Sinon y'a les scans en VA.
C'est pas un probleme la VA ca reprend a quel chap svp
Comme je t'ai dis plus haut t'achètes le dernier tome et t'as la suite
il me semble que l'épisode 12 de la saison 2 se situe dans les chap 110
arretez de dire n imp kuroko c'est vraiment un super anime mais slam dunk c est la reference du genre, et que dire des match super bien retranscrit, personnage charismatique et haut en couleur
Slam Dunk c'est assurément la référence en manga, mais ça a un peu vieillit en anime!
Cependant, je pense que ça ne sert à rien de les comparer outre mesure, car Kuroko est bien plus récent et les similitudes à Slam Dunk s'arrêtent principalement à des aspects de pur forme, genre Kagami = Sakuragi niveau apparence, même chose pour le conseiller Kenji Takeda qui est un vieux très paisible et assez calme bien que dans Slam Dunk ce rôle est attribué au coach.
En cherchant des poux on pourrait aussi trouver une analogie entre la belle Ayako qui est un peu plus qu'une manager et l'autre meuf au cheveux Rose(oublié son nom) qui est celle de Teiko mais ça serait un poil exagéré
Cependant, en dehors de tout ça, ça emprunte plus à Prince of Tennis(entre autre) que Slam Dunk de mon point de vue.. Que ce soit les phases de gag lors des entrainements avec une nourriture très "énergisante" qu'on pourrait comparer à celles de Inui(celui avec ses lunettes chez Seigaku dans POT) ou encore la tendance des "super play" avec des joueurs aux performances assez exagéré.. Slam Dunk c'est plus réaliste!
Il y a aussi d'autres détails qui me font davantage penser à POT, mais ce n'est pas le sujet!
Je précise quand même que pour moi, Slam Dunk > ALL manga de sports! (à la rigueur, de cœur je met Captain Tsubasa pas loin..)
Kuroko no Basket est une monumentale connerie, mais qui a au moins le mérite de ne pas piéger le lecteur en annonçant la couleur dès le tout premier chapitre qui nous présente Kuroko, un chétif adepte de basket, ancien sixième joueur fantôme de la réputée génération des miracles de l'équipe de Teiko, capable de se rendre momentanément invisible. Ça y est, la bombe est lâchée. On a l'habitude des exagérations des capacités humaines dans les mangas sportifs, toutefois elles se basent généralement sur des aptitudes existantes comme la force, vitesse, agilité, perception, etc... mais là il fallait oser.
Les meilleurs connaisseurs de mes goûts pourront s'étonner que je descende Kuroko no Basket alors que j'apprécie Eyeshield 21, et pourtant les raisons de cette divergence d'appréciation sont simples. D'abord, car il ne dispose pas des qualités extérieures aux matchs de son aîné, sur lesquelles je reviendrai. Ensuite car comme expliqué plus haut, si le manga de Murata connaît lui aussi ses pénibles outrances, elles se développent plus tard dans l'oeuvre, et sont plus mesurées, tant dans leur fondement que leurs manifestations.
Car si une telle furtivité délirante est présente dès l'origine, il était évident, par application de la classique règle de la croissance exponentielle de la puissance dans les nekketsus, que la décadence allait s'amplifier. Avec une déclinaison de l'invisibilité à toutes les actions possibles sur un terrain, des joueurs qui marquent dans toutes les positions, des trois points de n'importe quel coin du terrain avec 100% de réussite, de l'anticipation des évolutions de l'adversaire ou des visions des caractéristiques physiques des joueurs à l'oeil nu, mettre à terre l'adversaire par un simple regard, autant dire que la démesure n'a plus de limites.
Sur le même thème, il existe la référence incontestée Slam Dunk, sauf qu'il faut pour faire un manga réaliste d'une telle qualité, qui tire sa force des personnages, de l'humour, du dynamisme et de beaucoup d'autres choses, avoir un grand talent. Il est plus simple quand on ne l'a pas, d'ajouter à un canevas sportif pas exceptionnel des pouvoirs complètement pétés pour épater le lecteur peu exigeant, dont un des plus emblématiques qui est la zone, sorte d'état dans lequel le joueur accède à l'entièreté de ses capacités quand il l'active, en plus d'avoir des yeux qui lancent des éclairs, aurait parfaitement eu sa place dans Dragon Ball.
Une faute substantielle de cet acabit est je pense quasiment à coup sûr rédhibitoire si on ne décide de teinter de second degré le récit en un truc délirant, alors quand en plus l'auteur empile par dessus d'autres tares majeures, il est inutile de garder espoir. Tout d'abord, Kuroko no Basket ne fait pas partie de ces quelques mangas étonnants tels Slam Dunk ou Ping Pong, mais se contente de contribuer à la sempiternelle quête de la victoire suprême, après une ou deux défaites de rigueur. Pas que ce schéma se révèle problématique en soi, mais Kuroko ne peut évidemment se targuer d'être original.
Il convient aussi d'évoquer la mise en scène moyenne et les ressorts grossiers utilisés. En effet, on a plus l'impression de suivre des actions éparses que des rencontres entières par manque de fluidité et de liant, même si cela s'atténue nécessairement avec l'avancée de l'histoire. De plus, les ficelles utilisées pour maintenir le suspens sont assez frustes, par exemple des joueurs qui donnent l'impression de s'éclipser durant un match, ou des comportements idiots, comme une équipe de géants qui fait des passes à hauteur de hanche. Il découle de ces répétées aberrations que les matchs développés par ce Michael Bay du manga sportif n'ont aucun intérêt, se laissant suivre avec passivité et désintérêt.
