tu ses pas comment je man fou

@Yakajou: Tu apprends à t'exprimer et après tu pourras essayer de venir communiquer avec les grands, ok? ;).

-Oh non pas ça!
-Quoi donc?
-C'est le chapitre 13!
-Et alors?
-Mais, c'est le chapitre maudit, tu devrait le savoir!
-Et?
-Que va-t-on pouvoir faire?
-Je sais pas. Le lire par exemple.

Ce ci étant dit on passe au chapitre maudit ome annoncé .

CHAPITRE 13: Vengeance.

-Sofia, qu’est-ce qu’il s’est passé ?
-Je… je ne sais pas. Victor m’a amené ici, puis après je me suis évanouie. Sanglotait-elle.
-5Mais qui aurait pu avoir accès au duel des ombres. Victor ? Peut-être. Mais qui aurait-il pu affronter ? Sofia ? Non cela m’étonnerais. En tout cas c’est déjà bien que Sofia n’aie rien). Bon allez viens Sofia, allons chercher Gesen, et allons nous reposer.
Alex commença à se retourner, mais Sofia le retint.
-Euh, Alex.
-Oui, quoi ?
-Tu sais après ce qu’a fait mon père j’aimerais partir avec vous.
-Quoi ? Mais c’est dangereux ! On ne peut pas t’emmener, c’est beaucoup trop risqué !
-Mais comment vais-je faire ? Je n’ai plus de chez moi. Je suis comme vous.
A ces mots Alex ne répondit rien, il repensait à ce geste inhumain qu’avait osé faire Alain sur sa propre fille. Il savait que la renvoyer chez son père n’était pas une bonne idée, mais l’emmener avec lui n’en était pas une meilleure. Il se mit à réfléchir quelques secondes puis, dans un soupir, il lui dit oui. Sofia sauta dans ses bras et essuya ses larmes. Il savait que maintenant cela allait être encore plus compliqué, ça faisait une tête de plus à surveiller. Mais il ne pouvait pas nier non plus que le fait d’avoir Sofia à ses côtés le rendait heureux. Par contre il ne savait pas quelle attitude adopté face à Alain, et il appréhendait de le revoir. Il se dit qu’il en parlerait avec Gesen.
-Allez viens, on encore de la route à faire. Lui dit-il avec un sourire.
Elle acquiesça de la tête puis il retournèrent dans le jardin pour récupérer Gesen qui dormait toujours à poing fermé.
-(Bon ben, il verra que Sofia nous accompagne quand il se réveillera).
Alex mit Gesen sur son dos puis il partit, Sofia le suivit. Durant tout le trajet qui séparait le manoir de l’auberge, Alex réfléchit. Qu’allait-il dire à Alain ? Comment allait-il réagir ? Sofia, elle, n’avait pas prononcée une parole.
Arrivée devant l’auberge, Alex posa Gesen contre le mur. Et il rentra accompagné de Sofia. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il se rendit compte que l’auberge avait été abandonné par son propriétaire, seule restait une lettre, posée sur la table. Etant destinée à Sofia, Alex la lui tendit. Après cela, il monta à l’étage récupérer ses affaires ainsi que celles de Gesen. Quand il fut redescendu, Sofia vint vers lui.
-Pourrais-tu aller les chevaux s’il te plaît. J’ai encore quelque chose à régler.
-Euh… Mai tu es sûr que…
-Ne t’inquiètes pas, je n’en ai que pour quelques instants.
Alex alla donc chercher les chevaux, les amena devant l’entrée de l’auberge et monta, comme à l’aller, il monta sur Topaze avec sur son dos, toujours entrain de dormir, Gesen. Cinq minutes plus tard Sofia sortit du bâtiment avec un sac à dos, ainsi qu’un disque de duel accroché au bras.
-Tu joue au duel de monstre ? Demanda-t-il interloqué.
-Oui pourquoi ?
-Bah je sais pas, je ne pensais pas que toi aussi…
-Parce que je suis une fille, c’est ça ? Macho va.
Alex ne répondit pas. Ce n’était pas tant le fait que ce soit une fille qui le choque, mais le fait que du coup cela pouvait rendre probable l’hypothèse qu’elle est livré le duel des ombres face à Victor. Mais très vite il écarta cette idée puisque quand il l’avait retrouvée, elle ne portait pas de disque de duel. Durant le temps de sa réflexion, Sofia était monté sur son cheval, Crystal. Après s’être regardé quelques instants, Alex et Sofia firent volte face à l’auberge et partirent en direction du nord, prochaine escale Tara, la ville la plus proche de l’endroit où se trouvait Ken. Alex était pensif, il avait remarqué que depuis qu’elle avait lu la lettre Sofia semblait plus joyeuse. Mais une explosion le fit sortirent de ses songes, elle provenait de l’auberge du père de Sofia. Les lumières des maisons aux alentours s’allumèrent et plusieurs personnes sortirent voir ce qui se passait. Mais personne ne comprenait.
-Ca y est, c’est fait. Je ne peux plus retourner en arrière. Dit-elle d’un air grave.
Alex compris la raison de ce geste un peu violent il faut l’avouer. A présent elle n’avait plus d’attaches et donc plus de contraintes, elle ne pouvait qu’avancer droit devant.
-(Et dire que cette explosion n’a pas réveiller l’autre feignant). Rigola-t-il intérieurement.
Cela ne les empêcha donc pas de continuer leur route dans la nuit noir de la campagne.

Quelques heures plus tard ils étaient arrivés, pas une parole n’avait été prononcé et Gesen ne s’était pas encore réveillé. De l’entrée de la ville on pouvait voir une forteresse placée devant les montagnes, l’endroit où se cachait Ken et qu’ils avaient cherchés durant ces deux dernières années. Ils touchaient presque au but, ça y est tout cela allait enfin cesser. A cette pensée Alex sourit. Il donna un petit coup dans le ventre de Gesen afin de le réveiller.
-Ca y est c’est le matin ?
-Non, pas encore.
-Alors pourquoi tu me réveilles ? Et d’abord qu’est ce que je fiche sur un cheval ? Et…
Il s’arrêta net lorsqu’il vit Sofia.
-Salut. Lui dit-elle en souriant.
-Alex ?
-Oui ?
-Pourquoi est-elle ici ?
-Parce que je n’allait pas la laisser seule dans son village. Je préfère qu’elle reste avec nous.
-Mais t’es fou ou quoi ?
Alex avait arrêté le cheval et en était descendu afin de pouvoir mieux voir son ami qui lui aussi en avait fait de même.
-Tu préférais qu’on la laisse avec son père ?!
-Non ! Mais on aurait pu trouver une autre solution, tu ne crois pas ?!
-Si tu n’avais pas été entrain de dormir, peut-être qu’on aurait pu en parler !
-Qu’est ce que j’y peux moi !
-J’en sais rien ! Mais ne te plains pas alors !
Sur ces mots il tourna les talons et se sépara d’Alex et Sofia. Cette dernière ne savait plus où se mettre, mais Alex alla la rassurer.
-Ne t’en fait pas . Ce n’est pas parce qu’il ne t’aime pas, c’est juste qu’il a du mal de se faire à l’idée qu’on doivent assurer une autre personne.
Il fit oui de la tête puis ils remontèrent sur les chevaux.
-On ne l’attend pas. Lui demanda-t-elle.
-Non il faut lui laisser le temps de digérer l’information. Il nous rejoindra plus tard, de toutes façons il n’ya qu’un seul hôtel dans la ville.
Puis il reprirent leur route.

