Nom: Agnesio

Prenom: Quentino

Age:11 ans

Pays:Italie

Sexe:Masculin

Physique:Assassin's de taille 1m55.Cheveux courts (brain),yeux marron,costaud...

Morale: Assez intelligent,c'est ce qu'il faut faire et quand le faire mais dés fois assez soulants.

Histoire: Quand j'avais 9 ans,j'étais sans abri,sans nourriture,sans famille sans rien quoi...ET un jour,On m'insulté dans la rue de clochard,pouyeux pleins de trucs comme ca et je me suis battus contre et par chance je les ai battu et un assassin m'a vu et m'a donné un défi si j'arriver a faire tous les entrainements des assassin's je ferai partie de la guild des assassin's mais c'était assez difficile.J'étais fatigué,j'avais mal par tout et il m'a fallu plusieurs jours pour réussir et par chance 4 jours plus tard j'ai réussi et c'est comme ça que je suis devenu un assassin.

Force: J'ai une grande force je suis capable de tuer une personne en moins de 5 sec avec nimporte quelle arme mais tout dépend de l'ennemi(e).

Résistance:Je résiste a 10 coups d'épée et 3 coups de lame mais cela va changer dés que j'améliore mon armure.

Déviation: En riposte mortelle j'attaque une cible et quand une autre cible m'attaque j'enfonce mon épée ou ma lame dans son corps ou dans son crâne.

Vitesse: En combat, je ne suis pas très rapide mais je le fais bien et en course tout cela dépend de la distance.

Escalade: Je suis assez rapide mais pas trop rapide non plus.

Discrétion: J'attire l'attention de mes cible dans un endroits non visible et les assassine et les caches dans des cachettes (foin,eau...).

Compétence spéciale:Ma compétence est de faire 4 assassinats en moins de 6 secs.

Et j'accepte une mission.

Ps:pour ma compétence spécial c quand il y a 4 ennemis au meme endroit.

Je crois que tu n'as pas bien tout compris, quentin

Pourquoi ?

Quand j'avais 9 ans... 4 jours plus tard j'ai réussi et c'est comme ça que je suis devenu un assassin.

Donc comment il peux avoir 11 ans.

J'ai posté Alléluiiiiiiiiiiiiiiiiiiia

Mission 3
Salida para Europa
Septembre 1774

-Réveille-toi mi hermano, dit mon frère en me lançant un coussin.

J’ouvris rapidement un œil pour constater que le soleil était déjà haut dans le ciel, et mon frère, déjà en tenue. Je m’habillais rapidement avant de descendre dans la salle à manger. On vivait chez les Richer depuis 5 jours et personne ne nous avait encore débusqués. Allen Richer était un homme politique très influent, mais aussi un fin joueur de cartes. Notre hôte adorait notre présence, lui qui ne pouvait parler de politique chez lui, trouvait enfin des interlocuteurs intéressés par le sujet. Je le retrouvais devant sa tasse de café occupé à lire le journal.

-Holà Luciano, lança-t-il avec un large sourire.
-Hello, répondis-je amusais par l’accent approximatif de mon hôte. Quoi de nouveau dans le pays ?
-Pas grand-chose d’intéressant. Et vous des nouvelles des assassins ?
-J’ai payé un messager il y a deux jours pour faire parvenir un message au QG des assassins de New York. J’attends une réponse.
-Espérons que ça arrive vite. J’ai fait croire aux voisins que j’hébergé deux cousins de ma femme qui étaient capitaine dans l’armée.
-Très bien on s’en tiendra à ce scénario, répondit mon frère.

A ce moment quelqu’un tapa deux coups à la porte. On attendit un peu et le major d’homme alla ouvrir puis on entendit une voix d’homme demander les frères Lazaro.

-Désolé mais vous vous trouvez à la maison de Lord Richer, répondit le serviteur en jouant son rôle.
-Très bien alors prévenez la maîtresse de maison qu’Andrew est là, répondit la voix en faisant exprès d’hausser le ton.
-Andrew ! m’écriais-je en courant jusqu’à la porte. Mon vieux tu t’en es sortit. J’en crois pas mes yeux.

Même s’il avait les vêtements boueux, qu’il était plus blanc que blanc et qu’il avait du sang sur l’épaule, c’était bien Andrew Fist. Le major d’homme parut aurifié et s’écarta rapidement pour laisser passer le visiteur.

-Désolé monsieur je ne vous avez pas reconnue, se lamenta-t-il.

