Ouais mais j'ai noté 4 textes alors les 4000 sont justifiés

sinon pour les capacités il faudrait max 10 puis pour plus il faut payer .

payer ***** pièces d'or pour pouvoir augmenter le stat max de la capacités de */10 */15

Je sais pas comment le dire mais peut-être que vous comprendrez !

Ben dis à ton élève de faire moins de textes a la suite ça évitera les confusions

A part ça

Kat 3 points et 1000 ducat (super si tu a quelque chose à dire ne le dit pas ) C'est de bonne taille la mission est réussite, tu montre bien que tu débute. Le problème c'est que tu essaye d'écrire avec un style plutôt ancien et du coup tu t'embrouille et fait des fautes.
Ex: sans/sens
Donc tu change le sens de la phrase. Mais sinon c'est très bien. Fait encore une ou deux missions et je t'en imposerai surement une.

Si je donnais 3 points et 1000 pièces d'or à Bilbo à chacun de ses textes il serait riche
Ah oui n'oublie pas que je t'ai imposé une mission Bilbo donc tu repars en Amérique

Ludo merci

Nom : Evenou
Prénom : Katniss

Nationalité : Française
Langue : Français, Breton.

Age : 21 ans
Sexe : femme

Physique : Katniss est une femme de 1m 65, mince et non musclé. Les cheveux châtain très longs, toujours attachés d’une natte. Les yeux vert émeraude.
Morale : Katniss est issu d’une grande famille d’assassin, ce qui a forgé son caractère de battante. Elle donne toujours le meilleur d’elle pour arriver à la hauteur de ses ancêtres. Elle n’a jamais accepté de jouir de facilité. Elle aime chasser, et rester seul plusieurs jours dans les bois avec un arc et des flèches.

Histoire : Katniss est née en 1761 dans la demeure familiale, a l’intérieure de la forêt de Brocéliande. Cette grande forêt Bretonne fait naitre d’années en années l’envie d’aventure de Katniss. Pour ses 7 ans, son père lui enseigna l’art du tir à l’arc. Ses parents ne voyant cela que comme passe-temps. Katniss suivit des cours particulier, et a 15 ans sa famille lui révéla petit à petit qu’elle vie l’attendait. De ce jour, elle n’eut qu’une idée en tête, devenir la meilleure assassine que sa famille ai connu. Elle abandonna ses cours pour la forêt et l’entrainement, ses journée était consacrée à la chasse et l’escalade. Parfois son père l’entrainait à l’épée. Mais ce dernier vient à mourir d’une pneumonie, a quelques jours des vingt ans de Katniss. Elle laissa sa famille aux mains de son frère et parti pour le repère de assassins de Brest. Là commençais sa nouvelle vie.
Tenue : http://hapshack.com/?v=MUOu.jpg
Armes : arc : http://hapshack.com/?v=YKL6M.gif
Dague : http://hapshack.com/?v=vG53w.jpg

Force : 1/10
Resistance : 1/10
Déviation : 2/10
Vitesse : 1/10
Escalade : 3/10
Discrétion : 1/10
Visée juste : 2/10 (Réussie a trouvé un point stratégique sur l’ennemie, pour pouvoir frappé)

A oui ludo en faite pour mon écriture j'essai d'écrire a la façon de susanne collin dans Hunger games et c'est la premère foi que j'écris a la première personne donc c'est un peux compliquer pour l'instant mais j'espère prendre le coup de main

Sinon quel est le principe des mission imposé ?

Confession : Un chef Templier est emprisonné et va être exécuté pour avoir commis une faute grave pour leur ordre. Trouvez une tenue d’un garde et infiltré vous dans la prison sans vous faire reconnaître, ensuite recueillez sa confession. Qui sait, à l’approche de la mort, il partagera peut-être des informations cruciales avec vous.

