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Sujet : [JEU] L'ère des Assassins

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Ludovico_Orsi Ludovico_Orsi
MP
Niveau 10
06 avril 2012 à 21:29:59

Mission 10 4
Retour aux commandes, 4ème partie
Février 1782

-Tu es maintenant l’élève d’Amunet, l’assassin Egyptienne.

Et pour la Xème fois, on m’envoya dans le passé. Je me retrouvais cette fois encore devant une scène d’accouchement. La chambre était relativement petite. Une fenêtre donnée sur un grand désert sans vie. Un homme aidé une femme à accoucher. Ce genre de scène m’ennuyé profondément mais ce n’était pas moi qui décidais. J’en profité un peu pour observer le décor et me préparé aux prochaines leçons. D’après la pyramide qui pointé au loin je me trouvais forcément en Egypte et la tenue des deux personnes me faisait penser à une période antérieur à Léandros et Caligula ; surement un peu avant J-C. J’eu a peine le temps de tirer ces maigres informations que le bébé naquit.

-C’est une fille, dit l’homme d’un air sombre.
-Mon dieu que nous avez-vous fait. Nous n’avons pas le choix, répondit sa femme d’un air aussi affligé que son mari.

L’homme sortit sans un mot avec le bébé. Il prit un chameau et s’en alla dans le désert. Après une vingtaine de minutes il s’arrêta et laissa le bébé seul dans le sable puis repartit vers sa maison. Le bébé pleurait et crié mais la zone semblait déserte. Après le départ de l’homme un serpent sortit du sable et tourna au tour de la petite. J’étais purement et simplement écœuré par cette vision. A cette époque les gens voulait tellement un garçon qui reprendrait le flambeau qu’ils préféraient tuaient les filles plutôt que d’avoir plusieurs enfants. Et maintenant ce bébé allait être mangé par un serpent et tout disparaitrait. Mais, contre toutes attentes, le serpent glissa sous la petite et la transporta d’une façon très étrange jusqu’à une grande battisse caché dans le désert. Un homme ouvrit la porte et prit le bébé dans ses bras avant de caresser le serpent.

-Bravo Reko grâce à toi nous avons un nouveau membre dit l’homme en relevant sa capuche frappée du sceau des assassins.

LE LEDEMIN

Je me réveillé dans ma chambre miteuse, sans gueule de bois ou envie de vomir pour une fois. Sans attendre je m’habillais puis partis pour la maison de la Serpiente. Cette fois si j’étais certain d’arriver à l’heure, j’aurai même 20 minutes d’avances. Je tapais vite à la porte en bois massif du manoir. Mon ami m’ouvrit l’air joyeux.

-Et ben tu vois quand tu veux, lança-t-il avant de me décocher un magnifique coup de poing dans le ventre.
-Pourquoi t’as fait ça !? Je suis loin d’être en retard ! hurlais-je déconcerté.
-Retiens ça : Avant l’heure c’est pas l’heure. Après l’heure c’est plus l’heure, dit-il d’un ton menaçant avant de se diriger vers son salon.
-Comment menacer quelqu’un avec des dictons de grand-mère, murmurais-je avant de suivre mon ami.

Il s’assit dans le grand canapé en cuir et montra une chaise avant de sortir les 3 derniers avis de recherches des généraux Templier.

-Mesdames et Messieurs attention rien ne vas plus, ironisa mon ami en attendant que je désigne la prochaine cible.
-Numéros trois, lançais-je avec un léger sourire.
-Après le Russe, l’Italien et l’Anglais on passe enfin au Français. François Duvol, un Templier de Provence envoyé ici pour diriger la guilde des médecins. C’est normalement le rôle d’Alejo mais ce dernier gère surtout les problèmes de sa confrérie. C’est un véritable malade mental, on la suspecté de faire des expériences sur des cobayes contre leur gré mais rien n’a était prouvé.
-Super c’est vraiment ce qui me manquait. Es qu’il y a juste un espagnol dans le tas à part Alejo ?
-Aucun c’est plutôt bien joué de ça part entre autre.
-Pourquoi ? demandais-je sans vraiment comprendre l’idée.
-Chacune de tes cibles vient d’un endroit, a ressue une éducation différente et a une manière différente de procéder, il me faut donc faire une enquête plus poussé, m’expliqua Serpiente.
-Ha d’accord. Bon je vais au bar jouer un peu. Appelle-moi quand tu as besoin que j’égorge quelqu’un, dis-je en me levant.

Je rabattis ma capuche avant de sortir puis je pris la direction du bar. Je parcouru quelques rues extrêmement propre avant de déboucher sur le quartier pauvre. Je me trouvais à 500 mètres du bar quand un coup de feu retentit. Une balle siffla à mes oreilles, signe pour moi que je devais quelque chose à quelqu’un. Sans attendre je me mis à couvert derrière une charrette garé sur le trottoir. A cette heure les rues étaient déserte je ne trouverais donc aucune aide. Un deuxième coup de feu retentit mais la balle se logea dans la calèche. Je sortis le pistolet que Serpiente m’avait remit lors de la dernière opération et tirais à 3 reprises vers l’endroit d’où provenaient les coups de feu. Je vis un homme se jetait à plat ventre au milieu de la rue. Je pris une bombe à ma ceinture que je lançais vers ma cible. Elle explosa au sol et diffusa une légère brume dans l’air. L’homme se releva en titubant, il lâcha son arme et convulsa légèrement avant de s’écrouler. Il fut prit de plusieurs spasmes avant de nous quitter.

-Et merde je suis repéré, dis-je en sachant que d’autre Templier allaient se lancer à ma poursuite.