Et il y avait de quoi. Andrew faisait peur à voir. On le fit assoir et un serviteur porta un chiffon humidifié.

-Qu’es qui t’es arrivé ? demandais-je en retirant la veste de mon ami pour qu’on nettoie ses blessures.
-2 jours après ton départ. Arisabalaga a décidé de tué tous ceux qui pourraient être des espions. Ils ont capturés Alizé. J’ai réussis à m’enfuir avec Lorenzo mais ils l’ont abattu d’une balle de baïonnette il y a 3 jours. Ont avaient d’abord prit le chemin de New York mais ils nous ont repérés et c’est la qu’il s’est fait tuer. J’ai réussis à m’échapper et à revenir ici.
-Sers les dents ça va faire mal, dis-je avant d’appliquer un coton pour nettoyer la plaie.
-Tu parle j’en ai vu d’autre, répondit-il malgré une grimace. C’est un coup d’épée d’un soldat de la garde de Philadelphie. Par contre je pense qu’on viendra bientôt fouiner ici. On doit partir au plus vite, lança Andrew entre ses dents avant qu’une autre personne ne tape à la porte.
-Mon dieu on peut pas être tranquille cinq minutes ici !? Que quelqu’un aille ouvrir je suis occupé ! hurlais-je au bord de la crise de nerf.

Le major d’homme alla ouvrir et n’eut même pas le temps de saluer le visiteur que celui-ci le bouscula et nous rejoignit dans la cuisine. C’était un homme plutôt grand au teint halé et aux cheveux noir coupé court. Il avait un beau visage dans le quel brillé deux beaux yeux verts qui regardait tour à tour chaque personne présente. Le fait que j’étais entrain de nettoyer la plaie d’un homme torse nue qui avait l’épaule ouverte.

-Luciano et Elian Lazaro ? demanda-t-il en nous regardant tour à tour.
-A qui ai-je l’honneur ? lança mon frère, la main sur le manche de son épée.
-Cole Brooks, membre du QG des assassins de New York. Mon chef a reçu votre message et on vient vous chercher. Ramenez-vous, les hommes d’Arisabalaga approchent.
-Impossible. Je ne peux pas abandonner celui là et il ne tiendra pas la course.
-J’ai quelques armes en réserve et mes sentinelles ne sont pas des seconds couteaux. Je vais les prévenir, dit Allen avant de sortir par la porte.
-D’après toi combien de temps avant l’arrivé des soldats et surtout combien d’hommes ?
-10 minutes, une cinquantaine, souffla simplement Brooks.
-Très bien, que les employer chargent les fusils et préviennent les sentinelles sur le toit. Si ils sont bien une cinquantaine on ne va pas beaucoup dormir.

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Tout était en place. Nous étions tous sur le toit, les yeux rivés sur la rue. La précision de Cole s’avéra juste. A l’heure dite, un régiment de l’armée Espagnol déboula dans la rue. Un gradé que je connaissais bien s’avança et proclama le discours habituel avec nos noms.

-J’ai reçu l’ordre d’arrêter Elian et Luciano Lazaro. Sortez tous les deux les mains sur la tête et vous n’aurez aucun problème.
-Falco, fait pas le con je connais ta mère, s’exclama Elian à l’adresse du capitaine.
-Soldats arrêté cette folie. Je vous connais tous et je ne vous tuerez pas. Mais le premier qui franchira ce portail deviendra un ennemi et je serai forcé de l’abattre. Je tire plus vite que n’importe lequel d’entre vous mais je ne tiens pas à faire pleurer vos femmes. Je vous mets en garde. Vous allez sentir la sentence.

Pendant ce temps mes hommes tenaient en joue le groupe de soldats. Les Espagnols se regardèrent puis quelques uns d’entre eux se rangèrent discrètement sur le côté. D’autre, plus fidèle à Arisabalaga, montrèrent les dans et chargèrent avant même le signal du capitaine.
Mon frère poussa un long soupir puis je sortis la pomme. Peut être pourrais-je éviter un bain de sang ? La pomme se mit à briller puis une onde choc fit trembler le sol sur plusieurs kilomètres. Les soldats tombèrent au sol et crachèrent du sang pour la plupart. Les Richer et tous mes collègues me regardèrent abasourdis, absolument pas atteint par la secousse. Soudain je sentis mes jambes se dérober sous moi et ma vue se troubler.

22 Juin 2028
Somalie

-Franks envoie un cigare, lança le soldat Conan assit deux mètre plus loin.

