Flamme ---> C'est des fautes de frappes ... "entrouvrît" Oh wait ...
Sinon t'inquiète pour la note, je comprend parfaitement. Même 0.5 points j'aurais accepté, sachant que mon assassin ne s'est pas battu, et que mes stats sont déjà bien avancée. Enfin, j'ai augmenté la resistance ... Au froid

"entrouvrît" est dans ton texte
Bon sinon je réfléchis à des missions de début
Car j'ai des missions mais quand les Templiers ont quand même perdu un bon nombre d'influence

Idée de mission pour homm:

La mairie (préfecture, la où les gens gouvernent quoi ) est géré par trop de templier, faite le ménage pour réduire leur influences

Nan mais ce genre de mission que j'ai mais c'est mieux de les mettre au moment où on commence à se faire connaître
Sinon j'en ai une autre mais je sais pas si je la donne à Bad ou à Homm

Voilà la suite de Thomas Maure.

Résumé: Mozart, Connor et Thomas sont partis en Birmanie. Là-bas, ils ont découvert l'emplacement des temples. Malheureusement, ils ont étaient suivis par le traître:Martin de Séssé. Le lendemain, Connor et Thomas se retrouvent sur une plage au Yémen. Thomas arrivera dans son village natale où il retrouvera ses parents. Ils partirent avec son père vers la guilde d'Aden.

Anecdote 4: Retour à la maison ( Part 2 )

Sur une plage,
26 Mars 1783, 15 heures

Nous étions dans un couloir fait entièrement de pierres. La guilde elle-même semblait être en pierre. On pouvait voir sur les murs de la verdure, signe que le bâtiment datait de longtemps. Nous marchâmes jusqu’à arriver dans une salle qui semblait être un bureau. Un homme était assis sur une chaise. Je le reconnu tout de suite.

« Rachid! C’est toi mon oncle!
-Thomas, ça fais longtemps!
-Pour ainsi dire deux ans. Tu as un sacré bureau pour un simple assassin.
-Je suis passé maitre, Thomas. Et je suis le maitre de ce repère.
-Félicitation. »

Je lui présenta Connor. C’était la seul personne qu’il l’avait reconnu. Nous discutâmes pendant une bonne dizaine de minutes lorsque un assassin nous interrompit brusquement, essoufflé.

« Maitre, des navires templiers approchent de la plage sud.
-Encore! Y’en a marre! Combien sont-ils?
-Environ quatre navires.
-Sont-ils loin de la côte?
-A environ deux cents mètres. Ils devraient accoster dans cinq minutes.
-Va prévenir les quatre vingt assassins qui s’entrainent et dis leurs d’aller sur la plage.
Et vous deux, ça vous tentes un peu d’actions?
-Moi ouais.
-Pourquoi pas.
-Ca me permettra de voir le fruit de ton entrainement à Paris, Thomas. »

Nous sortîmes du repère et prîmes des chevaux. Nous galopâmes a toute allure vers la plage. Lorsque nous arrivâmes, nous vîmes les assassins postés à la frontière de la ville avec des fusils. Ils les pointaient sur les templiers qui couraient sur le sable.
Une cinquantaine de mètres nous séparaient. Ils étaient environ 150. Connor et moi sortîmes nos arcs et les tendîmes. Au signal de mon oncle, ils tirèrent. Je décocha une flèche qui transperça le front d’un de nos ennemis. Une vingtaine moururent. Ils ripostèrent en tirant à leur tour. Ils se rapprochaient de plus en plus.

« Bon les gars, il est temps d’utilisé notre botte secrète! Dit mon oncle. »

Je ne compris pas. Il balança plusieurs bombes fumigènes sur la trajectoire des templiers. Je vis courir une partie des assassins vers la droite et l‘autre vers la gauche. Je suivis le groupe de mon père et de mon oncle avec Connor qui était celui de gauche. Ils chargèrent leurs arquebuses et visèrent la fumée. Elle se dissipa et ils tirèrent sur les templiers. Ils avaient été pris par surprise. Quelques minutes plus tard, la bataille était terminé avec une perte de trente assassins.

« Pas mal votre stratégie!
-Merci. »

Mon oncle et mon père accompagnés des assassins partirent vers la ville mais je les arrêta.

« Vous ne fouillez pas les navires?
- Ils ne apprendront rien.
-Comment vous le savez? Vous êtes devins?
- Toutes les semaines, nous subissons un débarquement de templiers. Nous les fouillons tous le temps et ils ne nous apprenez rien. Depuis maintenant deux semaines, nous ne les fouillons plus.
-Mais vous savez d’où ils viennent?
-Non. Nous savons qu’ils viennent de l’ouest mais rien d’autre.
-Bon bah, rentrons. »

Une fois rentré dans ma maison avec Connor, nous partîmes manger. Une fois le repas fini, nous partîmes nous coucher.