De son côté, Gesen marchait, il tournait dans la ville . Il ne comprenait pas cette décision qu’Alex avait prise, surtout sans lui en parler. Il continuait sa route en réfléchissant à tout les risques que cela pouvaient comportés, et surtout il s’en voulait de s’être disputé avec son ami juste pour ça. A force de réfléchir, il n’avait pas remarqué qu’il était arrivé dans une impasse.
-Et mince. Tant pis. Demi-tour.
-Que fais-tu dans une ruelle à cette heure de la nuit. Dit une voix d’homme.
-Qui es-tu ?
-C’est moi, Ken.
-C’est ça, et puis quoi encore, je sais quand même reconnaître la voix de mon frère.
-C’est vrai, mais j’avais envie de m’amuser.
-Mais bien sûr. Sinon ça te dirait de venir en face de moi, que je vois si tu es digne d’avoir voulu emprunté le nom de mon frère ?
L’homme sortit du coin de la ruelle, suivit par une dizaine de personnes, sûrement toutes au service de Ken.
-(Alors il m’ont suivit).
L’homme se rapprocha de Gesen, mais il avait du mal à distinguer son visage, il avait peut-être entre 20 et 30 ans, il était grand et son visage était marqué par les cicatrices, comme si il avait dût affronter quelque chose de terrible.
-Je me présente, Colonel McGready.
-Colonel ?
-Oui, j’ai fait parti de l’armée pendant un certains temps avant de m’engager aux côtés de Ken.
-Et qu’est ce que tu me veux ?
-Ken a un message pour toi.
-Et il a besoin d’envoyer autant de personnes pour me le dire ? Charmant.
McGready lui donna un rapide et puissant coup de poing dans le ventre, ce qui fit tomber Gesen. Il se tordait de douleur.
-Arrêtes de faire de l’esprit. Sais-tu pourquoi c’est moi qu’il a envoyé ?
-N…Non.
-Parce que tu as battu mon petit frère lors d’un duel des ombres.
Gesen commençait à retrouver ses esprits et se remit debout.
-Qui ça ?
-Tu te souviens de Paul.
-(Paul ?)
-A ta tête j’ai l’impression que tu le connais. Donc si je suis ici c’est pour le venger de la défaite que tu lui as infligée.
-Tu veux faire un duel des ombres ?
-Non, mais j’y reviendrais plus tard. Ce que Ken voulait te dire c’est ceci : Il t’attend dans une semaine devant sa forteresse. Reposes-toi en attendant. Il te montrera ce que veut dire désespoir.
-Mouais, tu lui diras que je serais présent au rendez-vous.
-Maintenant j’aimerais revenir à ma petite vengeance si tu n’y vois pas d’inconvénients.
-Bah si, mais je crois que j’ai pas le choix.
Après avoir finit sa phrase, il se reprit un autre coup de poing fulgurant.
-(Aïe, la vache, il est rapide).
-Je t’ai déjà dit de ne pas faire de l’esprit, surtout avec ton air arrogant.
Encore une fois, Gesen se releva. Le coup n’était pas aussi puissant que le premier, comme si il était loin d’en avoir finit.
-Et alors qu’est ce que tu vas me faire ?
-C’est simple, je vais te laisser le choix. Sauver ta peau ou celle de ton ami.
-Quoi ?
Le colonel claqua des doigts et un sbire amena une sortes de petite télé. Il la tendit à Gesen.
-Comme tu peux le constater, sur cette télé on voit très bien la fenêtre de la chambre dans laquelle réside Alex.
-Et alors ?
-J’ai posté un sniper sur le toit. Il n’attend que mon signal pour tirer. Et moi je n’attends que ta réponse.
-Enflure !
-Ahaha ! Si appelle-moi comme tu veux, mais ça ne change rien à la situation.
Gesen était perdu, sauver sa vie ou celle de son ami qui était comme un frère pour lui. Un choix cornélien se posait devant lui, et sa réponse avait un impact direct sur la vie d’une personne.
-Dépêches-toi de répondre, sinon je demande à mon tireur d’élite de passer à l’action. Je te laisse cinq secondes. Cinq.
-(Que dois-je faire ?)
-Quatre.
-(De plus, il est trop fort pour moi. Je ne peux pas encore le battre)
-Trois.
-(Alex, qu’est-ce que tu ferais dans cette situation ?)
-Deux.
-(Pourquoi, je dois faire un choix pareil ?)
-Un.
-Prends la mienne !
-Quoi ? Tu es prêt à te sacrifier pour ton ami.
-Oui, car il en vaut la peine, et je sais qu’il aurait fait la même chose pour moi.
-Peuh. L’amitié. C’est un sentiment fait pour les faibles.
-C’est faux ! L’amitié est une force, lorsqu’elle est sincère, elle est capable de tout écraser.
McGready lui donna un violent coup de genou dans le ventre, ce qui fit gicler Gesen contre le mur qui formait l’impasse.
-Alors explique-moi pourquoi ton amitié ne peux pas avoir raison de moi.
Un sourire se format sur le visage de Gesen.
-Tout simplement parce que tu es lâche.
Ces mots firent changer l’expression du visage de McGready, on pouvait à présent y lire de la colère.
-Tu vas regretter tes paroles. Mais tu as de la chance que Ken veuille te revoir. Ca ne tiendrait qu’à moi tu serait mort. Allez les gars, vengeons mon frère.
Toute la bande s’avança vers Gesen, toujours à terre.
-(Désolé, Alex. Mais je crois que c’est finit, j’espère que tu comprendras)

Dans l’hôtel de la ville, assis dans sur le lit de sa chambre, Alex réfléchissait. Pendant ce temps, Sofia prenait une douche. Alex s’allongeât sur le lit, il entendit que l’eau s’arrêtait de couler dans la salle de bain. Sofia en sortit quelques minutes après.
-Il n’est toujours pas revenu ? Demanda-t-elle.
-Non.
-Tu crois qu’il lui ait arrivé quelque chose ?
-Gesen ? Ca se voit que tu ne le connais pas. Répondit-il avec un sourire.
Mais dans sa tête il commençait vraiment à croire qu’il lui était arrivé malheur. Il ne tenait plus en place. Il prit son sabre et sortit de la chambre Sofia sur ses talons.
-Où vas-tu ?
-J’en sais rien.
-(Qu’est ce qu’il est chiant).
Elle prit les clés de la chambre, ferma la porte et le suivit. Arrivé dans l’accueil de l’hôtel, Alex jeta un rapide coup d’œil par l’entrée. Et ce qu’il vit ne pouvait se décrire. Il sortit en courant pour s’en assurer, mais cela ne fit que confirmer sa première impression. Gesen gisait sur le sol dans une flaque de sang, blessé de partout.
-Gesen ! Gesen ! Répond-moi bordel ! Sofia !
-Quoi ?
Sofia sortit rejoindre Alex dehors, et lorsqu’elle vit le corps de Gesen à terre baignant dans le sang, elle s’écroula au sol en pleurant.
-Sofia ! Arrêtes de pleurer et appelle une ambulance.
Elle retourna à l’accueil et passa le coup de téléphone.
-(Mais où est-ce que t’es encore allé te fourrer ? Et surtout qui t’as fait ça ?)
La colère se lisait dans les yeux d’Alex, et l’idée de vengeance était présente dans son esprit. A partir de maintenant, il chercherait les fautifs de cette agression pour leur faire payer leur geste.
Dix minutes plus tard l’ambulance était là, et elle emmena Alex, Sofia et Gesen à l’hôpital.

Quelque part dans la ville, McGready marchait dans une salle noir. Puis après quelques pas il se prosterna devant un homme assis sur un trône.
-C’est bon maître Ken, j’ai fait exactement ce que vous m’aviez demandé de faire.
-C’est bien McGready, maintenant il ne nous reste plus qu’à attendre l’arrivée d’Alex. Notre taupe est-elle toujours en place ?
-Oui, maître.
-Alors attendons.
Dans l’hôpital, Alex et Sofia était assis sur des chaises en attendant le verdict des médecins. Tout d’un coup la porte s’ouvrit Alex se leva brusquement de sa chaise et se précipita vers le médecin.
-Alors est-ce qu’il va bien ?
-Oui, ces jours ne sont plus en danger.
Un sentiment de soulagement se fit sentir chez Alex et Sofia.
-Mais malgré tout il est très faible. Repris le médecin.
-Ce qui signifie ? Interrogeât Alex.
-Que selon moi, il n’est pas prêt de se remettre sur pieds.
-Combien de temps ?
-Je ne sais pas, tout dépend de lui. Peut-être une semaine, peut-être un mois. Je ne peux pas faire un diagnostic très précis pour le moment.
Alex se retourna et se dirigeât vers la sortie. Laissant Sofia seule avec le médecin. Arrivé dehors, il se posa sur un muret, un infirmier vint à côté de lui.
-C’est vous qui avez amené, la personne frappée à mort. Demanda-t-il.
Alex ne répondit rien, il était perdu dans ses pensées.
-Je vois. Si vous voulez savoir qui l’a frappé, je peux vous donner avec certitude l’endroit où se cache le coupable.
Alex sursauta et prit l’infirmier par le col.
-Qui a fait ça ?
-Lâchez-moi s’il vous plaît.
Alex le lâcha.
-Il y a dans cette ville un membre de l’organisation mafieuse, la plus célèbre du pays. Vous voyez de laquelle je veux parler ?
-Oui celle qui a pour chef un dénommé Ken.
-Exactement. Durant l’année ce membre s’amuse à frapper des personnes à mort sans aucunes raisons. Nous pouvons donc aisément penser que c’est lui qui a fait le coup.
-Où se trouve-t-il !?
L’infirmier se pencha vers l’oreille d’Alex pour lui annoncer l’endroit où il devait aller. Ce dernier se leva d’un coup et partit dans la direction indiquée.
-(Voilà, j’ai rempli ma part du contrat Ken).
Alex courrait aussi vite qu’il le pouvait, il pensait déjà à ce qu’il allait faire pour que ces personnes payent. Au bout de quelques minutes, il arriva devant un immeuble dans lequel il rentra. Ayant vu de la lumière au dernier étage, il prit l’ascenseur et monta jusqu’en haut. Lorsque les portes s’ouvrirent, il vit une grande pièce noire, dans le fond des fenêtre remplaçant le mur et qui donnait sur la ville, et devant un trône sur lequel se tenait McGready entourait d’une dizaine de sbire.
-Bienvenue à toi Alex, je t’attendais.
-Qui êtes-vous ?
-Je suis le colonel McGready. Je fais parti de l’organisation de Ken.
-Alors c’est toi qui a mis mon meilleur ami dans un état déplorable ?
-Oui.
-Tu vas payer pour ce que tu as fait.
Alex sortit son sabre et se rua sur McGready, ce dernier esquiva facilement le coup et lui porta un coup de poing en pleine face. Alex fut projeté au sol par la violence du coup.
-Tu es aussi faible que ton ami.
-La ferme ! Je ne te permet pas de parler comme ça de lui !
-Ahahah ! Ca me fait rire !
-Qu’est ce qu’il y a de si drôle ?
-Cette confiance que vous avez entre vous.
-Et alors ?
-Je supposes qu’il ne t’a jamais dit qu'il avait aidé Ken a retrouver les premiers cristaux.
-Qu’est ce que tu racontes ? Ce n’est qu’un pur mensonge.
-Et pourtant c’est vrai. Pourquoi te mentirais-je à ce sujet ?
-Si ça avait été le cas, il me l’aurait dit.
-Il avait peut-être peur de ta réaction.
-Non ce n’est pas possible. Tu racontes n’importe quoi !
Alex se releva, reprit son sabre en main et se rua de nouveau sur son adversaire. Mais une fois de plus McGready esquiva facilement le coup, et comme la première fois il lui porta un autre coup de poing dans le nez.
-Je te l’ai déjà dit, tu es trop faible.
Alex était une fois de plus au sol, il pleurait.
-En plus tu pleure comme une femmelette à cause de la puissance de mes coups.
-Ce n’est pas ça qui me fait pleurer. C’est le fait que Gesen ne m’ai jamais rien dit, si ça se trouve il me cache tellement de choses que j’ignore.
-Et oui, c’est la vie. On ne peux faire confiance à personne. Bon allez je vais abréger tes souffrances. Allez-y les gars faites-lui le même tarifs que pour son ami. Alex ne se relevait pas et pleurait toujours.
-(Alors c’est pour ça que tu me protégeais autant. Tu te sentais coupable de ce qui nous arrivait. Dire que moi j’ai été incapable de te protéger une seule fois, je ne suis qu’un moins que rien, je ne mérites pas de t’avoir comme ami).
Tout d’un coup son pendentif émit une lueur violette qui l’entoura, Alex ferma les yeux. Lorsqu’il les ouvrit, il se trouvait dans un endroit entièrement noir, il ne voyait pas autour de lui et pourtant il pouvait voir son corps. Il ne savait pas où il était.
-Bienvenue. Dit une voix caverneuse.
-Qui…Qui êtes vous ? Demanda-t-il d’une voix peureuse.
-Ca tu le sauras bien assez tôt. Si je suis ici, c’est pour te proposer quelque chose.
-Et qu’est ce que c’est ?
-Le force de pouvoir protéger ta vie ainsi que celle de ton ami.
-Comment ?
-En t’abandonnant au côté obscur. Si tu acceptes, je pourrais te donner un pouvoir sans limites.
-Le côté obscur ?
-Oui devient les ténèbres, et ainsi tu pourras te débrouiller seul.
-De toutes façons j’ai déjà tout perdu. J’acceptes ta proposition.
-Alors ferme les yeux.
Alex ferma les yeux. Et lorsqu’il les rouvrit, il était de retour dans l’immeuble, une étrange lueur violette l’entourait. C’est pour cette raison que les sbires restaient figés autour de lui, et qu’ils hésitaient à l’attaquer. Alex se regarda, et tourna la tête vers l’un des sbire. En moins d’une seconde il se trouvait derrière ce dernier et il lui assena un coup qui le projeta contre le sol avec une violence inouïe.
-Quelle puissance. Ca, ça me plaît.
Puis il continua avec les autres sbires, ces derniers prenaient peur et essayaient de s’enfuir, mais le nouveau Alex était bien trop rapide.
-(Ca y est maître Ken nous avons accompli la mission). Se dit McGready.
Il n’eut pas le temps de s’en rendre compte mais Alex se trouvait déjà devant lui.
-Maintenant tu vas pouvoir payer pour ce que tu as fait.
-Arrêtes !
Cette voix venait de l’ascenseur, Alex se retourna et y vit un homme ressemblant à Gesen, il portait une cape noir.
-Qui êtes vous. Demanda-t-il.
-Je suis Ken, la personne qui t’as permis d’avoir les pouvoirs que tu possèdes à présent.
-Alors c’est toi Ken.
Alex se précipité sur lui pour lui asséner un coup de poing, mais son coup s’arrêta juste devant le nez de Ken.
-Qu’est ce qu’il se passe ? Pourquoi je ne peux pas te toucher ?
-Hé hé hé ! En acceptant les pouvoirs que je t’ai donnés, nous avons passé un accord. Maintenant tu es sous mes ordres.
-Quoi ?!
-Oui, que tu le veuille ou non ton esprit va commencer à m’appartenir et bientôt tu deviendra ma marionnette.
-Je ne veux pas !
-Et pourtant ça a déjà commencé. Je vais te montrer. Marionnette, attaque le Colonel McGready.
Alex se retourna et asséna un terrible coup de poing dans la tête du colonel.
-Tu vois, je te l’avais dit.
-Oui, je vois maintenant.
-Allez viens avec moi dans ma forteresse.
-Oui… Maître Ken.

