Noooon!!! Barbe blanche avait pour maître une chèvre amiral de la marine!

derien des c'est normal. C'est pas du plagiat c'est Homm qui voulait voir ma référence à son assassin et j'avais la flemme de chercher alors j'ai resortit le doc word

Bonjour a vous assassins de diverses contrées !!!!

NOM : Prochàzka
Prénom : Josef (orthographe slave)
Age : 29 ans.
Nationalité : Tchèque (grâce à de faux papiers)
Description physique : Mince, de moyenne taille. Joesef est l’homme parfait pour se fondre dans la foule. Il est brun, une barbe de trois jours recouvre son menton et ses joues, et assez pâle. L’emblématique symbole de la confrérie des assassins a été scarifié sur sa clavicule gauche, et sur son avant bras droit.
Description morale : Réfléchis, sociable mais solitaire lors de ses missions. Cynique et intelligent. Philosophe et fin politicien à ses heures perdues …
Langue parlée : Français, Tchèque. Quelques bases d’Italien et de russe.
Histoire : Josef est le descendant direct de Philippe Leroy, mentor de la confrérie au seizième siècle. Après plusieurs troubles causés par les templiers, à la recherche de la descendance du «légendaire assassin », sa famille est contrainte de fuir l’Italie pour l’Est. Finalement, les assassins encore vivant dans sa famille s’arrange pour obtenir de fausses identité, et vivent en Tchéquie. La famille s’installe définitivement là-bas, accomplissant les missions que leur proposaient les cellules du pays et du reste de l’Europe de l’Est, tout en veillant à l’apprentissage des jeunes adolescents, les futurs assassins de la lignée. Josef et son frère sont de ceux là. Le frère de Josef est mort, pendant une épidémie,. Josef continue depuis ses missions, seuls. Il a écrit à ce qui « reste » de la confrérie, réclamant une part de pouvoir au sein de l’organisation, étant le descendant directe d’un des meilleurs mentors que les assassins aient connus.
Citation particulière : « Pourquoi accomplir la tâche seul ? Pour être assuré que le travail soit fait correctement ».
But : Grimper dans la hiérarchie, et redorer le blason de la confrérie qui n’est aujourd’hui plus que l’ombre d’elle-même.

Compétence :

-Force : 4
-Déviation : 7
-Vitesse : 7
-Escalade : 6
-Resistance : 3.5
-Discrétion : 6
-Compétence spéciale : Alchimie (créer ses poisons ou propres soins, cueillir des plantes. Rabais chez les apothicaires spécialisés) : 8.

Homm, le retour tant attendu …

Sot tout le monde

Alors pour ceux qui ne le saurait pas, j'ai sortit un nouveau chapitre sur ma Fic.
Donc pour ceux que ça intéresse...

Sinon Ludo j'attends toujours ton passage
Et même le passage de vous tous

Le lien: https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-207748-1-0-1-0-fic-le-fardeau-des-assassins.htm

Dsl de la pub

Chapitre 4 partie 6

J'étais de bonne humeur, le cadeau de Marcus était superbe, il épousait parfaitement les formes de mon avant bras, la lame était belle, et l'inscription forgé sur la lame apparaissait lorseque j'actionnais le mécanisme.

"Rien n'est vrai, tout est permis."

Inscrite avec une calligraphie magnifique, arrondie, douce. Je trouvais étrange qu'un tel appareil de mort puisse être aussi beau.
Pendant mon observation, la lame jaillit et manqua de me couper un doigt.

"Il faudra que tu règles la sensibilité du mécanisme" Avait dit Marcus.

J'avais essayé hier soir, quand Marcus m'avait donné ma lame secrète, mais le mécanisme était incroyablement complexe.
J'avais déjà utilisé des lames secrètes, mais ce n'était que de vulgaires copies non rétractable, et qui n'étaient pas contondante puisqu'elles étaient fabriquées en bois 
qui plus est, je les rendais à l'instructeur à la fin de chaque entrainement. Mais là, c'était différent, c'était mes lames, elles n'appartenaient qu'à moi et à personne d'autre.
Je me demandait ce qui pouvait provoquer un tel accès de joie à cette idée.
Peut-être était-ce la sensation d'être armé. Oui c'est possible, mais il y avait autre chose.
Cette arme était un signe de reconnaissance, une marque d'appréciation pour ce que je suis.
Ce dont je manquais tant quand je vivais avec mon père.

