Bonjours à tous,
Il y a plusieurs mois de cela, j'ai écrit une FIC, "L'abandonné retrouvé". Je m'étais désintéressé, jusqu'à aujourd'hui, ou une "Envie" c'est emparé de mon corps. Pour les deux premiers Chapitres, et le Prologue, je vais garder se que j'avais écrit avant, donc voici le Prologue, un peu modifié:
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PROLOGUE:
•"... Un vent glacial traverse mon corps... Je ne suis toujours pas habitué a ce paysage infernal, enflammé... Je suis juste à coté de Lui... Mais je... Je doit... Attendre le bon moment..."• ...
-Hey, tu vas bien ? me demanda Anna, en me secouant l'épaule.
-Oui, je ... rêvassais ... Tu as trouvé ce que tu cherchais ? répondit-je.
-C'est juste à dix mètres ! Me cria-t-elle, alors que j'étais qu'à vingt centimètres d'elle. Je lui chuchota un petit "Ok, je te suis." timidement, car, oui, je suis timide, surtout en présence d'Anna. J'ai interrogé mon subconscient pour savoir la raison qui m'a poussé à venir, dans une grotte étroite et sombre, avec la personne qui me rendait complètement "Tout-Chose". Mais oui, pourquoi ? Je ne pouvais pas répondre avec certitude... peut être l'Amour, avec un grand "A", car j'aimais Anna.
Une demie-heure après avoir dépassé le seuil de sécurité de la grotte, Anna et Moi se trouvions à l'entré d'un souterrain, de la taille d'un cochon, ou les extrémités étaient composés de pierres taillés. Avec galanterie j'ai demandé à Anna de bien vouloir passée la première. Mon subconscient ria, et il n'avait pas tord: J'étais un froussard. Nous rampions avec les genoux écorchés, enfin, pour ma part. Je portait un bermuda beige "Teinte de feuille d'Automne sec", et mes genoux était exposés au sol, contrairement à Anna, qui portait un pantalon, des plus classique, mais bien sur, tout les vêtements rendirent Madame radieuse.
Elle trouva enfin ce qu'elle voulait me montrer. Elle me posa une question, pour perdurer le suspense:
-Tu ne te rappèles pas d'ici ? Avant ton accident...
-Non, je devrait ? lui demandait-je, avec un petit sourire.
C'est vrai, j'ai eu un accident, il y a peu et je suis tombé dans un coma de huit semaines. Aujourd'hui encore, je ne me souviens pas de tout ! Elle se poussa du mur qui se trouvait de son côté droit, juste en diagonal de ma personne. Je vit un dessin, gravé dans la roche.On aurait dit un cœur. Il n'y avait rien d'autre. Pas de ...
•"Des gens, du feu ... une ombre ... Ah, ma tête !"•
-Et sa recommence, tu te souvient de quelque chose ? Me demanda Anna, inquiète. Très inquiète.
-Oui, sa v... BAM! Je me pris une petite claque de la part d'Anna, qui voulais surement me réveiller de mon pseudo-sommeil-transe. Elle c'est pardonné, et moi, je ne comprenais rien. Je lui avait dit:
-Je... j'ai vue des ch... Et encore une surprise, le sol ou se trouvait Anna s'effondrât et elle fît une chute de plusieurs mètres. Elle ne bougeait plus.
Avec tout le courage, et la connerie du Monde, je descendit non-prudemment, jusqu'au pied de l'inconsciente. Je fut vite soulagé: Elle avait chuté sur un slime.
J'ai regardé autour de moi. Nous étions tombés dans une chambre secrète, avec un lit, une bibliothèque, et une cascade naturelle, tout cela dans 15 mètres carrés, environs.
J'ai porté Anna jusqu'au lit. Je suis aller voir le slime, par la suite. De la taille de mon poing, il avait réussi à absorbé la chute d'Anna, non qu'elle soit grosse, c'est même le contraire, elle était svelte, et je l'ai regardé, allongée dans le lit rougeâtre. D'un coup, le monstre vert se jeta sur moi ! Je me débattait sans doute comme un imbécile, les bras en l'air, le cri aiguë. Et là, avec tout la magie, et le mystère du Monde, j'ai cru entendre, de la bouche du slime:
-Te revoilà ! Je te croyait mort... Il se passe vraiment des trucs bizarres!
Je m'était évanoui.
Pfiiouf, Alors, qu'en pensez-vous ?
Il me semble que j'avais déjà lu, ils vont pas se rendre une gare au bout d'un moment ?
Oui, oui, se sera au prochain Chapitre ;) J'espère que tu aimes cette nouvelle version !