Toujours bien, que dire d'autre?^^

Sinon pour la question du chapitre douze, je ne monte pas et si il est mal armé,je le jette a bas de son destrier, l'assome et le ligote avec es propres vetements.Puis je le fouille,et j'attend son réveil pour le questionner,ou le torturer si besoin est^^

Sympa le chapitre...mais il manque une phrase^^( Qui as-dit Je suis ton père, Alex !?)

Salut à tous !!

@Typhoon: Comme quoi t'es un mec pas normal, il neme semble pas que c'était une des réponses possible. Mais puisque tu es pleins d'imagination et que de toute manière c'est tout à fait plausible, je peux désormais te dire que tu es un fou psychopate assoifé de violence et pour qui l'inconscience est connue ^^.

@losohen: Alors imagine qu'il lui ait dit ça, ça aurait voulu dire que le grand frère de Gesen était le frère d'Alex. Youpi, tu aimerais avoir un oncle du même âge que toi et qui plus est de la personnalité de Gesen? :p.

Bon en tout cas merci à tout les deux ça fait plaisir .
Et maintenant en route pour le chapitre 14.

CHAPITRE 14: Allégeance

Pendant ce temps à Tille, une étrange personne arrivait, coiffée d’un Kasa, portant des habits traditionnels japonais ainsi qu’un magnifique sabre blanc à la ceinture, il devoir avoir entre 25 et 30 ans, mais ses mains étaient déjà marquées par de nombreux coups. Il passa devant l’auberge calcinée, mais n’y prêta aucune attention. Passant son chemin, il ne fit même pas attention à toute l’agitation qui s’était faite autour de la bâtisse, son regard était franc et perçant. Dans ce regard on pouvait lire qu’il avait un objectif et que rien ne pourrait l’en éloigner. Après quelques minutes de marche, il arriva devant le manoir de Victor, aucun garde ne gardait l’entrée, ce qui lui permis de passer sans encombres.
-(Tiens c’est bizzard, personne à l’entrée. Arriverais-je déjà trop tard ?).
Il entra dans le jardin, et ce qu’il vit confirma ses premières impressions, les gardes était à terre toujours sonnés par les coups qu’ils avaient reçu.
-(C’est bien ce que je pensais, ils n’ont pas été capable de les retenir).
Il entra alors dans le manoir, passa par les cuisines et vit Walter endormi et toujours prisonnier de sa cage. La mystérieuse personne s’approcha de lui et lui donna un coup de fourreau de sabre sur la tête pour le réveiller.
-Aïe !
Walter se frottait la tête pour essayer de faire partir la douleur, il leva les yeux et vu l’homme qui lui avait frappé sur la tête.
-Qu’est ce qu’il s’est passé ici ? Demanda l’homme.
-Mais qui êtes-vous d’abord ?
-Tu ne me reconnaît pas ?! Petite vermine, je suis le champion du niveau cinq Ryu Masaki.
-Ne me prenez pas pour un abruti, le vrai champion du niveau cinq est déjà passé ici, vous ne m’aurez pas.
-Quoi ?! Qu’est ce que tu racontes ? Tu t’es fait berner comme un bleu ! Pour preuve de mon identité regarde mon ventre.
Ryu ouvrit son kimono, ce qui permit à Walter d’apercevoir un magnifique tatouage représentant un dragon noir de face écartant les ailes. Il écarquilla les yeux et ouvrit la bouche, son visage stupéfait révélait qu’il venait de se rendre compte de son erreur.
-Oh ! Milles excuses, seigneur !
-Pff ! Arrêtes de te prosterner vermine ! Dis-moi plutôt ce qu’il s’est passé ici.
-Oui, oui bien sûr. Les deux derniers détenteurs des cristaux sont passés ici, ils nous ont tous battus un à un, ils sont bien plus fort que le prétendait la rumeur.
-Ils ne sont pas si fort que ça, c’est vous qui êtes minable.
-Peut-être mais cela dit, la personne qui s’est faites passée pour vous est entrée dans le bureau de Victor, où se trouvait déjà LA fille.
-LA fille ?
-Oui, vous savez bien, la descendante du dernier possesseur du cristal de la lumière.
-Elle était ici ?
-Oui je l’ai su, parce que j’étais avec Victor le jour où il l’a découvert.
-Je me fiche de savoir comment tu l’a appris. Mais le fait que la descendante soit avec les deux jeunes n’est pas très bon pour nous. Si ils se dirigent toujours dans la même direction, ils doivent être dans Tara à l’heure qu’il est. J’imagines qu’il n’a pas prévenu maître Ken.
-Euh non, je ne crois pas.
-Le boulet. Il faut vite que je retourne à Tara pour annoncer la nouvelle au maître.
Il remit son kimono en place et se tourna vers la sortie.
-Pourriez-vous me libérer s’il vous plaît.
-Je n’ais que faire de toi petite vermine. Dit-il avec un regard assassin.
-Bi…Bien, je ne vous dérangerais pas plus alors.
Puis Ryu partit de la pièce sans même un regard pour le pauvre prisonnier.
-(C’est vraiment mauvais signe, si le cristal de la lumière se trouve vers ces deux gamins, ça pourrait faire tomber à l’eau tout les projets de Ken).
Puis il repartit par la même route qu’il avait emprunté pour venir.