Je ne pouvais pas aller au bar au risque de déclencher une guerre et retourner chez Serpiente risquait de le faire repérer. Belisario pouvait tenter de me joindre d’une minute à l’autre et il me chercherait au bar. Je regardais autour de moi ; le bar était juste dans la rue d’à côté, si je pouvais trouver un endroit d’où je pouvais observer le bar et envoyer un signal à Belisario j’aurai déjà marqué un bon point. Je grimper rapidement à un immeuble de deux étages. Depuis le toit je pouvais voir le bar, mon dernier problème était de faire un signal que les Templier ne verraient pas. Vu l’heure il me restait surement une bonne heure avant que l’adjoint de Serpiente ne se pointe je m’assis donc à même le toit.
J’eu à peine le temps de me poser que ma maîtresse me rappela devant les 7 fantômes. Amunet s’avança et me sourit.

-Des problèmes de transmission ? demanda-t-elle avec un sourire.
-Je suis seul et je n’ai pas le droit de bouger au risque de me faire repérer.
-Alors cette leçon tombe à pique. Regarde, écoute, et apprend, dit-elle en posant une main sur ma tête.

Je me retrouvais catapulté environ deux millénaires plus tôt. On pouvait voir Amunet, alors âgée d’une quinzaine d’année, en compagnie d’un assassin qui la conduisait dans un dédale de couloirs sombres. Si il semblait assez serein, ma maîtresse, elle, transpirée et semblait agitée. L’assassin s’arrêta devant une porte puis se tourna vers son élève.

-Pour survivre dans le désert tu devras apprendre à trouver de l’aide partout. Malheureusement seul les animaux vivent dans là bas ; tu vas donc devoir apprendre à les domestiquer.

Amunet ne répondit pas et tenta de garder son calme. Un serpent monta alors sur l’épaule de son maître et fixa l’apprentie avec un air presque humain. Le maître ouvrit la porte et laissa entrer son élève. Il lui lança un dernier regard plein d’espoir et enferma Amunet dans la salle.
Ma maîtresse regarda la porte jusqu’à ce qu’une clé tourne dans la serrure. Elle observa ensuite l’endroit où elle se trouvait. C’était une pièce d’une vingtaine de mètres carrés aux murs noirs sans décorations. Le sol était couvert de sable comme en plein désert. Seul un serpent de plusieurs mètres de longs, roulé en boule, venait perturber cet endroit calme. Amunet n’osait plus bouger. Elle fixait ce monstre endormis qui pouvait à tout moment lui sauter dessus et en faire son quatre heure.
Elle tenta de se calmer en se rappelant ses cours de survie. « Les serpents connaissent le désert mieux que personne. Ils sont vos alliés les plus puissants » disait son professeur.
L’assassin avait mémorisée des dizaines de façons d’approcher et de sympathiser avec divers animaux mais dans la pratique c’était une toute autre chose.
Un léger sifflement troubla le silence. Amunet se reprit et vit que le serpent était réveillé et la fixait. Ses yeux d’ors tranchaient avec le vert foncé de ses écailles. Seul sa tête s’élevé au dessus de son corps, toujours roulé en boule. Il se déplia lentement et fit des cercles autour de l’égyptienne. Celle-ci ne bougea pas d’un millimètre jusqu’à ce que le serpent commence à approcher sa tête de la sienne.
Au moment où le serpent aurait du la manger, Amunet émit un léger sifflement comparable à celui du serpent. Ce dernier recula brusquement, surpris par la réaction de son gibier. Il délaissa ma maîtresse pour aller se recoucher. Un bruit de clé se fit de nouveau entendre dans la serrure et Amunet sortit de la pièce d’un pas tranquille.

-Bravo ma chérie, lança le maître en levant les bras au ciel. Tu es maintenant un assassin actif.

On me renvoya maintenant à mon problème sur le toit du bâtiment, en face du bar des assassins. Je ne savais pas combien de temps avait réellement duré cette vision mais Belisario n’allait sans doute pas tarder à arriver et des chasseurs de primes devaient vouloir ma tête dans toutes la ville. En quoi cette leçon était sensé m’aider à avertir mes amis de ma présence ? En guise de réponse un oiseau se posa sur mon épaule. Un magnifique busard cendré qui n’avait strictement rien n’à faire dans une ville comme Barcelone. Il me donna deux légers coups de bec sur la joue avant d’émettre un léger cri.
J’imitais ce bruit avec une certaine facilité et l’oiseau se posa devant moi, attendant patiemment un ordre. Sans attendre je pris un petit bout de papier à ma ceinture et de quoi écrire, puis je fis un petit mot pour Belisario lui donnant ma position.
Le second de Serpiente arriva dans les trois minutes qui suivirent. Il rentra rapidement dans la taverne avant que je ne puisse envoyer le busard. J’attendis tranquillement qu’il ressorte pour envoyer mon messager sur lui. Mon ami le réceptionna immédiatement et comprit de quoi il s’agissait. Il lui brièvement le message et disparut dans les petites rues de la ville.
Il arriva sur mon bâtiment cinq minutes plus tard en nage.

-La prochaine fois que tu te fais poursuivre préviens-moi d’avance que je pose un congé, dit-il en reprenant son souffle.
-C’est promis, maintenant explique moi en quoi consiste la mission, répondis-je en reprenant sur mon épaule le busard.
-On a localisé Duvol. Il fait ses expériences dans un entrepôt du quartier pauvre. J’ai prévenue Adelina et Rosso. Ils se préparent et te rejoindront devant le bâtiment cible. J’ai dis que j’allais te chercher et que je t’enverrais vers eux. Ils te feront un signal. Vu ton cas tâche d’être discret, dit Belisario avec un léger sourire.
-C’est promis mi amigo. Par contre es ce que tu peux me garder l’oiseau pendant la mission ? demandais-je.
-Bien sûr. Il a un nom ?
-Pas que je sache, répondis-je avant de redescendre dans la rue.