________________________________________

Le sommeil d’Andrew fut bref. Lorsqu’il ouvrit les yeux, il tomba nez à nez avec la lune, entièrement ronde et blanche comme neige. Son cœur fit un bond. Il se leva précipitamment, puis regarda autours de lui, paniqué. Il sortit prestement sa montre gousset, puis regarda attentivement l’heure. Elle affichait 0h47.
L’Assassin souffla, rassuré. Son rendez-vous n’était pas encore passé.
Andrew s’était endormi sur un toit, adossé contre la souche d’une cheminée. Il lui arrivait souvent de grimper sur les bâtiments londoniens, ainsi il pouvait exercer son devoir d’Assassin plus facilement, en ayant une vue plus étendue et en espionnant chaque ruelle de la ville. Mais la première raison était purement à titre personnel. En effet, Andrew adorait monter sur les toits, cela lui permettait de s’évader, de fuir le stress de son travail et tout simplement rêvasser en admirant Londres.

Le jeune homme rangea sa montre dans la poche avant de sa veste, mit sa capuche, puis commença à courir. Lorsqu’il arriva au bout du toit, il sauta agilement pour atterrir sur le bâtiment d’en face, trois mètres plus loin. Aussitôt, il se remit à courir en regardant droit devant lui.

Quelques jours plus tôt, le Maître Assassin d’Andrew lui avait remit une mission importante. « Un ancien chef Templier va être exécuté par ses camarades pour faute grave envers son Ordre » lui avait confié son maître. « Infiltrez-vous dans la prison Pentonville pour lui parler, il semblerait qu’il ait une dent contre ses anciens confrères. Qui sait, à l’approche de la mort, il partagera peut-être des informations cruciales avec vous. »
On lui avait ensuite communiqué une adresse pour l’aider d’accomplir plus facilement la mission. D’après Andrew, c’était une perte de temps, il se sentait capable de réussir sans aucune aide, mais il n’était pas question de protester devant son supérieur.
Désormais, l’Assassin marchait prudemment sur un câble reliant deux maisons. Son ombre se reflétait en contrebas, du fait de la lumière de la lune. Elle effraya un chat qui vagabondait dans la rue et qui lâcha un sifflement en déguerpissant.

« 124 Chapel Street » se répéta mentalement Andrew en bondissant de nouveau un toit.
Il aperçut la rue à deux toits en face de lui. Il arriva à la dernière toiture, puis il se posta au bord en s’accroupissant, observant la rue à ses pieds. Elle était silencieuse, et aucun passant n’était visible. « Normal à cette heure. » se dit Andrew.

Le grimpeur s’accrocha à une gouttière, et glissa rapidement jusqu’en bas. Il se retourna puis marcha pour s’arrêter devant une porte, avec le numéro 124 inscrit dessus. Andrew se racla la gorge, puis frappa trois fois. Il entendit des pas s’approcher. Un vieil homme ouvrit la porte. Il portait une grande barbe grisonnante, et il avait un long nez aquilin. Il sortit sa tête de l’embrasure, regarda brièvement de droite à gauche, et demanda à Andrew :

-Vous êtes bien celui qui va à la prison Pentonville ?
Le jeune homme hocha la tête.
-Entre, vite ! Je ne veux pas avoir d’ennuis à cause de vos bêtises…

Le vieil homme l’emmena jusqu’au salon. Il lui pria d’attendre quelques minutes, le temps d’aller chercher des affaires.

-Voilà l’uniforme officiel des gardiens de la prison Pentonville, révéla le barbu en revenant, les bras chargé du vêtement, ainsi qu’un casque en fer.
-Je ne pense pas que j’en aurais besoin, douta Andrew en fronçant les sourcils.
-Bien sûr que si tu en auras besoin ! rétorqua le vieil homme. J’ai travaillé dans ce trou à rat pendant onze ans, je le connais par cœur ! Sans cet uniforme, tu ne pourras jamais t’introduire dedans sans te faire repérer. Il y a beaucoup trop de gardiens.
-Vous étiez gardien ? s’exclama l’Assassin.
-Oui, et maintenant il est temps de t’expliquer. En acceptant l’argent, j’ai consentis à t’apprendre le système de garde de la prison, ainsi que le plan. Assis-toi et écoutes-moi bien !
L’entretien dura une longue heure, durant laquelle Andrew avait écouté attentivement l’ancien gardien. Lorsque le jeune homme ressortit vêtu de l’uniforme, le barbu lui souffla :
-Bonne chance ! Tu m’a l’air d’un honnête homme, et je suis sûr que tes intentions sont bonnes malgré les apparences. N’oublie pas de mettre ton casque !