A Tara, toujours dans l’immeuble.
-Maître Ken, pourquoi lui avez-vous demandé de faire ça. Demanda McGready.
-Parce que je n’ais plus besoin de toi et tes soldats.
-Quoi ?! Alors vous aviez prévu de cela depuis le début.
-Oui, Alex achève ce bon vieux McGready.
-Oui, maître.
Alex s’avança vers McGready, qui entre temps s’était relevé.
-(C’est le même gamin que tout à l’heure alors pourquoi aurais-je peur ? On ne peut pas de venir aussi fort en si peu de temps).
Il se rua alors sur Alex, lui porta un coup que ce dernier esquiva avec facilité et se fit mettre à terre avec une rapidité déconcertante. Alex avait armé son poing, prêt-à-porter le coup de grâce, mais il ne bougeât pas.
-Que fais-tu Alex ? Vas-y achèves-le.
-Je…Je ne peux pas, mon corps ne répond pas.
-(C’est pas vrai il reste encore une part de lui qui résiste aux ténèbres).
-Ce n’est pas grave, je vais m’en occuper moi-même.
Ken fit reculer Alex et s’approcha de McGready.
-Et bien cela t’aura permis de rester ici encore quelques secondes, mais maintenant c’est terminé.
Ken toucha la tête du colonel, une lueur violette entoura alors ce dernier puis il disparut ainsi que ses soldats, comme si il avait perdu un duel des ombres. Ken se retourna alors vers Alex.
-Je viens de te montrer quels genres de pouvoirs tu pourrait obtenir en venant avec moi.
Pui ils se rendirent dans l’ascenseur. Alex repensait aux pouvoirs qu’ils avaient reçu, ces pouvoirs ils les eu grâce aux ténèbres auxquels il avait succomber aux ténèbres par désespoir. Il était maintenant lié avec la personne qu’il détestait le plus, mais cela ne le dérangeait pas, son avidité de pouvoir avait prit le dessus sur tout autre chose. Alex était à présent dans l’ascenseur, à ses côtés se trouvait Ken.
-Maître ? Demanda-t-il.
-Oui qu’y a-t-il ?
Alex enleva le pendentif de son cou et le tendit à Ken.
-J’aimerais vous en faire cadeau.
-Quoi ? Tu me le donnes de toi-même ? Mais pourquoi donc ?
-Parce que maintenant que j’ai ces pouvoirs plus rien a d’importance pour moi. Mais je ne suis pas totalement satisfait, j’aimerais en avoir plus, et la seule façon d’avoir ce que je veux, c’est de rester à vos côtés. Donc pour vous prouvez mon allégeance je vous offre ce que vous désirez le plus.
-Comme c’est intéressant. J’accepte le cadeau.
Ken prit le pendentif et le mit autour de son cou.
-Voilà il sera bien mieux ici. Je n’en attendait pas moins de ma meilleure marionnette, ah ah ah !
Alex ne répondit pas. Un petit son retentit pour dire que l’ascenseur était arrivé au rez-de-chaussé, ils sortirent de l’immeuble. Alex regardait les étoiles, jamais il ne s’était sentit aussi bien, Ken lui avait offert la sérénité, chose que Gesen n’avait jamais réussi à faire. Ils marchaient côte à côte, mais au détour d’une rue ils se retrouvèrent nez à nez avec Sofia.
-Alex, ça fait une heure que je te cherche, où est-ce que tu étais passé ?
-Partez devant maître, j’ai quelque chose à régler.
-Est-elle une de tes amies ?
-Non elle n’est rien pour moi.
-Soit je t’attendrais plus loin.
Puis Ken partit, Sofia était stupéfaite.
-Qu’est ce qui te prend de dire ça ?! Et c’était qui ce guignol ?!
-Comment parles-tu de Maître Ken ?!
-Quoi ?! Ken, c’est lui ?! Mais qu’est ce que tu fabriques, je te signale que c’est votre ennemi !
-Les choses ont changées.
-Rien n’a changé ! Après tout ce qu’ils vous a fait tu oses faire partie de son organisation ! Mais t’es malade !
-Tu ne comprend pas, il m’a offert ce que je recherchais vraiment. Ce que toi ou Gesen ne pouviez m’apportez, lui me l’a donné.
-Mais de quoi tu parles ? Il ne peut pas te donner plus que l’amitié que te donnait Gesen !
-Si, il m’a donné le pouvoir, et ce pouvoir m’a ouvert les yeux, il m’a montré que je n’avais plus besoin de toi ou de Gesen.
Sofia avait les larmes qui coulaient, elles ne croyaient pas ce qu’elle entendait.
-Tu te rends compte de ce que tu dis ? Tu parle de Gesen comme si il n’avait jamais rien signifié pour toi !
-C’est le cas maintenant, vous ne signifiez plus rien pour moi.
Sofia s’agrippa à Alex en pleurant.
-Je ne peux pas croire ce que tu me dis. Comment a-t-il fait pour te retourner le cerveau comme ça ?
-Il ne m’a pas retourné le cerveau, il m’a juste ouvert les yeux sur le monde.
-Tu dis n’importes quoi !
-Je suis désolé Sofia, mais je dois y allez. Adieu.
Alex l’assomma, la posa contre un mur puis partit. Il rejoignit Ken à la sortie de la ville, ils prirent ensuite la direction des montagnes de Faron. Alex laissait derrière lui son passé, mais devant lui se trouvait un futur plus joyeux, enfin c’est ce qu’il pensait.

j'aime pas les fics aux longs chapitres :'(

Pas ça, la référence à Star Wars....coté obscur me fait délirer, c'est tout. J y ai depuis longtemps cédé donc bon, quand on parle de coté obscur^^

Juste une question comme ça Monkey : poster sa fic sur le Forum de Final Yugi te semble t-il une bonne idée? Ou alors, ça manque encore de niveau?

@Flymoi: et bien ma fic ne risque aps de te plaire alors, puisque les chapitres vont se rallonger au fur et à mesure que l'histoire va avancer ^^.

@losohen: non ce n'est pas une mauvaise idée, le niveau y est plutôt bon. LKes écrivain comme Shaka ou encore kerberos ont un très bon niveau (pour shaka il ne faut pas se fier aux premiers chapitres). En plus les commentaires des forumeurs sont généralement pleins de bons sens et te permettent de t'améliorer.
Seulement, le forum traverse une période de crise. Cela fait plusieurs semaines que personne ne s'occupe de la section et du coup tu risque de poster sans avoir de réponse avant un moment.
Après si tu es patient poste les deux trois remiers chapitres (pas tous à la fois espaces les de deux trois jours pour laisser le temps aux lecteurs d'affluer) et attends l'arrivée d'un commeur (surtout Shaka en fait, car les vrais bo commeur qui faisaient réelement avancés les fics ont tous désertés).

Dans tout les cas ce n'est absolument pas une mauvaise idée de poster ta fic, surtout qu'elle d'un bon niveau, ça ne pourra que t'être bénéfique. Si d'ailleurs trop fiqueurs voulaient bien se joindre à lui ce serait ympa de redonner un peu de vie à la section de FinalYugi (et ça mle permettrait d'avoir le temps de lire els fics déjà bien avancées sur ce forum ^^').

C'est vrai qu'on a pas grand nombre de lecteurs ici...Donc hard de savoir si on écrit pour des pruneaux...

Eh!Je refuse ta réflexion sur la question sensé révéler notre personaluté!

Je ne suis pas inconscient, je pèse mes actes et mes mots.

Apres pour le coté psychopate et asoifé de sang je ne dis rien...

Et au fait on continue dans Star Wars la avec les clones...

Pour quand le conseil des Jedi\Duellistes?^^

Salut à tous !!!

Voilà une fic qui revient de loin si je puis dire ^^. Bon en tout cas je vous envoie le chapitre 17, la fin du Duel de Lumière. Aucune info dans le chapitre, juste du ful duel comme on les aime .

CHAPITRE 17: Ange et châtiment.

Diane : Alors as-tu finis ton tour ?
Homme : Non, je pose une carte face cachée. A toi.
(Gahal, Maître des Profondeurs (2900,2100), 1 carte face cachée, 3 cartes en main et 3500 points de vie).

Diane : A moi.
Homme : Où est passé ton autre duel disc ?
Diane : Tu ne le savais pas ? Lorsque je combat, je prend mon propre duel disc, c’est le seul qui puisse résister à la puissance du châtiment.
Homme : (Il n’y a donc plus de doutes possible, c’est bien elle. Il me suffit juste de gagner et je deviendrais riche).
Diane : Je retourne la carte piège Ascension de l’Ange, lorsqu’un monstre lumière a été détruit en combat par un monstre de l’adversaire lors de la battle phase précédent, j’ai le droit d’invoquer un monstre lumière de ma main avec une attaque plus faible que le monstre détruit, en échange j'annule ses effets. J’invoque spécialement Ange Poison (900,200), ensuite je sacrifie mes deux monstre afin d’invoquer Syl, Protectrice des ténèbres (2700,2400).
Homme : Mais pourquoi mon deck se mélange-t-il ?
Diane : Tu le sauras bien assez tôt. Maintenant Syl, attaque Gahal.
Homme : Mon monstre est pourtant plus fort que le tiens.
Diane : Regarde ses points d’attaque dans ce cas.
Homme : Que… Quoi ? Ses points d’attaques ont diminués.
Diane : Oui, lorsque Syl attaque ou est attaquée par un monstre ténèbres elle abaisse son attaque de 500 points.
(Points de vie Homme : 3200)

Comme d’habitude l’électricité se rependit dans le corps de l’homme, mais celui-ci, comme la première fois, ne ressentit rien.

Homme : Ca ne sert à rien je ne ressens aucune douleurs.
Diane : Dis plutôt que tu as trafiqué ton duel disc pour donner l’impression que tu te recevais les dommages, alors qu’en fait, depuis le début, tu n’as pas été touché par l’électricité une seule fois.
Homme : Ahah, je vois que tu es observatrice.
Diane : Mais ce genre d’artifice ne marche pas dans le duel de lumière.
Homme : Quoi ?

A ce moment un rayon de lumière frappa l’homme en pleine poitrine, cela eu pour effet de le projeter à terre. Il se releva en mettant une main sur son torse, ce qui trahissait sa douleur.