Entre temps, les rues c’était remplie. Je me mêlais donc à la foule pour échapper aux chasseurs de primes et Templier qu’Alejo m’avait si gentiment envoyé. Le quartier pauvre étant remplie de gens aux habits crasseux, je fus obligé de passer par les toits. Mes compagnons de route me se trouvaient sur le toit de l’entrepôt. Adelina était une belle jeune femme âgée de 21 ans aux cheveux noirs coupés courts. Contrairement à la plupart des espagnols qui étaient de peau mat aux yeux marrons, cette fille était blanche aux yeux bleu.

¬-Holà Ludovico, dit-elle joyeusement.
-Holà Adelina. Comment vas ton frère ?
-Hey vous deux. C’est pas le moment de discuter tranquille. Si ça vous gène pas on va tuer la cible d’abord, dit sèchement Rosso.

Ce type était un vieil assassin d’une cinquantaine d’année. Toujours d’humeur exécrable, il avait ce dont que certaines personnes ont pour gâcher l’ambiance en seulement trois mots.

-Très bien Rosso, si tu y tiens tant que ça on va y aller. On sait jamais tu pourrais faire une crise cardiaque avant qu’on finisse la mission, répondis-je avec une certaine fierté pour cette pique.
-Je ne suis pas vieux petit con.
-Non t’es juste en fin de carrière, dis-je.
-On se calme vous deux, dit Adelina en se plaçant entre nous deux.

Un silence pesant s’installa et on descendit. L’entrepôt était relativement grand et possédait deux étages. La porte principale était ouverte, mauvais signe. L’intérieur était plongé dans l’obscurité, seul une lampe à huile éclairé en partie le milieu de la pièce. Une porte se trouvait à cinq mètres devant nous. Adelina referma la porte et parla à vois basse.

-Il sait qu’on est là, souffla Adelina un peu stressé.
-Bien sûr que non, s’énerva Rosso

Ludovico_Orsi Ludovico_Orsi
MP
Niveau 10
06 avril 2012 à 21:30:31

Vous êtes juste parano.
-Calme-toi, dis-je. La cible est réputée pour être complètement malade. Il y a surement des pièges un peu partout.
-Mais oui c’est ça, dit-il en s’avançant vers la porte.

A ce moment une trappe s’ouvrit sous ses pieds et Rosso poussa un hurlement. Heureusement je réussi à lui attraper la main in extrémistes.

-Me lâche pas, brailla-t-il.
-Adelina viens m’aider je tiendrais pas, dis-je en me retournant.

Aucune réponse. J’eu beau regardé, pas la moindre trace de ma coéquipière. Je jurais entre mes dents tout en essayant de garder Rosso avec moi. Malheureusement un violent coup de pied me fit basculer dans le trou avec lui.
Et sans prévenir, ma maîtresse me convoqua devant elle entouré de ses collègues.

-Vous pouviez vraiment pas choisir un autre moment sérieusement là ?
-Ne t’inquiète pas la chute t’as assommé donc j’en ai profité pour te faire venir.
-Bon très bien, passons à la leçon avant qu’on ait besoin de moi.
-Comme tu le sens, dit-elle en posant sa main sur ma tête.

On m’envoya cette fois dans un luxueux palais de style égyptien. Amunet se trouvait debout devant une porte en bois. Elle inspira profondément en se parlant à elle-même.

-Ca va bien se passer. Reko est avec moi et puis de toutes manières il est trop tard pour renoncer, se répétait-elle pour ce calmer.

Elle tapa trois petits coups à la porte et une grosse voix rugie de derrière la porte.

-Qui est là ?
-Amunet, servante de Cléopâtre.

La porte s’ouvrit sur une sublime salle de bain. Les murs étaient dorés et le sol en carrelage blanc et noir. Cinq hommes en armure se trouvaient contre les murs. Une grande baie vitrée servait de mur au fond de la pièce et offrait une vue à couper le souffle sur ce qui semblait être la pyramide de Gizeh. Une immense baignoire, qui devait facilement faire une dizaine de mètres carrés, était occupée par trois femmes.
Deux d’entre elles semblaient être des servantes et la troisième était Cléopâtre en personne.

-Que veux-tu Amunet ? demanda la reine d’Egypte sans grande méfiance à l’égard de ma maîtresse.
-Et bien Majesté. C’est à propos d’August, dit Amunet en faisant semblant d’être mal à l’aise.
-Garde, servante, retirez-vous, dit Cléopâtre en perdant subitement son sourire.

Les serviteurs sortirent, la reine alla enfiler une tenue et revint voir ma maîtresse.

-Alors que me veut le princeps ? demanda la Templière avec un air contrarié.
-Et bien c'est-à-dire…
-Lance-toi servante et dépêche-toi.
-J’ai eu vent qu’un serviteur de Rome allait arriver au palais. Il compte vous déclarer la guerre.

A ce moment la reine commença à tituber. Elle tenta de se reposer sur Amunet mais celle-ci se dégagea vivement, reprit son serpent puis le cacha dans ses vêtements avant de s’éclipser. Elle sortit par la porte principal derrière la qu’elle attendait tout ce que Cléopâtre avait congédié quelques minutes plus tôt. Un bruit de verre cassé retentit et un garde tenta de rejoindre sa protéger mais ma maîtresse lui barra la route.

