Tu viens me reconforter
merci mais non merci
Ludo : tu as un petit chapitre à corriger aujourd'hui aussi
J'ai lu 300 ducat très court. J'espère que tu vas rester sur Dimitri c'est mon préféré.
Je sais pas
ça m'amuserai bien de t'embêter avec un quatrième assassin
Non stp remplace Vincent mais pas Dimitri.
Rien ne dit qu'ils ne pourront pas coexister
+ bien l'unfiorme des assassins russes mode paint
http://s4.noelshack.com/upload/3233779659693_green_dimitri.jpg
De toutes façon j'avais déjà prévu de remplacer Vincent
Voili Voilou en esperant que ça vous plaira. Aufaite chronologiquement cette anecdote est à placé après ma mission maître pas encore faites.
Anecdote 2
De vieilles connaissances
Paris, France
Janvier 1801
Cela faisait 10 minutes que j’attendais de pouvoir rencontrer le Premier consul. J’attendais sur une chaise devant la porte de la salle de réunion du palais. Les deux consuls, Cabacérès et Lebrun finirent par sortirent. Ils semblaient en très grande discussion.
-Je te répète qu’il est temps de proposer une alliance à certain pays d’Europe. Nous les avons tous vaincu et maintenant ils ont peur de nous c’est le moment parfait pour… Monsieur le Sénéchal, que nous vaut se plaisir ? demanda Lebrun avec sourire forcé.
-Je viens voir le Premier Consul, répondis-je en lui rendant son sourire.
-Il est tout à vous. Voudriez vous discutez après ça d’un traité de paix avec l’Espagne ? demanda Cabacérès avec un peu plus de sérieux.
-Peut être au tour d’un petit vers de vin pourquoi pas ? répondis-je en riant.
-Je ne bois pas tellement, dit Lebrun.
-Alors que faites vous de l’excellente bouteille de Bordeaux qui attend dans le tiroir droit de votre table de nuit ?
-Il faut absolument que vous me donniez le nom de votre espion dans ce palais, répondis Lebrun l’air assez crispé.
-Et du votre dans la mien, répondis-je avant de me diriger vers le bureau du Premier Consul.
Napoléon Ier était assit sur un grand trône au bout d’une grande table en bois massif. Deux autres chaises prenaient place de part et d’autre de Napoléon. Les gardes refermèrent la porte derrière moi juste avant que le consul ne m’adresse la parole.
-Le Sénéchal. Cela faisait longtemps, dit le Premier Consul d’un ton neutre.
-Trop longtemps votre grâce, répondis-je en m’agenouillant à deux mètres du trône.
-Garde, laissez nous, dit Napoléon sans me lâchais du regard.
Les gardes sortirent sans un mot et refermèrent toutes les portes. Je me relevais et Napoléon leva les bras au ciel.
-Ludovico ! Mon ami ! Tu aurais dus me prévenir de ta visite j’aurai fait porter une bouteille de vin, dis le Premier Consul.
-Prendre Lebrun au dépourvu me fait toujours sourire.
-Je ferais bien tuer cet incapable. Il n’est jamais d’accord avec Cabacérès et fait trainer nos débats.
-Peut être pourrais-je t’aider. J’ai du temps devant moi, répondis-je en prenant une chaise.
-Notre premier problème est l’avenir. Il faut des gens comme nous qui reprendront après ma mort les rênes du Royaume que je suis entrain de bâtir. Malheureusement la culture générale fait grandement défaut dans ce pays. Une solution ? demanda Napoléon avec un air de défit.
-La culture générale découle de l’éducation. Malheureusement les meilleurs métiers demandent de la spécialisation, les avocats doivent se concentrer sur le droit, les docteurs sur la médecine … Ce sont les gens les plus cultiver de notre civilisation mais si on les faits sortir de leurs métiers ils sont complètements perdus. Il faudrait pousser les études générales plus loin. Peut être créé un niveau supérieur au collège, proposais-je.
-Une idée intéressante. Nous avons aussi des problèmes de justice. J’ai eu vent d’un problème entre un Vendéen et un Breton. L’acte était légal chez l’un et illégal chez l’autre. Les lois varient beaucoup trop d’un état à l’autre. Lebrun propose de se servir de la loi de l’endroit où l’acte est commis, m’expliqua Bonaparte d’un profond ennui.
-Non ce n’est pas assez, dis-je ravi de pouvoir éjecter une théorie de Lebrun. Il faut faire bien plus. Imagine que le problème est lieu à la frontière. Chacun vas dire ce qui l’arrange . Il faut frapper un grand coup. Nous devons uniformiser la loi pour chaque état. Créer un texte valable pour tous.
