Le bon temps

Avec ce psychopathe de Villager

Toi aussi tu trouve? ^^

"Vous l'avez attendu et espéré, le chapitre est enfin là ^^

On a reprit du poil de la bête avec Vik et sachez que d'autres suivront

Je préciserai juste que l'écriture se fit grandement en duo et va au delà d'une simple correction habituelle.

Bref bonne lecture:ange:"

C'est ce qu'a dit Faro en postant le chapitre sur le forum de Smash 4. Dans l'idée je suis assez d'accord, sauf que de mon point de vue elle a fait le plus gros du taff pour ce chapitre, et je voudrais l'en remercier et l'en féliciter publiquement.

Royal Smash
Chapitre 16 : Coup de tête

Après la surprise qu'ils avaient eue dans la forêt, Shulk et Sheik décidèrent de finalement se rabattre sur la plage. Le soleil était déjà haut quand ils arrivèrent, exténués et encore surpris de leur assaillant. Une série de disques avaient été lancés, le duo dut ramper sur de longs mètres avant que la sheikah ne se redresse pour tirer une flèche, permettant à son compagnon de s'enfuir.

Sheik n'avait pas cherché à s'éterniser et avait attiré son compagnon hors des bois, préférant cette étendue de sable. En tout cas, ils n'avaient pas été suivis, ce qui leur offrait quelques minutes de répit.

Shulk s'était laissé tomber dans le sable chaud peu après leur arrivée. Si son allié prenait presque du bon temps, la jeune femme était encore sur le qui-vive. Son regard scrutait le rivage à la recherche d'un éventuel adversaire. Elle n’avait pour allié que Shulk, et personne ne restait neutre, dans l’arène : ça faisait trop d’ennemis pour se reposer.

Alors qu'elle allait abandonner son examen, rassurée, un point à l’horizon attira son attention, une masse qui semblait se rapprocher dans leur direction.

-Debout, ordonna-t-elle à Shulk.

*DDDDDDDD**DDDDDDDD*

Megaman se laissa glisser dans les fourrés. Il s'y était réfugié depuis le début des combats et faisait mine de chercher des adversaires, sans vraiment attaquer. Au moins Sakarai semblait se satisfaire de ce vagabondage.

Même si l’Organisation avait fait en sorte de booster l’androïde, le poussant à attaquer dès que quelqu'un passerait à portée, Megaman avait trouvé comment pallier le problème et n'avait eu qu'à se tenir éloigné des autres. Il refusait obstinément la seule idée de tuer des inconnus. Sakarai ne s'était douté de rien, semblait-il. Il devait penser que sa nouvelle machine de guerre attendait son heure.

*DDDDDDDD**DDDDDDDD*

Le visage de Fox se déformait, ses joues se creusaient, son museau grossissait, ses yeux commençaient à sortir de leurs orbites... Son visage entier se déformait, se transformait pour donner une grotesque caricature du renard. Il serra le poing un peu plus.

La noix de coco explosa, répandant partout son écorce dure, sa pulpe blanchâtre et son jus. Les débris partirent rejoindre le tas de ruines, résidus de fruits brisés, à ses pieds. Il ne restait à côté de lui qu’une noix de coco, décorée d’un visage grossièrement taillé, aux oreilles pointues. Le meilleur pour la fin.

Ganondorf était confortablement installé sur la plage, à l'ombre d'un palmier. Quand le temps avait commencé à se faire long, il avait entrepris d'éclater un à un les crânes de ses adversaires. Faute de crânes, il s'était rabattu sur des noix de coco, qu’il avait soigneusement décorées, du bout de son épée, à l'effigie de ses ennemis.