-Je viens de lui dire que Rome nous déclarait la guerre. A votre place je ne m’approcherai pas trop.

L’homme fit un pas en arrière puis décida qu’il valait mieux laisser la reine seul que de finir au crocodile. Amunet, elle, les suivit puis sortit du palais. Sa mission était accomplie.
Je me réveillé petit à petit quand une violente douleur me prit à la tête. Je voulus porter ma main à ma blessure mais mes poignés et mes chevilles étaient attachées. La salle dans la quelle je me trouvais était éclairé uniquement par trois lampes qui ne permettais pas de voir les murs. Je tournais légèrement la tête pour apercevoir Adelina attachés elle aussi à une chaise. Ma coéquipière était livide, la tête tombante et les mains tremblantes.
Je tournais la tête de l’autre côté et vit Rosso dans la même position que nous. Mon collègue était extrêmement blanc et ses vêtements ainsi que sa bouche étaient taché de sang. Vu ses yeux fixes il était probablement mort. Si Adelina avait assisté à l’agonie de l’assassin elle devait être sous le choc.

-Tu te réveille enfin, fit une voix dans l’ombre.
-Montre-toi sale chien que je t’arrache les yeux avec les dents, répondis-je avec calme.
-Si tu y tien mon chère.

Enfin je vis la cible. Duvol avait probablement la quarantaine, de petits yeux bleus et une fine moustache ainsi que des traits tirés et un sourire déments sur le visage. Il portait des habits classiques de médecin sans décorations ou touche particulière. Il me fixa avant de lancer un regard à Rosso.

-Encore un test non concluant, soupira-t-il. Je suis sensé trouver un poison sensé reproduire les symptômes de la malaria. Mais une seule erreur de dosage peut produire des effets… néfastes.

Mon cerveau tourné à cent à l’heure. Les cordes à mes poignets et chevilles étaient trop serrés pour que je puisse bouger et Adelina ne pouvait pas m’aider. Aucune solution ne s’offrait à moi. Je ne tenais pas à finir en cobaye pour poison des Templiers mais j’étais seul et désarmé. Duvol voulut dire autre chose mais une nouvelle voix se fit entendre. Aux premiers mots la cible se figea.

-In nomine padre…
-Non pas toi ! hurla-t-il.
-Et fili…
-Comment m’as tu retrouvé ?
-Et spiritus sanctie…

Un premier coup de feu retentit et la balle traversa la jambe de Duvol qui tomba à genoux. La seconde lui perça un énorme trou dans le crâne et il tomba sur le sol inerte. Un homme sortit de l’ombre, souffla sur son pistolet puis s’accroupit pour fermer les yeux du mort.

-Amen, dis-je en soufflant un bon coup.
-Holà Lazaro, dit-il en sortant un couteau pour me détacher.
-Holà Luciano, répondis-je avec un grand sourire pour mon cousin. Qu’es que tu fais ici ? Pourquoi tu n’es pas en Amérique.
-Duvol est passé par l’Amérique avant de venir en Espagne. Ce hijo de putana a tenté de me tuer
-D’accord. Tu compte rester longtemps ici ?
-Non, je repars demain pour Hartford. Je ne peux pas laisser ma ville sans surveillance. L’armée continentale a besoin de nous. Qu’es qu’elle a t’as copine ?
-Elle a vu ce type mourir, dis-je en fermant les yeux de Rosso.

On me transporta une nouvelle fois devant les 7 fantômes. Amunet s’avança et me regarda avec fierté.

-Bravo à toi, dit-elle avec un grand sourire.
-Pourquoi ? Pour être resté sans bouger sur une chaise à attendre qu’on vienne m’aidé.
-Non, pour avoir gardé ton sang froid. Tel le serpent traquant sa proie, lança-t-elle avant de m’envoyé dans le passé.

Je me retrouvais cette fois dans un port désert. L’immense phare qui surplombait cet endroit devait surement être celui d’Alexandrie. Je vis Amunet, habillé avec des vêtements de mendiants marchant vers un bateau. Elle monta discrètement à bord et ouvrit une porte qui donnait sur le bureau du capitaine. Elle referma la porte derrière elle et s’assit sur une chaise puis se mit à prier.
Dehors, dix hommes montèrent à bord et se placèrent en demi-cercle au tour de la porte.
L’un d’entre eux avança et tapa deux coups pour s’annoncer.

-Amunet, sortez de la ou on viendra vous cherchez, dit-il en essayant de rester calme.
-Vous voulez la bague ? demanda-t-elle depuis sa cachette.
-D’après vous ? Rendez-vous ou vous mourrez.

Elle ouvrit la porte d’un seul coup, une bombe à la main.

-Vous m’avez réellement cru assez idiote pour la garder, dit-elle avant de jeter l’objet explosif sur le pont.

Le bateau qui était en réalité remplie de poudre se transforma en une boule de feu qui s’éleva dans le ciel. Sans plus de cérémonie on me renvoya devant les maîtres de l’ordre. Cette fois, seul trois hommes étaient encore sur le devant de la scène, même si l’un se tenait un peu en retrait.

