Donc, on laisse tomber le mix, on reprends à notre histoire... Maintenant que les prologues sont fait, on est réunis au Conseil, on attends maintenant des suggestions quand à la suie des évennements !
oui himo le tien en 1er et le notre.
mais kelle sera notre quete ?
Moi j´en ai une mais pour plus tard ou je pourrais toujours la mettre toute suite ( plus difficile) car nous devons faire une sortir avant ( je dois faire apparaître un certain élément)
je ne suis pas d´accord pour le déménagement du clan ! !! d´accord on peut refaire une nouvelle fan fic sur ff11 qui est un forum très bien: bon moyen de trouver des membres car beaucoup de joueurs de là bas sont interressés par le fantastique... en plein expansion, et avec nous en plein centre c´est parfait ! !!! nous pouvons refaire une fan fic là bas a partir d´éléments de chacuns que l´ont mettra en commun et puis voilà ! !!! pour ma part, moi, seigneur de ce clan et de tous les vampires, je m´oppose a cette manoeuvre qui d´ailleurs ne m´avait pas été informée avnt qu´elle ne soit faite !
Athamo le seigneur vampirique qui retourne sur ff11 pour marquer ses idées de fan fic
On se revoit là bas alors !
tu l´as été mais tu reçois mes mails en retard...koi kil en soit je me plierai à ta volonté. Consens tu à garder la fan fiction ke nous avons commencé ?
bon ok tous sur final 11...
c...dommage pour notre fic
arkla Posté le 08 mars 2003 à 16:01:03
tu l´as été mais tu reçois mes mails en retard...koi kil en soit je me plierai à ta volonté. Consens tu à garder la fan fiction ke nous avons commencé ?
Ca fait supplication ! !!!!
arkla Posté le 08 mars 2003 à 16:03:36
bon ok tous sur final 11...
c...dommage pour notre fic
S´il est pas d´accord, on peut pas continuer que tout les trois ?
Moi si vous permettez je dis qu´on continue tous les trois Athamo ne répond plus, apparaît et redisparaît par la suite. Nous étions bien parti il fera comme bon lui semblera on peut le laisser dans la fan fic mais à titre de comment dire...pnj?? Figurant?? enfin vous comprenez.
moi je dis que je suis d´accord pour votre fan fic le problème c´est pas que disparait tout le temps c´est que je suis débordé ! !!! je trouve pas le temps de venir tous le sjours ! je passe mon 2eme trimestre avec 17 de moyenne et pour ça je dois bosser ! !!! dsl si ca vous gène mais je peut pas faire autremant ! !! et himo si tu as des choses a dire tu m´en parle ok ?
Désolé j´étais un peu énervé c´est tout. bonne chance pour ton trimestre. j´ai mis le dernier message sur le forum ff11. Athamo si je pouvais avoir ton e-mail ce serais apprécier je t´ai laissé le mien pour les mails
si tu as msn: clouis2@hotmail.com
Bien donc voici l´ordre officiel de la fan fic il faut bien que quelqu´un le fasse
Cela faisait dix ans, dix longues années que je m’était rebellé face à mon seigneur moi qui autrefois m’aurais sacrifié pour lui. Dix longues années que je portais ce masque pour me cacher le bat du visage afin que les nombreux soldats, qu’il avait envoyer a mes trousse ne me reconnaissent pas. J’était arrivé dans un petit village pourquoi j’y était allé je ne le savais point pourquoi une rage envers les humains m’acharnait depuis de nombreuse. Je me fiais a mon destin, a mes pieds qui me mènerais toujours plus loin. Je pouvais voir la peur dans les yeux des villageois à mon passage. Les nouvelles devais être arrivé jusqu’ici. Mon arc de puissance était près et ma double lame n’avait jamais été aussi rouge quelque chose me menaçait. Sûrement c’est foutu gardes qui me suivent comme mon ombre. Je n’ai pas dû en tuer assez car ils reviennent. Ce qu’il me fallait c’était un seigneur à défendre qui les arrêterais. Mais aucun seigneur ne voulait de moi après cet événement. Je me suis retourné ils étaient là je n’avais d’autre choix je dû les tuer tous. Ma double lame tranchait leur gorge. Le sang giclait, les villageois hurlaient. Une fois cinq de tuer les cinq autres s’enfuirent je pris mon arc et le bandai une flèche d’ombre apparu dessus. Je tirai cinq flèches les cinq atteignirent leur cible, chacune avec un sifflement annonciateur de mort. Je me retournai une ombre gigantesque était là je ne m’était pas aperçu que la nuit tombé. En une fraction de seconde cette ombre me tomba dessus je perdis connaissance.