Le tyran tendit la main, et saisit le visage de Link. Il fit tourner le fruit entre ses immenses mains avant de l'écraser dans un grognement d'effort et de satisfaction. Ah, s'il pouvait mettre la main sur ce blondinet en collant, il lui exploserait la boîte crânienne avec autant de facilité, et y prendrait plus encore de plaisir. L'idée de voir les yeux de son ennemi, expulsés de leurs orbites, et son cerveau se répandre ici et là était des plus réjouissantes. Si Zelda était morte, ce qui faisait une personne de moins entre lui et le pouvoir absolu sur Hyrule, Link était toujours en vie. Et il n’avait pas l’air de vouloir mourir. Il semblait de plus en plus évident qu’il n’allait pas se tuer tout seul. Ganondorf allait devoir l’y aider.

Il se releva avec un sourire mauvais aux lèvres. Quitte à être enfermé dans cette arène de merde, autant s’y amuser un peu, en faisant exploser son ennemi de toujours.

*DDDDDDDD**DDDDDDD*

La forme indistincte s’était rapprochée, et si ni son allié, ni elle n’avaient reconnu Dadidou, Sheik ne préféra pas attendre plus longtemps, et tira. La flèche fendit l’air, et se ficha dans le front de l’ennemi. Un tir parfait malgré la distance.

Le roi s'était effondré, comme un tas de chair morte. La combattante baissa son arme avec un sourire et un signe de tête approbateur, visiblement convaincue par son tir. Shulk n'avait même pas pris son arme, jugeant son amie parfaitement capable d’abattre cet ennemi sans son aide.

-Tu l'as eu ?

Elle haussa les épaules.

-Je pense, oui. Mais il n'y a qu'une façon d'être sûre.

La jeune femme lui fit signe de la suivre et Shulk obéit, sans cependant oublier de dégainer Monado. Dadidou était étalé en arrière, les bras en croix, la flèche, dépassant à la verticale de son bonnet, semblait un défi jeté au ciel. Shulk poussa un sifflement admiratif, se pencha sur le corps, le tâta du bout du pied et, visiblement convaincu, tourna les talons.

Il vit Sheik se précipiter à côté de lui, puis sentit un brusque déplacement d'air. L'épéiste se retourna alors, et la scène qu'il vit le laissa pétrifié.

La jeune combattante sur sa droite, le visage marqué par l’inquiétude, avait littéralement perdu la tête. Le maillet avait heurté le visage de la blonde avec tant de puissance que son crâne fut décrochée de son corps et s’envola dans un arc sanglant jusqu'à la mer pour y tomber dans un plouf bruyant.

Le corps de la sheikah resta quelques instant debout, son cou crachotant une fontaine rouge, avant de chuter en arrière. Shulk, le visage maculé du sang encore chaud de son amie, se tourna vers le roi.

Dadidou avait encore la main en visière, séduit par ce magnifique tir. Son regard se posa finalement sur l'épéiste et c'est un sourire malsain qui étira son bec. Oh, comment pouvait-il le tuer, celui-là ? Lui briser les os un à un ? lui fracasser le crâne ? l'enfoncer tel un clou dans le sable ? tant de perspectives réjouissantes !

Shulk voulait redresser Monado, pourtant, aucun de ses muscles ne lui obéissait. Il ne pouvait rien faire d’autre que de contempler le meurtrier de Sheik. " Qu'est ce qui m'arrive ? Putain ! " L'immobilité, dans un combat, signifiait la mort. Le choc était peut-être responsable de son immobilité totale. Il avait l’habitude de voir ses camarades mourir, mais à travers le filtre flou et bleuté des visions de Monado, sécurisantes par leur caractère informatif et volatil. Là, rien ne l’avait prévenu de la violence avec laquelle la sheikah allait lui être arrachée.

Quant à Dadidou, il arracha la flèche de son bonnet, qu’elle avait traversé sans effleurer sa tête, avant d’avancer vers sa victime, avec une lenteur calculée. Il leva son maillet, se délectant de la terreur qu’il pouvait lire dans le regard du garçon. Il abattit son arme avec violence, une arme qui ne frappa que le vide.

*DDDDDDDD**DDDDDDDD*

Meta knight était en train de longer la plage quand il avait vu Sheik se faire décapiter. Le chevalier était resté en retrait pour observer la scène, et avait immédiatement reconnu Dadidou.