-Choisit ton prochain maître, dit Amunet depuis l’arrière du groupe.
-Vous, dis-je en montrant du doigt un homme aux yeux légèrement bridés.
-Tu es maintenant l’élève de Wei Yu, l’assassin chinois.

teubreuks teubreuks
MP
Niveau 3
06 avril 2012 à 21:47:28

:ouch2: Moi j'ai fais la même longueur que ton premier message pour deux missions et une anecdote (toujours en attente d'être corriger). Est-ce que je peut être corriger part quelqu'un d'autre que mon correcteur je ne veut pas arriver et gonfler tout le monde mais je commence à perdre patience. https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-531-260-0-1-0-jeu-l-ere-des-assassins.htm

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
06 avril 2012 à 22:21:47

2 points 800 d'or :pf:
Il y a des moments que je trouve un peu style "storyboard" .
C'est pas mon truc mais ça peut plaire à d'autre :pf:

Heureux ? :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
06 avril 2012 à 22:25:35
  • Balance deux dés*

Ludo : 900 piéces d'or :pf:

  • lance un dé*

et un point de compétence :pf:

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 10:27:46

Les traîtres (partie 2) :

France, Paris…

Lucien ferma la porte de sa chambre. Il se dirigea vers le mur du fond, dépassant une série de tableaux représentant les membres de sa famille, et appuya sur une planche de bois plus foncée que les autres.
Le mur s’ouvrit en deux, révélant une armoire.
Une épée était suspendue au mur, tout comme une lame secrète et une tunique d’Assassin et un revolver doré rattaché à la manche de la tunique par une chaîne.
Lucien prit la lame secrète lentement et la mit à son avant-bras droit. Il vérifia qu’elle sortait bien et enfila sa tunique. Il cacha son petit revolver dans sa manche gauche et prit son épée à deux mains.
Il la rengaina à sa ceinture et se regarda dans un miroir.
D’un geste vif, il mit sa capuche blanche et sourit.
-Lucien Malroy repart en mission. Oh yeah.

Le mentor de France regarda les neuf Assassins qui étaient alignés devant lui. Les plus doués de la Confrérie Française.
Trois femmes et six hommes. Il avait placé le commandement des opérations à Lucien.
-Même si je viens, avait-il déclaré, je ne suis là qu’en spectateur.
Ils étaient prêts. Tous au garde-à-vous, avec un air fier sur le visage quand le mentor passait devant eux, regardait leur lame secrète et rabattait leurs capuches sur leurs têtes, un par un.
Lucien apparu dans un couloir et alla se placer à l’extrémité du rang, la main sur sa ceinture.
-Alors ? Je suis comment ?
-C’est tellement rare de te voir avec ta tenue d’Assassin, lâcha le mentor, que j’ai toujours une impression étrange en te voyant.
Lucien fit la grimace.
-Ah, je trouve aussi. J’ai l’impression que cette tenue ne mets pas assez mon corps d’athlète en valeur. La Confrérie devrait en changer.
Une jeune Assassin pouffa, à côté. Le mentor garda son sérieux.
Lucien cessa de sourire et fit un geste.
-Allons-y. En avant, marche.
Les dix Assassins se mirent en marche, se dirigeant lentement vers la sortie.
Dehors, un bateau les attendait pour partir vers l’Angleterre.

Angleterre, Londres…

Elizabeth et Shan allèrent s’installer dans un hôtel en centre-ville. Shan ordonna à son apprentie de ne pas en sortir s’il ne lui en donnait pas l’autorisation.
Pendant plus d’une semaine, il parcouru la cité, interrogea des dizaines de personnes et mena son enquête pour découvrir l’endroit où se cachait l’As de Pique et le Grand Maître.
Ses recherches restaient vaines.
Mais un jour, alors qu’il fouillait un appartement suspect qui aurait accueillis certains traîtres, la porte s’ouvrit à la volée.

Dans une ville côtière, au Sud de Londres, un navire appareilla. Il portait le drapeau Français et dix Assassins à son bord, ainsi que le mentor de France et un équipage de marin.
Lucien, accoudé au bastingage, vérifia sa lame secrète et sourit.
-C’est parti.

Shan se tourna vers les quatre personnes qui venaient d’entrer. Il ne montra aucune surprise. Il s’y attendait.
Le Grand Maître Britannique se tenait là, dans une tenue blanche. Trois traîtres l’escortaient.
-Bonjour Shan.
-Bonjour.
La femme sourit.
-Tu t’en doutais ?
-Oui.
-Toujours aussi perspicace. J’aurais tant voulu que tu rejoignes nos rangs.
-Pourquoi avoir tué les autres ?
-Ils ont refusés de nous suivre.
-Espèce d’enfoirée… Pourquoi tout ça ? Aurais-tu oubliée nos valeurs ?
-Non, mais je n’ai pas non plus oubliée mes intérêts. Et mes intérêts se trouvaient ailleurs.
-Et tu viens me tuer ?
-Exactement. J’ai un principe : Je ne laisse jamais des éléments dangereux derrière moi.
-Et pourquoi ne pas avoir envoyé l’As de Pique pour faire le travail ? Comme il a tué les membres de la Confrérie ?
Le Grand Maître eut une expression surprise.
-L’As de Pique ? L’exécuteur des Templiers ? Nous n’avons jamais eu affaire avec lui.
-Quoi ? Mais alors les hommes masqués au Q.G…
Une des fenêtres explosa alors, coupant la parole de Shan. Un homme entièrement vêtu de noir apparu au milieu d’un nuage de débris de verre.
Sa cape écarlate volait dans son dos. Sa sombre capuche était rabattue sur sa tête.
Il se redressa lentement, sous les regards stupéfaits des personnes présentes.
L’As de Pique lâcha un ricanement.
-Eh bien, on ne m’invite pas à la fête ?
Aussitôt, les trois traîtres escortant le Grand Maître dégainèrent leurs épées et se placèrent entre la femme et l’As de Pique. Ce dernier ne bougea pas d’un millimètre.
-Qu’est-ce que tu viens faire ici ? lâcha le Grand Maître d’une voix dure.
-Vous tuer.
Shan resta immobile et silencieux. Il comprenait tout maintenant. Comment avait-il pu être aussi bête ?!
« William Jefferson et Lirand qui étaient des traîtres ont été tués par l’As de Pique en Amérique ! Il ne pouvait pas travailler le Grand Maître qui était aussi une traîtresse. Les Assassins renégats aux ordres du Grand Maître ont assassinés tous les Assassins fidèles à la Confrérie et sont partis. L’As de Pique est arrivé après avec l’intention de tuer le Grand Maître mais elle n’était déjà plus là. Il a laissé ses hommes au Q.G au cas où les traîtres reviendraient et il a poursuivi son enquête de son côté pour les retrouver ! »
Le Grand Maître tira un pistolet de sa ceinture et le pointa vers l’As de Pique.
-Nous tuer… On va voir si tu en es capable.
-Je suis venu vous tuer, c’est vrai, car j’obéis aux ordres des Templiers. Mais mon véritable objectif est tout autre.
Il tourna la tête vers Shan.
-Je suis venu te tuer toi, Shan Magerlan.