-Une idée risquée mais qui pourrais marcher. Quoi d’autre ? A oui Nous avons aussi des problèmes d'économie. La monnaie varie trop d’une province à l’autre et les marchands étrangers hésitent à venir chez nous.
-Tout d’abord il faut unifier la République sous une seule monnaie, ça me semble une évidence. Après pour avoir la confiance des marchands étrangers il faut appuyer la monnaie sur du solide.
-On pourrait le mettre en relation avec les caisses de la République ? proposa Napoléon à tout hasard.
-Oui pourquoi pas enfin ça pourrait relancer votre économie. Enfin je suis ravi d’être ton conseiller favori mais je venais surtout voir de vieilles connaissances, dis-je avant de devoir résoudre un autre problème.
-Je peux t’aider ? demanda l’homme le plus puissant de France.
-Avec plaisir. Je voudrais voir le maître de Fett mais Cédric ma dit qu’il n’était pas au repaire. Une idée sur sa position ?
-Evidemment. Il passe tout son temps dans le clocher de Notre Dame. Il cherche des inscriptions qui auraient été faites par un de ses ancêtres. Tu le trouveras la bas. Quelqu’un d’autre ?
-Non c’est tout. J’espère t’avoir aidé.
-Comme toujours mon ami.
-Votre honneur, dis-je en me retirant.
Je rabattis ma capuche et pris la direction de Notre Dame. La porte était entre ouverte. J’entrais sans frapper et montais les marches jusqu’au clocher. J’ouvris la trappe pour entrer et après mettre hisser entièrement je sentis une lame contre mon cou.
-Ne t’ai-je donc pas appris à ne jamais baisser ta garde ? demanda le maître Jérôme de Fett.
-Je vous retourne le compliment, dis-je en appuyant avec le pistolet contre le ventre de mon mentor.
-Tu m’as manqué Ludovico, dit le maître en me relâchant.
-Vous aussi. Je vois que votre armure et vos armes sont neuves, m’exclamais-je.
-Tu ne pourrais pas être plus loin de la vérité. L’armure et les armes ont prêt de 200 ans. Elles ont appartenus à mon ancêtre Joachim de Fett. Je les aie trouvés en explorant les souterrains.
-D’accord. Votre lettre mentionné un document me concernant ? demandais-je en observant les quelques gravures que le maître avait mit au jour en grattant les murs.
-Oui. Comme tu le sais ton ancêtre à travaillé pour le mien. Apparemment ton ancêtre a remis un document au mien. Tien je l’ai trouvé dans un coffre sous Notre Dame.
Je pris le parchemin et l’ouvris rapidement. Le papier était jaunit par le temps mais l’écriture était parfaitement lisible.
« Depuis la mort du grand maître Ezio Auditore, c’est Philippe Leroy qui a repris les rênes de la confréries. Un homme dur et froid que je n’aime pas beaucoup. Malheureusement c’est réciproque donc le nombre d’effectif accordé à Barcelone diminue de jour en jour. Je ne dispose plus que d’une centaine d’homme. Je sais que les Templier ne tarderont pas à venir nous conquérir. Je défendrais la Bella jusqu’au bout mais je sais que c’est perdu d’avance. Pour vous qui lisez ce texte. J’espère que vous portez toujours le nom des Lazaro et que en lisant ceci vous comprendrez que Barcelone, c’est notre histoire, c’est notre vie. Si les Templier sont toujours là bas, éradiqué les. Si votre sang n’est pas le mien sachez que si vous arrivez quand même à reprendre Barcelone vous y gagnerez une fortune inestimable que j’ai cachée entre ses murs. Qui que vous soyez quand vous refermerez ce parchemin je suis sûr que vous prendrez la direction de Barcelone pour la libérer. Je ne peux plus vous aidez.
J’ai donné mon sang,
J’ai donné ma vie,
J’ai donné mon temps,
J’ai vécu pour la confrérie.
Luis Lazaro, le dernier maître assassin de Barcelone. »
La lettre était cachetée du sceau des Lazaro. Je rangeais délicatement le parchemin à ma ceinture.
-Je tenais à te le rendre. Je pense que mon ancêtre a récupéré ce papier après l’attaque des Templier.
-Un bien beau texte. Je l’entreposerai dans mon bureau. Il y aura donc une fortune dans ma forteresse. Je la ferai fouiller à mon retour.
-Ravi d’avoir pus t’aider Ludovico. Je viendrais surement à Barcelone dans quelques temps, dis le maître avant de retourner à ses gravures.
Je redescendis Notre Dame et pris le coche qui m’attendait en bas. Puis je repris la direction de Barcelone.