Meta knight avait pesté, puis s'était élancé vers Shulk. Le jeune homme était en train de redresser son arme quand le chevalier s'était jeté sur lui puis avait déployé sa cape afin de les faire disparaître.

Le chevalier réapparut sous le couvert des palmiers, en compagnie de Shulk. Ce dernier recula de quelques pas, et pointa son arme sur la boule noire. Meta knight leva ses mains dans un geste qui se voulait apaisant.

-Du calme, si j'avais voulu ta mort je t'aurais laissé avec l'autre.
-On ne se connaît pas ! Pourquoi m'avoir aidé ?

Meta knight s'assit tranquillement au sol, Dadidou ne devait même pas avoir compris ce qui s'était passé.

-Je n'apprécie pas Dadidou. On est ennemis depuis la nuit des temps. Toi, je ne te connais pas, mais il a tué ton ami et était sur le point de faire de même avec ta pauvre personne. La conclusion que tu es son ennemi, et donc mon allié, s’impose d’elle-même. Et si j'ai l'occasion d'enlever sa proie à ce crétin …
-Pff.
-Tu trouve mon argument léger ?

Le chevalier soupira, se releva et salua l'épéiste en tournant les talons. Shulk le regarda partir puis rengaina son arme.

-Attends ! Où vas tu ?
-Loin de la plage, ça ne va pas être beau à voir.

En quelques rapides enjambées, Shulk rattrapa son nouveau compagnon, ce qui ne sembla pas embêter le chevalier, loin de là.

-Tu tiens bien ton épée, admit Meta knight.
-Tu en manies une aussi ?

Le reste de la discussion se porta sur les armes, et Shulk apprit du chevalier que ce dernier acceptait sa présence seulement par ce qu'il était lui aussi un épéiste.

*DDDDDDDD**DDDDDDDD*

Meta knight avait eu raison de s'éloigner, car un danger bien plus important que Dadidou était en marche. Le roi pingouin, perplexe, fixait l’endroit où Shulk s’était tenu quelques instants plus tôt, quand Ganondorf arriva. En l’entendant arriver dans son dos, Dadidou se retourna, et son visage s’illumina.

« Une victime de perdue, une de retrouvée », se dit le roi avec un grand sourire qui arracha au Gerudo un grognement de mépris. Ce n’était pas Link, certes, mais le pingouin qui refusait de s’offrir une apparence collant plus avec son sadisme, l’agaçait tout autant. Alors quand le roi courut dans sa direction, le maillet relevé au dessus de sa tête pour préparer son coup, Ganondorf le laissa venir.

Quand le seigneur de l'ombre fut à portée, Dadidou rabattit son arme avec toute sa force. D’un mouvement empreint de souplesse et de puissance, le gerudo se décala d’un pas de côté, et le marteau s’écrasa dans le sable. Ganondorf tendit sa main vers la droite, et la referma sur le vide.

Il la referma sur la poignée de son épée. Une grande lame noire comme la nuit, qu’il maniait à deux mains. Le crâne d’argent qui ornait le centre de sa garde réfléchit les rayons du soleil quand elle dessina une courbe en fendant l’air vers son ennemi. Mais Dadidou était réactif, et le marteau s’interposa. L’acier rencontra le bois, et la course de l’épée cessa net. Le coup était si violent que le choc de la parade se répercuta dans l’épaule de Ganondorf.

La contre-attaque ne se fit pas attendre. Le maillet fusa, horizontalement, en arc de cercle devant le pingouin. Ganondorf bondit en arrière et, dès son atterrissage, rebondit vers l’avant, abattant une fois de plus sa lame en une attaque sautée du plus bel effet. Une fois de plus, le maillet était là, tenu à deux mains, et bloqua l’attaque. Le bois devait être magique.

Ganondorf avait plutôt intérêt à en finir au plus vite. Parce que pour chaque minute qu’Orgueil passait dans ce plan, elle restait bloquée pour une heure dans un autre. Le roi pingouin contre-attaqua directement, et Ganondorf esquiva le coup vertical d’un pas de côté. D’habitude, camper sur ses positions et envoyer des attaques puissantes faisait plus partie de la stratégie du gerudo, mais si Dadidou voulait jouer à la tour, il allait le laisser faire.