Diane : Tu vois, je te l’avais dis. Ici, tu n’es à l’abri de rien.
Homme : (Maître Ken l’avait mentionné mais je ne pensais pas que c’était vrai).
Diane : Je n’ai pas finis mon tour, j’active la carte piège Ecrasement des Ténèbres, lorsqu’un de mes monstre ange détruit un monstre ténèbres, il peut ré attaquer une seconde fois.
Homme : Oh non.
(Points de vie Homme : 800)

Comme lors de l’attaque précédente un nouveau rayon de lumière frappa l’homme en pleine poitrine, la différence est que quand il se releva, il saignait.

Homme : Hé hé c’est autre chose que le duel des ombres.
Diane : C’est le châtiment que vous allez recevoir chacun à votre tour.
Homme : Mais je n’ai pas dit mon dernier mot.
Diane : On verra ça, je termine mon tour en posant une carte face cachée.
(Syl, Protectrice des Ténèbres (2700,2400), 1 carte face cachée, 1 carte en main et 2800 points de vie).

Homme : A… A moi. (La vache, ça fait super mal). Je vais à présent invoquer Gahel, Roi des Abysses (3500,2100) en envoyant toute ma main au cimetière et en retirant du jeu Gahal ainsi qu’un autre monstre profondeurs il est indestructible par des effets de carte et en plus même avec l’effet de ton monstre, il aura assez de points d’attaque pour te le détruire. Maintenant Gahel attaque Syl et fais ressentir à cet esprit la douleur de son châtiment.
(Points de vie Diane : 2500)

Comme pour l’homme, Diane reçu elle aussi un rayon de lumière en pleine poitrine mais elle ne vacilla pas.

Homme : J’active ensuite ma carte piège Relance, si j’ai envoyer des cartes depuis ma main au cimetière par un effet de carte, je peux repiocher un nombre de cartes égale au nombre de cartes envoyées par l’effet. Je pose deux cartes face cachée, puis je termine mon tour.
(Gahel, Roi des Abysses (3500,2100), 2 carte face cachée, 1 cartes en main et 800 points de vie)

Diane : Très bien, à mon tour. Je pose un monstre et une carte face cachée, à toi.
( 1 monstre face verso, 2 cartes face cachée, 0 carte en main et 2500 points de vie)

Homme : Hahaha ! Tu es obligée de jouer défensivement. C’est normal, face à Gahel tu ne peux rien faire.
Diane : C’est ce que tu crois.
Homme : Très bien, je pioche. Je retourne mon piège Brise-Garde, durant ce tour tout mes monstre gagne la faculté de perce-défense. Allez vas-y Gahel, fais-lui ressentir la douleur.
(Ange Protectrice (1300,1500) détruit)
Homme : Tu vas maintenant perdre la différence entre les points d’attaque de mon monstre et les points de défense du tiens.
(Points de vie Diane : 500)

De nouveau, le rayon de lumière frappa Diane, mais elle ne montra toujours aucun signe de douleur.

Diane : Bien, tu as fini ?
Homme : (Cette femme est sur le point de perdre et pourtant elle ne montre aucun signe d’inquiétude, elle e devient presque insolente). Oui, je termine mon tour en posant une carte face cachée.
(Gahel, Roi des Abysses (3500,2100), 2 cartes face cachée, 1 cartes en main et 800 points de vie).

Diane : Je pioche, et je joue la carte magie Runes Angéliques, je déclare un attribut de monstre, si il y a un monstre dans ton deck avec ce même attribut, tu l’invoque spécialement sur ton terrain en mode attaque, en échange je pourrais invoquer un monstre de mon cimetière de même attribut et avec une attaque égale ou inférieure au monstre invoqué sur ton terrain.
Homme : Tu es sure de vouloir faire ça ? Il y a très peu de chance pour que cela fonctionne.
Diane : Je sais ce que je fais. Je déclare l’attribut lumière.
Homme : Dommage, mais je n’ai aucun monstre de cet attribut dans mon deck.
Diane : C’est ce que tu dis, mais ton deck n’est pas de cet avis.

L’homme regarda son deck, en effet une carte en dépassait. Il la prit, la regarda, et la surprise apparue alors sur son visage.

Homme : Mais, comment est-elle arrivée là ?
Diane : C’est très simple, lorsque Ange Poison quitte mon terrain il va directement dans le deck de l’adversaire.
Homme : Et merde, je n’ai pas fait gaffe. J’invoque donc spécialement l’Ange Poison (900,200).
Diane : Cela me permet donc de faire l’invocation spéciale depuis mon cimetière d’un monstre lumière avec 900 points d’attaque ou moins, j’invoque donc Mini Ange (800,1200) en mode défense. Au fait t’ais-je parlé de l’effet de l’Ange Poison ?
Homme : Euh, non.
Diane : Et bien lorsqu’il est invoqué spécialement, il fait perdre à son contrôleur 900 points de vie.
Homme : Quoi ?!

L’Ange Poison se retourna contre l’homme et lui fonçât dessus.
Homme : Je retourne ma carte piège Sacrifice des Abysses, en retirant du jeu un ou plusieurs monstre profondeur, je gagne 1000 points de vie par monstre retiré du jeu par cet effet.
Diane : Le problème c’est que tu n’a plus de monstre profondeurs, tu les as tous retirés du jeu.
Homme : Et bien non, lorsque j’ai invoqué Gahel j’ai mis toute ma main au cimetière et dedans il y avait un autre monstre profondeur.
(Points de vie Homme : 800=>900)

Diane : Bien, je vais pouvoir encore m’amuser alors.
Homme : Arrêtes de te la jouer ! Tu n’es pas en position de force je te signale.
Diane : Ce que l’on voit ne reflètes pas souvent la réalité.
Homme : Pff.
Diane : Je passe tout d’abord mon Mini Ange en mode attaque puis retourne ma carte piège Pluie Angélique, je peux invoquer depuis mon cimetière autant de monstres ange que de monstres invoqués spécialement lors du tour précédent, en échange ces monstres seront placés en mode défense, ne pourront pas changer leur position de combat, ne pourront pas être sacrifier et seront détruit à la end phase.
Homme : Alors à quoi cela peut-il bien te servir ?
Diane : Tu le verras bien. J’invoque donc spécialement Syl, Protectrice des Ténèbres (2700,2400) et Ange Guerrière (1700,900). Maintenant l’effet de Ange Guerrière s’active, le tour où elle est invoquée mon Ange Guerrière gagne un montant d’attaque égale à l’attaque d’un autre monstre ange présent sur mon terrain jusqu’à la end phase. Je donne donc un bonus de 2700 points d’attaque à mon Ange Guerrière (4400,900).
Homme : C’est inutile, ton ange ne peut même pas m’attaquer.
Diane : Ca tombe bien, ce n’est pas avec elle que je voulais t’attaquer. J’active ma seconde carte piège Echange Angélique, grâce à cette carte je peux échanger l’attaque et la défense de deux monstres ange, leurs statistiques ne seront pas changées tant qu’ils resteront tout les deux présent sur le terrain. J’échange l’attaque et la défense de Ange Guerrière et de Mini Ange.
(Ange Guerrière (4400,900==>800,1200), Mini Ange (800,1200==>4400,900))
Homme : (Elle a réussi à retourner la situation, mais heureusement il me reste ma carte face cachée Cylindre Magique, avec ça je ne peux pas perdre).
Diane : Mini Ange attaque l’Ange Poison.
Homme : Désolé de te décevoir, mais tu as perdu. Je retourne mon piège Cylindre Magique.
Diane : Je m’attendais à quelque chose de ce genre, j’active l’effet de l’Ange Protectrice, en la retirant du jeu depuis mon cimetière je peux annuler l’effet d’une carte qui cible un monstre ange. Fin du châtiment.
Homme : Non c’est impossible, je ne peux pas perdre !

Mini Ange détruisit l’Ange Poison et le compteur de points de vie de l’homme afficha zéro.

VAINQUEUR: Diane.

Le rayon de lumière le frappa une nouvelle fois, mais cette fois-ci il ne se releva pas. Le cercle de lumière disparut et le décor du monde réel reparru. Diane fouilla le corps de son adversaire et y trouva une clé ainsi que l’adresse de sa planque.

-Bien maintenant passons au retse de la bande.
Elle sortit de l’impasse se dirigeât vers l’adresse qu’elle avait trouvée, ouvrit la porte à l’aide de la clé, et la ferma après être entrée.

GE-NI-AL! J'adore ces deux chapitres!

Et je fais remarquer qu'il y a encore un parall_le a star wars avec Alex/Anakin qui trahissent.

Et c'est parti pour le 19 .

CHAPITRE 19: Rencontre.

Couché dans son lit d’hôpital, il ouvrit les yeux.
-Où… Où est-ce que je suis ? Se demanda Gesen.
Il scruta la pièce et reconnut la chambre d’hôpital où il avait été admis.
-Héhé, j’ai quand même réussi. Se réjouit-il d’une voix faible. Mais où est Sofia ?
Il regarda partout dans la pièce, mais ne vit aucune trace d’elle. Il commença à s’inquiéter et à se demander où elle était passée. D’un coup le bruit d’une chasse d’eau se fit entendre et Sofia sortit des toilettes de la chambre.
-Gesen !
Elle se précipita vers lui et l’enlaça.
-Hung, pas si fort tu me fais mal là.
-Oups désolé, mais ça me fait tellement plaisir.
-Je t’ai fait peur ?
-Oui, un peu. Mais il faut que je te dise quelque chose à propos d’Alex.
-T’inquiètes pas je suis au courant qu’il a rejoint Ken, mais je vais allez le sortir de là.
-Mais comment le sais-tu ?
-Disons que c’est une petite voix qui me l’a dit.
-Pff, vous êtes vraiment mystérieux tout les deux.
-C’est ce qui fait notre charme. Sourit-il.
Sofia sourit aussi, enfin elle n’était plus seule.
-Au fait, ça fait combien de temps que je suis dans le coma ?
-Ca doit faire deux jours et demi.
-(Très bien, il me reste encore cinq jours pour me remettre sur pied). Hé, Sofia, tu sais ce qu’il me ferais plaisir ?
-Non.
-Tu pourrais aller m’acheter une dizaine de pizzas, je meurs de faim avec tous les repas que j’ai manqué. Dit-il avec un grand sourire.
Elle acquiesça de la tête en souriant et partit acheté ce qu’il avait commandé.