Le chef de cellule Klaus m'avait dit de chercher dans le quartier moyennement riche de boston
Il m'avait présenté une carte de la ville et m'avait montré la zone dans laquelle je devais chercher des informations.

C'était assez vaste, et je craignais de me perdre. "Tu devras trouver les points les plus hauts de la ville afin d'observer cette dernière dans son ensemble, et te familiariser avec elle." M'avait dit Marcus.

J'étais donc sorti du bureau, avec pour objectif les points les plus hauts de la ville.
Ils n'étaient pas difficiles à trouver. Différentes tours qu'il m'était devenu aisé de gravir grâce à l'entrainement de Marcus.

Petit à petit je commençais à connaitre la ville dans son ensemble. Le port était le point névralgique, et la ville était construite autours de lui. L'entrée du port était protégée par la citadelle St Louis, et Le fort St Luis. Deux bastions presque imprenable.
Impressionnants et majestueux, mais je me suis dit immédiatement que si je devais trouver le maire, alors ce dernier se trouverait probablement dans une de ces construction.

Ayant étudié les cartes de la ville que m'avait présenté Klaus, je savais qu'il y avait une île non-loin des côtes, l'île du Château d'If.
Cette île servait de prison, car il était très difficile voir impossible de s'y échapper à cause de son éloignement de la côte.

Toutefois, du haut de la tour où je me trouvais, je pouvais l'apercevoir, presque transparente, et à moitié masquée par le soleil levant.
En deux heures, j'avais fait le tour de la ville. Je ne la connaissais pas encore parfaitement, mais je savais que cela viendrait bientôt.

L'ambiance était différente du Château. A boston les gens étaient vivants, Joyeux ou malheureux. Alors qu'au Château, la population était sereine, rassurée par les remparts titanesque qui protégeait la ville, ainsi que de l'armée d'Assassins prête à en découdre qui se trouvait à côté.

Boston,elle était sale, parfois malsaine, apeurée, et dangereuse, mais c'était une ville vivante.

C'était presque midi, et même si je ne connaissais pas l'heure exacte, je pouvais l'estimer grâce à la position du soleil presque au zénith.
Maintenant que je connaissais la ville, j'allais pouvoir commencer à enquêter.

Je devais commencer par Jean-Pierre d'Isnard, et découvrir ses intentions. Etait-il un templier convaincu, ou simplement un pantin à la solde des Templiers? Je devais le découvrir et j'ignorais comment. Marcus m'avait entrainé à l'enquête en disposant différents indices dans le Chateau.

Mais là c'était différent, j'étais en situation réelle. J'ai décidé de me renseigner sur ce fameux général en me rendant chez lui. Ce que je fis immédiatement.

Je me souviens que j'avais eu du mal à trouver l'adresse qui m'avait été donnée par Klaus.
Mais quand je vis la grande demeure. J'ai immédiatement su que j'avais trouvé.

La maison était très grande, blanche, et il était midi. Jean-Pierre devait être en train de manger à cette heure-ci.

La plupart des fenêtres devaient etre ouvertes. Et fort heureusement notre homme habitait à l'écart de la ville ce qui me permettrais de ne pas être repéré quand je grimperais sur la façade de sa maison.

Javais grimpé habilement sur le portail en fer qui me séparait de sa maison.
Et j'avais avancé comme une ombre à travers les plantes de son jardin.
Quand j'arrivais à la base du mur de façade, je me suis mis à l'escalader.

Je m'arrêtais de temps en temps afin de regarder discrètement par les fenêtres. La plupart étaient ouvertes mais l'intérieur de la demeure paraissait vide. Je décidait de me faufiler à travers une d'entre elles.

Une fois à l'intérieur, je me suis mis à explorer la maison, discrètement, à la recherche de ce qui pourrait être le bureau du général malgré les fenêtres, il faisait noir dans la maison, les meubles, bien que luxueux, laissaient tous paraître une fine couche de poussière.

Je me souviens que j'avais eu du mal à trouver l'adresse qui m'avait été donnée par Klaus.
Mais quand je vis la grande demeure. J'ai immédiatement su que j'avais trouvé.

La maison était très grande, blanche, et il était midi. Jean-Pierre devait être en train de manger à cette heure-ci.

