mais puisque je te dis que je suis étonnée ! Je te promets que je ne le savais pas !
-C’était un de tes bons amis c’est ça ?
-Oui, je n’aurais jamais pensé qu’il fasse une chose pareille…
-Très bien, je te crois…
-Merci Sarah.
-Mais dans ce cas, c’est toi qui vas le tuer, prouves moi que tu n’y es pour rien et que tu n’es pas une fausse amie.
-Mais…je n’ai jamais tué personne !
-Jenny !
Jennifer regarda d’un air triste Vindrac par terre, elle baissa la tête puis pris son inspiration.
-Je vais le faire…
-Courage, tu me prouveras que tu es vraiment mon amie et que ce n’était pas dans ton attention.
Jennifer se dirigea vers Vindrac, complètement en sang par terre, impuissant.
Elle se plaça devant Philips, ramassa une dague par terre, et la pointa au-dessus du corps de Vindrac.
A la limite des larmes, elle le regarda dans les yeux avant de lui adresser :
-Mais pourquoi as-tu fait ça ?

N’arrivant pas à sortir un mot, il lui caressa lentement la joue, la fixant dans les yeux, il était lui aussi à la limite des larmes.
Jennifer tremblait, elle prit sa dague à deux mains et ferma les yeux.

Elle cria de toute ses forces, et se retourna en tranchant la gorge du templier, complètement surpris de la vitesse à laquelle le mouvement c’était produit, il lâcha ses armes, les yeux écarquillés, et tomba par terre, se vidant de son sang.

Sarah se mit à crier d’une puissance incroyable, et les cris alerta les gardes situés devant le portail, ils se dirigèrent en vitesse vers la villa.
Les gardes allaient arriver d’une seconde à l’autre, le bureau avait une fenêtre assez grande pour que des humains y passent, mais elle se à environ huit mètres de hauteur du sol, ce qui était trop haut, mais ils n’avaient pas d’autres solutions, Jennifer regarda par la fenêtre : Par chance la grande piscine se situait ici, Vindrac avait repris un peu de force, il essaya de se relever lentement, Jennifer le pris par les bras pour l’aider, et lui dit :
-C’est notre seule chance.

Vindrac aquiesca, il franchit la fenêtre et il sauta dans l’eau, Jennifer jeta un dernier regard à Sarah, en larmes et lui adressa :
-Je suis désolée…

Puis elle s’empressa de plonger dans la piscine, où Vindrac un peu mieux remis de ses coups, était en train de sortir. Les gardes arrivèrent, Sarah leur indiqua la fenêtre mais tout c’était passé très vite, Jennifer et Vindrac s’était déjà dirigés vers la sortie, qui n’était plus gardé vu qu’ils étaient tous montés. Arrivant au portail lentement, les gardes avaient rebroussés chemin et étaient maintenant dans le jardin, courant vers eux. Vindrac, aidé par Jennifer, puisa dans ses ressources pour accélérer, et ils prirent la première ruelle qui leur était offerte. Les gardes, environ cinq secondes après, arrivèrent à leur tour dans la ruelle, qui était minuscule où il n’y avait personne, ils continuèrent donc leur chemin, traversant la ruelle pour arriver de l’autre côté, ne sachant pas de quel côté Vindrac et Jennifer étaient partis, se dispersèrent en deux groupes de trois, pour continuer de chaque côté de la rue.
Mais leur recherche était veine, car Vindrac et Jennifer n’avait pas continué à s’enfuir dans la rue, ils s’étaient cachés dans un petit chariot de draps situé à la droite de la ruelle, auquel les gardes n’avaient pas fait attention à cause de leur empressement.
Vindrac et Jennifer restèrent une vingtaine de minutes dans le chariot, jusqu’à ce qu’il bouge, le marchand qui l’avait laisser-là était revenu, il fût étonné de voir deux personnes sortirent du chariot, ils le remercièrent d’être passé par là, il haussa les épaules et continua son chemin.

Un peu mieux remis Vindrac arrivait à marcher sans aide, mais doucement. Ils se dirigèrent vers la taverne de Jennifer, en ne passant uniquement par les grandes rues, ou il y avait beaucoup de foule.

Sur le chemin, ils discutèrent de ce qui c’était passé.

-Merci Jennifer, merci beaucoup.
-Je t’aime Vindrac, tu n’as pas à me remercier.
-SI, plus que tu ne le penses, non seulement tu m’as sauvé la vie mais tu as également tué Philip Richards, au détriment de ton amitié avec Sarah.
-Oui c’est vrai….je ne penses pas qu’elle comprenne un jour, elle savait ce que je pensais de lui mais n’aurais jamais pensé que je veuille sa mort, j’espere pour elle qu’un jour elle trouves le véritable amour.

Le chemin fût sans encombre, ils ne rencontrèrent aucun garde, puis arrivèrent finalement devant la taverne.
Vindrac et Jennifer purent un peu souffler.

-Tu as besoin de soins, tu es dans un mauvais état.
-Ca va aller…Je m’inquiète plus pour toi.
-Comment ça ?
-Sarah va certainement lancer un avis de recherche dans Marseille, je n’y habite pas donc ça ne me poses pas de soucis, toi en revanche…
-Oui tu as raison…je ne sais pas comment je vais me débrouiller, mais quand pars tu ?
-Ce soir, ma mission est terminée et je ne suis pas apte pour le moment à affronter des hommes.

Jennifer baissa la tête.
-Très bien…
Vindrac la lui releva, et lui dit :
-Pourquoi ne viendrais tu pas avec moi ?
-C’est vrai ? Tu le penses vraiment ?
-Bien sûr, prends tout ce que tu as besoin et vient donc chez moi, j’habites une maison avec ma mère et mon beau père, tu seras la bienvenue.
Elle se mit à sourire, elle était heureuse.
-C’est super…dommage pour ma taverne, je m’y étais attaché et je vais devoir l’abandonner, j’aurais bien aimé la vendre sa nous aurait rapporté un peu d’argent…
-Je sais que c’est dur, mais ta vie n’as pas de prix, et si tu restes ici dès demain ils te retrouveront.
-Alors dans ce cas partons.

Vindrac monta dans sa chambre rassembler ses affaires, Jennifer fit de même, puis ils partirent trouver un chariot dans Marseille, et ils partirent ensemble pour un long voyage jusqu’à Paris.

L ex-mari , la bise et la piscine ne me semble guère d'époque mais c'est très bon
2 points et 500 d argent

Je te débide Lens'. /

+ Coucou. /

Hey, les gars, allez sur le -15, PGM nous trolle. /

Bande de sous-merde