Il existe nonobstant des titres de cette catégorie qui relèguent totalement les temps de compétition au second plan pour privilégier le reste, à l'instar de Ping Pong. Enfin là encore, cela nécessite d'être doué, et devinez quoi, ce n'est pas le cas de Fujimaki, et ce n'est pas non plus l'orientation de ce manga, ce qui se révèle assez gênant. En effet, les à-côtés sont aussi inintéressants que le principal, la faute durant une bonne moitié de l'oeuvre à un rythme horripilant qui fait se succéder les matchs avec entre eux peu de développements réussis. On assiste ainsi aux déjà vus examens ou entraînements, mais version expédiée et naze.
Les personnages sont d'ailleurs peu attrayants, car on n'échappe pas aux stéréotypes qui transparaissent jusque dans le chara-design assez insipide et tape à l'oeil, avec toute une déclinaison de bellâtres dont le classe beau gosse, classe relâché, classe discret, classe charismatique, classe puissant, classe fourbe, classe dark, classe méchant, classe classe, qui côtoient les habituels persos secondaires inutiles, ou la tsundere de service. Plus généralement, le dessin sans être laid est peu satisfaisant, car parsemé d'imperfections, fonds et zones blanches trop présents, mouvements rapides mal rendus, trait assez impersonnel, cases contenant régulièrement uniquement du texte, etc... L'humour quant à lui est un naufrage complet, d'une inventivité nulle doublée d'une rare redondance.
Pour autant, cet auteur n'est pas totalement incompétent, et je me plais à croire qu'il a une chance un jour de produire une oeuvre correcte. J'en ai pour preuve quelques petites bonnes idées ça et là, comme la revanche des senpaïs contre Seihou, même s'il ne l'exécute qu'à moitié en faisant rentrer Kuroko, ou certains déroulements de match comme la rentrée tardive d'Aomine, ce qui nous épargne le constant scénario de l'adversaire en tête qu'il faut rattraper. Les relations entre les personnages sont de manière globale bien dépeintes et plutôt intéressantes, que ce soit la coopération entre Kuroko et Kagami avec l'interrogation de s'améliorer personnellement ou collectivement ou la rivalité entre Kise et Aomine par exemple.
Le gros point fort de la série réside indubitablement dans l'historique de la génération des miracles, et à ce titre, Fujimaki utilise de manière très pertinente les flashbacks, qui sont quasiment toujours plaisants. Tout ne se goupille pas toujours très bien, je pense au retour de Kiyoshi et la démonstration de ses capacités un peu foirés, mais concernant les six joueurs monstrueux, la description magistrale d'éléments si attendus sur deux tomes entiers était couillue, et vraiment maîtrisé, avec un propos très touchant sur la déliquescence de l'équipe parallèlement à l'émergence de cinq sportifs presque invincibles.
En conclusion, le résultat est vraiment mauvais, mais n'exceptons pas ce petit rayon de soleil, ne mettons pas au bûcher ce jeune auteur qui a pêché par folie de jeunesse. Je vous en prie messieurs les jurés, accordez lui le sursis, pour laisser une seconde chance à Fukimaki qui je suis sûr n'osera nous décevoir une nouvelle fois.
Une très belle analyse !!!
Je rajouterai que les dessin sont assez impersonnel et qu'il serai temps après 23 tomes que l'auteur trouve son style !!!
Kuroko est le genre de manga qui arrive à briller grâce à son anime; qui est d'ailleurs très réussi !
il coute combien un tome de kuroko a peu pres ?
Je sais qu'ils sont a 6,45€ sur amazon donc 6,70/6,80€ en librairie je pense
Dat pavé de killer7... je suis plutôt d'accord avec toi concernant les fantaisies des personnages ( Midorima )
Mais j'ai une question, est-il de possible de dunker alors qu'on fait 1m70 ?
je sais que Nate Robinson a gagner 3 concours de dunk en NBA en faisant 1m75 alors je ense qu'avec de l'entrainement 1m70 c'est possible
ça sort tout les combien semaine un tome de kuroko no basket ?
Tout les 2 mois
Top des ventes de kazé
Le manga est très moyen le seul ( et l'oeuvre dans son ensemble ) Tout l’intérêt de kuroko se trouve dans l'anime
oups , top des ventes de kazé a cause de l'anime ( adn , j-one ) sinon jamais de la vie un tel manga serait aussi connue en France
Le manga moyen je parle niveau dessins , technique , encrage et bien sur la mise en page ( perdu le mot exacte )
Je recommande pas spécialement le manga juste l'anime qui est largement au dessus car lui au moins il est beau
Si vous voulez un vrai manga SLAM DUNK et rien d'autre !
Je trouve aussi que l'anime est meilleur, je trouve que c'est plus vivant que le manga et donc plus appréciable
Après de là a dire que c'est de la merde faut pas abuser Je passe un bon moment en lisant la série perso'
Tu passes peut-être un bon moment en le lisant mais ça n'empêche que ça vole pas haut
Dans les nekketsu sur le sport c'est bien le pire que j'ai lu, avec le "Prince du Tennis". Quelle coïncidence, ils se ressemblent tellement.
Je trouve que pour un manga de type sport il s'en sort pas mal C'est le côté cheaté qui me plaît dans le manga, un peu comme Eyeshield 21.
Après c'est sûr que si on s'attend a un manga sportif "réaliste" vaut mieux passer son chemin.