La plupart des fenêtres devaient etre ouvertes. Et fort heureusement notre homme habitait à l'écart de la ville ce qui me permettrais de ne pas être repéré quand je grimperais sur la façade de sa maison.

Javais grimpé habilement sur le portail en fer qui me séparait de sa maison.
Et j'avais avancé comme une ombre à travers les plantes de son jardin.
Quand j'arrivais à la base du mur de façade, je me suis mis à l'escalader.

Je m'arrêtais de temps en temps afin de regarder discrètement par les fenêtres. La plupart étaient ouvertes mais l'intérieur de la demeure paraissait vide. Je décidait de me faufiler à travers une d'entre elles.

Une fois à l'intérieur, je me suis mis à explorer la maison, discrètement, à la recherche de ce qui pourrait être le bureau du generaé les fenêtres, il faisait noir dans la maison, les meubles, bien que luxueux, laissaient tous paraître une fine couche de poussière.

Je me déplaçait de pièce en pièce en rasant les murs et en m'accroupissant de peur de me faire repairé sous mes pieds, le bois craqua d'un seul coup.
Je m'arrêtais net.
Je tendis l'oreille, et au bout de 10 secondes, n'entendant aucun bruit, je décidait d'avancer mais plus lentement.

La maison avait vaguement la même architecture que mon manoir. Il y avait une grande pièce centrale qui servait d'entrée, au fond de laquelle se trouvaient deux escaliers formant deux arcs de cercles opposés, amenant directement à l'étage supérieur.
Si elle ressemblait réellement au manoir, alors il devait y avoir une dédale de couloirs plus au fond de cette maison, en haut des escaliers.
Et c'est certainement là que se trouvaient les bureaux, car près du hall d'entré. devait se trouver toutes les salles communes, réception, salle à manger, salle de séjour. Et une personne sensée ne laisserait pas de document important dans cette partie de la maison.

Je décidait donc de m'aventurer plus loin dans la maison. Dans toutes les pièces se trouvait une fine couche de poussière. et la moitié des fenêtres étaient fermées, plongeant la maison dans l'obscurité.
Klaus avait du se tromper d'adresse, personne ne vivait ici, je perdais mon temps, mais malgré tout je décidait d'explorer la maison, après tout on ne sais jamais.

Je ne prenais plus la peine d'être discret, il était évident que cette maison était vide.
Je gravissais les escaliers et arrivais en haut. Les pièces étaient toutes ouvertes, toutes les chambres à coucher étaient accessible. ainsi.

Cette maison n'était pas seulement vide, elle était abandonnée. Il y régnait une ambiance oppressante, comme si quelqu'un ou quelque chose allait vous sauter dessus.
Je me repris en main puis continuais à arpenter les couloirs de cette maison. Elle était bien construite comme je m'y attendais. Des couloirs à profusion, on aurais pu s'y perdre.

J'ai exploré différents bureaux, dans lesquels j'ai trouvés différents relevés de compte, que j'avais pris le temps d'analyser.
Les plus anciens relevés dataient d'environ deux ans, les comptes étaient stables, il y avait un certain équilibre entre les dépenses et les revenus.
Cet homme possédait à l'époque plusieurs lopins de terres. Et il avait beaucoup d'argent à la banque. C'était un homme riche. Plus riche que mon père.

J'avançais dans les papiers, et je remarquais un changement plutôt intéressant. Il y avait un an et demi, la situation financière de M. d'Isnard avait radicalement changé, les revenus avaient baissés ils avait diminués de plus de 80% d'après mes calculs. Mais loin de changer son comportement, cet homme dépensait toujours autant, et au bout d'un an et demi, il était ruiné.

Ce qui explique que cette maison soit vide, n'ayant plus d'argent pour l'entretenir et pour payer les serviteurs, ces derniers ont certainement démissionnais. Et la maison est restée à l'abandon.

Mais je me demandais ce qui avait pu enlever à cet homme tous ces biens.
Où étaient partis tous ces revenus? 

La seule réponse qui me venait à l'esprit était qu'il avait du les céder à quelqu'un. Mais à qui ? 
J'avais fouillé la pièce mais je n'avais rien trouvé. Tant pis, je connaissais l'homme à qui il confiait ces finances, je venais de le trouver sur ces papiers.