Je suis réveillé dans un lit j’avais changé intérieurement et extérieurement. Mes armes était déposé à mes côté je tendis mis la main sur ma double lame elle resta sombre presque noire je n’avais rien à craindre. Je me suis levé mon masque était toujours là une cape à capuche était plié. Avec à ses côté une armure de plaque noire que je revêtit. Je rabattis le capuchon. L’ombre m’attendait à la sorti. «Bonjour Himo, avec ce capuchon on ne vois plus du tout ton visage. Que les deux lueurs rouge qui persiste de tes yeux.» «Qui êtes-vous» je lui demandai. «J’ai su que tu te cherchais un seigneur à protéger. Alors je le serai. Bienvenu dans le clan protecteur.» Ainsi commença mon aventure avec le grand Athamo seigneur vampirique.
La pluie battait les pavés de cette ruelle sombre… j’avais traversé toute cette ville sous la pluie, ma sombre cape était trempée, ma capuche protégeait mon visage. J’avançais au milieu du chemin, les yeux rivés sur le sol… J’étais seul sur ce chemin, j’étais seul dans ma vie, je l’avais toujours été. J’avais longtemps travaillé à mon compte, comme tueur. Une lame de l’ombre, qui surgit et ôte la vie. Mais le meurtre récent d’un Comte de la région m’avait rapporté beaucoup d’argent mais coûté l’exil. Depuis cet incident je n’avais fais que marcher, marcher sans but, toujours dans la même direction, sans savoir où aller… Mon argent disparaissait au court de mon périple. Je tuais pour me nourrir et étais banni de chacune des cités où je passais. J’étais au neuvième jour de mon voyage, la pluie tombait depuis plusieurs heures, les rues étaient désertes. J’arrivais aux portes de la ville, ma traversée s’était déroulée sans aucune altercation avec les habitants des lieux. Un groupe de mercenaires gardaient la porte, je ne pouvais sortir, à une heure si tardive, un contrôle rapide aurait mis à jour ma véritable personnalité, j’allais dans une auberge attendre le départ de la garnison. J’entrais dans le bâtiment le plus proche du groupe armé et allais m’asseoir près d’une fenêtre. J’observais ces soldats stupides, buvant leurs bières, autour d’un brasero, à l’abri sous le porche de la sortie. Dans l’auberge, la foule commençait à me regarder, d’un drôle d’air. Seul mes yeux noirs transparaissait entre un foulard et ma capuche. Ce regard même qui terrorisait chaque personne qu’il fixait. L’aubergiste ne m’avait toujours pas proposé à boire, il me regardait de loin, et n’osait s’approcher. Après quelques minutes de silence dans la salle, une homme ivre s’approcha de moi :
« J’ai pas peur de vous, venez donc vous battre »
Il sortit une vieille épée du fourreau à sa ceinture et m’invita au milieu de la salle. Je me levais et me tenais face à lui les bras croisé sans mot dire. Il chargea soudain, la lame en avant. J’évitais le coup d’une volte et tirait mes dagues d’un revers, je fis un tour complet et arrivait dans le dos de mon adversaire qui ne tarda alors plus à s’effondrer. Je sortais alors mes lames de son dos, une gerbe de sang vola. Mon pauvre adversaire rendit un dernier souffle. Sa tête heurta le sol. La pièce s’était vidée. Je regardais par la fenêtre, l’aubergiste était déjà avec la garnison mendiant de l’aide.