Bryan Franks piocha un cigare dans la boite et l’envoya à son camarade. Le groupe des SAS stationnait à la base de Brava en Somalie depuis plusieurs semaines. Replaçons-nous dans le contexte :
La guerre en Somalie avait éclaté il y a déjà 6 mois. Le principal instigateur de cet affrontement était Al-Shaabbab, un chef islamiste ayant prit le contrôle de la Somalie. Ce dernier avait décidé de marché sur l’Ethiopie et le Kenya et, pour un intérêt inconnu à ce jour, le gouvernement Britannique avait envoyé plusieurs groupes des SAS pour aider à régler le problème. Le groupe du sergent Franks était composé de cinq soldats : les français Pierre-Château Johan, alias Conan, et Pierre-Louis Bourgoin, le Belge Eddy Blondeel, le sergent lui même et la seul fille du groupe Paddy Mayne.
Les cinq anglais étaient sensés attendre autant de temps que nécessaire que le Général Baseplate leurs confit un ordre de mission. A 17 heures 30, au moment où la température commençait à retomber, un soldat vint les voir pour les informer que le haut commandement souhaitait leur parler.
Chacun ramassa son équipement et ils rejoignirent le grand bâtiment gris qui trônait au milieu de cette base située en plein désert. Le Général du corps des armées Baseplate avait un bureau au dernier étage de ce bâtiment, c’était une salle grise monotone qui ne laissait transparaitre aucun goût particulier. Tout comme celui qui l’habité.
Steve Baseplate était un homme autoritaire et amer qui avait la réputation de vous infliger des corrections si sévères que ceux qui en avaient fait les frais refusaient d’en parler. Si le Général vous demandait de sauter d’une falaise, vous sautiez, bien content qu’il vous l’ait demandé gentiment.

-Soldats nous avons localisé un fournisseur d’armement d’Al-Shaabbab. Harron vous conduira aux coordonnées de sa base, c’est en plein cœur de la ville. Passé à l’armurerie et prenez du lourd. Cet homme se fait appeler Fark. Il travaille dans le milieu depuis de nombreuses années et a notamment participé à fournir des missiles a Al-Qaïda pendant l’Afghanistan. Ramenez-le-nous vivant.

Ce fut tout. Pas d’écran plasma 3D avec la photo de la cible pas de nouveaux gadgets hyper sophistiqué. Notre supérieur nous avait commandé la capture d’un homme comme on vous donnez la liste des courses. Enfin bref personne ne discuta et on sortit du bâtiment pour se rendre aux courses.

-Conan prend un sniper tu nous couvriras depuis les montagnes, Louis et Paddy, fusils d’assauts. Eddy prend un pompe je vais chercher ma mitraillette.
-Ca sera surement fortifié. J’ai le droit à un lance-roquette ? demanda Paddy.
-Fait toi plaisir on a carte blanche, lançais-je avec un sourire.

Chacun ramassa ses armes, des grenades et des munitions puis on alla au garage ou nous attendait Harron, un soldat d’une quarantaine d’année à la peau noir qui semblait vivre prêt de ses véhicules. Il était le chauffeur attitré des plus gros commandos de SAS depuis 10 ans. Il avait, une fois, réussit à écraser tout un groupe de taliban avec un humer.

-Hey Franks qu’elle mission t’amène ? demanda-t-il tout sourire en sortant son trousseau de clé.
-Baseplate t’a fait parvenir le dossier. Capture et rapatriement d’un fournisseur ennemi.
-Oui j’ai lu ça. Paddy, tu peux ranger ton lance roquette, on y va en char d’assaut, lança-t-il en se tournant vers un monstre en acier de deux mètres de haut.

Tout le monde monta à bord et chacun s’assit dans les petits bancs de chaque côté de la cabine et Harron démarra joyeusement l’engin.
Ils déposèrent Conan à peu prêt 300 mètres avant la ville. Le véhicule freina un instant puis reprit sa vitesse de départ. Bienvenue à Brava.
Le sergent Franks avait beau être isolé de l’extérieur dans le tank il s’imaginait très bien les rues qui se vidaient sur leur passage et les gens fermer leur volet, quand ils en avaient.

-Paddy prend le canon, on est en face de la destination, lança Harron depuis les commandes.
La jeune femme se mit debout et le haut de son corps disparut dans un petit sas.
-Et c’est parti ! cria-t-elle avant de tirer un coup qui arracha la porte de la villa fortifié de la cible.