(c'est un long vu que j'ai fusionnais 2 partie)

CTM Pas faut j'ai pas l'envie la en plus faut que je co Des.

Homm Bien de nous dévaloriser pour faire "le grand sauveur qui vient sauver notre organisation qui va nous éviter les ténèbre"
Tu sais même si t'es pas la on s'en tire très bien.

Surtout que plusieurs factions des assassins ont réussi à prospérer ( les russes , entre autres )

AS c'est normal si tu vois plus de fautes vers la fin je viens de revenir de cour et j'avais un peu la flemme .

Ba quand je demande en MP comment ca se passe pour la confrérie, on me dit qu'elle n'existe plus "vraiment", que ce n'est plus comme avant...
Alors bon, excusez moi

Oui des gens mentent et ça date pas d'hier.

Non plus sérieusement à ce sujet j'avais eu une idée de chapitre écrit par tout les correcteurs (moi Lens flamme et toi maintenant) pour remédier au problème.

J'écris ma mission, pas super et pas trop d'idée, puisque c'est assez "commun", mais j'espère que ca fera l'affaire

t-redead ok dac, je vais lire tout de suite

Tkt, tu devrais savoir que je corrige pas les fautes mais le scénario

Salut tout le monde.

t-redead 2 points 1000 argent

Les 1000 sont pour la première partie de ton texte, ou tu explique vraiment bien tous ce que tu voi, ce que tu fais et les mots sont très bien choisis.

les 2 points sont parce que la deuxieme parite était bien, mais moins bien travailler, je trouve que tu t'es moins apliqué et que ça gache un peu le texte. Tu aurais dut posté en deux fois

A part ça, c'est super bien ! j'aime vraiment t'a façon d'écrire c'est très agréable.

Un homme, nous semblerais être un Templier. Suivez-le discrètement, si vous découvrez que c’en est un tuez, si ce n’est pas le cas laissez-lui la vie sauve.

Joseph Prochàzka, 29 ans, agent tchèque.

1799,

Je soupirais en voyant le message que m’avait envoyé un de mes supérieurs, ou plutôt ce que j’appelle « Un distributeur ». Je devais découvrir si un homme trop influent pour la confrérie était un templier. Encore une corvée inutile et inintéressante, me disais-je … Enfin. Je pensais que cela aurait le mérite de ne pas être épuisant.
J’avais l’habitude de ce genre de mission. Se renseigner sur la cible, nom, âge, adresse, fréquence de déplacement, moyen de locomotion… La routine. Je m’habillais une fois de plus en simple civil, gilet de laine noire sur le dos et pantalon en tissus enfilé. Cette veste était simple et utile pour se fondre dans la foule, mais il ne fallait pas se faire repérer au risque d’être connu de toute la cité. Je cachais une dague, fine et légère, dans mon veston de laine, et partais chez un vendeur spécialisé pour acheter quelques « fournitures ». Grace à quelques plantes simple et un peu de savoir faire, j’avais réussis à concocter un poison qui reproduisait les effets du choléra. Forte diarrhée et vomissement. Le poison ne causait cependant pas la mort de la victime. C’était idéal si je soupçonnais la dite personne d’être un templier. Pour l’empêcher de s’enfuir…
En fréquentant les lieux importants de la ville, auberge et tavernes réputées, maisons closes chiques, lieux de pouvoirs, banques, j’avais réussis à tirer quelques information en soudoyant les bonnes personnes et en écoutant attentivement les conversations. Après m’être rendu dans une célèbre banque, j’appris que le mystérieux individu était un homme riche, possédant de grande propriété et fermes dans la région. J’essayais de tirer quelques mots au banquier qui travaillait à cette heure-ci, en vain. Quand il partît faire ses besoins pendant sa « pause », une idée me vînt en tête. Je versais discrètement ma fameuse concoction dans la coupe de son verre, au bord de son guichet. Après être revenu de l’extérieur, encore en train de remonter son pantalon, et bu son verre, il repartit en courant aussitôt. Après être sortit du bâtiment et en avoir fait le tour, j’aperçût le banquier se tordant l’estomac dans ses propres déjections, hurlant de douleurs.