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 10:28:55

Les traîtres (partie 3) :

-Te tuer toi, Shan Magerlan.
Shan fronça les sourcils.
-Quoi ?
Le Grand Maître eut aussi une expression surprise.
-Que dis-tu ?
L’As de Pique sourit méchamment.
-Ah, c’est vrai que tu l’ignores. En vérité c’est une histoire qui remonte à plusieurs millénaires. Dans le monde, je pense que seule une poignée de personnes la connaisse.
Shan était de plus en plus troublé.
-Arcus Magerlan, ton ancêtre…
Shan tressaillit. Comment le connaissais-t-il ?
-…C’est mon propre ancêtre qui l’a assassiné. Et qui a arraché la pomme d’Eden de son cadavre. Mon ancêtre et le tien étaient de grands ennemis. Déjà, ils avaient des visions très opposées du monde. Ils se sont battus des dizaines de fois et leur affrontement final à eu lieu au sommet du Colisée.
L’As de Pique fit un pas.
-C’est là qu’a commencée la rivalité entre nos deux familles. Mes ancêtres ont voyagés à travers le monde, ont découvert des contrées inconnues, survécu à des dangers terribles, avec le seul objectif d’arracher les fameuses « graines de la liberté » d’Arcus.
Shan ne répondit rien. Il avait posé la main sur le manche de sa faux.
-Depuis ce jour, nos deux familles n’ont cessées de s’affronter. A chaque époque, un As de Pique et un Magerlan naissait, destinés à se traquer et à se battre toute leur vie.
L’As de Pique avança de nouveau.
-C’est inscrit dans nos gênes. Les Magerlan protègent les fragments d’Eden et les As de Pique les leurs dérobent. Je vais t’apprendre autre chose : Tous les plus grands Magerlan, Gallius, Marco, Anastasia… Ils ont été tués par un As de Pique.
L’exécuteur des Templiers dégaina lentement son épée.
-Les Magerlan ont toujours réussis à avoir un enfant avant de mourir sous la lame d’un As de Pique. Cette lignée a donc perdurée. Aujourd’hui, je vais porter un terme à cette guerre. Je sais que tu n’as aucune descendance, aussi je m’apprête ici à te tuer. A tuer la toute dernière graine d’Arcus.
Shan tira sa faux de sa ceinture.
-Et ainsi la volonté de mes ancêtres aura été respectée.
Les deux hommes fléchirent les genoux et tendirent leurs lames. Le Grand Maître posa son doigt sur la gâchette de son pistolet.
Et là…
Les deux portes de l’appartement explosèrent littéralement.
D’un côté, dix Assassins portant les couleurs de la France, menés par Lucien et suivis par leur mentor, pénétrèrent dans la pièce, armes au clair.
De l’autre côté, le mentor Américain apparut dans la pièce, entouré de sept de ses meilleurs Assassins, une bague lumineuse au doigt.
Le Grand Maître écarquilla les yeux. Shan et l’As de Pique se stoppèrent, stupéfaits. Les deux camps d’Assassins étaient tout aussi surpris.
Lucien tourna la tête dans tous les sens. Son regard passa du mentor de France au mentor Américain, et du mentor Américain à Shan qui lui rendit le même regard.
Le mentor de France haussa un sourcil.
-Le Grand Maître Américain… Quelle surprise. Que faites-vous ici ?
-Je pourrais vous poser la même question.
Ils s’exprimèrent en même temps :
-Je viens arrêter les traîtres, fit le mentor de France.
-Je viens mettre un terme aux agissements de l’As de Pique, dit le mentor Américain.
Ils se fixèrent.
Le Grand Maître Britannique semblait totalement perdue.
Elle pointait une seconde son pistolet vers le mentor Français, une autre seconde vers l’As de Pique, une autre vers le mentor Américain… L’As de Pique fronçait les sourcils sous sa capuche, se demandant combien il y avait de chance sur un million pour qu’une telle scène se produise.
Lucien grogna et fit un geste. Comme une lame secrète, son petit revolver doré jaillit de sa manche et alla se placer dans sa main.
Il mit le Grand Maître en joue.
-Que quelqu’un m’explique ce qu’il se passe ! fit-il. Je ne comprends rien !
-L’heure n’est pas aux discutions, lança le mentor Américain d’une voix froide. Ca fait pas mal de temps que je te traque, l’As de Pique. Je savais que tu tenterais de tuer Shan. Je connais l’histoire de ta famille. C’est pour ça que je t’ai suivit jusqu’ici.
L’As de Pique ricana.
-C’est parce que j’ai tué votre frère que vous êtes dans cet état ? Allons, c’était il y a huit ans. Seriez-vous rancunier ?
-Plus que tu ne le crois, répondit le mentor, les dents serrées.
De son côté, Lucien fixait le Grand Maître Britannique.
-Nous savions depuis longtemps que tu étais une traîtresse. Nous attendions que tu tente d’éliminer Shan pour te coincer. C’est ici que ton chemin s’arrête.
Le Grand Maître hurla.
-Vous ne m’aurez pas vivante !
-Ce n’était pas notre intention, répondit Lucien en plissant les yeux.
Deux coups de feu retentirent. Le Grand Maître s’écroula en même temps qu’un des Assassins Français. Le canon du revolver de Lucien était encore fumant.
Les trois membres de son escorte connurent le même sort.
Finalement, l’As de Pique rengaina son épée et applaudit.
-Bravo ! fit-il. Quel spectacle !
Il jeta un œil derrière lui.
-Nous devrons remettre notre combat à plus tard, Shan Magerlan, lâcha-t-il. Je crains de devoir vous laisser mes amis les Assassins.
-Pas cette fois, s’exclama le mentor Américain.
L’As de Pique remarqua sa bague.
-Que… Un fragment d’Eden ?
-Le onzième, la bague, fit le mentor. Je ne te laisserais pas t’enfuir comme la dernière fois.
L’As de Pique sourit.
-La bague… Celui qui la porte détient le pouvoir du Feu Primaire. Le pouvoir de l’incandescence.
Son air se fit sévère.
-Mais tu crois être le seul à posséder un fragment, vieillard ?
Les bottes de l’As de Pique se mirent à briller de mille feux, inondant la pièce de lumière.
-Non… fit le vieillard.
-Dans certaines légendes, on les appelle les Bottes de Sept Lieues, informa l’As. Moi je les appelle : le vingtième artefact, les Bottes.
Un rayon incandescent jaillit de la bague du mentor et fusa vers l’As de Pique comme une lance de flammes.
L’exécuteur des Templiers disparut et le rayon alla frapper une table, l’enflammant instantanément.
L’As de Pique, telle une tornade, habité par le pouvoir des Bottes, traversa la pièce en une seconde, laissant une traînée lumineuse derrière lui.
Il percuta les Assassins Américains, les projetant au sol avec une force surnaturelle et passa la porte, arrachant des morceaux de mur au passage, et bondit. Il s’éleva à vingt mètres de haut et disparut sur un toit.
-Rattrapons-le ! hurla un Assassin en se redressant.
-Inutile, fit le mentor de France. Poursuivre un homme portant ces Bottes est impossible.
Le mentor n’écoutait plus.
-Je pensais qu’avec cette bague je pourrais… l’arrêter.
Lucien s’approcha du cadavre du Grand Maître.
-Eh bien, voici une affaire de réglée.

