Salut à tous.

Des look at your MP

Yep, j'ai vu tu m'a rajouté au mp de tout tes apprentis c'est ça ?

wesh!

Aille, j'ais du mal avec la suite de l'anecdote, je sais pas si je vais la terminer aujourd'hui.

Musique : http://www.youtube.com/watch?v=4fkBhWunqgQ&feature=relmfu

[Autriche , 1809]
-Très bien , lâchez-le .
L'espion français fut détaché de sa chaise . Son premier geste fut de se débarrasser des morceaux de boyaux de ses anciens collègues . Il se leva difficilement tandis que Demyan reprenait son couteau de boucher .
-Si tu parviens à me mettre à terre , tu seras libres .
L'espion se redressa et se rua vers Demyan . Celui-ci évita avec facilité le coup pour passer dans le dos du français . Il envoya un coup de couteau dans l'épaule de l'espion , engendrant un bruit de craquement . Pendant que le français tombait à genoux à cause de la douleur , il lui envoya un autre coup sur le second bras . Les assassins prussiens et autrichiens affichaient un air à la fois effrayé et dégoûté tandis que Demyan commençait à tirer les bras du français en arrière . Le russe afficha un grand sourire avant de mettre son pied sur le dos de l'espion et de tirer de toutes ses forces , arrachant les bras du français .
-Je vous laisse le terminer , lâcha Demyan .
Les assassins le regardèrent passé en s'écartant à son passage . Le russe afficha un air ravi avant de quitter le repaire .
-Je sais où trouver ma cible ….

[Autriche , 31 mai 1809]
Demyan , vêtu comme un colonel des grenadiers à pied de la garde , traversait le campement français . Aucun français ne semblait se soucier de lui . Il finit par arriver devant une grande tente où deux gardes semblaient attendre . Il fit face à l'un des deux gardes qui semblaient impassibles .
-Comment vas-t-il ?
-Mal , l'empereur est venu le visiter hier ….
-L'empereur ?
Demyan ragea intérieurement de ne pas être venu plus tôt mais il se contenta d'entrer dans la tente . Il y vit un homme en proie à la fièvre et à des délires . Loin de s'en émouvoir , il s'approcha de lui et le fixa droit dans les yeux .
-Jean Lannes , maréchal d'Empire , prince de Sievers et duc de Montebello …. Pour avoir servi dans l'armée de Napoléon , votre sentence est la mort .
Il mit une main sur la bouche du français tout en lui pinçant le nez . Sa cible se débattit un peu avant de cesser de bouger . Il continua à l'empêcher de respirer pendant quelques minutes avant de lui tourner le dos .
-Aujourd'hui , le meilleur maréchal de France est mort , annonça Demyan aux gardes .
Il quitta le camp d'un pas lent puis retourna dans la forêt où il retira ses uniformes pour retrouver les siens qu'il avait caché entre les racines d'un arbre .
-Très bien ! Un maréchal de France en moins .
Il quitta rapidement les lieux grâce à un cheval qu'il avait attaché plus loin .

Une heure plus tard .
Lucas arriva au galop dans le camp . Les gardes s'interposèrent par prudence mais il sauta de son cheval pour s'adresser au garde le plus proche de lui .
-Le maréchal Lannes !
-Il est mort …. Il y a une heure …
-Non !