Dans une pièce peu éclairée, Ken était assis sur son trône, il attendait. Alex entra dans la pièce, son visage était assombri, sa coup de cheveux avait changée, il arborait maintenant des cheveux en bataille qui s’harmonisaient parfaitement avec son visage sombre, il ne portait plus ses lunettes.
-Vous m’avez fait demandé maître ?
-Oui Alex. J’ai besoin de toi pour une petite mission.
-Qu’elle est-elle ?
-Je voudrais que demain matin tu ailles au quartier général se trouvant à Tara.
-Que suis-je sensé y faire ?
-Et bien nous n’avons pas eu le rapport journalier, j’aimerais donc que tu ailles faire un tour pour voir ce que font ces imbéciles.
-Bien, il en sera fait selon vos désirs.
Il commença à tourné les talons.
-J’aimerais que tu prennes deux-trois hommes avec toi.
-Je n’ai besoin de personnes, j’irais seul. Ne suis-je pas le meilleur élément de cette organisation ?
-Justement, peut-être pas.
Alex se retourna.
-J’ai battu tout le monde ici, personne ne peut me vaincre, à part vous.
-Non, il y a quelqu’un d’autre qui est capable de te battre, il s’appelle Ryu Masaki.
-Masaki ? Le célèbre bretteur ?
-Oui, mais tu n’as pas eu l’occasion de le rencontrer car je l’avait envoyer vous cherchez toi et Gesen, mais apparemment vous ne l’avez pas croisé.
-Alors il reste un homme qui à peut-être le pouvoir de me battre. Est-il possible que je le rencontre demain lors de ma mission ?
-Oui, c’est même certains.
-Très bien, demain je me mesurerais à lui et je deviendrait ainsi l’homme le plus fort de cette organisation.
Sur cette phrase il partit de la pièce.
-C’est presque trop simple de le manipuler, hahaha !

Le lendemain matin, Sofia descendit les escaliers de l’hôtel, passa dans par la porte vitrée du hall pour sortir. Elle respira un bon bol d’air frais en affichant un grand sourire.
-En voilà une qui a l’air heureuse.
Elle tourna la tête sur sa gauche pour voir qui lui avait parlé. C’était Gesen, il était assis sur un petit muret, il mangeais une pomme verte et portait un pyjama d’hôpital. L’incompréhension se lisait sur le visage de Sofia.
-Mais qu’est ce que tu fous ici ?! Cria-t-elle.
Gesen ne ‘attendait pas à cette réponse, il fut tellement surpris qu’il tomba à la renverse. Il se releva un petit peu juste pour laisser sa tête dépasser du muret.
-Mais qu’est ce qui te prend de me crier comme ça ? Dit-il d’une voix calme.
Sofia se rapprocha telle une furie et l’empoigna par le col en le secouant.
-Tu devrais être dans ta chambre d’hôpital, t’as rien à faire là !
Gesen était sonné par la réaction de Sofia, lorsqu’elle le lâcha il reprit la parole.
-Mais les médecins étaient comme toi, ils voulaient pas me laisser sortir, alors je suis passer par la fenêtre pour venir te rejoindre. Dit-il avec le sourire.
Sofia lui donna un coup de poing sur le sommet du crâne.
-Mais t’es complètement inconscient !
-Hey, on ne frappe pas un blessé.
-Bah, t’as pas l’air si blessé que ça. Pff, t’es vraiment intenable.
-Euh désolé. Dit-il en faisant une tête de chien battu.
-Arrêtes de faire ça, ça m’énerve. S’énerva-t-elle.
-(Quel tempérament explosif, si ça se trouve elle est plus dangereux que Ken).
Elle soupira.
-Bon allez viens chercher des vêtements dans la chambre d’hôtel, parce que te trimballer les fesses à l’air avec un pyjama d’hôpital ça le fait pas trop.
Gesen se releva.
-Dommage, je l’aimais bien ce pyjama. Ironisa-t-il.
Et ils rentrèrent tous les deux dans l’hôtel, ils y restèrent quelques minutes puis ressortirent. Gesen était à présent habillé.
-Finalement tu avais raison c’est mieux que le pyjama. Dit Gesen.
-Evidement. Soupira-t-elle.
-Bon allez, c’est parti pour une petite promenade.

Alex arrivait à Tara, il remonta la rue principale puis tourna dans une petite ruelle, il continua de marcher jusqu’à s’arrêter devant une porte qu’il ouvrit grâce à une clé sortie de sa poche. Il entra dans la maison et y vit des gens allongés par terre, inconscient, mais cela ne le choqua pas. Il monta un étage, où le sol était pareillement jonché de personnes inconscientes, mais du bruit venait de l’armoire du fond, il s’approcha, dégaina son sabre et trancha la porte qui laissa apparaître un homme recroquevillé et apeuré.
-Elle… Elle est partie ? Demanda-t-il.
Alex se baissa pour se mettre à son niveau.
-Qu’est ce qu’il s’est passé ici ? Demanda-t-il froidement.
-Qui es-tu ?
-Ton supérieur, alors réponds.
-Rien ne me prouve que tu es de notre bord.
Alex attrapa la gorge de son vis-à-vis à la vitesse de l’éclair.
-(C’est le pouvoir des ténèbres, donc il est avec nous). Ok, c’est bon je vais te dire ce que tu veux savoir. Dit-il d’une voix étouffée.
Alex le relâcha.
-Bien, je t’écoute.
-Et bien une femme est entrée ici, au début on pensait qu’elle faisait partie de l’organisation, mais elle a commencé à nous attaquer. Nous n’avons rien pu faire, elle était comme possédée.
-Vous vous êtes fait battre par une simple fille ?
-Non, ce n’était pas une simple fille. C’était l’esprit du cristal de lumière, elle l’a mentionner lors de l’attaque.
-L’esprit du cristal de la lumière ? Donc sa veut dire que le possesseur du cristal se trouve ici ?
-Je dirais plutôt que c’est une femme qui est en possession du cristal, mais en effet elle se trouvait en ville.
-Donc elle doit toujours être ici. A quoi ressemblait-elle ?
-Une femme pas très grande les cheveux bruns avec quelques mèches blonde et à peu près une vingtaine d’année.
-(Serait-ce… ? Non, impossible).
-Vous pensez savoir qui c’est ?
-Euh.. Non.
Alex se releva et commença à se dirigé vers les escaliers, mais il s’arrêta avant de descendre, se retourna vers l’homme.
-Saches que Ken m’a demandé de t’envoyer dans les ombres.
La peur s’installa sur le visage de l’homme.
-Mais je ne le ferais pas, alors dépêches-toi de disparaître avant que je ne soit vraiment obligé de le faire.
Puis il descendit les escaliers et sorti de la maison pour rejoindre la rue principale. Il marchait, pensait. Il passa alors devant un parc où se trouvait Sofia et Gesen, mais perdu dans ses pensées il ne les remarqua pas. Gesen tourna la tête vers lui et le reconnu.
-Sofia, regardes là-bas.
-Quoi ? Mais c’est…
-Oui. Viens on le suit.

