Lenski : J'ai pas dit ça, d'ailleurs je trouve con ceux qui font ça hein

Dans le chap après le prochain chap, les relations entre deux personnages vont radicalement changer

Napoléon avait des hémoroïdes Je dis juste ça comme ça.

C'est cool les hémoroïdes
Ho wait

Oh bilbonch, j'aurais pas cru que jack se fasse massacrer comme ça... et je continu d'aimer marcus

Dans pas longtemps je vous poste deux chapitres Je suis motivé ce soir mais ce seront les derniers avant un petit moment

Nouvelle intrigue: Mais qui est le traître?
seconde intrigue: mais quelle est la mission de marcus?
troisième intrigue: mais quel est ce bouleversement entre quelle deux personnages?

C'était la minute question

Dans mes derniers chapitres, j'ai mis 1803 comme date mais je me suis trompé, c'est 1807

Le complot (partie 2) :

1776, France…

-Voila ! Bien Marcus ! Euh… Ton jeu de j… Attend, je….
Le poing de Marcus percuta la poitrine du maître Templier qui baissa sa garde et cracha un filet de sang. L’enfant tourna sur lui-même et envoya un coup de coude rotatif dans la joue de son adversaire qui tomba à genoux.
Enfin, Marcus fit pivoter ses hanches et explosa l’arcade sourcilière du Templier d’un coup de pied fouetté précis et puissant.
Le maître Templier, évanoui, tomba face contre terre et une mare de sang commença à s’étendre autours de sa tête.
Marcus ne lui accorda pas un regard.
Autours de l’arène d’entraînement, les enfants murmuraient entre eux.
-C’est un monstre…
-Il a démolis maître Nerzo.
-Il n’était pas aussi fort avant…
-Le maître ne bouge plus…
-Bien fait pour cet enfoiré. Il m’a brisé le poignet la dernière fois.
Marcus ignora royalement les autres élèves et sortit de l’arène.
Jack avait été enterré dans une fosse commune trois semaines plus tôt. C’était rare pour un élève d’être enterré. Généralement, on découpait les corps et on les donnait aux chiens ou alors on les brûlait.
Seuls les meilleurs avaient le droit à la fosse commune. Ceux que les maîtres Templiers regrettaient d’avoir perdu.
Marcus ne doutait pas que s’il mourrait, on donnerait son cadavre aux chiens. Mais cela n’avait plus d’importance. Depuis que son seul ami dans le camp était mort, plus rien n’avait d’importance. Ni la douleur, ni les moqueries des maîtres, ni la mort.
L’enfant traversa la cour du fort et se dirigea vers l’entrée du bâtiment principal abritant les dortoirs.
Deux élèves lui bloquèrent le passage.
Ils étaient grands et devaient avoir quinze ans. Ils faisaient parti des classes supérieures du camp et ne devraient pas tarder à entrer dans l’ordre des Templiers. Ils cherchaient souvent des problèmes aux élèves plus jeunes.
Ce n’était pas rare que des nouveaux arrivants se fassent lyncher par des élèves plus expérimentés. Mais d’après les maîtres, cela faisait parti de l’entraînement.
Marcus savait ce que ces deux élèves allaient lui dire.
« Eh, petit, ça va comme tu veux ?
-Nous ça ne vas pas, on s’ennuie ici. Il n’y a rien à faire.
-On pensait de tabasser un peu, histoire de se défouler. Ca te dérange ? »
Et sur ces paroles, ils commenceraient à le frapper.
Aussi, Marcus n’attendit pas que le premier ouvre la bouche pour agir.
Avec nonchalance, il lui saisit le poignet et lui fit faire une rotation à 180° degrés avant de le frapper du tranchant de la main. Un craquement retentit. L’élève voulut hurler mais le genou de Marcus lui explosa ses organes reproducteurs.
Son poing suivit et lui brisa la mâchoire en plusieurs morceaux.
L’autre élève avait levé son bras pour aider son compagnon. Marcus évita le coup d’un simple pas sur le côté et répliqua d’une puissante série de coups de poings dans le ventre de l’élève.
Le garçon en perdit le souffle et se plia en deux.
Le tranchant de la main de Marcus s’abattit sur son crâne et l’assomma. Ou plutôt, l’envoya dans le coma. L’élève s’écroula sans un bruit. Marcus enjamba les deux corps et rejoignit son dortoir.

