J'attends une mission d'un chef si interessé /

Moi j'attends que quelqu'un vienne lire mon pavé.

Et moi j'attend

Lenski, je l'ais vu aussi

http://www.youtube.com/watch?v=LTgRm6Qgscc

Vous l'attendiez, elle est là
je me suis pris par la main, et je vais vous noter, oui! je vais commenter vos textes, oui!
Donc voilà

Rey J'ai bien aimé que tu commence pas ta mission de but en blanc (expression dont je ne suis pas sur de la reproduction écrite )

ça fait moitié anecdote, moitié mission. Moi j'apprécie, ça donne un plus (et c'est bien écrit )

Tu investi le narrateur dans le texte, et son cynisme et un peu agaçant, mais c'est le personnage qui veut ça.

je me levai puis mis ma main droite (main sur laquelle il y a la lame secrète) > les parenthèse ont pour tendance de couper l'action, dommages (surtout que ici elles pouvaient êtres évitées, on se doute un peu que si y a une lame qui sort en faisant "chling", c'est à ce bras qu'elle est attachée )

tirai sur les rênes, lui communiquant l’ordre d’accélérer > en tirant, tu l'arrête. C'est en claquant les rennes sur l'encolure qu'on accélère, ou en donnant des coups de talon dans les flancs

bah j'aime bien ton style, tu te démerde pas trop mal, don 3 points et 1300

Spit effectivement, je préfère cette version. La première était plus brouillonne, trop floue à cause de l'action rapide. L'action est bien plus mystérieuse dans celui là, car bien qu'on donne pas mal d'informations sur la situation, on sait pas grand chose. Ces temples sont étranges, on connait pas les perso, on arrive comme ça sans connaître personnes et déjà y a une trame. Pas mal
tout comme pour les deux nazis, les peut être assassins infiltrés. Alors qu'ils font une mini réunion top secret ù ils doivent surtout pas se faire chopper, surprise!!! gestapo
kom tu may du suspance
mais quelques fautes bêtes

2points et 700

erasam Je trouve que tu emplois assez mal les temps, tu as les idées mais ça colle pas avec la narrations. Pour ce qui est de l'histoire, elle est bien, quoique qu'un peu rapide. dans les sens où je trouve que tu joue pas assez sur les émotion, l'attente et tout ça.
Pour la scène de l'égout, je trouve que tu l'a ratée. Je vois pas trop les rebus de la société parler aussi poliment, pas troquer des information contre quelque chose ou autres. Mais bon, après, tu peu très bien avoir ton histoire en tête et nous faire un gang de clodos gentlemen
j'ai bien aimé le combat avec le templier, que tu as géré, bravo.

Lens dietrich qui récupère les rennes?
Ta mère suce des bites en enfer
leur enfoncer ma hache dans le crane jusqu'à ce qu'elle leur ressorte par les couilles

que de vulgarité
radei a l'air d'un protecteur, un peu comme le damian junior, avec les indiens

bilbo Mais... Mais le dernier Margerlan bordel?! mais c'est pas possible, c'est quoi ce bordel? tu refais vivre John, tu remet des spermatozoïde dans les testiboules de l'as de pique, tu lui dégote une guerrière et tu leur fait continuer leur guéguerres séculaire.
voila, j'attends ton texte

Malhakam taille moyenne de 1m75, > c'est grand ça

muscle juste dessiné mais la force est là > Bah... musclé en cas
le clan nommé F8X > une petite description des agissement de ce clan?

Voilà, c'est pas mal

Voila, je peux me reposer en paix

(+ fuck la limite de smiley )

Merci de tes conseils jet ;)

Suspens, suspens

Mais tu es déjà dans le vraie pour certains éléments

Mort (partie 2) :

1944, Allemagne…

Hitler entra dans son bureau, hilare. Trois personnes étaient déjà présentes, assises en arc de cercle dans des fauteuils de cuir. Le Führer s’assit dans son propre siège et éclata de rire en se tapant les genoux avec les mains.
-Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Je les ai bien niqués, les Assassins ! Je voudrais voir la tête de leur mentor, tiens !
Les personnes qui lui faisaient face se regardèrent. Une femme et deux hommes.
Hitler haussa un sourcil.
-Où est le Faucheur ?
-Il est très occupé, en Colombie. Il n’a pas eu l’occasion de venir.
-Hum… C’est triste, il ne pourra pas fêter l’évènement comme il se doit. Le décès du Spectre mais la victoire du Parti Nazi sur la Confrérie des Assassins Français.
Le Führer se servit un verre de vin, avec une bouteille luxueuse qu’un soldat venait de poser sur le bureau, et le leva au-dessus de sa tête.
-A moi la fortune des As de Pique, leurs terres, leurs hommes, leurs armes et leur pouvoir ! A moi les Bottes ! Hu ! Hu ! Hu ! Hu !
Il but quelques gorgées avant de s’essuyer la bouche du revers de la main.
-Vous n’êtes pas très bavard, Réincarnation. Qu’as-tu à me dire sur ta mission, Colt ?
Le Colt, un homme d’apparence très âgé et portant une veste en cuir noir et des gants de laine, décroisa les bras.
-Ca c’est bien passé. La cible a été éliminée, comme prévue. Elle n’a opposé que peu de résistance. Officiellement, l’ambassadeur Britannique est mort dans un accident de voiture.
-Et toi, Tigresse ? lança Hitler en tournant la tête vers une jeune femme aux longs cheveux blonds attachés en queue de cheval, vêtu d’un tailleur strict laissant apparaître ses courbes attirantes.
-Mission accomplie de mon côté aussi. Le chef d’état Japonais se souviendra de mon passage. J’ai massacré tous ses gardes du corps sous ses yeux. Je lui ai mis la pression, il a tout de suite accepté de renouveler le contrat de non agression entre l’Allemagne et le Japon.
-Bien. Alejandro ?
Le dernier homme bailla.
-Bah, moi j’avais pas de mission.
-Certes. Dans ce cas…
Hitler servit les Réincarnations une par une.
-Trinquons ! A l’Allemagne !