La contre-attaque de Ganondorf vint de deux côtés en même temps, cette fois. Il balança son épée en biais, dans un geste capable de couper le roi Dadidou en deux de l’’épaule gauche à la hanche droite, et lui envoya dans le bas-ventre un coup de pied brutal. Le pingouin choisit de parer l’épée, et la botte de son ennemi le plia en deux.

Orgueil s’abattit alors sur son dos, et le roi Dadidou tomba. Ganondorf tira sur l’épée, et le sang de son ennemi commença à se répandre sur le sable de la plage. Il respirait toujours. Le seigneur du malin saisit son marteau, lui arracha des mains, le jaugea, retint un petit rire méprisant, et le balança dans la mer. Malgré son poids, l’arme atterrit assez loin de la côte. Puis il balança Orgueil dans son plan, où l’épée resterait bien sagement en attendant qu’il l’invoque de nouveau.

Il se reconcentra sur le roi gisant. Il le retourna sur le dos d’un coup de pied, et se laissa tomber à genoux sur son torse. Il ne lui inspirait que le mépris.
« Pitié… Ganondorf… » murmura le pingouin.
Le seigneur du malin se contenta de rire. Pitié ? C’est quelque chose qu’on lui avait trop demandé. L’autre devait le savoir, pourtant, que jamais il n’avait épargné un ennemi. Il posa ses mains sur le crâne de son ennemi, et commença à serrer.

Les os étaient plus durs que des noix de coco, mais il était suffisamment fort. Il fit jouer les muscles saillants de ses mains, et malgré les supplications de Dadidou, il continua à serrer. Les yeux lâchèrent les premiers, et quittèrent leur orbite avec un « plop » bien distinct.

Il hurla. Mais il en fallait plus pour arrêter Ganondorf. Il continua à serrer. Des craquements se firent entendre, puis le crâne se brisa. Des esquilles d’os passèrent entre les doigts du gerudo, du sang gicla partout, empoissant ses mains, et la cervelle se répandit. Satisfait, le seigneur abandonna le cadavre.

Le gerudo s’approcha ensuite du cadavre de Sheik, et l’observa. Le coup avait été porté net et violent, et la tête s’était décrochée proprement, sans bavure disgracieuse. Un travail si bien réalisé qu’il faillit douter de son auteur. Et les traces de pas ne laissaient pas place au doute. Elle était accompagnée...Link ! Le seigneur de l'ombre ne perdit pas de temps et, ne voyant pas d'autres empreintes sur le sable, quitta la plage et se mit en quête du blond.

DDDDDDDD**DDDDDDDD*

Le groupe était sur le point de rejoindre le couvert rassurant de la forêt quand un haut-parleur dans un arbre crachota son annonce :
« Salut mes petits choux ! Sakarai à l’appareil ! Hein ? Ah, je vous ai manqué ? Ha ha, je suis désolé, les enfants. Oui, je sais, je n’ai pas fait d’annonce à minuit, mais j’étais en plain conseil d’administration avec l’Organisation… Et on en est arrivé à une conclusion intéressante, qui mérite un changement dans les règles. »

Link sentit tous ses camarades d’infortune se crisper. Sa prise se raffermit sur la poignée de son épée. Les prochains mots de Sakarai auraient probablement l’effet d’un coup de tonnerre.
« Mais avant cela, faisons un petit récapitulatif de la période écoulée. Beaucoup de morts, beaucoup de morts. Huit. Dont trois causés par la même personne, le villageois. Les paris s’envolent, et je tiens à vous dire que celui qui fera tomber sa tête empochera les gros sous. Mais la liste des morts nous attend. Les morts ont été, depuis la dernière annonce, par ordre chronologique, Luigi, Wolf, Marth, Peach, Captain Falcon, Donkey Kong, Sheik, et le roi Dadidou. »

Ainsi Sheik était tombée, hein ? L’apprendre ainsi eut l’effet d’un coup de poing dans l’estomac de Link. Cartoon, Zelda, et maintenant Sheik. Il était le seul Hylien encore en vie. Avec Ganondorf. Si quelqu’un devait abattre le tyran, c’était lui. Pour venger Zelda. Pour venger Sheik.
« Le changement de règles, maintenant.