1780, France…

Marcus, les bras croisés, fixait maître Telrat, le Templier le plus haut gradé du camp. Le directeur.
C’était un homme maigre, à la peau grise, avec une fine moustache. Il était presque chauve et devait avoir dépassé la quarantaine. Il était vêtu de façon luxueuse, ce qui contrastait avec les habits sales et déchirés de Marcus, habits que portaient tous les élèves.
-Tu as eu douze ans la semaine dernière Marcus, fit le maître. Félicitation.
-…
Le maître soupira.
-Qu’est-ce qu’on va faire de toi ? Tu as blessé deux élèves, avant-hier, et tu as quasiment tué un des maître Templiers, il y a deux semaines, pendant un exercice, parce que, je cite : « Je n’aimais pas le ton avec lequel il me parlait. »
Marcus eut un sourire en coin.
-Tu n’aimais pas le ton qu’il prenait avec toi ?
-Exactement.
-Pendant quel exercice ?
-Le Tourniquet.
-Ah, je vois. Redoutable épreuve. Seuls les meilleurs élèves osent s’y mesurer.
-Nous n’avons pas vraiment le choix. C’est le fouet qui nous attend si nous refusons.
Maître Telrat sourit.
-Oui, le fouet… Généralement, quand un élève blesse un de ses professeurs, ce n’est pas avec le fouet que nous le punissons. Tu connais l’épreuve de la Bassine Rouge ?
-Non.
-On remplit un grand baquet d’eau bouillante et on y plonge un élève jusqu’aux hanches. On l’appelle la Bassine Rouge car l’eau ronge la peau et le sang s’en échappe, la teintant de rouge. Oh, tu préfères peut-être le châtiment de la Boussole Folle ou du Nœud du Diable ? Nous n’avons pas utilisé cette dernière punition depuis cinquante ans, vu sa cruauté, mais nous pouvons bien recommencer exceptionnellement. Tu connais le principe du Nœud du Diable, Marcus ?
-Oui, répondit l’enfant.
-Bien… Bien… Tu veux subir cela ? Tu sais qu’après ça, tu ne pourras plus jamais avoir de rapport sexuel. C’est une bien horrible punition.
-Je m’en contre fout de ce que vous me faites, fit Marcus en serrant les dents. De toute façon, je tuerais le premier qui posera la main sur moi.
Maître Telrat ricana.
-Du calme, du calme. Je plaisantais. Hors-de-question de châtier un élève aussi doué que toi. Tu es le meilleur que nous ayons formé depuis… Depuis Jack.
Marcus savait que le maître avait prononcé ce nom pour le provoquer. L’enfant ne réagit pas. Il serra simplement ses poings jusqu’à ce que ses phalanges blanchissent. Telrat du le remarquer car il déglutit et changea de sujet.
-Marcus, tu nous es précieux. Tu es un génie, un surdoué. Je m’en veux de ne pas l’avoir remarqué avant. J’aimerais te faire passer ta première mission. Demain, à la première heure.
Marcus détourna le regard d’un air hautain.
-Je m’en fout, j’ai dit. Donnez moi ma mission et qu’on n’en parle plus…
Telrat grogna.
-Jack était plus docile, murmura-t-il pour lui-même.
-Comment ?
-Rien… Marcus, la mission que je vais te confier est particulièrement difficile. Généralement, des travaux d’une telle difficulté sont réservés aux Templiers expérimentés ou à des élèves Templiers accompagnés de plusieurs professeurs parmi les plus compétents.
Marcus eut une expression désabusée.
-Et donc ?
-Si tu reviens vivant et que tu réussis cette mission, Marcus…
-Hum ?
-Je te nommerais maître Templier.