Même moment, France…

Franz entra dans la chambre de l’As de Pique. Le vieil homme, assis dans son lit, enfoncé dans son oreiller, paraissait subitement très vieux. Ses rides ressortaient étrangement de son visage et ses yeux fatigués n’avaient plus l’air de voir grand-chose.
-Franz, Franz… C’est toi ?
-Oui, c’est moi.
La pièce était plongée dans la pénombre et il flottait une odeur lourde de transpiration.
L’As de Pique sortit un mouchoir de sa poche et le porta à sa bouche. Il toussa pendant de longues secondes avant de jeter le morceau de tissu par terre, en boule.
Franz, malgré l’obscurité, parvint à voir le sang qui tâchait le mouchoir.
-Tu n’en as plus pour longtemps, vieux.
-J’en conviens. Je sens la mort de plus en plus pesante sur moi. Elle ne tardera pas. Dès que j’ai appris le décès de John Magerlan, J’ai rédigé mon testament.
-Et ?
-Je lègue tout à mes deux fils, As et Pique.
-Ce n’est pas ce qui était convenu.
-Je t’aiderais à récupérer le Livre, rien d’autre.
Franz sourit méchamment.
-Tu joue avec les mots, vieillard.
-Suffit. J’ai encore besoin de ton aide, Franz.
Franz tira les rideaux, illuminant la pièce. L’As de Pique plissa les yeux et porta la main à son visage.
-Referme !
-Un peu de lumière te fera du bien. Il serait fort dommage que tu meurs avant de m’avoir révélé ce que tu sais sur le Livre… Bon, explique-moi ce que tu me veux, encore.
-J… J’ai passé un accord avec Hitler. J’avais convenu avec lui de lui léguer tous mes biens, à ma mort : Hommes, armes, argent, Fragments… Il n’en est pas question, bien entendu. Cependant, je n’aime pas laisser des choses traîner derrière moi, en partant.
Franz croisa les bras.
-Je veux qu’il meure, continua l’As de Pique. Ainsi, la boucle sera bouclée. Hitler, John Magerlan… Je n’aurais aucun regret. Je quitterai ce monde heureux.
-D’accord. Aucun problème. Ca va être amusant. Tu as un plan ?
-Les Américains.
-Hein ?
-J’ai contacté le gouvernement Américain. Tu auras besoin d’aide pour un assassinat de cette envergure. Un général du nom de Loyd Lykker t’expliquera tout. Je lui ai donné une adresse à laquelle tu le rejoindras, à New-York.
L’As de Pique toussa dans sa main. Il l’essuya rapidement sur sa couverture, y laissant une traînée rouge et humide.
-Une dernière chose, Franz…
-Quoi encore ?
-Je veux que tu tues ce Loyd après qu’il t’ait décrit le plan. Ainsi que toutes les personnes qui entreront en contact avec toi durant ta mission. Ne laisse que des cadavres.
Franz sourit, laissant voir ses dents blanches de prédateur. Une lueur brilla dans ses yeux.
-Ah, ça j’aime. Tu n’avais pas besoin de me le demander, en fait.
-Je veux aussi que tu emmènes Peter.
Franz haussa un sourcil.
-Pour quelle raison ?
-Il te sera utile et puis… Je veux que tu le tues aussi, une fois qu’Hitler sera mort.