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 11:01:41

Que pensez-vous des deux derniers chapitres ?

Ludovico_Orsi Ludovico_Orsi
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 12:06:49

Flemme de lire. Bon j'enregistre la première paye Lens. :hap:

Par contre je connais pas story board donc si tu pouvais éclairer ma lanterne :question:

Ludovico_Orsi Ludovico_Orsi
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 12:18:04

Nom: Lazaro
Prénom: Ludovico
Age: 22 ans (né en 1760)
Pays de l'assassin (donc sa langue): Espagne, Barcelone mais parle aussi le Français et l'Anglais.
Sexe: H
Description physique puis moral: Ludovico a les yeux verts émeraude et les cheveux noirs comme l'ébène. Légèrement musclé avec la peau halée. Il a la tenue classique des assassins mais en couleur noir pour être plus discret la nuit. Il est un fidèle compagnon de route mais pas un meneur. Il préfère la discrétion car le combat directe n'est pas sa spécialité.
Histoire de l'assassin: Ludovico est née dans la classe aisée du peuple. Son père était ambassadeur et sa mère artiste. Malheureusement. Ils furent emportés par la maladie et le jeune Lazaro se retrouva sans rien avec son grand frère. Grâce à leur agilité ils furent vite recrutés par la guilde des voleurs où ils apprirent les bases de l'escalade et du combat. L'entrainement fut manifestement insuffisant car à leur quatrième mission il furent capturés et enfermés pendant deux ans. Ils finirent par s'échappaient mais une autre surprise les attendaient. La guilde des voleurs avait était démantelait. Fauchés pour la seconde fois Les frères Lazaro se mirent à boire et à se battre dans des bars. Un jour après une victoire sur dix hommes ils croisèrent le chemin de celui qu'on nomme la Serpiente. Ce derniers les assomma très vite et les porta à la guilde des assassins où ils furent recrutés et entrainé. Valentino, le frère de Ludovico, partit pour Madrid et ce dernier resta à Barcelone. Une ville où un ancêtre à lui, Luis Lazaro, avait était chef de cellule. Ludovico était donc décidé à récupéré la place de son aïeul.