« Il n’y aura pas dix survivants. Il n’y en aura pas qu’un non plus, ni même cinq. Il y en aura quinze. Et vous êtes dix-huit. Plus que trois à sacrifier, mes amis, plus que trois, et vous êtes libres. Trois vies pour une liberté totale et définitive, n’est-ce pas un tribut bien léger ? Allez, je vous laisse, mes petits choux. À la prochaine ! »
Dès que le haut-parleur se tut, Link pivota sur lui-même, et, pressentant le danger, brandit son épée.

Un ennemi passant par là aurait trouvé la scène très comique. Au milieu du groupe, Falco pointait vers le front de Samus le pistolet de la jeune femme, et vers celui de Link son arme personnelle. Il avait la pointe d’Excalibur sur la gorge, et Little Mac était en garde face à Link, prêt à lui décocher dans la mâchoire un de ces directs dont il avait le secret. C’est Samus qui prit la parole :

« Voilà qui montre ton vrai visage, Falco. Une espèce de brute paranoïaque. J’ai rien à faire avec vous. Rends-moi mon flingue, je me casse.
-Et je pars avec elle, décida Link.
-Ça, c’est pas surprenant. Mais vous avez besoin de moi autant que moi de vous. Et comme c’est moi qui ai le flingue, il est hors de question que vous partiez sans mon accord.
-Ah oui ? Ecoute-moi bien, l’emplumé », rétorqua Samus. Sa voix, toujours posée, était froide comme l’acier d’une épée. « Soit tu nous autorises à partir, et on part avec ton accord dans le calme, la joie et la bonne humeur, soit tu refuses, et on se barre quand même, avec une jolie effusion de sang. On te bute toi, on bute la demoiselle que t’as bien gentiment rendue pour nous incapable de se défendre, on bute Little Kevin ou l’autre qui sert à rien, et on rentre chez nous. C’est toi qui choisis, Falco. Je ne veux pas me battre avec toi, mais si tu veux la guerre, tu auras la guerre. Et tu la perdras. Tu as le choix, alors choisis vite, parce que je refuse de rester dix minutes de plus avec un mec qui n’attend qu’une occasion de me tirer dans le dos. »

Participants en vie : 18

Ooooh chouette suite! Beaucoup de brutalité mais chouette quand même! À quand la suite?

Laisse-nous souffler !
Content que ça t'ait plu.

YEEEEEEEEEEEEEAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH

Rum

Ça fait du bien une nouvelle suite

Et surtout qu'après Falcon le maniaque sexuel on a Ganon le sadique

Quinze survivants ? Ça cache quelque chose obligé

D'ailleurs, tu veux pas déplacer cette fic sur le forum de Fates ? Ça serait plus pratique.

Et j'aurais bien aimé aussi un petit résumé du chapitre précédent, mais c'est juste moi hein.

+

On bute Little Kevin ou l'autre là qui sert à rien

OMG JAY IMPLOSAY

Alors en fait, déplacer la fic sur le forum de Fates, on y a pensé.
Le problème, c'est que ça veut dire,

• Soit on reposte tous les chapitres, solution chiante pour nous et ultra-décourageante (j'ai déjà vu des topics de fics avec la masse de messages ultra-longs à la suite, ça donne pas envie de lire.
• Soit on refile un lien vers la fic postée sur un site prévu pour, c'est-à-dire Fanfic-fr.net ou Fanfiction.net, ce qui demande un peu de boulot que j'ai la flemme de faire. C'est plus simple mais les lecteurs potentiels auront la flemme d'aller lire sur le site en question, et ils réagiront là-haut, et le topic mourra.
• Soit on poste un lien vers ici, et on laisse les lecteurs se débrouiller avec les 12 pages de topic, mais c'est pas une idée qui me plaît.