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J'aime les 2 versions, alors...
Merci SRS99, j'adore se smiley
Double poste: C'est trop gentil Mati07
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Chapitre 2: Le chemin des vérités
-Réveil toi, je ne te frapperais pas. Anna me réveilla tout en douceur. J'étais au paradis, jusqu'à qu'un démon montra sa tête: Le slime.
-C'est plutôt à moi de te demander ça ! Ais-je répondu à Anna, avec vigueur, et elle me souriait. Avec cette même vigueur, et mon envie de faire croire à Anna que j'allais bien, malgré mon mal de crâne, que je me suis extirpé du fabuleux, et sublime petit lit, de la même couleurs que certaines pierres qui se trouvaient au murs, ou sur le petit bureau placé dans un recoin sombre de la pièce.
Mais là, je vit le démon monter sur l'épaule de ma petite am... d'Anna:
-Attention, ne bouge surtout pas ... Murmurais-je. Anna c'était mis à rire, et même le slime c'était mis à rire. Heureusement qu'elle était là pour me soulager:
-Ne t'inquiète pas, il s'appelle Fell, il est très gentil, et il dit qu'il te connait... Stupéfait, j'ai répondu:
-A bon? Je ne l'ai jamais vue, à part tout à l'heure.
-Mais oui ! Tu as du le connaitre avant ton accident ! S'écriât-elle. Le slime avait tiré une tête, ou plutôt une grimace, qui montrait bien que ce qu'a dit Anna ne l'avait pas plu du tout, et il grognât:
-Quoi? Tu as eu un accident ?! Nous sommes fichues !!
J'avais regardé Anna, elle m'avait regardé, et nous avons du penser la même chose.
-Av... Avant, tu m'as demander de chercher quelque chose, de très important, et que s'il t'arrivait un malheur, j'aurais les réponses au R.D.R, le "frère" de cette pierre. Il nous demandas de se retourner, tout en se tournant, Anna me fit un regard signifiant "Quel bêtise as-tu fait encore?", et le slime nous demandas de refaire un demi tour. Il posa une pierre brune, luisante, et lumineuse, entouré d'une pointe de sucs gastrique, sur le sol. Je lui ait demandé:
-Tu es sur que c'est moi qui t'as demandé ça ?
-Absolument !Répondit Fell avec une voix complétement décalés avec sa physionomie.
Plus d'une heure c'était écoulé, et nous trois, réfléchissions toujours sur l'acronyme R.D.R, sur sa définition. Chacun avait sa manière. Anna réfléchissait tout en touchant voluptueusement l'eau clairvoyante de la petite cascade. Fell resta complètement figé, en face d'une pierre rouge. Quant à moi, les cent pas autour du lit me suffisait pour me concentrer.
Alors que le silence régnait dans la pièce secrète, un cris quasi mystique, de la part d'Anna, vibra et dû se faire ressentir jusqu'au centre du Monde. Mais lorsqu'elle nous expliqua, tout était devenue claire comme de l'eau de roche:
R.D.R signifiait "Rocher de Daniall Richard". Ce prêtre lors de la Marche Sainte, avait trouvé cet immense Rocher. Une légende raconte que si l'on vit au alentours du Rocher, la vie et le bonheur prospérerait. Le prêtre y aurait cacher, non loin, un magnifique joyau, pour le purifier. Légende urbaine.
Nos six yeux, que se soit les yeux globuleux et grisâtre de fell, ou les somptueuses perles ambrées d'Anna, nous disaient à chacun la même chose:
Nous devons aller au centre de Saint Rockabourg ...
La suite, je ne sais quand !
Hey Doc Storm, ton prologue est vraiment pas mal ! continue comme sa, sa en vaut la peine ! ;)
Hey, merci josjul94
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Chapitre 2: Les intrus
Notre petit groupe, récemment formé, se trouvait à l'entrée de la grotte. Pour aller au Rocher, il fallait passer par la gare du Golliah, près de la rive Sud, et prendre la direction du nord. Cette gare se trouvait à environ huit cents mètres d'ici. Il y avait juste un petit problème, tout vert, qui s'appelait Fell.
En effet, depuis trois mois environs, un plan de sécurité titré avec originalité "Green Plan", avait pour mission d'intercepter et de neutraliser toutes personnes qui, tant bien que mal, tenteraient de faire passer leur animaux de compagnies, en particulier les slimes. Les animaux de compagnies ont étés bannis des gares car, il y a peu, un fou furieux avait jeté des slimes remplient de dynamites sur les rails, ce qui a engendré un immense carnage, dans la gare d'Ivre-villa, situé à une centaine de kilomètre, au sud-est de la gare du Golliah. Heureusement, le "Kaboom", ou le fou furieux si vous préférez, c'était tué dans son délire.