Le complot (partie 3) :

1807…

La neige tombait, le vent glacé soufflait fort et le blizzard empêchait aux deux Assassins de voir à plus de dix mètres devant eux. Ils avaient du abandonner leurs montures quelques jours plus tôt. Celles-ci ne parvenaient plus à avancer d’un pas.
Ils les avaient laissés à une écurie dans un petit village perdu au milieu des collines enneigées.
Une semaine. Une semaine qu’ils avaient quittés la frontière Russe.
Depuis leur échec, ils ne s’étaient quasiment plus parlé. Eva s’était murée dans un silence dérangeant. La mort de son père et de tous ses compagnons l’avaient profondément choquée mais s’était de la mort de Pierre qu’elle devait être le plus touchée.
Les seuls mots qu’ils avaient échangés depuis étaient « Par là », « Je prend le premier tour de garde », « Je prend le deuxième tour de garde », « Prenons ce chemin » et « Je vais chercher du bois pour le feu ».
Leeve n’avait pas non plus cherché à faire la conversation.
Il ne pensait qu’à une chose depuis son échec. Le sourire moqueur de Napoléon quand il avait envoyé ses hommes sur les Assassins. Et ses paroles : « Il y a bien un traître parmi vous ».
Qui ?
Etait-ce un des membres de la troupe ou un traître infiltré dans la Confrérie ? Les personnes étant au courant de la mission et n’étant pas parties se comptaient sur les doigts d’une main. Le mentor et quelques grands maîtres Assassins dignes de confiance.
Alors qui ?
Leeve en perdait le sommeil. Tous ses compagnons étaient morts, sauf Eva. Et elle était tellement silencieuse depuis une semaine qu’il avait bel et bien l’impression d’être le seul survivant au carnage.
Une rafale de vent stoppa les deux Assassins et les força à se protéger avec leurs bras. Les flocons de neige les fouettaient avec violence, les faisant parfois gémir de douleur. Leeve ne sentait déjà plus l’extrémité de son nez.
Eva eut soudain une quinte de toux. Elle se plia en deux et toussa pendant plusieurs secondes avant de renifler et de se remettre en marche, sans un mot. Leeve ne s’en préoccupa pas et la suivit.
Le vent se calma un peu et les deux Assassins purent faire un bon bout de chemin avant de devoir de nouveau s’arrêter, bloqués par la tempête de neige.
Au bout d’un moment qui parut une éternité à Leeve, il aperçut une forme dans le blizzard.
-Là-bas, fit-il. Un refuge !
Les deux Assassins s’y dirigèrent et entrèrent dans le refuge. C’était une sorte de petite cabane en pierre avec trois paillasses sales, une fenêtre et un tabouret dans un coin. Un simple refuge construit pour que les voyageurs puissent s’y abriter le temps d’une nuit.
Leeve s’assit à même le sol et soupira. Eva fit de même.
-Sale temps, dit-il. ‘Fait vraiment froid non ?
-…
-Tu ne veux toujours pas parl…
-Fous moi la paix, s’il-te-plait.
Leeve fronça les sourcils.
-Tu veux que je te foute la paix ? Pas de problème ! Ne comptes plus sur moi pour t’aider à avancer et pour te porter quand…
Eva mit sa main devant sa bouche et toussa bruyamment pendant une dizaine de seconde.
-Ca va ? fit Leeve.
-Ferme-là. Ne m’adresse plus la parole.
Leeve grogna et s’allongea sur sa paillasse en tournant le dos à Eva. Celle-ci l’imita. Il l’entendit tousser pendant plusieurs minutes avant de s’endormir.