DESYNCHRONISATION
-Hey laissé moi me lever, hurlais-je au deux gardes qui me tenait les bras.
-Malheureusement c’était la dernière mémoire intéressante de votre patrimoine génétique, monsieur Martinez, dit Vidic en me lançant un regard noir. Débarrassé vous de lui puis nettoyé la salle. Je la veux impeccable à mon retour, lança le docteur avant de quitter le laboratoire.
-Très bien messieurs je commence par le quel, dis-je avant d’envoyer un coup de pied dans la mâchoire des deux gardes.
Ils me lâchèrent en même temps et portèrent une main à leurs visages. Sans attendre je pris la matraque à la ceinture du garde à ma droite et me mis en position de défense. Sans attendre le garde de gauche, à savoir un colosse black d’un mètre 80, se rua sur moi matraque en premier.
-Un débutant, soufflais-je en barrant son attaque puis en lui mettant un énorme coup de matraque dans la tête.
Le garde tomba à la renverse en hurlant, le nez en sang. Son collègue ramassa son arme et resta en position de défense et recula pas à pas vers l’alarme.
-N’y pense même pas, lançais-je en envoyant voler l’arme du vigile d’un coup de pied avant de l’assommer d’un coup de matraque sur la tempe.
Je pris rapidement les clés sur la poche du garde pour ouvrir la porte puis je m’aventuré dans les couloirs d’Abstergo. Tous les couloirs se ressemblaient et je finis par arriver dans une impasse avec une seule porte au bout. J’essayais avec le passe des gardes et la porte s’ouvrit. La pièce était relativement grande et plutôt sobre. Un bureau en bois était le seul meuble de la pièce, sur le bureau se trouvait un ordinateur dernier cri, quelques dossiers étiquetés et une plaque en or avec écrit dessus « Warren Vidic ».
-Ben on va faire un tour, m’exclamais-je tout joyeux d’emmerder Warren.
Je fis rapidement le tour. Chaque tiroir était fermé mais les serrures ne posaient pas de trop gros problèmes.
-Tien des dossiers, intéressant, Daniel Cross, Raven Lenski, Desmond Miles. Ha mon propre dossier ça j’emporte en souvenir.
Je pris un attaché-case pour ranger le dossier. Au moment où j’allais regarder l’ordinateur, un léger bip se fit entendre. La poigné tourna et le docteur Vidic entra dans son bureau.
-Que fais-tu là ? hurla-t-il en reculant d’un pas.
-Je vous passe le bonjour des assassins, dis-je avec un large sourire.
Je sautai par-dessus le bureau puis pris mon élan pour m’élancer contre la baie-vitrée. Comme on était au 4ème étage inutile de dire que si je n’atteignais pas le toit du bâtiment d’à côté je m’écraserais lamentablement sur le trottoir 20 mètres plus bas. Je me réceptionnais en roulade sur ce bâtiment sans la moindre blessure. Je jetais un dernier coup d’œil au QG des Templier et je vis le docteur Warren Vidic qui me regardait par le trou béant que j’avais fait dans sa baie vitrée. Je courus ensuite sur les toits de la ville sans m’arrêter. Sans jamais m’arrêter.
Bah tu aurais du poster ta mission maître avant
Sinon bah c'est aussi bien que d'hab
2 points 800 francs
Salut
Bien ton texte ludo, sauf une faute d'inattention : vers/verre
sinon un bon texte, mais d'accord avec lens, ta mission maître passe avant
Jerry de ceux qui mentent dans leurs descriptions.
Bon , j'ai chapitré tout ce que j'avais écris .
La table des matières donne ça
Table des matières
Les assassins de la fleur de lys 3
L'héritage des Lenski 24
L'ambassadeur 34 ( sous chapitre)
Survie 39 (sous chapitre)
Montée en grade 43 (sous chapitre)
Survie 2 51 (sous chapitre)
Choisir son camp 53
La politique 69
La révolution 96
L'empire 100
( les numéros étant les numéros des pages et les deux derniers chapitres étant à peine commencés )
Complexe comme jeu.
Mission 3:Maintenant que vous avez retrouvé d’autre assassin dans une taverne au centre de ville; les templiers on encerclé l’endroit avec de nombreux soldats vous traquer. Echappez-vous.
Route Paris-Strasbourg, Juin 1782
J’étais sur mon cheval et je me dirigeais vers un repaire d’assassin qui se camouflé en taverne. Après 30 minutes de cheval, j’arrivais à Strasbourg. J’admirais ce bâtiment de style allemand. Je passa devant la maison Kammerzel, ce bâtiment qui date d’il y a 300 ans. Je fis le tour de la ville pour arriver a cette fameuse taverne. J’ouvris la porte puis m’assis à une table où se trouvait deux assassins.