Sur le chemin de la gare, nous cherchions un moyen de contrer la sécurité de la gare, pour que Fell puisse passer, jusqu'au moment ou trois énormes énergumènes, qui faisaient trois fois ma taille, trois fois mon poids, et trois fois ma force, rentrèrent dans notre "périmètre de vie intime":
-Alors les gosses, on se promène ? exclama l'un des colosses, tout en ricanant et en frappant l'épaule d'un de ses congénère, qui , dans un langage primitif, devait signifier:" A toi mon gars, transforme-les en pâté, j'ai ramené du pain !".
-Oh les gros laissez-nous passer! Répliqua Anna.
-Ahah, comment? J'ai pas très bien compris! Répondit le plus gros des costauds, sûrement le chef. Il rajouta:
-C'est qu'elle parle mal cette fi... Il y a eu un gros silence, et ce n'était pas pour rien: Anna avait frappé le chef, et d'un seul coup, le mastodonte se retrouva à terre, sur les genoux, les mains dans l'entrejambe. Il faut dire que Madame n'avait pas raté son coup; elle avait parfaitement bien placé son pied, avec une vitesse surprenante, dans les bijoux de famille. Fell m'avait regardé avec un aire qui disait que ceci était un avertissement, que si j'énervais Anna, ce serait ma punition. J'ai eu mal pour le gros. Une fraction de seconde plus tard, un des monstres se propulsa sur moi, tel un dragon, un gros et gras dragon, mais un dragon comme même. Un autre flash se proposa à moi, sans que je ne puisse refuser...
•"Une ombre, devant moi. Ce n'est pas une mauvaise ombre. Elle me sauve, des entités se rapproche, se propulse vers moi. La gentil Ombre m'a sauvé. Je... peut me débrouiller seul...•
Un miracle se réalisa: crochet, uppercut, esquive latéral, coup de pied. Un deuxième titans se trouvait par terre. Le troisième avait pris une sage décision: fuir.
Plus tard, nous nous étions assis sur un banc, en face de la gare. Comme se matin, Anna poussa un cri, ou plutôt un ultrason, car sa bouche était ouverte, mais aucun bruit n'émanais de ses lèvres. Elle dis ensuite:
-J'ai trouvée! Il y a un conduit d'aération qui passe au dessus des Greens Gardians, les membres de l'unité "Green Plan". Fell, emprunte se conduit et passe les gardes!
-Hum, facile, répondit-il en souriant. Je devait malheureusement casser l'ambiance:
-Pas si facile, aujourd'hui il fait chaud, les ventilateurs pour la climatisation seront en marche.
-C'est vrai ça. Approuva Anna.
J'ai vu Fell prendre une grande aspiration, et s'éloigner vers les barreaux du conduit, à gauche de l'entré, et nous dire de se dépêcher.
Dans la gare, tout les parfums, de la nourriture, des substances rouges pour alimenter les minecarts, et des travaux, se mélangeait pour donné l'odeur caractéristique de cette fameuse gare. Tout en contemplant l'architecture de la gare, qui osait mélanger les briques avec des bordures dorées, Anna me demanda ou j'avais appris à me battre, j'ai répondu:
-Aucune idée, c'est venue comme sa ! Peut être l'instinct de survie.
Elle ria, et nous nous trouvions enfin en face d'un des gardiens vert. Il n'était pas imposant, il faisait même plutôt rire avec sa moustache gauloise, et sa coupe au bol. Le pauvre.
-Ne... bougez pas. exclama-t-il d'une voix tremblante. Il nous fouilla. Il avait sans doute vu mon rictus très marqué sur mon visage. Pour le bouger un peu, je lui dit de continuer à faire se qu'il faisait, car il deviendrait un vrai homme. Manipulation basique. Il me remercia et courut vers la première glace qu'il vit et commença à .s'injurier, pour faire l'homme, le vrai. je senti qu'on allais bientôt entendre parler de lui.
Je n'avais pas oublié Fell, qui devait être juste au dessus de nous, dans le noir, avec comme seul camarades, des hélices au mots tranchants. A cinq mètres des barrières de sécurité, fell détruisait, petit à petit, le conduit pour former un passage. Anna et moi étions passé de l'autre côté des barrières. Fell, au même moment, s'écrasa lamentablement au sol. Et au même point temporel, un garde se retourna vers nous, Anna, Fell et moi. Ma tête se vida de toute intelligence, et ma seule idée fut d'écraser le slime avec ma chaussure gauche. Je fît semblant de faire mon lacet, je le mis dans l'une de mes poches les plus petites. Je m'exusa, bien sur.