• Le lendemain, 13 heures

Nous étions dans un navire amarré au port d’Aden. C’étais l’heure des séparations.

« Bien, il l’heure d’y aller. Dis-je tristement.
- Nous avons était contents de te revoir, mon fils.
-Moi aussi père.
- Reviens vite, mon enfant.
-.J’essaierai de revenir régulièrement.  »

J’enlaça mes parents une dernière fois puis le bateau partis pour Paris. Nous voulions informer mon maitre que Mozart avait disparu et que nous savions où sont les temples.

__________________________________

• Pendant ce temps dans un endroit inconnu*

« Dis-moi !!!! Dis-moi où sont les temples !!!! »

Mozart était attaché sur une chaise, couvert d’hématomes. Il avait plusieurs coupures sur ses membres. Il ne possédait qu’un simple drap blanc qui lui descendait jusqu’aux genoux. Un homme armé d’un couteau l’interrogeait pendant que deux hommes le frappait avec des bâtons en fer en cas de refus. Cela faisait trente minutes qu’il subissait un interrogatoire. Il n’était pas motivé pour répondre.

« Je…Je n’en sais rien. Vous pouvez me questionner si ça vous chante mais je ne sais rien.
- Menteur !!!! »

Les deux hommes s’approchèrent de lui et lui mirent un coup de bâton chaque un sur la cuisse. Il hurla de douleur jusqu’à en pleurer.

« Je vous en supplie, arrêtez !!! Je ne sais rien.
- Tu n’as pas l’air bien décidait. Nous savons que vous le savez ! Nous allons donc passez à une autre méthode. »

Il détacha Mozart et ordonna aux hommes de le prendre. Ils le trainait dans un long couloir jusqu’à arrivait dans un grand jardin où une centaine d’assassins étaient attachés à des poteaux. Des templiers pointaient leurs fusils sur eux. L’homme mit un gros coup de bâtons sur les deux jambes de Mozart, le rendant incapable de marcher.

« Voilà le jeu. Nous avons capturé ces assassins dans une embuscade. Je vais te poser la même question. Toute les cinq secondes, un assassin mourra tant que tu ne nous diras pas où sont les temples ou que tu nous diras que tu n‘en sais rien. »

Mozart était paniqué. Il ne savait pas quoi faire. Soit il choisissait de suivre une règle des assassins qui était de ne jamais céder en cas de torture, soit il dévoilait tous pour peut-être rendre la vie sauve à cent assassins. Il réfléchit et compris que dans tous les cas, ils allaient être condamné à mourir, et peut-être lui aussi .

« Bien, commençons. Où sont les temples?
- … »

Un coup de feu retentit et un homme mourut. 

Donne-la moi, Flamme

Tiens link, ça faisait longtemps que t'avais pas posté (moi qui dit ça ) Enfin une enbuscade où ils capturent 100 assassins, walouh quoi

Bad Plan ancestrale: Un forgeron a réussi à mettre au point un plan de fabrication de notre bonne vieille lame secrète. Il ne faut pas que les Templiers possèdent les plans sinon les Templiers possèderont eux aussi notre arme légendaire à notre ordre et nous nous retrouverons en grande difficulté. Rentrez chez-lui, détruisez tout choses ayant un rapport avec la lame secrète et assassiner le forgeron en lui demandant bien si aucun double des plans n’a cachés. Vous laisserez bien sûr une plume d’aigle.

Bah les templiers ont aussi le droit d'avoir un stratège dans leur équipe
Et cents assassins c'est pas énorme, et l'endroit où ils sont inconnus 'fin bon

Linkc 2 points et 500 pièces d'or
C'est malin tu perds le plus grand musiciens de tout les temps et maintenant il se fait torturer physiquement et mentalement
Apprend à mieux garder les personnages célébres à l'avenir

Bon, je vais commencer à écrire la mission.

Les templiers n'aiment pas les musiciens
Sinon pour la mission ville, on a combien d'assassins avec soi pour la reprendre?

Prénom: Thomas
Nom: Maure
Age: 19 ans ( Né le 28 Mai 1764 )
Nationalité: Yémen (Parle Français, Anglais, Espagnol, Italien et Arabe)
Description Physique puis moral: Thomas mesure 1m79 pour 67 kilos. Il à les cheveux bruns frisé.

Histoire: Fils unique d’une famille d’explorateur au Yémen, il commença à s’attaquer aux livres d’Histoires et aux cartes maritimes à l’âge de 16 ans. Un jour, il mit la main sur un parchemin nommé « Liste des assassins de la famille Maure ». Et à sa grande surprise, il vit son nom tout en bas de la liste. Intrigué, il se mit à chercher des livres sur les « Assassins » et appris qu’ils étaient en guerre contre des templiers. Un jour, il trouva une carte indiquant tous les quartiers généraux et comprit que c’était son destin. Il partit en direction de Paris pour rejoindre la confrérie.