Je sortais alors précipitamment par la porte de l’auberge. Un des gardes me montra du doigt, je grimpai d’un bond sur le toit de l’établissement et courrait sous la pluie, les toits glissaient je manquais de nombreuses de fois de chuter mais je parvenais à atteindre les remparts de la citadelle par les toits. Je sautais alors sur ces remparts et me penchais hors du château, la moindre tentative de saut m’aurait tuer. J’avançais sur ce mur, jusqu’à arriver au niveau de la porte que je devais franchir. Seuls deux pauvres gardes étaient resté à surveillé, le reste s’était dispersé à ma recherche dans les rues de la cité. Je bondis derrière le premier garde et glissait mon couteau sous sa gorge, j’enfonçais ma seconde dague dans le dos du garde qui venait de percevoir ma présence. Celui ci cria, mon prisonnier paniqua alors, je lui tranchais la gorge. Le cri de ce malheureux avait alerté des gardes qui sortaient effarés de la caserne. Je profitais de l’obscurité pour filer dans la campagne. Je marchais alors pendant une heure dans la nuit avant d’apercevoir à l’horizon un palais, brillant de mille feux. Je m’approchais de cet endroit pour découvrir un château dont les murs étaient ornés de flambeau. Sur le pas de la porte, un grand vampire attendait encapuchonné :
« Nous vous attendions mon ami, soyez le bienvenue au Conseil. Je suis Athamo, seigneur des lieux. » Il me fit entrer et m’offrit l’hospitalité pour la journée. Je pus me laver, et manger. En fin d’après midi, il vint me voir.
« J’ai une mission à te confier, tu as sans doute croisé Himo aujourd’hui, c’est une recrue récente, mais je sens qu’il est encore trop faible pour combattre dans nos rangs. Je veux que tu ailles en ville et que tu ramènes des guerriers pour qu’Himo s’améliore. »
Athamo m’escorta à la porte à la nuit tombée et me donna un cheval. Je partais immédiatement vers la ville indiquée. La pluie avait cessé, la lune était pleine et rendait la nuit claire. Lorsque j’arrivais, j’étais end début de soirée, les passants se promenaient. Je passais alors entre eux, à la recherche d’un groupe de mercenaires, de guerriers avinés. Ma recherche fut vaine mais je découvrais au milieu de la cité une arène. Je décidais d’aller voir et de récupérer le vainqueur. Les combats durèrent plusieurs heures. Ils étaient particulièrement violent, et le gâchis du sang répandu sur le sable me désespérait. Le vainqueur ne fut connu qu’au beau milieu de la nuit, c’était un homme grand et musclé qui avait écrasé de son fléau une bonne dizaine de têtes… Je décidais de l’attendre dehors. Il sortit accompagné d’une grande jeune fille, très jolie dont les cheveux noirs brillaient dans le reflets de la lune. Je les invitais dans une taverne et leur offrit à boire. Je glissais dans leur verre de quoi les calmer sans les abimer. Une infusion de plantes exotiques ramener d’un lointain voyage. Je les invitais alors à combattre dans un groupe privé. Contre une somme d’argent, ils me suivirent. Mais la vue de ma bourse semblait avoir reveillé le combattant. En sortant de l’auberge, il me poussa soudain dans une rue sombre et sortit son fléau, il voulait mon argent. Je tirais alors une épée de sous ma cape et l’attaquait, il para le coup et envoyer mon épée voler sur le bas côté. Je faisais une rapide roulade et la récupérait. Il me chargea en faisant tourbillonner le fléau à ses côtés. Je tendis mon épée qui se planta dans sa jambe. Il s’écroula dans un hurlement, je m’approchais de lui pour le calmer quand il sortit une dague de sa manche et me coupa au bras. Du sang commença à s’écouler, énervé je reculais et lui tranchais la tête. Je regardais alors celle ci rouler. Elle s’arrêta au pied de sa compagne qui me fixait de ses beaux yeux noirs.