Du coup on y repensera, et on le fera en temps voulu.

En fait, je pensais à faire le topic et dans le premier post mettre les liens des messages sur ce topic où il y a les chapitres non ?

Pas tout compris sur le deplacement...

Et si je pose la question c'était plus genre dans le style "Pitiéeeeee, refaites pas attendre si longtimeeeeeeee " Ahah

Le 14 juillet 2015 à 13:03:12 Dragonglory a écrit :
En fait, je pensais à faire le topic et dans le premier post mettre les liens des messages sur ce topic où il y a les chapitres non ?

Vik' ?

Du coup on y repensera, et on le fera en temps voulu.

Mais c'est envisageable.

• _-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*

À l’ouest de leur position, l’explosion du sac piégé teinta l’horizon d’ors et de rouges, et Olimar laissa échapper un petit cri de joie. Sa bombe, fabriquée dans la précipitation, ne lui inspirait qu’une confiance moyenne. Si elle avait pété, c’est que quelqu’un avait activé le mécanisme, en ouvrant le sac. Il était donc mort. Plus que deux avant la fin, donc.
« Joli ! » lança Samus depuis une chaise à côté de la table. J’aurais pas cru que ça fonctionnerait.
« Donc c’était une bombe ? » s’exclama Mac, sandwich en main. « Je me demandais ce que tu foutais avec tout ça, mais une bombe, j’aurais jamais cru.
-Il est peut-être trop tôt pour crier victoire si fort, murmura Léah. Regardez. Qu’est-ce que c’est que ça ? »

Tous s’approchèrent de la fenêtre, et Samus lâcha un juron. La silhouette qui se découpait en contre-jour sur le brasier, et qui avançait en claudiquant vers eux, ne laissait aucune place au doute.
« C’est lui. Ta bombe n’a pas marché, Olimar. »
Personne ne répondit. Link se contenta de dégainer son épée et de la poser sur la table. Ils avaient trouvé refuge dans la dernière partie de a ville qui n’était pas une zone interdite, et ils comptaient bien défendre coûte que coûte cette position.

• _-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*

« Chef ! » s’exclama Jensen dès que son supérieur l’eut invité à entrer dans le bureau.
« Calme-toi. Pose-toi, respire, et explique-moi la raison de ta venue en ces lieux.
-Une arme non-conventionnelle a été utilisée dans l’arène. »
Masahoru fronça les sourcils. Une arme non-conventionnelle ? Voilà qui était intéressant, et surtout imprévu.
« De quel type ?
-Explosif lourd, apparemment fabriqué par Olimar.
-Tiens donc. Je ne m’attendais déjà pas à ce qu’Olimerde tienne plus de vingt-quatre heures, alors qu’il commence à faire exploser des trucs… Elle a marché, au moins, sa bombe ?
-Aucune victime, mais elle a fait des dégâts sur l‘environnement, notamment un début d’incendie et un cratère de belle envergure.
-On sait comment il a fait ça ?
-L’équipe scientifique est en train de retourner dans tous les sens toutes les vidéos des caméras embarquées d’Olimar pour voir avec quoi il a fabriqué son explosif. Vous devriez venir voir, jeter un œil aux vidéos en plan drone de l’explosion.
-J’arrive. »

Sakarai rangea son rapport, qu’il finirait plus tard, puis se leva, et suivit Jensen dans la salle de surveillance, bardée d’écrans partout. A chaque instant, tous les participants en vie étaient affichés sur une dizaine d’écrans, vus de près, de loin, plan de face, plan rapproché sur leurs blessures, etc. Un grand écran dans le fond montrait l’évolution des paris en temps réel dans les différents mondes. En passant entre les employés de l’Organisation, concentrés sur leur travail, Masahoru Sakarai arrêta un homme, responsable des communications de l’Organisations :
« Morgensen. J’ai annoncé dans l’arène l’augmentation du nombre de survivants conformément à ce qui est sorti de notre conseil d’administration. Prenez toutes les mesures nécessaires dans les mondes nécessaires, concernant les protocoles d’insertion, et tout le bordel qui va avec.
-Bien, chef. »
Sakarai se détourna de lui.