Tenue: Tenue d’assassin du Yémen.

Force:7
Resistance:7
Déviation:7
Vitesse:7
Escalade:7
Discrétion:7

Francs:5600

Armes: Deux lames secrètes, un sabre, 5 couteaux à lancer, un arc, une dague, un pistolet.

On n'est pas encore là et tout dépend si tu possèdes déjà des Assassins sur place mais une petite vingtaine semble bien

Ok

Flamme Merci Je post mon arrivée à Genève dans moins d'une heure, puis je m'adonnerai à la mission.

Par contre, ça va si c'est pas Dan qui l'accomplit, mais son fils?

Oui, il a un fils, mais je m'expliquerai dans de futures anecdotes

Oui mais créer une fiche

Ah, je pourrai pas donner les points à Dan?

Bah nan sinon c'est trop facile

Pour moi la mission ville sera avec Thomas Maure mais 1 ans avant ma dernière anecdote

« La libération de Prague »
1ere Partie, « Maison Close ».

Je me préparais tranquillement, rassemblant mes affaires pour la mission en soirée. Je m’entrainais rapidement à côté de l’armurerie, faisant quelques moulinets avec une rapière, frappant quelques coups avec une hache, et m’entrainant au tir à l’arc. Je n’étais pas équipé pour lancer des couteaux, aussi, l’artisan du quartier général me prépara une ceinture spéciale et une épaulière ou je pourrais ranger mes couteaux de lancé. Il m’en fournit également, au cas où ma mission tournerait mal.
Les heures passaient, lentement. J’étais fin prêt pour l’assassinat. Cela n’allait pas être une mince affaire. Entrer dans une maison close un soir à l’heure ou les clients habitués passent leur temps, se rendre dans une chambre, y assassiner le client, et partir sans que personne ne s’en rendent compte allait être plus compliqué que les missions que l’on me confie d’habitude. Mais j’avais connu pire.
La nuit tombait, ma bure foncée était vêtue, et mes armes acérée. Je partais dans les rues sombres et froides de Prague. Après plusieurs dizaines de minutes de marche, j’entendais résonner la musique de la maison de joie. Les bannières violettes à fleurs et les clients qui affluaient confirmaient que c’était à cet endroit que ma cible se trouvait. Entrer allait être difficile. Un vigile tenait l’entrée. Il contrôlait l’identité des clients, pour s’assurer qu’ils étaient bien sur sa liste « d’invités ». D’autre part, de hautes grilles en fer entouraient l’endroit.
-Je vais avoir du mal à entrer par derrière. Par derrière … Quel situation cocasse, pensais-je en ricanant.
Finalement, je trouvais un endroit où les grilles étaient abimées, et je pu les franchir sans me blesser. La bâtisse était facile à escalader. En m’accrochant aux bannières en tissu, aux briques et aux appuis de fenêtre, entrer dans cette maison close aura été un jeu d’enfant. J’étais au premier étage de la maison, qui en comptait deux. Trois portes longeaient ce couloir. Derrière elle, ma cible se cachait peut-être. Je tentais le tout pour le tout en ouvrant une première porte. Un homme, trop jeune pour être celui que je cherchais, était en train de peloter une prostituée.
-Qui êtes vous ?! Dît-il en se retournant.
-Excusez-moi, répondais-je en fermant la porte.
La deuxième porte était verrouillée. J’y collais alors mon oreille, mais n’entendis aucun bruit. Il n’y avait personne. Quand j’ouvris la troisième porte, je vis à ma grande surprise … Deux couples. Je m’enfuis en fermant la porte, pour éviter de me faire repérer. Ma cible se trouvait au dernier étage … Une seule porte méritait d’être ouverte. Elle était isolée, et le bois qui en était fait était de meilleure facture, ce qui présageait une suite luxueuse. Par déduction, mon templier était derrière. J’avais concocté une sorte de dissolvent le matin même. Je l’appliquais généreusement sur la serrure, attendis quelques secondes, et ouvris la porte. Une femme se retourna en sursaut, et mon couteau de lancé vînt se planter dans sa clavicule. Elle perdît connaissance. J’avais empoisonné l’arme avec une substance qui endort. Le templier, complètement déshabillé, n’eût pas le temps de crier à l’aide. Je lui avais sauté dessus, et planté ma lame secrète dans la gorge, à deux reprises. Je frotta la plume contre l’entaille profonde de son cou, et la déposait soigneusement à côté. La prostitué allait reprendre connaissance. Je devais m’enfuir par la fenêtre, mais hors de question de sauter pour me casser les deux jambes. Avec le drap du lit, je fis plusieurs nœuds, et descendis en douceur, pour me réceptionner correctement. Je ré- escaladais la grille abimée, et partis tranquillement vers la cellule assassine. Le corps allait être découvert dans les minutes à venir. Avec la mort de cet homme, les templiers allaient être à court d’information. La libération de la ville avait commencée…