toujours bien, mais gringo c'est un étranger

J'ai mis gringo en guise d'humour. L'américain ce fout de la gueule du mexicain.

“Urban takedown”
6 Octobre 1993 – 04h02
Lt Chris Miller
1st Marine Special Operations Battalion
Ciudad Juarez, Mexique

Une grosse frappe. Oui, on n’est pas comme les soldats de l’armée mexicaine. Quand on veut mettre la main sur un trafiquant on emploie les grands moyens. Une quinzaine d’hélicoptère américain zèbres et font bourdonner le ciel de leur pales et rotor de queue. Dans l’un de, notre groupe de sept personne tous armés jusqu’aux dents, prêt à montrer la puissance de notre pays sur cette traque. Notre plan n’est pas d’investir directement le palais mais de simplement sécurisé les rues qui forme le périmètre autour de la zone cible. Le soldat Harvey Blane vérifia plusieurs fois son arme et la tiens tellement fort qu’on aurait dit que la poignée allait casser.

-Les gars, ici on doit donner notre maximum ! Les guérilleros seront partout car eux…ils connaissent bien leur territoire alors soyez vigilant. On se divisera en deux groupes de quatre et trois. Miller, Blane avec moi, les autres avec Howell. On se regroupera si possible. On reste en contact radio permanant !! C’est compris ? Cria le capitaine Edwards sous le bruit assourdissant de l’hélicoptère.
-Hoorah !! Crions-nous tous en même temps.

Au bout de 5 minutes nous arrivons à la verticale de la rue Aguilar Saenz.

-Lancez les cordes !!! Ordonna le capitaine Edwards.

Le soldat Blane balança la corde de gauche, l’agrippa et se laisse tomber. Je pris moi aussi la corde et la garda dans ma main très fermement. Mes touches le sol, je tirai la culasse et me mit en position. Le capitaine descendit à son tour et nous donne l’ordre de le suivre. Nous empruntons la rue Venezuela et voici déjà les miliciens qui arrivent.

-Voila la milice !!! Criais-je.
-A l’attaque !

Un échange de tir eut lieu dans la rue et je me mis à couvert à l’angle. Blane ce cacha derrière une cabine téléphonique qui rapidement se trouva criblé et les vitres cassé, il changea donc de position. Je tente de répliquer mais les tirs sont vachement précis et les balles touchèrent ma position. Je renvoyai une salve rien qu’en sortant l’arme sur leur dernière position connue. Je crois en avoir touché un mais je n’ose pas sortir la tête de mon abri. Le capitaine Edwards armé d’une M249, rasa les ennemis dans un bain de sang énorme. La rue et dégager et le capitaine s’engagea dans celle-ci. Nous trottinons dans la rue quand soudain, une rafale venant du toit manque de me tuer. Je regardai la position et vis un homme en train de recharger, mon jour de chance. Je lui décochai un tir en pleine tête et il tomba sur la route. Nous arrivons à l’embranchement de la rue Tolentino mais personne à l’horizon. Nous arrivons sur la rue chihuahua*, drôle de nom n’est ce pas ? Et bien pourtant c’est vrai et cette rue et très longue et très horrible. Horrible à cause de la bataille qui éclata entre les Marines et la milice. Mais on arrive quand même au bon moment car nous arrivons dans leur dos.

-Les gars ils ne nous ont pas repérés. Rechargez votre arme et à mon signal…liquidez-les !!
-Reçu capitaine !

Je recharge mon CAR-15 et Edwards nous dis de défourailler dans le tas. S’en suit d’un flot de balles traversant la rue, les armes crachèrent leurs flammes et les corps tombèrent au champ d’honneur les un après les autres que ce soit du coté américain que hostile. Notre frappe éclair à quand même fonctionner puisque le bruit des armes c’est apaisé. Nous prenons le contact avec l’équipe du sergent Howell. La fusillade continua sur Guyana et Paraguay, quel idée de mettre des noms de pays dans leur rues… Toute fois, nous prenons plus confiance sur ce territoire hostile et les appuis aérien marche fort, cela nous facilite la tache pour avancer. J’aperçois le palais de Tavarez et pile au moment ou nous le voyons le QG nous contacte.

-A toutes les troupes actives, Tommy Wheel c’est fait coffré par les S.A.S., c’est à vous de jouer Marines !!
-Reçu QG !!!!!!

Les britanniques ont réussi, sous la déferlante de balles au Mexique nous aussi nous y arriverons !

A SUIVRE…

• La rue Chihuahua et toutes celles cités sont absolument authentiques.

Sweet + co toi sur MWN

C'est vrai que je devais lire. Je le fais de sitôt.