Quelques jours plus tôt, France…

Le mentor recracha un nuage de fumée avant d’écraser sa cigarette par terre, à même son tapis persan de luxe. Sa garde personnelle l’entourait, silencieuse, les bras croisés dans le dos. Ils avaient une mine soucieuse.
-Mentor, vous allez bien ?
Le mentor remplit son verre de whisky avant de le porter à ses lèvres. Il en but quelques gorgées, le regard vide.
L’un de ses Assassins se pencha vers lui.
-Mentor ?
-Je vais bien.
-Vous êtes sûr ?
-Oui.
-Pouvons-nous faire quelque chose pour vous ?
-Non.
Le mentor sembla hésiter. Puis, il jeta un œil morne dans la direction de son interlocuteur.
-Si, partez. Dégagez.
Les Assassins se regardèrent avant de disparaître dans l’ombre, comme s’ils n’avaient jamais existés. Le mentor ne les regarda même pas faire pour s’assurer qu’ils lui obéissaient. Il vida son verre d’un trait avant de le lever à hauteur de ses yeux.
Quelques secondes plus tard, il le jeta de toutes ses forces contre le mur d’en face. Le verre explosa en laissant retomber des dizaines de débris coupants par terre.
Le mentor porta ses mains à son visage et étouffa un cri.
-Clyde… Pourquoi… Pourquoi toi…
Des larmes coulèrent le long de son visage et il laissa sa tête retomber contre sa poitrine. Sa barbe était mal rasée et il avait des cernes impressionnants. Ses lèvres étaient sèches et craquelées, et ses cheveux sales.
Il sentait le tabac, et ce n’était pas les vingtaines de mégots qui entouraient son fauteuil qui diraient le contraire.
Une main se posa contre son épaule.
Un revolver apparut dans la main du mentor, jaillissant de sa manche.
Il se tourna et pointa le canon de son arme vers l’Assassin qui était revenu. Celui-ci ne broncha pas, se contentant de fixer son maître, l’homme à qui il avait juré fidélité des années auparavant, le guerrier, le combattant, l’idéal de la Confrérie… Qui était totalement anéantit.
-Mentor…
-Je vous ai dit de dégager ! Est-ce clair ?! Tu préfères que je t’explose la gueule ?! Barre-toi !
-Mentor.
Le ton de l’Assassin était plus ferme. Il saisit le poignet de son chef et serra les doigts, forçant le mentor à lâcher son pistolet. L’Assassin le rattrapa et le rangea à sa ceinture, comme un père enlevait des doigts de son enfant un jouet avec lequel il pouvait se blesser.
-Vous avez de la visite.
Le mentor reprit une expression plus calme, étouffant sa colère et sa peine.
-Laissez-moi une seconde.
Le mentor attendit que l’Assassin s’en aille pour se recoiffer de quelques mouvements vifs, enfiler une chemise propre, se raser rapidement et se rincer le visage avec de l’eau glacée.
Enfin, il se leva et, tourné vers la fenêtre, les mains dans les poches, ouvrit la bouche :
-Entrez.
La porte s’ouvrit.
Un homme, la trentaine, entra dans la pièce. Il avait une moustache noire et un cache-œil. Son uniforme de soldat Américain était incroyablement propre. Pas un pli. Et il affichait fièrement de multiples médailles.
-J’ai bien à faire au mentor Français ?
-Oui, c’est moi. Et vous, je présume que vous êtes…
-Loyd Lykker. Agent personnel du président des Etats-Unis. Général. J’ai à vous parler.
-Je sais, je sais.
Le mentor tourna la tête vers le militaire.
-Asseyez-vous. Nous allons discuter du plan. Du plan pour tuer l’As de Pique.

Alors ? Avis ?

Ouais à la fin il ne restera plus que Frantz et bientôt le livre des Magerland s'appellera le livre des Malroy \ /

Salut tout le monde. Alors, y'a eu une fin du monde où les pigeons avaient torts ?

• Arrive à demi-mort sur le forum*.

• Lis le message de Jet'*

Ouai, bon, je voulais bien faire un petit ”détour“, si je peux dire.

Je trouvais la mission un peu trop boring, j'ai préféré rajouter un truc en plus.

Bon, j'améliore les compétences de mon perso pour commencer. /

Force: 1/10
Résistance: 2/10
Déviation (combat, riposte mortelle): 2/10
Vitesse (aussi bien en combat qu'en course): 2/10
Escalade: 2/10
Discrétion: 2/10
Armes à distance (couteaux de lancées, pistolet, arbalètes…):1/10
Compétence spéciale (une compétence que vous inventerez de toute pièce et à laquelle vous donnerez un nom mais elle ne sera débloqué qu’au moment où vous aurez toutes les compétences à dix): 1/10

Pour mon fric : 2500 £

Et là, je décide de m'acheter l'Arc + la deuxième dague.

Sachant que le tout vaut 1700 £, il me reste 800 £.

Aussi, j'attends ma prochaine mission Jet'.

La deuxieme lame vaut pas 15 000 ?

Et l'arc ne figure pas sur la liste

Non mais j'ai modifié les prix depuis

Ou peut on voir cette "mise a jour" ?

http://l-ere-des-assassins.forumjv.com/1-90243-1681-1-0-1-0-regles-du-jeu.htm
Là /

J'avais donc 1200 d'argent.

J'en depense 1000 pour acheter un arc, qui contient donc 10 fleches a l'achat.

Bilbo, oublie pas les testiboules du vieu

Jet', tant que tu es là ( ), peux-tu me filer une mission ?

Chaud le bide.

Coucou. /

Wonjouit :joir. !

Rey

Partie 1 > malgré votre intervention, le maire n'a pas baissé les impôts. Il est désormais entouré en permanence d'une tripotée de gardes personnels. Tuez le, nous n'arriverons pas à le sauver.

Partie 2 > la place vacante doit absolument être utilisée par l'un des notre. Trouvait un moyen que ce la se fasse.

Amusé toi