Il finit par se poser devant l’écran que lui indiquait Jensen. C’était une vue aérienne d’une partie de l’arène. Le villageois arrivait par le sud au sommet d’une colline, au pied de laquelle reposaient deux sacs.
« Regardez bien. Il prend des pierres. Il est très loin d’être con, et très, très méthodique. »
Il vit le premier caillou voler et finir au sol. Le deuxième suivit, et l’explosion occupa tout le champ pendant quelques secondes. Quand la vague de lumière se dissipa, le villageois était en train de reprendre sa route vers l’est, évitant distraitement les endroits où l’herbe brûlait. Il se bandait l’épaule.
« Jolie petite bombe. Je ne pensais pas Olimar capable d’une telle chose. Sa cote de popularité va augmenter auprès des parieurs. Faites attention tout de même. Si jamais l’un d’entre eux montre l’envie de s’en prendre à l’Organisation, dépêchez une équipe d’intervention.
-Monsieur. Tout le monde là-dedans veut votre tête.
-Ha ha ha. Je voulais dire que dès que quelqu’un veut ma tête et a les moyens de la faire tomber, dépêchez une équipe d’intervention.
-Bien, monsieur. »

• _-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*_-_*

L’explosion, bien que bruyante, ne l’avait pas suffisamment été pour détourner l’attention de Mégaman de ce qu’il cherchait. Il avait vu la foudre, du coin de l’œil, s’abattre dans la forêt, en un éclair unique accompagné de son tonnerre habituel. Et aller voir les dégâts que la nature peut causer à la nature le détournerait des combats et des combattants, qu’il fuyait depuis le début.

Il arriva vite à l’arbre abattu, et faillit vomir. La pluie battante avait formé des petits ruisseaux entre les racines et les arbres, et la plupart d’entre eux étaient rouges du sang d’une dépouille méconnaissable. Mais avant même qu’il n’ait le temps de se pencher sur la question, ses modules de visée automatique se mirent en marche, et son canon chauffa, prêt à tirer.

Et il avait de quoi tirer. Une dizaine de balles classique, soixante à tirer en rafales, et trois de précision à haute vélocité. L’Organisation avait transformé Mégaman en armurerie sur pattes. Le premier tir, une balle normale, partit presque contre sa volonté, vers un ennemi qu’il n’avait même pas vu.

Ennemi qui se téléporta pour arriver juste en face de lui, rayonnant d’une énergie sombre.
« Tiens, toi aussi t’es venu voir le massacre ? »
Avant que la visée ne s’ajuste, une botte vint percuter Mégaman au milieu du visage, lui fracassant le nez et l’envoyant au sol.
« T’as de la chance, mon épée est bloquée. Enfin, ça ne m’empêchera pas de te briser. »
Ganondorf se laissa tomber sur lui, pesant de tout son poids sur sa gorge, après avoir pris soin de bloquer son bras de canon. Il déplaça alors son corps. Avant que Mégaman ne puisse comprendre, il brisa d’une clé de bras violente l’arme de son ennemi. La douleur submergea le cerveau mécanique du robot.

Voyant qu’il était trop choqué pour réagit, Ganondorf plaça ses pieds, et tira d’un coup. Le bras lui resta en main alors que l’androïde roulait au sol en hurlant. Pas de sang. Dommage. Mégaman se releva tant bien que mal, et se mit à courir, avec un équilibre relatif. Mais le gerudo n’avait aucune intention de le laisser partir.

D’un bond prodigieux, il fut de nouveau sur lui, le percutant dans le dos pour le faire tomber. Il ne perdit pas de temps et, d’une prise au sol, il lui arracha le deuxième bras. Voyant qu’il n’avait pas l’intention d’arrêter de gueuler, Ganondorf le retourna, sur le dos, avant d’arracher du sol détrempé une poignée de boue, qu’il lui fourra dans la bouche.