Ils se levèrent puis le suivirent à distance raisonnable pour qu’il ne les repèrent pas. Alex remonta la rue principale jusqu’à tourner dans une rue perpendiculaire puis alla dans un chantier qui semblait abandonné. Gesen et Sofia se précipitèrent pour le rattraper, mais arrivé dans l’enceinte du chantier ils ne virent personne, alors ils avancèrent un plus profondément.
-Vous n’auriez pas du me suivre. Dit Alex.
Gesen et Sofia se retournèrent, la voix venait du premier étage d’un immeuble en construction. Alex fit un bond de deux mètre pour atterrir sur le sol.
-Et pourquoi cela ? Demanda Gesen.
-Parce que je voulais éviter cette rencontre. Mais autant vous le dire tout de suite tout de suite, Ken recherche chacun votre cristal.
-Quoi ? Mais qu’est ce que mon cristal a à voir là-dedans. Rétorqua Sofia.
-Tu portes autour du coup la dernière clé capable de mettre à exécution le plan de Ken, le cristal de la lumière.
-Mais non, ce cristal m’a été donné par ma mère lorsqu’elle nous a quitté moi et mon père.
-Cela ne m’étonne pas. Mais je t’assure que ce que tu as autour du coup n’est autre que le cristal de lumière. D’ailleurs cela expliquerait l’événement qui s’est produit chez Victor, l’esprit de la lumière s’est emparé de ton corps pour livrer un duel des ombres à ta place.
Gesen était stupéfait par ce qu’il apprenait.
-Alors, à chaque fois que je m’évanouissait, cet esprit prenait possession de mon corps ?
-Et bien oui. Mais bon finis la parlotte, je vais vous le demander gentiment, donnez-moi vos cristaux et il ne se passera rien de fâcheux.
-Comme si on allait te les donner sans nous défendre. Dit Gesen en se mettant devant Sofia.
Il le va son bras pour entamer un duel, mais il se rendit compte qu’il n’avait pas pris son duel disc.
-(Ah non, pas ça. J’ai du le laisser dans la chambre d’hôtel, le boulet).
-Pff, arrêtes un peu de faire le pitre, de toute façon tu n’est pas de taille face à moi.
-Ken t’a lavé le cerveau ou quoi ? Je te signales que j’ai toujours été meilleurs que toi.
-Oui, mais plus maintenant. Grâce à Ken je suis devenu le meilleur.
-C’est ce que je dis, il t’a lavé le cerveau.
Alex mis sa main sur son fourreau, Gesen se prépara à parer l’attaque. Mais à cause du pouvoir des ténèbres il n’eut pas le temps de voir Alex se déplacer.
-(Merde, i est rapide, il va vraiment me frapper).
Il mit ses bras en oppositions, entendit un bruit métallique mais ne sentit aucune douleur sur son corps. Il se retourna et vit Alex entrain de parer le sabre d’un homme inconnu. Si Alex n’avait pas été là il se serait fait trancher par derrière par cet homme.
-Laisses mes cibles tranquilles. Dit Alex en s’adressant à l’homme.
-Alors toi aussi tu as le pouvoir des ténèbres. Répondit-il.
-Oui, ce ne sera pas simple de me battre, hein ? Ryu Masaki. Lui répondit-il.
-Alors tu me connais et tu as le pouvoir des ténèbres. Tu as donc été recruté par Ken, intéressant.
Ils rangèrent leurs armes et se firent face. Gesen était toujours aussi impressionné par la vitesse d’Alex, mais il se demandait aussi ce qui était entrain de se passer devant ses yeux.
-Ca tombe bien je te cherchais. Dit Alex.
-Ah oui et pourquoi ça.
-Pour me mesurer à toi et te battre pour ainsi devenir le meilleur.
-Tu n’es qu’un inconscient. Tu n’as aucune chance face à moi.
-Alors essayes.
-Je n’ai pas le temps de me mesurer à un cloporte de ton espèce.
Puis il parti de la même façon qu’il était venu, c'est-à-dire à la vitesse de l’éclair. Alex regardait le ciel, Sofia s’avança vers lui. Mais il ne se retourna pas.
-S’il te plaît Alex, reviens vers nous.
-Pourquoi faire ?
Elle l’enlaça par le dos et commença à pleurer.
-Ne deviens pas comme lui. Sanglota-t-elle.
-Ca ne risque pas.
Gesen regardait la scène, il ne disait rien. Alex se retourna vers lui.
-Bon puisque vous n’êtes pas d’accord pour me donner vos cristaux, je vais de voir employé les grands moyens.
Il prit Sofia et la mit sur son épaule tel un sac de pomme de terre.
-Je l’emporte avec moi, si tu veux la récupérer viens à la forteresse dans cinq jours, Ken t’y attendra.
-Arrêtes de me traiter comme un vulgaire objet, j’en ai marre. Cria Sofia.
-A plus tard Gesen.
Puis il disparut comme Ryu, laissant Gesen seul dans le chantier. Il tomba à genoux et donna un coup de poing sur le sol.
-Et merde !! Cria-t-il en martelant le sol
Il se releva, regarda les montagnes d’un air déterminé.
-(Sofia, Alex, attendez-moi, je viens vous sauver. Prépares-toi à prendre ta rouste Ken).
Puis il partit en direction de l’hôpital en se tenant le ventre.

Et go pour le 21.

CHAPITRE : Force et volonté.

Gesen ouvrit les yeux, il était allongés dans un lit douillet. Il regarda autour de lui et vit une maison très simple, il n’y avait que deux pièces. La première pièce devait faire dans les 40 m², deux lits étaient posés l’un à côté de l’autre en face de la porte d’entrée encadrée par deux fenêtres, une table se trouvait au milieu, et d’un côté plusieurs meubles ainsi qu’une télé et de l’autre un petit coin cuisine. On pouvait deviner que la deuxième pièce était la salle de bain. Gesen était seul, il se leva et tomba à terre.
-Faut croire que j’ai pas encore bien récupéré.
La porte s’ouvrit et un vieil homme entra.
-Tu es encore trop faible pour pouvoir te lever.
-J’avais remarqué, merci.
Le vieil homme s’approcha de Gesen et lui mis un coup de poing.
-Ce n’est pas une façon de parler aux personnes âgées, et surtout pas à celle qui vient de te sauver. S’énerva-t-il.
-(Sacrément balèze le vieux). Désolé.
-Jeune insolent.
Il leva Gesen et le recoucha dans le lit. Il alla ensuite vers le coin cuisine pour préparé à manger.
-Quel heure est-il ? Demanda Gesen.
-Quelque chose comme 13h30. Tu as bien dormi quoi.
-(Donc il me reste encore trois jours).
-Tu as l’air bien pensif, n’espère pas pouvoir te lever avant demain.
-Comment ?!
-Bah oui, t’es pas mal amoché quand même.
-Je dois récupérer mon deck.
-Tu joues au duel de monstres ?
-Oui, mais je me suis fait voler mon duel disc hier.
-(Se pourrait-il que ce soit… ?). Tu as vu qui te l’avais pris ?
-Oui, un petit gamin brun.
-Nondidju !! Il va m’entendre celui-là !
-Vous… Vous savez qui c’est ?
-Bien sûr c’est mon petit fils. Il va voir celui-là.
Une demi-heure passa, lorsque la porte se rouvrit à nouveau.
-Pépé ! J’sui rentré !
Le grand père fondit sur l’enfant et lui assena un coup de poing sur le haut du crâne.
-Je t’avais dis d’arrêter de voler les duel disc, tu veux te faire tuer ou quoi ?
-Comment as-tu su ?
-C’est ce garçon qui me l’a dit. Dit-il en montrant Gesen du doigt.
Le petit garçon le regarda et lorsqu’il le reconnut essaya de s’enfuir par la porte d’entrée, mais son grand père le rattrapa avant qu’il ne sorte.
-Non, non, non. Tu vas lui rendre son duel disc. D’ailleurs je croyais que tu avais arrêter ces bêtises.
-Oui, mais regarde papy, on a presque plus d’argent et vendre les duel disc rapporte de l’argent.
-Ce n’est pas un raison, je t’interdis de voler quoique ce soit ! Si tu veux ramener de l’argent, tu n’as qu’à travailler honnêtement.
-Mais je n’ai que dix ans.
-Et bien débrouilles-toi pour trouver du travail de ton âge.
-Euh excusez-moi, cela veut-il dire que je ne reverrais plus mon duel disc et mon jeu ? Intervint Gesen.
-Non, je n’ai pas encore vendu ton duel disc. Je vais te le chercher. Dit l’enfant d’une voix à peine audible.
Il partit quelques instants et revint avec le duel disc de Gesen, il lui apporta. Gesen regarda furtivement si toutes se cartes étaient présentes, après vérification, il regarda l’enfant.
-C’est bon, je ne t’en veux pas puisque tu me l’as rendu. Dit-il en souriant.
Mais l’enfant garda un air grave et sortit de la maison.
-Quel garçon bizarre, peut-être que si je l’avais frappé il aurait mieux réagis.
-Ne dis pas ça. Intervint le grand père.
-Pourquoi ?
-Ce garçon a perdu son père, j’ai donc du l’élever moi-même.
-Vous n’êtes pas son vrai grand-père ?!
-Si, si. Mais depuis qu’il a perdu son père, Jonathan ne cesse de vouloir m’aider à gagner de l’argent pour vivre, il se sent obliger de le faire pour m’aider.
-Je vois. Alors pourquoi m’avoir recueillit si vous êtes dans le besoin ?
-C’est dans ma nature et celle de mon petit-fils, on ne peut tout simplement pas abandonner quelqu’un qui a besoin d’aide. Et puis j’étais médecin, cela me rappelle le bon vieux temps héhé.
-Je suis quand même désolé de vous imposer ma présence.
-Oh, ce n’est rien mon garçon. Tiens, prend donc de quoi reprendre des forces.
Le grand-père lui tendit un bol de soupe que Gesen accepta chaleureusement. La journée passa, Gesen s’occupait comme il pouvait clouer dans son lit, de temps en temps le grand père l’aidait à marcher dans la pièce pour voir où en était sa guérison. La nuit arrivé et le petit Jonathan rentra.
-Tu rentres enfin, où étais-tu ? Demanda le grand-père.
-J’ai essayé de trouver du travail chez les commerçants, mais aucun n’a voulu de moi. Dit-il dépité.
-Ah ah ah ! Ca ne m’étonnes pas. Allez viens reprendre des forces en mangeant.
Le petit garçon s’assit à la table, le grand père allait proposer à Gesen de venir s’installer mais il vit qu’il s’était endormi, il alla donc rejoindre son petit fils, ils allèrent ensuite se coucher.