L’Assassin le remercia, mit son casque, puis s’engouffra dans l’obscurité des rues de Londres.

Une heure plus tard, il arriva devant le fort. Le bâtiment était imposant, et il dominait les habitations aux alentours. Andrew leva les yeux sur l’édifice qui le surplombait. Il n’était pas en bon état, mais il n’en avait pas moins l’aspect d’une sentinelle lugubre veillant sur la ville. Andrew se posta à une grande porte en bois, respira un grand coup, puis frappa avec force. Un garde apparut dans une petite ouverture qui laissait voir uniquement ses yeux, qui l’observèrent de haut en bas. Il referma l’ouverture pour cette fois ouvrir en entier la porte.

-Vous êtes gardien pour le secteur C ?

Le jeune homme acquiesça. Il se souvint que le secteur C équivalait aux couloirs de la prison.

-Normalement vous devriez vous présenter par la porte sud, mais ce n’est pas grave. Entrez, déclara-t-il. Vous connaissez les règles.

Le garde procéda aux fouilles d’Andrew. Le vieil homme lui avait prévenu, alors il avait emmené uniquement sa lame secrète, qui était idéalement placé pour éviter les palpations du garde. Mais il pria tout de même qu’il ne touche pas ses poignées… Le garde finit la fouille, puis il laissa l’Assassin passer.
Le jeune homme traversa une cour, avec comme seule présence un garde qui faisait sa ronde, une lanterne à la main. Andrew arriva devant une nouvelle porte, fermée bien évidemment. Il sortit une clé de sa poche, puis l’introduisit dans la serrure. Elle tourna sans problème. Il entra en remerciant silencieusement le vieillard pour lui avoir donné la clé, referma la porte derrière lui, puis descendit des escaliers, en essayant de se visualiser le plan des souterrains. Arrivé en bas, l’Assassin regarda à droite : c’était le quartier général des gardiens. Il pénétra dans la pièce et aperçut deux hommes manger autour d’une table, qui bavardaient bruyamment, sans faire attention à lui. Ils étaient visiblement en pause. Au fond de la pièce se trouvaient des lits, dans lesquels d’autres hommes dormaient.
Andrew scruta attentivement les murs. Là ! Une étagère servait à ranger toute les clés des cellules, et d’après un informateur, le condamné à mort se trouvait dans la cellule n°78. Il chercha la case 78, et prit la clé se trouvant à l’intérieur en souriant. Les gardiens semblaient insensibles à sa présence. Le jeune homme se dépêcha de sortir du quartier général, puis s’enfonça dans le couloir des cellules.

Une odeur infecte de pourriture lui arriva aux narines. Andrew eut un haut le cœur.
Il marcha rapidement, sans faire attention aux prisonniers qui l’insultaient, lui crachait dessus ou qui tendaient leurs bras, tentant de prendre prise à ses vêtements. Les numéros défilaient : 44, 45, 46, 47… A partir du numéro 60, il n’y avait plus de prisonnier dans les cellules, et le couloir n’était plus éclairé. Inquiet, Andrew se demanda si l’informateur s’était trompé de numéro. Il continua quand même.

Au bout de quelques secondes, il arriva enfin devant la cellule n°78, mais ce qui se présenta devant lui n’était pas prévu : un gardien se tenait devant les barreaux. Le dos droit, la tête haute, il semblait être là pour une très bonne raison. Lorsqu’il vit Andrew, il fronça les sourcils, et le fixa avec des yeux perçant.

-Vous ne devriez pas être ici, gardien, grogna l’homme.

L’Assassin fut surpris. Il observa le pommeau de son épée, et remarqua dessus une croix peinte en rouge. Il comprit aussitôt que cet homme n’était pas un gardien de prison. Apparemment, les Templiers ne lâchaient pas leurs prisonniers d’une semelle, pas avant qu’ils soient mort en tout cas. Andrew réfléchit. Il s’approcha de l’homme, respira un bon coup, puis lui dit d’un air nonchalant :

-Vous avez l’air d’avoir mal à la gorge. Allez vous reposez, je vous remplace.

Le Templier rapprocha sa tête de celui du jeune homme.