Plusieurs heures plus tard .
Napoléon était occupé sur un tas de cartes pour s'informer de la géographie de l'Autriche et de la Russie . Emerik et Lucas se mirent au garde-à-vous en entrant dans la tente .
-Oui ? Demanda l'empereur .
Lucas regarda son mentor qui répondit négativement par un signe de la tête . L'assassin prit une profonde inspiration avant de faire un pas en avant .
-Selon toutes vraisemblance , il est possible que l'assassin Demyan Lenski ait mit fin aux jours du maréchal Lannes ….
Il y eut un grand silence . Lucas et son mentor ne purent s'empêcher de trembler . L'empereur ne bougea pas et ne prit pas la peine de se retourner .
Comment pouvez-vous affirmer cela ?
-Une rumeur énoncerait le fait que cet assassin ait fait le serment d'assassiner les maréchaux de France … De plus , un colonel des grenadiers à pied de la garde a été assassiné hier et c'est un colonel de même classe qui aurait été visiter Lannes avant la mort de celui-ci . Il est possible qu'il ait été étranglé et ….
Napoléon renversa son bureau dans un mouvement de rage tout en se retournant . Les deux assassins sursautèrent en voyant le regard noir de l'empereur qui contenait visiblement une rage immense .
-Faîtes placarder des affiches dans tout l'Empire . Celui qui pourra me ramener Demyan Lenski aura droit à un titre de noblesse , des terres et une rente conséquentes . Je veux le voir brisé et dans une prison jusqu'à la fin de ses jours …..
-Si je puis ….
-Emerik , fermez votre gueule . Si vos assassins n'ont aucune utilité autre que celle de mettre mon image de libérateur en danger , je me passerai de vous .
-À vos ordres , répondit Emerik .
Les deux assassins sortirent de la tente avant de réunir d'autres assassins . Ils se réunirent tous dans la même tente . Emerik attendit un peu avant de prendre la parole .
-Messieurs , j'attends de vous que vous vous entraîniez de toutes vos forces . Nos ennemis deviennent légion . Les russes ne semblent guère décidés à cesser le commerce avec l’Angleterre et ceci pour des raison de modernisation . Quant à elle , l'Espagne risque de basculer dans le plus grand soulèvement populaire depuis la Révolution …. Il est probable qu'une nouvelle coalition puisse voir le jour dans les années à venir . Si cela devait être vrai , même si les assassins britanniques sont moins impliqués dans la guerre que d'autres , il est presque certain que nous aurons à affronter les assassins russes aidés par les assassins monarchistes dirigés par Dimitri Lenski qui fut mon mentor . Celui-ci porte désormais un uniforme de général britannique , marquant de façon voyante sa trahison à notre cause …. Des questions ?

OMFG , j'ai oublié un paragraphe

Milieu, fin ou début ?

Fin

Un commentaire sur ce chapitre ?

Je l'inclurai au prochain chapitre

J'ai l’impression que les nazis descendent tous de ce Demyan, mais sinon l'histoire est intéressante, les personnages aussi et tous ça est très bien raconté. Bravo.

Merci

Ceux qui ont suivit l'histoire depuis le début ont surement deviné le sujet du prochain chapitre

Finalement, j'ai pas mal écrit, mais je retourne en classe. A tout à l'heure tout le monde.

à toute à l'heure /

Capitain, mp!

La Vie d’un Assassin (partie 3) :