Nous avons pris le minecart, qui avait seize minutes de retard, pour prendre la direction du Rocher de Daniall Richard. Une heure et demi plus tard, nous pouvions toucher le Rocher. Une seule question demeurait alors: Comment trouverons-nous les réponses ?
La suite, bientôt !!
pour ce pavay
Il y a un truc ou je me suis trompé; le "deuxième" Chapitre 2 est bien sur le Chapitre 3 ;)
Vraiment sympa !
A quand la suite ? x)
Je sais pas du tout, là en 24 heures, j'ai fait Le prologue et deux Chapitres, c'est pas mal
C'est sur ! x)
^^, la suite surement se soir !!
Tout compte fait, ce sera pas pour se soir ...
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Chapitre 4: Feu de lumière
Il commenca à faire nuit.
Avant de faire quoi que se soit, nous devions trouvez un endroit ou poser nos affaires, et ou se reposer un peu. A Saint Rockabourg, tout était calme, tranquille, propre. Peut être que la légende disant que toutes vies se prospérant à côté du Rocher deviendraient parfaite soit vrai. Ce village, qui entoure le Rocher de Daniall Richard, était beau le jour. Mais la nuit, le spectacle n'était que plus jouissif.
Entre les enluminures gravées dans les rues pavés, et les bougies éclairant les majestueux arbres blancs des jardins communs, la ville se transformait en un nouvel univers, avec, à chaque coin de rues, des étoiles de lumières.
Dans le centre ville, nous avons trouvé l'entrée d'une impasse. Au bout de cette impasse, paradoxalement reposante, mais absente de lumière, nous trouvions l'entrée d'un Motel: Le "Faucon-Idylle". Alors qu'Anna et Fell attendirent sur un canapé, au bord de la seul fenêtre qui donnait sur le mur d'en face, Moi, je demanda une chambre pour la nuit, à la femme du gérant.
C'était une femme peux charmante, que se soit au niveau du physique, qu'au niveau de sa façon de s'exprimer aux inconnus. Heureusement, c'était son mari qui allait nous montrer notre chambre. Elle lui cria des injures, tout en se pavanant vers la cuisine.
-Si c'est elle qui cuisine, je ne reste pas ! Bafouilla Anna.
Nous montèrent vers le seul étage du bâtiment. La chambre se trouvait tout au bout du couloir, sur la gauche. Elle n'avait rien d'extraordinaire, elle était plus sale que la pièce secrète de la grotte.
-Nous avons nettoyés hier! J'espère que cela vous plaira, Nous indiqua le gérant. Je referma la porte, tout en le remerciant.
- Venez voir ! Exclama Fell, tout en nous faisant signe, à moi et Anna, de se rapprocher. C'était bien là le seul point positif de cette chambre, la vue sur le fameux Rocher !
Pas de temps à perdre. Nous éparpillâmes nos affaires partout dans la chambre. Quelques minutes plus tard, on se trouvaient en face de se monument, qui était visité par des milliers de personnes, de tout pays. Un policier se trouvait sur la pelouse qui entourait le Rocher. il nous interpellas.
-Qu ... Que faites-vous ici à une heure pareil ? Nous demanda-t-il d'un air un peu fatigué.
-Nous ... nous ...pas le temps de répondre, un coup de feu avait retentis dans les tréfonds de la ville. Le policier, apeuré, nous ignora, et courut vers l'origine du bruit. Anna, Fell et Moi, continua notre enquête, les yeux souvent rivés vers la rue du coup de feu.
J'étais le seul à chercher, alors que les deux autres s'amusaient avec des bestiaux dans les herbes fraichement coupés de la pelouse. Rapidement, je perça le secret, devenue évident, de ce Rocher: Un espace, parfaitement identique à la forme du joyaux que Fell, m'avait montré la matin même, se trouvait devant moi.
-Quoi ? Il te faut le rocher ? demanda Fell, faiblement. Il est encore dans la chambre.
-Va le chercher ! criait-je. Quelque secondes plus tard, je lui redemanda, gentiment, d'aller le chercher avec Anna.
Ces deux là disparurent dans l'ombre de la nuit. Je resta figé devant ce qui semblait, peut être, la solution à touts mes problèmes, les réponses à toutes mes questions.
Et là, dans un bourdonnement assourdissant, un autre coup de feu fut tiré, puis un troisième. Pris de panique, je courus vers le Faucons-Idylles, mais, à quelques mètres de moi, une explosion retentit. Je fut expulser.
La suite, je ne sais quand ...