21 avril 1961
Près de la Baie des Cochons, Cuba

-Votre ridicule attaque n'aura fait que montrer l'étendue de votre vanité.
-Ne croyez pas que cette perte soit un coup rude à notre nation. Vous mourrez de faim isolés sur votre île comme les rats que vous êtes.

Ces deux phrases résumaient à elles seules le débat qui se tenait là. Pourtant les deux belligérants valaient leur pesant d’or. D’un côté JFK, les nerfs à vifs après avoir perdu la bataille de la baie des Cochons. De l’autre Castro, au summum de sa gloire après avoir vaincu l’Amérique. Mais pourtant, appuyer contre un mur derrière le dirigeant Cubain, celui qu’on nomme El Che, s’ennuyait à mourir. Ce n’était pas un débat politique mais un combat de cour de récré. Castro était grisé par le sentiment de victoire et l’Américain n’avait jamais était très fort pour les grandes phrases.

-Île et isolement partagent la même racine, répliquait Castro sagement mais avec un sourire béat.
-Les racines ..... C'est même tout ce qu'il vous restera à manger dans quelques semaines, relançait JFK au bord de la crise de nerfs.

C’en était trop, il fallait mettre un terme à ça. Sans jeter un seul coup d’œil aux Américains, Le Che sortit tout naturellement un 44 Magnum de sa veste. Les trois agents de la CIA postés derrière Kennedy sortirent des pistolets automatiques. Les trois gardes cubains, eux, pointèrent des fusils d’assauts. Guevara, parfaitement indifférent à tout ça, continuait d’observait son arme alors que le silence et la tension atteignaient un nouveau stade. Puis il daigna enfin jeter un coup d’œil à John qui avait légèrement blêmi.

-Ceci est un 44 Magnum le plus puissant revolver au monde, il pourrait vous arracher la tête comme le vent vous emporte votre chapeau, dit-il en s’avançant puis en posant ses mains sur le bureau. Il pourrait vous arracher la tête comme le vent emporte votre chapeau. Vous vous sentez à votre aise ?
Personne ne répondit.
-Vous avez perdu la bataille monsieur le président, je vous conseil de vous plier à nos exigence. Vous avez besoin de libérer nos prisonniers pour ne pas perdre la face. Nous ne demandons pas une somme trop importante alors je vous recommande de ne pas tenté de nous doubler, dit-il avant de retourner prendre sa place.

28 Septembre 1774
Quelque part dans l’Empire l’Autriche-Hongrie

-Oh ma tête, soupirais-je en me redressant doucement.

J’essayais de me mettre debout mais une douleur au ventre me retint. Je me trouvais assis sur un lit dans une auberge franchement délabrée au tapis troué par endroit et aux murs jaunis. J’attendis 5 minutes en essayant de me lever avant qu’Andrew n’entre, les bras chargé de remèdes.

-Oh mon dieu t’es levé. Ca tombe bien je ne te transporterai plus un seul mètre j’en peut plus tu pèse une tonne, s’exclama-t-il en souriant.
-On est où la ? demandais-je toujours dans la brume.
-Vienne mon ami. Bienvenue en Autriche-Hongrie.

quentin Déjà, les compétences. C'est pas vraiment comme ça qu'il faut faire. Après, j'espère que tu écriras un tantinet mieux pour tes missions. Et enfin, pourquoi "assassin's"?

Déjà dans mon histoire ca fait 2 ans que je suis assassin et bon d accord la competence est pas terrible mais pourquoi t a dis "pourquoi assassin's" ?

parce que dans physique tu as marqué :
"Physique:Assassin's de taille 1m55"

Dans les compétences, t'es pas censé mettre ce que tu sais faire ou pas. T'es censé mettre un truc genre:

Force: 1/10
Résistance: 1/10
Déviation: 1/10
Vitesse: 1/10
Escalade: 1/10
Discrétion: 1/10

Et comme tu n'as pas encore fait de missions, t'as 1 partout. Puis, pour la compétence spéciale, tu peux en avoir une que lorsque tu auras 10 partout

Et c'est "Assassin", pas "assassin's"

Bein parce que je suis un assassin dans l histoire tout simplement

J attend une mission

oui mais tu as mit un apostrophe

J attend une mission

Il faut d'abord que tu sois accepter

Ah ok

Bref. Vous savez où est Flamme? J'ai posté ma mission ce matin et toujours pas eu de correction

Non je sais pas

Quentin, fait gaffe au répétition, au fautes, et soigné ta présentation, comme bilbo l'a montré. Refait ta fiche, on avisera

j'ai posté un pavé et personne à remarqué