“Turn over”
6 Octobre 1993 – 04h32
Lt Chris Miller
1st Marine Special Operations Battalion
Ciudad Juarez, Mexique

La rue située juste devant le portail du palais et infesté de monde. Comment nous frayer un chemin surtout qu’ils se protègent avec se qu’ils peuvent tels de bout de pare-chocs, des portes de voitures. Le pire dans tout sa, c’est les cocktails Molotov. D’une fabrication simple, mais putain quand tu t’y attends pas, ça envoie ! Je vis certains de mes camarades bruler comme des torches humaines en poussant des cris de douleurs tout en se débattant. L’horreur et pourtant ils sont en face de la plus grande armée au monde dans le contexte puissance. Mais la rage de chaque miliciens fait que l’on à l’impression qu’ils sont le triple en face de nous. Dans la bataille, le capitaine Edwards était posté sur un toit avec les autres mitrailleurs lourds pendant que je combattais toujours dans la rue.

-Blane, ma radio et morte mais je crois qu’il faut balancer des grenades. Va voir Edwards et demande lui confirmation. Je te couvre vas y !! Lui ordonnais-je.
-Ok lieutenant j’y vais !!

Je sortis ma tête de l’angle de la rue et lâcha quelque rafales sur les troupes hostiles. Putain ils sont nombreux. Impossible de rester à découvert pendant trente seconde. L’échange de tir parait éprouvant et c’est comme sa pendant près de cinq minutes. Blane revint et me dit que la réponse du capitaine est affirmative. Nous balançons grenade explosive et grenade lacrymogène pour les ralentir un maximum, mais un problème se heurta en face puisque nous n’avons pas de masque à gaz, nous ne pouvons pas passer le lacrymogène. Alors que les autres Marines tirent à la volée, Edwards revint vers nous et me dit que ce n’était pas une bonne idée, alors je regardais aux alentours et je me focalisai sur le haut du mur et je proposai d’escalader ce muret. Le capitaine Edwards qui valida mon idée commence à mettre les mains au sommet et se tracta sur le petit mur, puis il passe sa jambe droite et la c’était le grand imprévu. Un tir venu de nulle part atteint la tête du capitaine et lui en arracha une partie avec des bouts de cerveau qui l’accompagne.

-Putain ! Un tireur embusqué !! Cria le soldat Blane.
-C’est trop dangereux, il faut trouver un autre accès ! Disais-je.

Je vis une poignée de soldats tenter de passer dans l’écran de fumée en mettant leur col sur le nez. C’est évidemment déconseiller de passer là-dedans mais c’était le seul moyen. Alors je mis mon écharpe sur le nez, celle que je porte tout le temps en déploiement et ordonna à mes hommes de tenter de passer en force. Nous commençons à courir dans notre propre piège et une fois que nous commençons à voir le reste de la rue, une escadrille de deux F-15E Strike Eagle passa au dessus de nos têtes et rasa les positions ennemies sur la rue. Le backdraft provoqué par la bombe m’atteint et je m’effondrai à terre blessé. Je vis le ciel bleu en train de virer au noir apocalyptique des flammes. Je suis littéralement sonné, j’ai mal au genou et j’ai l’impression que mon épaule c’est déboité. Je reste par terre sans plus rien faire à part prier pour que je ne meure pas quand soudain, le soldat Blane me traina tout en me couvrant avec son Colt. Je vois le ciel défiler puis au Blane s’arrêta et me dit :

-Lieutenant Miller, relevez-vous ! Vous êtes à présent le plus haut gradé du groupe. Il faut que Howell ce pointe et que… Dit Blane en prenant une balle qui lui frappa le visage.
-Blane !!! Blane non !!! Criais-je en désespoir.

Mon groupe est décimé, ma radio et morte, je ne sais plus qui et vivant et je marche difficilement. Alors je repris mon CAR-15 et je tire avec une main mais me le recul de l’arme et très fort et impossible à maitriser. Ma seul solution et de ramper vers un abri en espérant que personne me voit. J’ai l’impression de mourir à petit feu et d’avoir pris la milice pour des nuls et pourtant ils nous mettent la misère…Enfin par notre aviation qui les a aidés. Je me cache derrière une voiture quand tout à coup, une silhouette traversa la fumée et dis :

-Marines ?
-Ou…Ouais !
-Je suis le sergent Mike Jenkins. Et vous ?
-Lieutenant…Chris Miller. Passez-moi votre radio.
-Bien lieutenant. Dit-il en me prêtant sa radio.
-QG ici Whiskey-Six, rappelez immédiatement vos avions ! Ils ont pratiquement décimés nos forces ! A vous.
-Whiskey-Six ici le QG, l’Air Force confirme ne PAS avoir touché vos positions…
-Foutaise ! Rappelez-les bordel de merde !!
-Du calme en attente de procédure.
-Jenkins, je marche difficilement. Aide-moi à me relever.
-Ok. Dit-il en me donnant sa main.