En proie à une douleur incomparable, Mégaman était en train de s’étouffer, et Ganondorf entreprit de lui bourrer le ventre de coups de poings. S’il avait eu quelque chose à vomir, Mégaman aurait tout rendu. Mais son ventre mécanique était vide, et commençait à sérieusement se déformer. Une fois aplati de façon satisfaisante, le ventre se vit délaissé par Ganondorf, qui entreprit de lui détruire la tête. Les coups plurent sur le pauvre Mégaman, qui ne pouvait rien faire que subir. Le seigneur du malin finit par lui ouvrir la gorge, à mains nues, pour en extraire une poignée de fils, qu’il fourra dans l’eau qui rendait le sol impraticable. Il commença à se relever, prévoyant de laisser le robot agoniser ici, avant de se ravier. Il pouvait toujours se lever et courir.

Mégaman, pourtant de conception normalement solide, avait été fragilisé par l’Organisation afin que les réactions physiques de son corps soient plus proches de celles d’un humain. Aidé de sa magie et de ses muscles prodigieux, Ganondorf n’eut donc aucun mal à lui briser les jambes avant de les arracher, ne laissant au sol que le tronc et la tête, avec des fils qui dépassaient de partout. Il commença à partir.

Puis il se rendit compte que, laissé ainsi pour mort, le robot pouvait mettre des heures, voire des jours, à agoniser. Il revint donc à lui, saisit les fils arrachés qui dépassaient de son corps, et commença à les lier entre eux de façon anarchique, afin de court-circuiter le tout. Il saisit enfin la poignée de fil qu’il avait sortis de sa gorge, et les déchira. Persuadé que le robot était désormais mort, ou ne tarderait pas à l’être, Ganondorf se releva, ses beaux vêtements trempés et boueux, contempla son œuvre, sourit, satisfait, avant de tourner les talons et de s’éloigner.

Un nouveau chapitre

C'est sympa de voir une nouvelle face d'Olimerde, alors qu'on le voyait soumise depuis un bon moment.
Par contre Little Kévin, lui

Tous ces massacres ça fait du bien

Et ce psychopathe de Villageois invincible

Pour la suite, je sens bien les combattants téléportés dans un combat à 15 à mort

Je me dis que je vais passer un petit coup de vent sur le forum pour remettre un petit message sur la fic, et voilà que j'apprends que j'ai presque deux semaines de retard sur la fic

Enfin, ça fait plaisir de retrouver la fic, tous ces massacres, ça commençait à me manquer ... Suis-je sadique ?

Donc là, avec Meta Knight (que tu as oser tuer ), Megaman (que tu as bien voulu tuer ) et Mario (qui part rejoindre le paradis Nintendo auprès de Kirby et Iwata-san, RIP ), nous avons nos 3 morts nécessaires... Tu as intérêt a ce que la "voix inconnue" (Sakarai à tous les coups) ait arrêter le coup de sabre, parce que Pit, c'est l'un de mes petits préférés

Je dis ça, mais à tous les coups, tous les personnages qui avaient entamés un combat vont le finir avant l'annonce de la fin du massacre

Yo !
Je donne des nouvelles.

J'ai fait comme on l'avait conseillé, et j'ai déplacé le topic vers le forum de Fire Emblem Fates.
Voilà le nouveau topic, tout beau tout propre : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-3000646-40524742-1-0-1-0-semi-hs-fic-royal-smash.htm
On postera les prochains chapitres là-haut, et plus sur ce topic-là. Parce que les poster à deux endroits (le topic sur le forum de Smash 4 est toujours actif), c'est déjà chiant, alors s'il faut le faire à trois endroits...
Si vous avez mis le topic en favoris, changez de favoris ; prenez toutes les précautions nécessaires pour rester au jus.

J'ai pris cette décision seule, sans en parler avec Faro'. L'accusez pas si ça vous plaît pas.