« Tu es un assassin? Dit l’un d’eux.
-Euh…Oui.
-Bienvenue au club vieux! »
Le tavernier s’approcha de la table:
« Alors le capuchon, il veut quelque chose a boire?
-Un verre de lait!
-Ok!
-Alors, qu’est-ce qui t’amène ici? Repris l’assassin.
-A la guilde des assassins de Paris, on m’a parlé de vous. Le curiosité ma fait venir vous voir. »
Tout à coup, on n’entendit un gros boum.
« Qu’est-ce que c’étais!?Dit le tavernier. »
Je regarda la fenêtre et vit un templier qui pointait son fusil sur celle-ci.
Je m’allongea et cria « Allongez-vous !! »
Une vingtaine de coup de feu retentirent et toutes les fenêtres partirent en morceau. Lorsque je me releva, une dizaine d’assassin étaient à terre!
Les assassins bloquèrent les portes avec des meubles. Les templiers avaient encerclé le bâtiment! Il fallait que je trouve un moyen de sortir.
Le tavernier cria: « Tous le monde dans la salle secrète!! »
Tous le monde partit en direction d’un escalier en colimaçon qui descendait dans les chambres de la taverne. Les murs commençaient à s’effondrer. Tout en bas, le tavernier toucha un interrupteur cacher dans un mur. Une porte s’ouvrit et fit place à un tunnel puis tous les assassins partirent dans cette direction.
« Où mène ce tunnel? Dis-je
-Dans un champs, au sud de la ville, me répondit un assassin. »
Après 5 minutes de course, nous arrivâmes au bout du tunnel.
Mais à notre grande surprise, les templiers nous attendaient.
Comment connaissait t-il le passage?
Un combat s’engagea alors. Les assassins de Strasbourg était doué!
Trois templiers arrivèrent sur moi. L’un essaya de me mettre un coup de hache, mais je m’abaissa et lui enfonça ma lame dans son ventre. Les deux autres me foncèrent dessus. Je sortis deux couteaux et les envoyèrent sur leurs ventres. Je tourna la tête et me pris soudainement une balle dans l’épaule gauche. Je regarda devant moi et aperçu un soldat qui pointa son fusil vers moi. A peine eu t-il le temps de tirer qu’un assassin l’assassina. Tous les templiers étaient morts! Soudain, une horde de templiers arriva depuis le tunnel. C’est impossible! Comment ont t-il réussi à trouver l’entrée secrète!
Je regardai les assassins. Ils pointaient tous des pistolets vers les gardes. Un d’eux envoya une bombe fumigène et tous les assassins se mirent a tirer. Comme je n’avais pas de pistolet, j’envoyais des couteaux. Dès qu’ils furent tous envoyaient, je fonça dans la fumée. Elle se dissipa et seul un templier avait survécu.
« Repose en paix! » lui dis-je avant de lui enfonçais ma lame dans sa gorge.
« Venez! Nous devons fuir! » Dis l’un des assassins.
Nous courûmes alors vers une écurie et partîmes vers le sud.
Trés bien à part quelques petites fautes d'accord
1 point 500 argent
et 1 point pour avoir voté pour moi lors du masteur forumeur
Merci
Nom:Maure
Prenom:Thomas
Age:19 ans
Nationalité:Yemen(parle Français,englais,espagnol,italien et arabe)
Sexe:Homme
Description phisique puis moral:Thomas mesure 1m79 sur 67 kilos.Il a les cheveux bruns frisé et porte un bandeau avec son prenom marqué dessus. Pas tres musclé mais tres intelligent.
Tenue:Tenue d'assassin du Yemen.
Histoire:Fils unique du famille d'explorateur au Yemen,il commença a s'attaqué au livres d'histoires et au cartes maritimes des l'age de 16 ans. Un jour,il mit la main sur un parchemin nommé 'liste des assassins de la famille Maure".
Et a sa grande surprise,il vit son nom toute en bas de ce parchemin. Il se mit alors a chercher des livres sur les "Assassins" et appris la guerre qu'ils faisaient contre les templiers. Un jour il trouva une carte indiquant des quartiers géneral et compris que c'était son destin de rejoindre les assassins. Il partit en direction de Paris pour rejoindre cette confrerie.
Force:2
Resistance:2
Déviation:1
Vitesse:1,5
Escalade:1
Discrétion:2
Ducats:1600
Moi aussi j'aurai un point après avoir fait ma mission pour avoir voté pour toi?
Ba ça.
Faut voir