Un intense sentiment de tristesse m´envahit alors que la mort de mon frère se passait même d´agonie. Et les yeux du guerrier, d´une brillante noirceur, me fixaient avec insistance. Pas de vengeance pensais-je, juste la mort pour cet homme. D´une brève pression sur mes mains, je fis sauter les parures de métal qui les ornaient et découvris deux griffes d´argent, dont l´éclat rivalisait déja avec l´épée du jeune combattant. Pendant ce temps, il s´était relevé et tenait déja sa garde, j´avais l´impression d´agir au ralenti... Pourtant, mon esprit détaillait à vive allure mon adversaire, ses traits fins et ses yeux, peut être envie de le connaitre plus, peut être envie d´avoir toujours été seule, peut être de ne jamais avoir eu de famille, et jamais un frère ki me traitait comme une moins que rien parce que j´étais femme et pas homme pour se battre. Impossible de fixer mon attention sur le déroulement de ses actions, et lui ne bougeait pas, on aurait dit qu´il essayait de m´hypnotiser... Je m´avancais vers lui et tentais un leurre mais il para mon coup avant même ke je ne recule. Il s´avanca a son tour mais je le fis reculer d´un coup de pied dans la poitrine, et le jeune homme sourit. Ses dents avaient un éclat bestial et une forme ki me glaçaient.
J´enreagais, je voulais mener le combat et pas être son jouet, je me ruai vers lui et tentais de le lacérer, mais il avait trop de facilité à parer mes coups ou a reculer...Trop lente. J´essayais toujours de le détailler, ses habits, ses armes, je n´arrivais pas à me concentrer, il me déstabilisa et je ne dus qu´au mur d ne pas me retrouver allongée par terre. Il approcha son épée perpendiculairement à ma tête et me murmura : "Laisse moi faire..." Ses yeux d´onyx se confondaient avec la lune derrière lui, reflets de métal dansant devant mes yeux et ma tête tournait... J´essayais de rassembler mes forces, porter un coup qui lui ferai sans doute mal, viser ses yeux, la seule chose que je distinguais encore dans ce tourbillon de ténèbres...Il tressaillit. je n´avais pas frappé juste mais ma griffe était enfoncée profondément dans son épaule, le sang coulait sur mes mains, de la chaleur...Je veux dormir...Va t´en, va t´en...Mes yeux se fermaient et je n´arrivais pas à lutter, je posais mes mains sur sa poitrine pour le repousser et frappais une fois encore, et sans forces...un monde de néant, un souffle dont le son me paraissait irréel...une torpeur si agréable, et le plaisir diffus qui m´envahissais...
A mon réveil, je ressentis une sorte de crampe dans tout mon corps. Je le sentis se contracter et je pris une goulée d´air pour crier, ce que mon corps faisait me paniquait ! Aucun son ne sortit de ma gorge et je fermais les yeux. Je perçus un bruissement près de moi et les rouvrit immédiatement. Un grand homme brun s´approchait de moi. j´essayais de lui parler mais à peine eus-je ouvert la bouche ke je la refermais, une drole de sensation...mes dents...la mort en elle meme. C´était une arme. Coupant et...cette sensation...si agréable...En même temps que je pris conscience de ce que j´étais, sa voix grave s´éleva dans la pièce : "Je suis himo, ton protecteur ainsi que celui de tous êtres que le Seigneur Vampirique voudra bien mettre sous ma garde. Repose toi, car cela ne fais que trois jours que tu as été vampirisée, et tu dois attendre le quatrième pour enfin user de ta nouvelle existence. Je vais avertir Julien que sa créature vient de renaître." Une voix qui entrait en moi comme un liquide, douce et égale...Il quitta la pièce sans un bruit. Je restais seule à me poser des questions. Le monde vampirique est il un monde de si douces sensations que meme les voix sont objet de plaisir ? Il existe, cet état d´extase entre la vie et la mort... Et ce Seigneur Vampirique doit être maître de ces états...
Tandis que je me posais cette réflexion, la porte s´ouvrit, et à la lueur des flambeaux, je vis le pâle visage de l´homme que j´avais combattu. il avait les traits tirés, il était torse nu et portait de fins bandages. Son corps tremblait légèrement et ses yeux brûlants attisés par la fièvre me fixaient avec la même expression, que je ne saisissait pas. Alors, dans ce monde de tentures et de grâce mortelle, je me laissais aller a le contempler, tandis qu´il tardait à s´approcher.