Force : 11/15
Resistance : 5/5
Déviation : 10/10
Vitesse : 10/10
Escalade : 10/10
Discrétion : 10/10
Bomboman: 10,5/15 (crée ses propres bombes avec d'étranges ingrédients)

Franc: 6000

supercarlu62 supercarlu62
MP
Niveau 4
07 avril 2012 à 12:23:24

partie 1: https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-531-271-0-1-0-jeu-l-ere-des-assassins.htm#message_140953

Séquence 3:
Mémoire 4: Antonio Valez, un assassin (partie 2)

Nous Entâmes alors dans Bordeaux, La ville était magnifique . Les habitations était tous plus belle les unes que les autres . Elle était traversé par la Garonne qui permettait donc a la ville de bâtir immédiatement un port sur ce fleuve . La ville était extrêmement connu pour son succulent vin . Cette ville était l'une des plus riches de toutes la France. Nous cherchons la maison de Antonio Valez, mon oncle . Après une demi-heure de recherche, nous arrivons devant la porte de la maison d'Antonio . Sa maison possédés de magnifiques murs blancs . La porte était surement fait en hêtre, la porte était sublime . Il y avait de la verdures sur les cotés de la maisons , il y avait aussi deux chemins qui se située de par et d'autre de la maison qui menait derrière sa maison où se trouvé une belle et grande terrasse .
Nous frappons alors a cette porte .

-Bonjour ... Achille ???
-Bonjour Antonio .
-Que fait tu là ?
-Je t'expliquerai après .
Moi, Sophia, Alejandro et Louis Rousseau entrons dans la demeure de mon oncle .
Nous nous asseyons dans les fauteuils après y avoir été invités .
-Alors Achille explique et après Sophia tu m'expliquera .
-Voila après t'avoir rendu visite en France je suis retournée en Espagne dans ma demeure de Séville . Je suis rentrais dans ma maison et là a ma grande surprise mes parents étaient au sol .
-J'ai appris cette terrible nouvelle .
-Ils étaient au sol sans aucune marque de sang ou d'étranglement .
-Comment son t-il mort alors ?
-J'aimerai bien le savoir . Après je suis allez Chez el señor Velázquez . Il m'as magnifiquement invités dans sa demeure .
Nous sommes allez a Séville ou nous avons réglés a deux avec l'aide des autres assassin de Séville , l'affaire des meurtres de Séville . C'était en réalité un templier musulmans qui était a l'origine de tout cela .
-Oui mais pourquoi est tu parti de l'Espagne ??
-Je voulais en savoir plus sur mon père qui était un assassin, et tu aurais pus m'en dire plus sur lui . Tu es son frère .
-Oui mais je peut rien te dire .
-Velázquez m'as dit que mon père cherchez un objet mais il ne savait pas quoi . Il m'as dit qu'il y avait plusieurs clé caché et que mon père les voulaient pour pouvoir trouvé l'objet en question . Il m'as donné l'une de ces clés, mon père en avaient trouvé une . Je veux terminé la quête de mon père .
-Bien je ne sais rien du tout mais je crois avoir entendu un coup ton père parlez de ces clés .

Ma soeur Sophia commence a racontés son histoire .
-Moi après que Achille est parti je suis restés 1 semaine de plus chez Antonio . J'ai était a Bilbao où j'ai rencontrés Alejandro qui m'as formés pour être assassin. Puis je suis partis en Espagne a Almeria ou je cherchez l'ami d'enfance de mon père . je l’est cherché pendant longtemps mais je n'est jamais rien eu jusqu’à ce que les pirates me prennent en otages et que Achille viennent me sauvé et que je ne l'avait même pas reconnu. Je suis alors repartis pour Bilbao voir Alejandro . Ensuite j'ai retrouvé mon frère et Alejandro a Bilbao puis nous sommes arrivés en France où nous avons rencontrés Rousseau .
-Bien suivez moi .

Nous suivons Antonio dans l'un des couloirs de sa maison . Puis nous somme rentrés dans une pièce . Antonio a appuyés sur une pierre et le sol c'est ouvert et faisait place a un escalier . J'étais tout abasourdis . Nous avons pris l'escalier et sommes arrivé dans un tunnel que nous avons suivis jusqu'à arrivés aux QG des assassins .
Une nouvelle étapes commence alors pour moi, Achille Valez .

Voila et fin de la Séquence, oui petite séquence je sais mais la prochaine seras plus grandes . :pf:

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 12:33:03

"Flemme de lire."

Oui, ces pavés peuvent décourager mais bon, je trouve que j'ai bien réussi ce passage :pf:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 12:37:53

Encore plein de truc à lire :pf:

[linkc] [linkc]
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 14:00:25

Ludovico :d) Storyboard est le nom d'une bande dessiné faite pour les films avant de filmé. Les realisateurs s'en serve pour dessiné les scenes avant de les faire en vrai. :oui:
Apres j'ai pas lu le texte donc sa a peut-etre un autre sens. :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 14:05:56

link : ouais c'est ça :pf:

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 14:08:25

Flamme : tu me diras ce que t'en penses :pf:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 15:22:58

bilbo : tu m'as piqué mon idée de familles rivales :pf:

Bilbo1997__ Bilbo1997__
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 15:38:26

Ah bon ? T'as mis ça dans ton histoire ? ( pour l'instant j'ai lu que tes 20 premiers textes )

[Katniss] [Katniss]
MP
Niveau 3
07 avril 2012 à 16:47:12

Bonjours tout le monde !!! :-)
j'ai presque fini ma mission ludovico ;-) Et tu vas avoir tu travail :noel:

[Laflamme] [Laflamme]
MP
Niveau 10
07 avril 2012 à 16:54:45

Bilbo :d) 4000 pièces d'or et 7 points (rien que pour emmerder Ludo :noel: )
Vraiment très bien même si faire réunir tout le monde dans une seule et même pièce sans combat, j'ai été légérement déçu sur ce coup. Je t'ai aussi conseillé de mettre une musique qui rendrait le tout plus agréable à lire.

Super :d) 1000 pièces d'or et 2.5 points
Bah il est arrivé à Bordeaux :pf:

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