1803, Egypte…

Le Caire, de nuit, était une ville dangereuse. Les ruelles sombres et mal famées ne manquaient pas. N’importe qui possédant un minimum d’instinct de survie ne s’y serait pas aventuré seul, passé vingt et une heure.
Pourtant, une silhouette parcourait les rues désertes d’un pas rapide et souple. Il ne montrait aucune peur en traversant les ruelles dites dangereuse de la ville.
Son visage était pâle et jeune. Il devait avoir dépassé la vingtaine d’année. Ses cheveux noirs étaient parfaitement coiffés et laqués. Il portait une tunique noire, une courte cape dans le dos, et une capuche relevée.
A sa ceinture pendait un sabre légèrement recourbée.
Si l’on regardait bien, on pouvait apercevoir un étrange tatouage sur le dos de sa main gauche représentant le symbole de l’As de Pique, dans les jeux de carte.
Le jeune homme traversa une énième ruelle et s’arrêta devant une luxueuse demeure, à l’écart de la ville. A n’en pas douter, celui qui y résidait était un homme important.
Le jeune homme s’agenouilla devant la porte et, d’un mouvement du poignet, fit jaillir un crochet de sa manche, crochet qu’il inséra dans la serrure.
Cinq secondes et deux cliquetis plus tard, la porte était ouverte.
Le jeune homme pénétra dans la bâtisse. Un couteau de lancer fendit l’air et alla se ficher dans la nuque d’un garde qui patrouillait. L’homme porta la main à son cou, incapable de parler, avant de s’écrouler dans une mare de sang.
Deux autres gardes, marchant dans un couloir, subirent le même sort.
L’un d’eux survécu assez longtemps pour voir le jeune homme en noir enjamber leurs corps sans un regard et traverser le couloir.
Il arriva devant une porte en bois majestueuse.
Derrière, des petits cris et des gémissements se faisaient entendre.
Le jeune homme ouvrit la porte à la volée.
Sur un lit luxueux, un gros homme barbu d’une cinquantaine d’année était chevauché par une jeune femme égyptienne. Tous deux étaient nus et couvert de sueur. Le jeune homme fixa le gros homme.
-Alors, tu prends du bon temps Kerid ?
Kerid Maïnouka était un très riche marchand Egyptien, influent et ayant des rapports très amicaux avec de nombreux hommes politiques dans le monde. On disait qu’il avait des liens avec la Confrérie des Assassins et que dans sa vie, il avait dépensé énormément d’argent pour que l’As de Pique soit arrêté et exécuté.
La jeune femme, sûrement une prostituée, se leva et cria avant de courir vers la sortie.
Elle dépassa le jeune homme, tituba et tomba face contre terre, la gorge ouverte. Le jeune homme fit rentrer sa lame secrète couverte de sang dans sa manche.
Kerid eut une expression de colère.
-Qui es-tu ? Qui es-tu pour entrer dans ma demeure et tuer une femme que j’ai payé ?! Gardes !
-Ils sont morts.
-Quoi ?! Ah, je sais… Tu es un Templier.
-On pourrait dire ça. Mais regarde ça, tu devrais comprendre.
Kerid vit avec stupéfaction le tatouage d’As de Pique sur la main gauche du jeune homme.
-Tu es… un As de Pique ?! Le fils de…
-Exactement. Et je crois me souvenir que tu as eu de très mauvais rapports avec mon père. Rapport tellement mauvais qu’il a du fuir souvent l’Egypte dans sa vie. Pourtant, c’est ce pays qui l’a tué.
-Il n’a eu que ce qu’il méritait, ce chien !
Kerid cracha par terre.
-Vas au diable, continua-t-il.
L’As de Pique dégaina son épée avec un bruit feutré. La lame étincela. Kerid eut un mouvement de recul et la peur se lut dans son regard. L’As de Pique s’avança.
-Tu vas me… me tuer ?
-Oui.
-Et qu’est-ce que ça va t’apporter hein ?! Tu te sentiras puissant ?!
L’As de Pique contempla sa lame.
-Te tuer ne m’apportera rien.
Il sourit.
-En revanche, je vais savourer tout ce qui va précéder ta mort.
Les cris du marchand retentirent longtemps dans la nuit. Très longtemps.
Le lendemain, trois gardes trouvèrent le cadavre de leur maître, dans la chambre. Le premier vomit dès qu’il entra, le second ne trouva plus le sommeil pendant plusieurs semaines, quant au troisième, un homme qui avait fait la guerre et qui avait déjà vu des cadavres mutilés dans sa vie, il fut interrogé.
Il hésita à qualifier le tueur de « démon ». C’aurait été trop doux.