Nous étions sortis en dehors du camp une nuit de façon à nous réapprovisionner en sang. Lorsque ma double lame se mit à luire. * Serais-ce eux? * Au loin je les ai vu il étaient de retour. «OH NON, COUREZ OU PRÉPAREZ VOUS ON COMBAT NOUS AVONS DE LA COMPAGNIE» Ma double lame était prête * il m’on donc retrouvé malgré tout. Ils ont du subir la transformation qui m’était du autrefois* Il avançait toujours vers nous chacun avec son arme en mains. Quatre l’épée, Quatre la hache et deux l’arc. Il avancait mon arme était prête. Je ne voyaient pas les autres les seuls qui m’intéressait était devant moi je savais qu’ils ne s’occuperait pas d’eux seulement de moi. Ils avaient été créé pour ça me tuer. Je fonçaient sur eux en poussant mon cris. Je cru apercevoir la silhouette d’Arkla à ma droite et un reflet des lames de Juju à ma gauche. Peu m’importait de lui je devait défendre Arkla.* Comment bien se battre contre eux en la protégeant?* Nous arrivâmes à leur rencontre comme un fou furieux je commençai à entailler mes ennemies prenant les coups que ceux-ci me renvoyaient. Ma transformation avait non seulement augmenté ma force mais aussi mon agilité. Je venait d’en tuer deux lorsque j’entendit un cri de douleur de la part d’Arkla. Je me retourné ils étaient sur le point de la massacrer. «NON» je couru vers elle et décapita son agresseur d’un revers. Mais ce coup avait mit mon dos à découvert. Je reçu une flèche en plein dans l’épaule. Je me retournai dans un cri de douleur pour apercevoir Juju en train de lui trancher la gorge les deux archers étaient mort, enfin pour l’instant. Le dernier des dix arrivait * C’est bizarre ils n’agissent pas comme d’habitude.* Je me levai et lui enfonça profondément un côté de ma lame dans le corps alors qu’il allait frapper. Alors que je retirais ma lame de son corps un giclement de sang en sorti il tomba sur le sol dans le sang de ses frères.
Juju s’approcha de moi
-Pas mal ils étaient coriaces.
-COUREZ j’hurlai
Ils me regardaient intrigué
-Peu importe les blessure que vous avez courez nous n’avons pas beaucoup de temps s’ils nous trouvent ici ils nous massacreront cette fois. Ah et pour ceux qui y aurais pensé ne buvez pas leur sang vous ne vous relèveriez pas.
Nous nous mîmes à courir bien qu’ils ne savaient pourquoi.
De retour au conseil je décidai de leur expliquer. «Mon ancien seigneur avait mit au point un sortilège transformant les humains en supers soldats. Ils ne peuvent plus mourir. Chaque qu’on les tuent ils deviennent malheureusement de plus en plus fort. J’était destiné pour devenir l’un d’eux je refusez et trahit mon seigneur. Mon seigneur envoya ces dix guerriers pour me tuer. Ils n’ont que ça comme objectif jamais ils n’abandonneront. Cela doit bien faire quinze fois que je les tuent bizarrement ils n’ont pas normalement ce soir, d’habitude il partent après cinq de tuer la mort des leur étant la plus grande douleur qu’ils ressentent.» Je sorti dehors et levai la tête au ciel «À l’heure qu’il est ils doivent être débout maintenant. Je n’est jamais su où ils allaient une fois réveillé mais je ne les revoyaient pas avant un petit de temps.» «Et alors» me demanda Arkla. «Ce que j’essaie de vous dire est que je dois partir en royaume de Parentiso, ce pays à la langue étrangère pour ceux qui n’y ont jamais vécu.» Je me tournai vers Arkla «Je ne pourrai jamais te protéger et te garder en vie s’ils arrivent en pleine bataille j’ai de plus en plus de difficulté à les tuer si vous n’auriez pas été là je serais s’en doute mort. Je dois les arrêter en tuant leur seigneur.» Ils se regardèrent et d’un signe de tête répondirent en cœur «Nous d’accompagneront»
bien je laisse la suite à qui le voudra
Il vaudrait mieux que tu commences, tu sais comment c´est là bas ! tu décris !
tu présentes, tu donnes les ordres !
le bordel....
héhé !
Je reviens de Conseil du FF11, mais là on est en stand by ? ?? Il va falloir se reprendre les enfants !
Bon on reprend ici ! Rien ne filte ! mettez personne au courant !
tiens un living dead
Tiens un ange !