Je me relève et je boitai jusqu’au portail ou nous voyons le reste des troupes. Je vis leur chef, le sergent Donald Ramsey. Je me mets à coté de lui et je lui dis :

-Sergent, rapport de situation.
-On se fait arroser de tous les cotés et personne n’arrive à tenter une percée !
-Vous avez une mitrailleuse lourde ?
-Ouais mais elle est en terrain dangereux.
-Ok, Jenkins fonce au plus vite l’attraper et me la rapporter. On va essayer de te couvrir !
-Ouais j’y vais !

Jenkins court comme un fou vers la M60 d’un soldat mort et me la rapporta sous le déluge de balle ennemi. Il se mit à coté de moi et posa la mitrailleuse et son casque.

-On fait quoi ?
-Je vais envoyer un fumigène au milieu, vous tous vous passez par la droite et entrer dans le palais. Moi je peux plus trop marcher alors je vais tenter de vous appuyer à la M60.
-Hoorah !
Je retire la goupille lentement, j’attends deux secondes et je la lance en face du palace. La fumée commença à se diffuser et pour crée un leurre, je tire dans l’épaisse fumée blanche de manière à faire croire que les coups de feux viennent d’un percée de soldats. Le reste du groupe court en longeant le grillage de l’allée et il passe ni vu ni connu pendant que je tire complètement à l’aveuglette. Je vois une explosion sur le coté de la maison et la fumée commence à s’estomper. Je me mis à couvert et je tire sans aucune visibilité. J’entends les affrontements dans la villa quand d’un coup un fumigène rouge s’alluma à la fenêtre. Je vis le sergent Ramsey crier :

-Cease Fire ! Cease Fire !!

Le fumigène rouge indique surtout autre chose : ils n’ont pas trouvé Tavarez. Je regarde aux alentours et je vis une moto avec qui dessus ? La question ne ce pose même pas. Il commence à rouler juste trois mètres et son deux roues c’est retrouver criblé de 7.62x51. Je boite en direction de la victime et le groupe de Marines le tient en joue avec leur pistolet. Il est complètement hors d’usage.

-Jenkins ! La radio vite !
-La voila.
-QG ici Whiskey-Six et Avatar-Deux, nous avons récupérer le colis. Je répète, nous avons récupéré le colis. A vous.
-Reçu, deux Black Hawk médical et un Chinook de récupération sont en route, mais avez-vous trouvé les armes et la drogues ? A vous.
-Restez en attente. Les gars vous avez trouvé la drogue et les armes ?
-Ouais mais c’est incroyable y a une pièce spéciale pour la récolte.
-QG on confirme.
-Bien joué, mission accomplie !

Les hélicoptères sont sur zone et nous évacuons les blessés, et les corps dans les hélicoptères et moi puisque je suis blessé. Je revois les corps de Blane et Edwards sans vie avec un regard vide. Nous rentrons à la base mexicaine qui nous a accueillis et nous acclame en héros. Nous mettons les morts dans des sacs waterproof et c’était pour moi le corps de trop à porter puisque je m’évanouis.

A SUIVRE…

toujours aussi bien

Hum j'ai aimé la première, bof pour la seconde et la troisième mais la le niveau remonte en forçe, c'est trèèès bien
Juste une remarque : fautes d'accords des temps et quelques barbarisme.

Premier deuxième et troisième tu parle des chapitres ? Par contre pour les fautes je suis navré mais il faut m'accorder un peu de temps ça risque pas de changer du jour en lendemain.

Sweet et merci pour le clin d'œil à ma fic

Oui je parle des chapitres pour les fautes, écrit d'abord ton texte dans Microsoft Word, il te montrera les fautes et les "corrigent" ensuite tu les copies-colles ici

Je le fais déjà sur Word mais le correcteur n'est pas tip-top.

1. Grand_Devot Voir le profil de Grand_Devot
2. Posté le 19 juillet 2010 à 16:46:03 Avertir un administrateur
3. Sweet et merci pour le clin d'œil à ma fic

Quel clin d'oeil ? Je te signal que ce chapitre a été posté bien avant que tu fasse ta suite gore

Sérieux ? Pck normalement il devrait au moins te signaler quand tu mais -ai comme terminaisons alors que la phrase est à la 2° personne pl.