-Je pense avoir été très clair pourtant : vous n’avez pas le droit d’être ici, allez faire votre boulot ailleurs. Et ma gorge va très bien, articula-t-il d’une voix froide.

-Sur ce point, vous vous trompez mon cher ami, lança Andrew avec un sourire narquois.

L’Assassin fléchit ses genoux, déclencha sa lame secrète, puis la planta avec précision dans la carotide de son ennemi. Ce dernier, dans un reflexe inattendu, prit immédiatement le jeune homme par le cou et le souleva en l’air. Il mettait toute sa force dans ses doigts, qui serraient avec une telle énergie qu’Andrew ne pouvait plus du tout respirer. Il retira sa lame du cou de son adversaire, qui eut pour effet de provoquer une gerbe de sang. Pourtant, le Templier continuait à étrangler l’Assassin, avec un regard rempli de haine. Andrew, lui, essayait de donner des coups, ou encore de réutiliser sa lame, mais l’homme tenait fermement son bras armé. Son ennemi savait qu’il allait mourir, alors il était prêt à tout pour emmener avec lui son tueur dans les profondeurs de la mort.
La vue d’Andrew commençait à se troubler. Dans un ultime espoir, il leva sa jambe et frappa le flanc du Templier de toutes ses forces. Ce dernier tomba lourdement au sol avec le jeune homme. Bien qu’il fut étourdit par la chute, Andrew se redressa immédiatement, puis regarda son ennemi dans les yeux en reprenant son souffle. L’homme n’émettait pas un son, mais son regard était brûlant de fureur et de haine. Il lâcha un long râle, puis il succomba, le corps gisant dans une mare de sang.

-Tu n’es pas mort en lâche, murmura Andrew. Requiescat in Pace.
-Tu as faillit y passer, fit remarquer une voix rauque.

L’Assassin poussa une exclamation et leva la tête. Un homme se tenait derrière les barreaux de la cellule n°78. Il était vêtu de haillons, et il semblait être très malade. Ses cheveux noirs et gras descendait jusqu’à ses épaules, et il avait de profonds cernes sous les yeux.

-Je connaissais cet homme, il était sous mes ordres autrefois, ajouta-t-il.

Le jeune homme retira son casque, puis passa ses mains dans ses cheveux transpirant.

-Vous êtes bien Joshua White ? demanda-t-il calmement.
-Je l’étais, regretta le prisonnier en baissant les yeux. Je ne suis plus grand chose comme tu as pu le remarquer. Et dans quatre heures je ne serais plus rien.

Andrew sortit la clé volée de sa poche, puis ouvrit la porte de la cellule.

-J’aimerais qu’on discute un instant, poursuivit-t-il.
-Je sais qui tu es, et pourquoi tu es là, informa Joshua White. Mais j’accepte tout de même.
Le jeune homme s’assit directement sur le sol froid de la cellule, et le prisonnier fit de même.
-Alors, qu’avez-vous fait pour vous retrouver dans cette situation ? interrogea Andrew.
-J’ai décidé de quitter l’Ordre des Templiers. Mais il semble que ça les dérange de laisser un de leur chef dans la nature.
-Uniquement pour ça ? s’étonna Andrew.
-Je sais bon nombre de choses que je ne devrais pas savoir, continua le condamné à mort en souriant. Et en tant que chef, je détiens des informations plutôt délicates. Il ne vaudrait mieux pas qu’ils tombent entre de mauvaises mains.
-D’après moi c’est déjà fait, s’esclaffa l’Assassin en se grattant l’arrière du crâne.
-Il y a quelques semaines, je t’aurais tué pour ce que tu viens de dire Assassin, plaisanta Joshua White à son tour. Mais j’ai ouvert les yeux, et j’ai compris que je ne fréquentais pas les bonnes personnes.
-Bien parlé !
-Je ne pense pas que tu fréquentes les bonnes personnes non plus, répliqua le prisonnier en levant un sourcil.
-J’estime être assez libre pour le savoir ou non, jugea Andrew en haussant les épaules. Je me bats pour aider les hommes, et non les Assassins. Si ces derniers viennent à trahir leurs principes, je ne les suivrais plus.
-Bien. Tu m’a l’air sûr de toi. Je dois t’informer de quelque chose de très important : les Templiers vont tuer dans deux jours un espion français. Il doit absolument rester en vie, sinon les conséquences seront désastreuses. Il ne nous reste pas assez de temps pour rentrer dans les détails, alors je vais être bref : il détient la date et le lieu où un bateau va partir pour accoster en Amérique. Ce bateau sera chargé de soldats anglais, qui seront prêt à attaquer les colons présent là-bas. Inutile de provoquer encore d’autre massacres.
-Comment s’appelle-t-il ? demanda Andrew.
-Antoine Garnier. Il est actuellement à Londres, et réside dans la rue de Bramford.
-Pourquoi ne parle-t-il pas?
-Mon Ordre l’a menacé, avoua Joshua White. D’après mes supérieurs, il faut que l’Angleterre garde le contrôle sur les colonies américaines. Maintenant ils ont décidé de le tuer, car il est trop bavard selon eux.
-Merci beaucoup, conclut l’Assassin en se levant et en remettant son casque. Je devrais y aller, les gardiens tarderont pas à venir ici.