Le lendemain matin Gesen se réveilla tôt, mais Jonathan était déjà partit et le grand père s’apprêtait à faire de même.
-Grand père. Appela Gesen.
-Tu te réveilles tôt pour une fois. Désolé je ne peux pas rester, essayes de marcher aujourd’hui, mais ne t’étonnes pas si tu tombes, c’est normal.
-Merci.
-De rien, je reviendrait vers midi.
Puis il ferma la porte, Gesen souleva la couette et posa ses pieds au sol tout en restant assis sur le sommier. Après quelques secondes d’hésitations il se leva lentement. Il arrivait à tenir sur ses jambes, c’était déjà bien, il fit quelques pas, mais tomba à terre.
-Je suis pas encore au top.
Il se releva et continua à marcher, toute la matinée il tenta de tenir debout. Midi arriva rapidement, Gesen était essoufflé, il avait mis tellement mis d’énergie à marcher, il était assis à la table et attendait. C’est Jonathan qui arriva le premier.
-Grand-père, c’est m… Bah il est pas rentré ?
-Non, toujours pas.
-Bizarre, bon je vais prendre le courrier.
Il alla à la boite aux lettres, les feuilleta et en ouvrit quelques unes. Après quelques instants, il posa le courrier sur le rebord de la fenêtre et se retourna vers Gesen.
-J’ai oublié que j’avais un truc à faire, tu diras à papy que je reviens vite, ok ?
-Euh, ouais si tu veux.
Puis il partit.
-Vraiment bizarre ce garçon, un jour il ne me parle pas et le jour d’après il devient gentil. Mais bon je peux pas lui en vouloir.
Il attendit un quart d’heure sans que personne ne vienne, il décida alors d’aller sur le pas de la porte pour voir si il ne les apercevaient pas, mais personne à l’horizon.
-Qu’est ce qu’ils foutent ?
Il rentra à l’intérieur, à présent il réussissait à marcher, il fit le tour de la table et vu le courrier posé sur le rebord de la fenêtre. Il était de nature curieuse et ne pouvait s’empêcher de regarder.
-De toute façon, il n’y a pas de mal à faire ça. Se dit-il.
Il feuilleta les enveloppes et lu celle qui était ouverte, son visage affichait la stupéfaction mêlée à la colère. Il laissa tomber le courrier, alla chercher son duel disc et sortit de la maison en courant. La lettre qu’il venait de lire gisait sur le sol et on pouvait y lire :
« Nous détenons ton grand-père, si jamais tu veux le revoir vivant rends-nous ce que tu nous a pris. Nous t’attendrons eu hangar 19. Signé : Fried »

Gesen courrait, même si cela lui faisait mal aux jambes, le problème c’est qu’il ne savait pas où se trouvait ce fameux hangar, il s’arrêta vers des passants pour demandé son chemin, ces derniers lui indiquèrent la bonne direction, il les remercia et continua sa route.
-(S’il te plaît Jonathan ne fais pas de trucs débiles, j’arrive).

Jonathan arrivait à l’entrée du hangar, il entra et vit son grand père au milieu de la pièce, attaché par de solides chaînes à une chaise. Il se précipita vers lui.
-Grand père !
La porte se ferma derrière lui ce qui le fit s’arrêter net.
-Alors, tu es venu. C’est bien.
Jonathan avait reconnu cette voix, il se retourna.
-Fried ! Libères mon grand père tout de suite !
Fried s’approcha du petit garçon. C’était un homme assez grand et musclé, de longs cheveux blonds tombaient sur ses épaules, des yeux gris finissaient son visage ces derniers lui donnant une expression sombre. Derrière lui, il y avait cinq autres hommes.
-Si tu veux qu’on le libère, tu devras nous rendre l’argent que tu nous dois.
Jonathan baissa la tête.
-L’ennuie c’est que nous n’avons pas cette somme.
-Ca, il fallait y penser avant de nous emprunté l’argent.
Fried s’approcha alors du grand père, il mit sa main autour du coup de sa victime, toujours assommée.
-Non, ne lui faites pas de mal !
-C’est de ta faute si je lui fait cela en ce moment.
Jonathan s’écroula à terre en pleurant.
-Non, ne lui faites pas de mal, c’est mon grand père, ma dernière famille. Vous ne pouvez pas. Pleurnicha-t-il.
Fried lâcha alors le grand-père, s’approcha de Jonathan et s’abaissa à son niveau.
-Sinon, il y a une autre solution.
-Laquelle ? Demanda Jonathan en levant la tête
-Et bien, tu n’as qu’à te sacrifier à la place de ton grand-père, ça revient au même pour nous.
Jonathan réfléchit et au bout de quelques secondes il se releva l’air déterminé.
-D’accord, je vais prendre la place de mon grand-père.
-Quel courage pour un garçon de dix ans, mais bon en même temps c’est normal que tu doive payer, c’est toi qui as fait la connerie.
-Qu’est ce que tu fait sombre abrutis.
La voix venait de derrière eux, elle était à la fois forte et fatiguée.
-Papy ! Cria Jonathan.
-Pourquoi est-ce que tu es venu ? Tu crois vraiment qu’ils vont nous laisser repartir sains et sauf de cet endroit.
-Mais…
-Il n’y a pas de mais ! Quittes cet endroit avant qu’il ne t’arrives malheur !
Jonathan se retourna et commença à courir, mais il se fit attraper le bras.
-Où est ce que tu crois aller comme ça ?
Jonathan était apeuré, il ne pouvait plus s’enfuir et après avoir entendu son grand père il comprenait ce qui allait lui arriver dans tout les cas.
-Tu vois, je te l’avais dit que tu allais avoir des ennuis, tu ne m’as pas écouté, voilà où nous en sommes à présent.
-Je suis tellement désolé, je ne voulais que ça se passe comme ça, je voulais simplement t’aider. Pleurnichait l’enfant.
-C’est dommage, mais maintenant vous allez payer. Dit Fried d’une voix sombre.
Il donna une claque à l’enfant, ce qui le fit s’écrouler à terre.
-Et ça, ce n’est que le début.
Il allait donner un deuxième coup à l’enfant lorsqu’il entendit des bruits de combat devant la porte du hangar. Il releva la tête vers ses acolytes.

-Qu’est ce qu’il se passe ? Ils se battent entre eux ou quoi ? Allez voir ce qu’il se passe dehors ! Ordonna Fried.
Mais ils n’eurent pas le temps de sortir qu’un homme apparaissait devant la porte. On ne pouvait voir que sa silhouette à cause du soleil qui brillait derrière lui.
-Désolé, je suis en retard pour la fête, mais je n’arrivais pas à trouver le hangar. Dit-il.
-Qui es-tu ? Demanda Fried.
-Celui qui va te mettre ta dérouillée.
-Attrapez-le.
Les 5 sbires se jetèrent sur l‘homme qui n’avait pas eu le temps de réagir. Ils lui tenaient solidement les membres.
-Amenez-le ici, qu’il puisse participer à la fête.
L’homme fut amené au milieu de la pièce vers Jonathan qui le reconnut.
-Gesen !!
-Alors, tu le connais ? Demanda Fried.
Jonathan venait de se rendre compte de l’erreur d’avoir crier son nom.
-Bah c’est bien, ce sera plus conviviale. Une dernière parole ?
-Ouais, moi j’ai quelque chose à dire. Dit Gesen.
-Ca ne m’étonne pas vu ta grande bouche, mais vas-y fais donc, je t’en prie.
Il regarda Jonathan d’un air assez sévère.
-Qu’est ce qui t’as pris de partir comme ça ?! Que comptais-tu faire face à eux ?!
-Je…
-C’est bien beaux d’avoir de la volonté, mais des fois ça ne suffit pas, quand on a pas la force d’assumer ses actes on ne tente rien, ou alors on demande à un ami !
-A qui voulais-tu que je demande ?! Cria Jonathan.
-Et pourquoi pas à moi ?!! Rétorqua-t-il.
Jonathan ne répondit pas, il baissa la tête. Gesen sourit.
-Bon allez t’inquiètes pas, je vais vous sortir de là.
Cette phrase redonna le sourire à Jonathan. Fried applaudit.
-Bravo, tu es un grand orateur, je dois l’admettre.
-Merci du compliment.
Fried se mit devant Gesen, comme pour le provoquer.
-Maintenant dis-moi comment tu vas faire pour les sortir d’ici.
-Et ben écoutes, c’est assez simple en fait.
Et il donne un coup de pied dans le visage de Fried qui s’étala par terre. Il donna ensuite un coup de tête aux deux hommes qui lui retenait les bras et se dirigeât vers le reste du gang.
-(Comment peut-il réussir à se battre dans son état, y arriverait-il par la force de sa volonté ?) Se demanda le grand-père.
Après avoir maîtriser les cinq sbires, Gesen revint vers Fried encore sonné par le coup qu’il avait reçu.
-Tu sais ce que j’ai dit à Jonathan, ça vaut aussi pour toi. La prochaine fois vérifie si il y a pas un mec plus balèze que toi en face.
-T’as vraiment une grande bouche, tu crois que t’es tiré d’affaire ? Nous faisons parti de l’organisation de Ken, tu n’as plus aucune chances de t’en sortir vivant.
-Ca tombe bien ça, je dois justement aller le voir demain. Mais en attendant toi, tu ne risque pas de refaire du mal à qui que ce soit avant un moment.
-C’est ce qu’on verra.
-Toi aussi t’as une trop grande bouche.
Puis il assomma Fried. Il alla ensuite vers le grand-père, sans regarder Jonathan, et le délivra.
-Merci beaucoup Gesen, sans toi on était foutu. Dit le grand-père.
-Je vous devait au moins ça pour ce que vous avez fait pour moi. Dit-il en souriant.
Puis il se tourna vers Jonathan et lui mit une petite tape au-dessus de la tête.
-Je serais pas toujours là pour te sortir de ces situations, alors arrêtes tes conneries. Dit-il gentiment.
Le grand père arriva près de Jonathan et le serra dans ses bras, mais il ne lui dit rien.
-Désolé papy, mais je te promet que je deviendrais aussi fort que Gesen pour pouvoir te protéger.
Cette phrase fit sourire Gesen.
-Bon et si on rentrait manger, j’ai faim moi. Dit-il plein d’entrai.
Le petit garçon et le grand-père acquiescèrent de la tête, puis il partirent du hangar.
-(J’espère maintenant que Jonathan fera tout pour te ressembler Gesen). Se dit le grand père.

Trois chapitres d'affilée, pfou...
-Et ben écoutes, c’est assez simple en fait. je la sentais venir à 40 km , celle-la.....^^