-Mes boyaux, mes boyaux ! Soignez-moi, je vous en prie !
-Alors, pourrais-je savoir qui est ce mystérieux individu dont tout le monde parle en ville ?
-Qui donc ? Répondit-il le visage rouge et crispé.
-Celui qui possède de nombreuses exploitations dans la région. Il est riche.
-Il va m’en falloir plus.
-Vous commencez sérieusement à me faire perdre patience …
-Bon, bon ! Je crois que l’homme dont vous voulez parlez s’appelle Antonìn Blazek. Il est le chef d’un groupe politique appelé « Les croix de la vertu ». Si vous voulez lui parler, alors laissez tomber. Il ne se laisse pas approcher, et de nombreux gardes le protège continuellement.
-Donnez-moi son adresse
Il s’empressa de m’obéir, me révélant l’emplacement de son manoir.
-Je vous en prie, emmenez moi voir un docteur.
-D’accord.
Il bondit sur ses deux pieds, se tenant encore l’estomac.
-En fait non, vous avez l’air d’aller mieux. Pensez à racheter des sous-vêtements.
-S’il vous plait.
Après quelques réflexions, je lui dît de se débrouiller seul.
-Allez voir un docteur et dîtes lui que vous avez les symptômes du choléra, il saura quoi faire.
-Quoi ?!
Pâle, il se mît à pleurer. Je ne me soucier plus de lui, sachant qu’il allait s’en tirer sans problème, et me mît en quête du manoir de ce Monsieur Blazek.
Après plusieurs heures de recherche, une grande demeure m’interpella. Elle se distinguait des autres : Plus grande, plus belle … Mieux gardée.
Je m’approchais du portail. Un garde de l’entrée m’interpella rapidement, me demandant le motif de ma visite.
-Je dois parler affaire avec lui.
-A oui, il m’avait prévenu qu’il avait rendez-vous. Votre nom ?
Je ne lui répondais pas. Manifestement, j’allais être découvert si ce n’était pas déjà le cas.
Je lui plantais ma lame secrète, accrochée fermement à mon poignet droit, dans l’estomac. Le deuxième garde me sommait de ne plus avancer. Après avoir pris mon élan, je lui fonçais dessus pour finalement sortir ma dague de mon veston et lui trancher la gorge au dernière moment. La grande porte s’ouvrit. Un troisième garde du corps n’eût pas le temps de dégainer sa rapière, stupéfait de découvrir les cadavres de ses collègues. Après l’avoir lui aussi tué de sang froid, je me mît à chercher des rebords facile à escalader. Quelques briques qui déplaçaient de l’encastre du mur, des rebords de fenêtres et une gouttière solidement fixée au toit suffire à faire mon bonheur. Une des fenêtres du dernier étage était ouverte. La pièce, aérée, était occupée par un homme, richement vêtu, qui rédigeait une lettre.
-Vous ! Vous avez le culot d’assassiner mes gardes sous mon nez, et vous entrez ensuite par effraction dans ma demeure.
-Excusez mon intrusion dans votre humble demeure, sir, répondais-je pour me moquer de lui.
Il fronça les sourcils. L’homme, vraisemblablement âgé d’au moins quarante-cinq ans, se mît à relever la tête, me regardant le visage à la fois sombre et illuminé.
-Oh, je sais pourquoi vous êtes là …
-Alors vous allez pouvoir répondre à ma question.
-Oui, je suis ce que vous pouvez appeler « Un templier ». Mais nous savons tout deux que nos ordres ne sont plus à leur apogée. Alors si vous voulez me tuer, faîtes. Cela ne changera en rien la notoriété de nos factions respectives. J’attends votre jugement, monsieur. Il ferma les yeux, leva la gorge, comme pour inviter ma lame à la lui trancher.
Couteau à la main, je lui tins délicatement la nuque, et l’égorgeait le plus rapidement possible pour ne pas qu’il souffre beaucoup. Je soupirais, me rendant compte que cet homme avait raison, puis ressortis par la fenêtre. Retournant à la cellule envoyer un message de rapport à mon supérieur, je songeais aux paroles de ma victime. Je devais réanimer la flamme de la confrérie …

Fuuu, ça avait l'air plus long sur Word !

Bienvenue Homm
Salut tous le Monde

Salut Linkc

Ça à toujours l'aire plus long sur world, mais c'est normale, car à chaque fois que tu vas à la ligne, il te fait un gros espace. Et puis, c'est pas vraiment la taille qui compte, mais le contenu.