Le prisonnier se leva à son tour, puis tendit la main à Andrew avec un sourire triste. Ils se serrèrent la main. Les deux hommes se dirent adieu, et Andrew referma la cellule derrière lui.
-Assassin, comment peux-tu être aussi confiant envers ta Confrérie ? demanda Joshua White.
Le jeune homme le regarda dans les yeux en souriant puis répondit :
-Parce qu’on m’a appris à être libre. Et ce sont les Assassins qui me l’ont enseigné. Croyez-moi, je sais ce que je fais.

Il lui fit un signe de la main, puis il partit en courant.
Andrew refit le chemin inverse sans rencontrer de problème. Ce fut lorsqu’il revint à la porte de sortie que l’Assassin vit deux gardes parler. Il s’approcha d’eux d’un air naturel, puis il reconnut l’homme qui l’avait fouillé.

-Encore vous ? râla le fouilleur. Combien de fois je vais devoir vous le dire : Les gardiens du secteur C doivent passer par la porte sud, c’est la règle !
-Excusez-moi, bredouilla Andrew.

Le second garde ricana. Le jeune homme ne savait pas où était la porte sud, mais il fit tout de même demi-tour. A ce moment là, il vit un garde venir vers eux en agitant les bras.

-Alerte ! Il y a un intrus parmi nous !
L’Assassin et les deux gardes se dévisagèrent.
-Il y a eu un meurtre dans le secteur C ! déclara l’arrivant. C’était l’homme de la garde royale en plus ! Il faut sonner la cloche !
-Merde, cracha l’un des gardes. Je vais le faire !
-Moi je vais au quartier général ! répondit un autre.
Il ne resta plus qu’Andrew et un garde.
-Je vais sortir prévenir la garde royale pendant ce temps, compléta ce dernier.

Le garde prit une clé de sa poche puis ouvrit la porte pour sortir.

-Attendez une seconde, intima le jeune homme.
Avant que le garde n’ait le temps de se retourner, il planta sa lame dans la nuque, le tuant sur le coup.
-Heureusement que vous n’êtes pas tous comme ce Templier, plaisanta-t-il en posant le corps à terre.

Andrew se faufila dehors, puis disparut discrètement dans les ruelles de Londres.

Rept je te co demain. J'ai la putain de flemme de lire un pavé de type Lenskien. par contre je serai co que demain soir donc rappelle le moi.

Kat Une mission imposé c'est à dire que JE fait une mission et que je peut imposer un voyage même au tour du monde si je veux

Désolé, j'ai pas réussi à raccourcir

Partie 5

Vienne, Autriche.
2 Février 1783.

« Thomas! Quelle plaisir de te revoir! 
-Et moi donc! »
Mozart me dit de m’asseoir et il me servit un thé chaud.

« Ca fait du bien d’être au chaud. Déjà qu’ici c’est pas brulant alors à Moscou.
-Oui, j’ai connu ça. Ah, je vois que tu as un arc.
-C’est une coutume là-bas. Sinon, tu as traduit les Codex?
-J’en ai traduit qu’un, celui de Soliman.
-Nous apprend t-il des choses?
-Regarde par toi-même.