Le lendemain, les deux Assassins repartirent à l’aube. La tempête s’était bien calmée. L’air était un peu plus chaud et le brouillard avait disparu, permettant aux rayons de soleils de chauffer le sol, faisant fondre la neige.
Cependant, il aurait fallu une canicule pour faire disparaître les trente centimètres de neige dans lesquels marchaient les Assassins.
Leeve, tout en avançant, repensait à ses séances d’entraînement avec Vladimir, à ses discutions avec Georges, aux paroles sombres mais sages de Pierre et aux conseils avisés d’Edouard, et cela acheva de le convaincre qu’aucun d’eux n’était un traître.
Cela ne pouvait tout simplement pas être l’un d’eux.
Il tourna la tête vers Eva qui le suivait.
Celle-ci s’était agenouillée sur le bord du chemin.
-Eva ? Qu’est-ce que tu…
L’Assassine se redressa avec difficulté, en titubant.
-Un vertige… Je t’ai dit de me foutre la paix.
-Tu veux que je te laisse crever ? C’est quoi ton problème ?
-Si je te dis que si tu ne la fermes pas dans les trois prochaines secondes, je te fais passer ma lame en travers de la gorge, tu me crois ?
-Vas te faire foutre. Ecroules toi sur le bord du chemin et crève en silence si tu en as envie. C’est parce que Pierre est mort que tu es comme ça ? Je suis tellement inférieur à lui que je ne vaux même plus la peine que tu m’adresses la parole ? Combien de fois vous avez baisés d’ailleurs ?
-Les trois secondes sont passées…
-Et alors ? Tu veux te battre ? Amènes-toi !
Eva et Leeve se fixèrent pendant un instant. Finalement, Eva porta sa main à sa bouche et toussa. Elle s’appuya sur le tronc d’un arbre et tenta de reprendre son souffle. Puis, elle grogna et se remit en marche.
Leeve serra les poings et la suivit sans un mot.

Les jours se suivirent, identiques. Les Assassins se levaient le matin, marchaient toute la journée dans le silence le plus complet, en évitant soigneusement les villes et les villages, montaient leur camp le soir et s’endormaient sans se regarder.
Et cela recommençait le lendemain.
La seule chose qui changeait chaque jour, c’était la santé d’Eva. Elle se dégradait.
Les petites toux s’étaient transformés en quintes de toux bruyantes, puis en vertiges suivit de toux violentes. Leeve avait commencé à s’inquiéter quand Eva avait commencée à cracher du sang mais au moment où il avait voulu lui venir en aide, elle l’avait ignoré et continuée sa route.
Leeve avait cessé de s’en faire pour elle.
Leur dernière dispute, plusieurs jours auparavant, avait finit d’enterrer leur amitié.
Si elle s’écroulait sur la route et ne se relevait plus, Leeve ne prendrait même pas la peine de l’enterrer. Tout au plus, il la ferait rouler sur le bord du chemin pour ne pas que son cadavre se fasse écraser par les chevaux des voyageurs.
C’étaient à peine si les deux Assassins se regardaient dans la journée.
Il neigeait toujours. Et chaque jour, Leeve croyait que c’était lui qui allait s’écrouler, sous les rafales de vent et de neige.
Il n’en pouvait plus.
Soudain, alors que Leeve avait arrêté de compter les jours et qu’il était persuadé de bientôt mourir pour de bon, il vit Eva vaciller, quelques mètres devant lui.
Elle s’était arrêté et s’était appuyée contre un arbre. Rien de bien surprenant. L’Assassin avait l’habitude.
Elle se mit à tousser et à cracher des gouttes de sang. Leeve la dépassa sans lui accorder un regard.
Cependant, alors qu’il se trouvait une dizaine de mètres devant elle, il se stoppa et tendit l’oreille. Elle avait arrêtée de tousser… mais il ne l’entendait plus marcher.
Leeve tourna la tête et vit le corps inerte d’Eva, écroulé dans la neige.