Je dois peut-être avoir une version Word un peu vieille parce que il le fait 1/2.

m'enfin c'est pas grave, c'était une remarque et non une critique

Bon moi j'attends la suite

100

---Dans la salle de torture---

-Tu m’as pas un peu roulé l’amerloque ? Dit le bourreau.
-Euh…non absolument pas. Pourquoi ça ?
-Tu m’avais dis que Blane était mort dans tes bras mais c’est faux. Tu étais par terre.
-Ouais mais ensuite je l’ai porté dans un sac waterproof.
-Ouais bon…Ce qui c’est passé à Ciudad Juarez on dirait la Somalie surtout que l’histoire ce passe deux jours plus tard.
-Tiens je n’avais pas remarqué, c’est vrai que c’est drôle !
-Bon passe à la suite. Randall Carlson, Russie, 1985.
-Oh ! Oui je me souviens de ça. La base militaire « Zvrognik » tout près de Petropavlovsk. Carlson était mon supérieur. L’opération visait à récupérer des plans secrets sur la station MIR lancé un an plus tard mais on n’avait aussi trouvé autres chose.
-Aller raconte et pas d’entourloupe !!

“Frozen Duck”
12 Janvier 1985 – 10h21
Agent Chris Miller
C.I.A.
Petropavlovsk, URSS

La Russie, adversaire de mon pays. La conquête spatiale va toucher bientôt à sa fin, l’homme a marché sur la lune et plein d’autre. C.I.A contre KGB, le combat des chefs. J’ai été recruté pour 2 ans et j’entame mon dernier mois dans les bureaux de la C.I.A. sauf que cette fois j’étais dans le froid glacial de la Russie ou devrais-je dire, l’URSS. Notre mission visait à photographier les informations, les installations d’une station spatiale. Nous sommes près d’une rivière, pas gelée mais à quand même 5° Celsius. C’est quand même relativement froid et nous n’avons pas d’autre choix que de passer par la. L’agent Carlson me dit que nous allons nager dedans pendant à peu près cinq minutes et ensuite on n’escaladera une toute petite colline. D’après les photos des missions U-2, la base est disposée comme une forteresse : gardes qui patrouille autour de la zone, mirador et j’en passe. Ce sera une mission suicide surtout qu’on n’est que deux et qu’on risque de camper car à part la base l’hélicoptère ne peut pas ce poser dans un rayon de 102 kilomètres. Nos armes étaient des AK-47 basique pour l’infiltration et des PPKS avec des silencieux. Carlson mis les pieds dans l’eau et me dit :

- Ce ne sera pas facile de passer par la. On va devoir se réchauffer du mieux que l’on peut, on pourrait bien pisser dans l’eau de manière à ce qu’elle chauffe un peu mais on pourrait aussi ce la gelée.
-Je crois que je préfère la garder quand même mais c’est vrai que c’est terriblement froid !
-Miller saute dedans et n’y pense pas. Aller !

Je saute dans l’eau et je me gèle les couilles !! Pour aller un peu plus vite je décidai de nager en crawl mais rien y fais. Même le bonnet sur la tête et des milliards de tee-shirt sans compter mon manteau blanc je me les gèle, il fait un froid de canard ! Cinq minutes plus tard, après cette torture nous arrivons sur la neige face à la colline. Je pris mes piolets et je perçai dans la glace mon piolet. Je plante le bout de ma chaussure droite et vice-versa jusqu’au sommet. Une fois la colline gravit, un truc inattendu se produisit. Un type qui passait par la cogné mon pic et tomba, il ouvrit la bouche et moi non-armé ne trouva aucune solution a part de le planter sur mon ennemi. Je lui assainis un gros coup dans le dos et le tua sur le coup. Je monte sur le sommet et aida l’agent Carlson à monter. Deux gardes en visuel juste en face. Nous prenons nos pistolets qui sont les seuls équipés de silencieux, et nous remarquons que ce sont des Spetsnaz. Randall dit de tirer à 3, il commença le décompte et au signal les ennemis tomba sur le sol chacun une balle dans la tête.

-Vous avez le bonjour d’Amérique…bande d’enflures ! Dit mon supérieur.

Je rigole un peu mais trêve de plaisanterie. Nous trottinons jusqu’au mur et nous prenons en joue les deux types dans leur miradors. Le chef me dit de prendre mon AK-47 et de tirer qu’une seule balle. Mais avant il prit la radio d’un des types qui était mort. Juste après ça il donna l’autorisation de tirer. Les deux hostile tombèrent du mirador et Carlson marmonna un truc en Russe pour pas que les autres rappliquent. Dans la base il y avait des VAZ, deux hangars pouvant abriter deux MIG-23 Flogger, des couchettes, un QG, un laboratoire et enfin un hangar nommée SS-52 sans plus de détails sur le plan. Elle devait faire 2km de long sur 900m de large sans compter la piste de décollage situé à l’extérieur de l’enceinte un peu plus au sud. Notre infiltration va être longue je le sens !

A SUIVRE…
Prochain épisode l'infiltration partie 1/2.

(Zvrognik est fictive)

Sweet et le clin d'œil c'est Jenkins