Il me donna le Codex et je commença la lecture.

• 267 ans avant

Mai 1516, Constantinople

« Voilà Soliman, maintenant, tu dois exécuter un saut de la foie et tu feras partie de notre ordre. Dit Ezio. »

J’étais tout en haut de la tour de Galata et m’apprêta à sauter. Je n’étais pas très confiant puis je décida de me lancer. J’avais l’impression que le temps s’arrêter. Quelques secondes plus tard, je me retrouvai dans un tas de foin en bas.

« Bien! Tu es maintenant un assassin. Suis moi, j’ai quelque chose à te donner. 
-Quelle est-elle?
-Tu verras. »

Je le suivis avec curiosité jusqu’à arriver au repère de Galata. Une fois dedans, nous marchâmes vers la bibliothèque. Il sortit une boite puis l’ouvris. C’était ses équipements de l’époque où il était assassin.

« Voilà, je te les donnent! 
-Merci, mon amis. Je ne sais comment te remercier.
-Ton merci me suffit amplement, amigo. Les assassins t’entraineront au combat pour que tu puisse te défendre lorsque tu seras Sultan. »

• 4 ans plus tard

22 Septembre 1520, Sainte-Sophie

« Le Sultan Selim est mort. Ce qui veut dire que l’Empire Ottomans doit en avoir un nouveau. Nous déclarons alors Soliman, le fils de Selim, Sultan Ottoman! »

Toute la salle se courba devant moi. Je monta sur le trône.

« En tant que Sultan, je ferai des ottomans un grand peuple. J’agrandirez le pays en conquérant des territoires. J’espère que le peuple sera avec moi! »

Toute la salle se mit à hurler de joie. Ils criaient « Vive Soliman! Vive le Sultan! »

• 6 ans plus tard.

Rome, Italie.

« Alors Soliman, montré moi cette pomme d’Eden que vous avez trouvé à Rhodes?
-La voilà. »

Je sortis la pomme d’Eden que j’avais récupéré là où était le Colosse et la donna à Machiavelli.

« Je l’ai examiné plusieurs heures mais je n’ai rien appris.
-Très étrange. Elle est quasiment identique à celle qu’Ezio avait récupéré il y 30 ans.
Comme si elle étaient reliées.
-Tu crois qu’elles ont un lien?
-Peut-être. Le temps nous donnera surement d’autres informations. Quand tu repartiras à Constantinople, tu la prendras avec toi. »

• Dans le Présent

« Il ne nous apprend pas grand-chose mise à part des informations sur Soliman.
-Et maintenant, que faisons nous?
-Justement. J’aimerai te demander un service?
-Vas-y, je t’écoute.
-Il y à neufs Codex. Nous en avons découvert quatre. Les autres sont dans l’ouest de l’Europe. Je dois continuer à les chercher mais le problème, c’est que je vais devoir revenir ici et le trajet et long.
-Tu veux que je vienne avec toi.
-Exactement.
-Thomas, je t’accompagnerai jusqu’à Paris volontiers, mais je dois gérer les assassins. Et je ne peux me permettre de les laisser seuls.
-Je savais que tu allais dire ça. Ne t’inquiète pas, je te comprend…
Mais suis-je bête! Pourquoi n’y ai-je pas penser plus tôt!
-Quoi?
-Toi ton problème, c’est de laisser tes assassins seuls ici?
-Exact.
-Mais si quelqu’un s’en occupe, il n’y aurai pas de problème?
-Si c’est quelqu’un de confiance, non.
-Parfait! Je connais un amis qui pourras nous aider. »

• 1 semaine plus tard.

J’entendis frappais à la porte. Je partis ouvrir et vis l’homme qu’il nous fallait.

« Louis! Je suis content de te voir!
-De même, Thomas. Vous devez être Mozart?
-En effet.
-Viens Louis, il faut que je te parle. »

Nous nous assîmes.

« Qu’est-ce qu’il y a?
-Cela fait combien de temps que tu es au service des assassins.
- Six ans, pourquoi?
- Te sentirez tu capable d’être chef des assassins.
-Où veux-tu en venir?
-Je vais partir à Paris avec Mozart. Le problème, c’est que les assassins de Vienne seront seul. Mozart accepte donc que tu sois le chef des assassins de Vienne en attendant son retour.
-Vraiment! Merci! Merci du fond du cœur!
-Viens à la guilde pour la cérémonie. »

Nous partîmes à la guilde et convoquâmes tous les assassins. Nous étions sur une estrade et Mozart fit un discours.