Je sens l'arrivée d'une scéne de nécrophilie

Au début j'avais pensé à une série d'anecdotes pour comprendre comment les Lenski ont fini dans le mercenariat et comment ils sont passés de "héros" à "anti-héros" mais bon

Panne d'inspi, Lenskonche ? D'où l'importance d'avoir des intrigues en réserver

Moi, au cas où je trouve plus d'idée j'ai encore :
-Le passé de Lucien.
-L'histoire des Malroy en général ( et y'a des trucs à dire sur cette famille )
-Passages marquants de la vie d'Arcus
-Personnages en réserve que je ne révèlerais pas

Et, Lenskonche, t'as jamais pensé à suivre un personnage tout autre qu'un Lenski ? Apartenant à une autre famille rivale ou carrément n'ayant aucun lien avec les Lenski, dans un atre pays, avec une autre histoire, etc...

bilbo : si mais ces temps-ci j'ai la flemme
J'ai des intrigues en réserves mais la flemme

Adesh n'avait clairement aucun lien "actif" avec les Lenski mais il a fait un bide
Les Lane sont une famille rivale mais bon ils sont pas aussi "profond" que les Lenski

Là j'ai deux/trois persos/intrigues en réserve mais flemme

Bah si t'as la flemme

En fait ce qui fait l'intérêt de cette famille c'est surtout son image
Pour un esprit "simple" ce sont des mercenaires cruels et sans principe mais , même si je ne l'ai pas énormément montré , ils suivent leurs propres principes et leurs propres buts
Alexander et Demyan junior sont des exemples assez parlants
Bien qu'ils puissent passer pour des gens assez cruels ils sont animés par la volonté de protéger leur pays même au point d'y laisser leur âme
Ils ne s'encombrent pas de la volonté d'être "socialement acceptable" et font ce qu'ils pensent être juste

Dimitri , autre exemple , peut être vu comme un anti-progressiste opposé à la démocratie et pro-dictature royal et même traître à sa nation mais tout ce qu'il fait il le fait car il pense que c'est ce qu'il y a de mieux pour l'homme même si celui-ci ne s'en rend pas compte
D'ailleurs combien des gens seraient prêts à trahir leurs nations pour leurs idées ?

Bah depuis que Dimitri est mort il y a plus vraiment d'intrigue, il faut que tu en refasses une avec des nouveaux personnages

Lenskonche Le problème c'est que quand le père de Dimitri veut défendre sa patrie, la france. Son fils dit que ce sont d'idiote pensée nationaliste. Ouai mais bon le reste de la famille...

Bilbonche Cache pas tes idées dans un coffre en Suisse. D'après Lens c'est pas très sur

Jetouille Coumment ça va ?

Re Lenskonche Tu sais faire des logos ?

ludo : non
En même temps Dimitri et Alexander sont assez différents

moi je pense pas prendre d'autre perso avant longtemps...
j'ai même pas utilisé le miens à 5%...

Par exemple , dans leur prise de pouvoir de leur confrérie

Dimitri la créé lui-même en recrutant dans un premier temps des noble ou des serviteurs de nobles donc des gens instruits ou en partie instruits avant d'enrôler tout un équipage de marin .
Son autorité est légitime car il y a une notion de supérieure hiérarchique à cause du systéme de classe et du fait qu'il est le créateur de la confrérie ainsi que son "champion"

Alexander , lui est supposé hériter de son titre mais les assassins fonctionnant par fédération "régionnales" ( Anna par exemple dirige les assassins de Petite Tatarie) il doit faire ses preuves face aux autres maîtres assassins qui pourraient devenir des adversaires potentiels alors que lui veut mettre fin à la guerre entre les templiers et les assassins , guerre que l'on apprend avoir été à un niveau "fanatique" sous la domination de son père . Pour pouvoir s'imposer par rapport aux autres maîtres et aux mentors étrangers il se voit "contraint" de faire preuve d'une certaine violence vis à vis de ceux qui pourraient le menacer ou remettre en cause sa légitimité