1807, Russie…

Leeve, assis en tailleur sur le coussin, fixa l’homme en face de lui. Celui-ci était entouré de deux soldats portant des fusils sur l’épaule. Napoléon, lui-aussi installé sur un amas de coussins de tissus rouge, but une gorgée d’eau.
A côté de Leeve, assis de façon très décontractée, une femme d’environ vingt-sept ans, aux cheveux châtains et aux yeux bruns, portant une tunique d’Assassin et l’emblème de la famille Malroy sur la poitrine, tenait un verre semblable.
-Et donc, que me veulent les Assassins ?
-Vous le savez déjà, répondit la femme. Le mentor vous a déjà envoyé trois avertissements. Avertissements que vous avez royalement ignorés. Voici le quatrième et le dernier. Retirez-vous.
-Pardon ?
-Abandonnez cette guerre.
Napoléon s’essuya les lèvres.
-Je regrette de devoir vous donner la même réponse qu’aux derniers Assassins qui m’ont rendus visite : Non.
-Cessez ce combat.
-Ce n’est pas la guerre que le mentor de France veut stopper mais mon ascension. Il ne veut pas d’un Empire en France.
-Quelle perspicacité, fit la femme avec ironie, se retenant de lever les yeux au ciel.
-Ne soyez pas insolente, répondit calmement Bonaparte. Nous ne sommes pas sur un pied d’égalité. Il suffit que je claque des doigts pour que votre tête tombe aussitôt.
-Nous savons tous deux qu’il vous est impossible de faire cela. Car cela reviendrait à déclarer la guerre à la Confrérie Française. Guerre qu’il vous est totalement impossible de remporter.
-Et n’est-ce pas une sorte de déclaration de guerre que je lance en refusant de me retirer, Assassin ?
-Attention à ce que vous dites. Nous sommes plus puissants que vous. Infiniment plus puissants. Nous avons acceptés de financer certains de vos projets mais si nous cessons cela, vous serez dans une situation délicate.
-Ca ne m’impressionne pas. J’ai des milliers d’hommes sous mes ordres. Combien êtes-vous, vous ? Quelques centaines ? Moins ?
-Un seul Assassin vaut dix soldats. Certains de nos meilleurs éléments en valent vingt. Tous vos hommes sont mobilisés ici. Si vous voulez attaquer notre Q.G, il vous faudra des mois pour en faire tomber la première pierre. Il suffit que le mentor lance un ordre pour qu’un Assassin débarque dans votre tente de nuit et vous fasse passer sa lame en travers de la gorge.
Napoléon eut un sourire.
-De belles paroles.
-Je pourrais par exemple vous tuer, vous et vos deux hommes, le temps d’un clignement d’yeux, sans me servir d’autres armes que mes mains et sans faire le moindre bruit. Ainsi la guerre serait terminée et nous n’aurions pas besoin de déployer beaucoup de moyens.
-Mais ?
-Mais ma légendaire clémence m’en empêche. Et c’est en faisant appel à mon immense patience que je vous dis une dernière fois de vous retirer. Non, je ne vous le dis pas, je vous l’ordonne.
-Au revoir.
-Vous ne vous débarrasserez pas de nous comme cela.
-Qu’on les raccompagne.
Leeve se leva et suivit la femme qui elle-même suivit les deux soldats qui eux emmenèrent les deux Assassins hors du camp.
Une fois éloignés des tentes, les soldats les abandonnèrent. Ils ne les fouillèrent même pas, signe que pour eux, ils n’étaient rien du tout. Leeve se gratta le front et sourit.
-Il n’est pas commode le Napoléon. J’ai cru qu’il allait vraiment lancer ses gardes contre nous.
La femme se tourna vers lui.
-Toi alors ! Tu n’as même pas dit un mot pour me soutenir !
-Mais, euh… C’est toi qui m’as interdit de parler avant de venir. Tu m’as dit : « Tais toi et laisse moi parler, sinon tu vas encore faire une gaffe. Si tu prononce un seul mot, je te tue. »
-Imbécile, les règles sont faites pour être enfreintes !
-Mais si je n’avais pas obéi à tes ordres tu m’aurais tué. Ca ne valait pas le coup.
-Ferme là ! Je réfléchis !
La jeune femme posa ses doigts sur ses tempes et ferma les yeux en prenant une expression d’intense réflexion. Leeve la dévisagea.
Eva Malroy, sœur du feu Eva Malroy. La fille la plus douée de la famille. Cela faisait quelques années que son père Edouard lui avait donné le titre de Maître Supérieur, ancien titre de Lucien, lui donnant le pouvoir de commander n’importe quel Assassin excepté le mentor ou Edouard Malroy.
Sa tenue serrée mettait en valeur ses formes plutôt… attirantes.
-Tu réfléchis à quoi au juste ?
-A ce que je vais dire à mon père en rentrant.
-Et tu as trouvé ?
Eva ouvrit les yeux et prit son menton entre son index et son pouce avec un sourire sournois.
-Eh bien, je vais rejeter la faute sur toi.

Eva Malroy, sœur du feu Eva Malroy ils ont tous le même nom dans la famille

bilbonch : Je me demande au final combien il y a d'ordres d'assassins en France
Il y a les assassins de France des Malroy , les assassins de l'Empire de Emerik et les assassins monarchistes de Dimitri

Il doit y avoir du monde sur les toits la nuit

Lenski : Comme les Végéta

En fait c'est : soeur du feu Lucien Malroy*

Cet As de Pique est trop d4rk ~ ~

Et les assassins du maître De Fett évoqué dans mes anecdotes et celles de Ludo

Il y a donc quatre confréries pour un seul pays
Quand on pense comme Ezio a du mal à en faire une seule à Rome