« Chers assassins! Pendant plusieurs semaines, je serai absent. J’ai donc choisis un remplacent. Louis Marie, tu es à présent le chef des assassins de Vienne! »

Tous les assassins applaudirent. Avant la cérémonie, Mozart explique à Louis ce qu’il devait dire et ce qu’il devait faire. Apres une heure, nous sortîmes de la salle.

« Alors, quel effet ça fait?
-Ca me fait bizarre. Je suis remplis de joie mais stresser. Je ne sais pas si je vais être à la hauteur.
-Ne t’inquiète pas, ça ira avec le temps. Bon, il est temps qu’on parte.
-Au revoir mes amis!
-Au revoir, Louis. »

Nous prîmes une charrette et partîmes en direction de Paris. Nous voyageâmes pendant deux semaines. Durant le trajet, Mozart me parla de ça musique. Il m’expliqua que même si c’est un camouflage, il prend ça au sérieux. Car lorsqu’il prendra sa « retraite » , il aura un moyen de distraction. Arrivée, nous descendîmes de la charrette et marchâmes vers la guilde. Les assassins nous ouvrîmes la porte et se mirent en rang parallèle pour nous accueillirent.

« Thomas! Ravis de vous revoir.
-Moi aussi maitre!
-Mozart, ça fait longtemps!
-10 ans, environ.
-C’est bien ce que je dis, ça fais longtemps. Et j’ai du mal à croire que tu es laisser à un inconnue ta guilde.
-Pour Thomas, ce ne l’ai pas. Si Thomas à confiance en lui, ça me suffit.
-Louis est un très bon assassin, tu n’auras rien à craindre. Parlons affaire, maintenant. J’ai entendu dire que tu avais fais un excellent travail dans l’est. Je n’en attendez pas moins de toi.
-Merci, ce n’était rien!
-Je remarque aussi que tu as ramené des souvenirs de ton voyage. A Moscou n’est-ce pas?
-L’arc? Oui, c’est une coutume là-bas. Je ne m’en suis pas encore servis, mais j’espère l’utiliser un jour.
-Bref, montrez moi les Codex. »

Je sortis les Codex du sac pour lui donner.

« Bien! Maintenant nous allons reprendre les choses sérieuses. Mozart, tu commencera à traduire demain. Toi Thomas, tu pars pour Londres séance tenante!
-Compris! »

Je pris un cheval et galopa en direction de Calais, là où pars les principaux bateaux vers l’Angleterre. Apres quelques heures de routes, j’arrivais dans la ville. Je partis vers le port et à ma grande surprise, il n’y en avait plus! La cote était ensablée. Le sable s’étendait même dans la ville.

« Pour les navires vers l’Angleterre, vous arrivez trop tard. Dit un passant.
-Que s’est t-il passé?
-Le sable à recouvert le port petit à petit. Après un certain temps, il le recouvrit jusqu’à ce qu’il soit inutilisable.
-N’y a t-il pas un autre endroit pour aller en Angleterre?
-Si, à Dunkerque. C’est quelques minutes d’ici, vers l’est.
-Merci. »

Je partis donc vers Dunkerque. Le trajet fut court. Arrivé, je pris une embarcation et partis jusqu’en Angleterre.

Nanc'est pas grave d'hab j'aime bien mais demain je suis levé à 5H45 du mat donc je vais pas tarder (compète d'aviron donc oui ceci est une VDM)

Ah ok, dur

Bonne chance Ludo

Merci Link et merci pour la définition du truc qu'à dit Lens page d'avant.

Bon avironnage

Tu as un texte à corriger Flamme

Tu voudrais savoir ta note hein

600 pièces d'or et 2 points

Merci

Thomas Maure:

Force:4,5
Resistance:4
Déviation:4
Vitesse:4,5
Escalade:4
Discrétion:4,5

Francs:7900

Je poste ma première mission et mon correcteur pourra me corriger que demain soir, cool.

B'soir