Chaud l'huitre enceinte excitée mais vas-y korki fais la ta demande de ban

Moi j'attends la preuve je te laisse une ultime chance. Pourquoi tu essai de me déstabiliser en disant que quelqu'un la copié ? Pourquoi tu dis sa et après tu ramène pas les preuves ? Bon alors j'attends toujours. Ton attitude est très bête de ta part. Tu aurais pu faire un avis concret au lieu de dire sa.

T'as écrit la suite ? Dans ce cas, poste la

Les suites sont presque toutes prêtes je la poste tout de suite.

Gg, tu posteras la suite quand ??

il reste 2 suite pour ensuite être en même temps que sur le -15 (la ou j'ai commencé) après je continue

Bon je me suis calmé au départ c'étais pas méchant je voulais juste un peu te taquiner
Pis bon comme tu m'as répondu ça m'a moi-même fais un peu mousser donc voilà vous savez tous la grande vérité, a-t-il c/c? la suite dans un prochaine épisode

Ouais mais ce genre de blague c'est pas drôle, imagine que c'est vrai que l'autre à plus de succès et que moi je bide alors que c'est moi qui l'a écrite. Je t'ai répondu puisque ça ma fait peur.

[-Peacemaker-], poste une suite par jour STP,

J'en ai posté une aujourd'hui (00h donc aujourd'hui.) Mais je vais essayer c'est pas sur

J'aime bien
C'est stylé

Je te reconnaît bien Yankee

Merci Cyril !! Je me souviens ! Longtemps que je t'ai pas vu. Tu deviens quoi ?

“Mexico ! ”
5 Octobre 1993 – 12h18
Lt Chris Miller
1st Marine Special Operations Battalion
Ciudad Juarez, Mexique.

Juan Tavarez est un trafiquant de drogue renommé pour avoir anéanti une équipe de l’armée mexicaine avec sa milice. Surtout quand on sait qu’à cette époque, se procurer des armes de guerres de dernière génération était très difficile. C’est types sont sacrément bien armés. Le gouvernement mexicain à demander de l’aide au Etats-Unis pour repousser ou même capturer Tavarez. Le premier plan était tout d’abord d’envoyé une équipe de Special Forces mais comme Camp Pendelton qui était notre base et quel à San Diego, c’était évidemment mieux de prendre une équipe de Marines stationné pas loin du Mexique. On devait être quinze sur le coup car d’après les renseignements de la N.S.A. cette milice compte de nombreux membres. C’est leur premier avantage sur nous et le deuxième c’est qu’il connaisse le terrain. Après deux jours au Mexique, notre devoir nous appel. La N.S.A. à collé une puce sur la voiture d’un membre de la milice. Nous montons dans des berlines break banalisé et nous allons effectuer une filature. C’est le capitaine Edwards qui conduit et moi en passager avant. J’allume le traqueur et il indique qu’il est sur la rue Sébastian Bach. J’arme mon CAR-15 et je le cache sur le coté de la porte. Je charge mon Colt M1911 et je le garde près de moi. Nous sommes vêtus d’habits civils avec un gilet pare-balle sous la veste. Le capitaine mis la voiture en marche et nous nous dirigeons sur le contact. Nous sommes cinq dans la voiture et les trois autres voitures aussi qui restent dans le périmètre tous une rue plus loin. Nous voyons la voiture cible et nous gardons nos distances à 50 mètres derrière trois voitures. Soudain la voiture du milicien pris la rue à droite et malheureusement les deux autres partent à gauche. Nous sommes contraints à rester derrière assez loin pour qu’il ne se doute pas trop. La voiture s’arrêta net devant nous et nous pilons d’un coup, nous faisons les conducteurs énervés jusqu’à que trois hommes descendent de la voiture, sorte leur AK-47 et les braquèrent sur nous. Le capitaine dit :

-Miller on n’est grillé, garde ta main sur ton pistolet mais ne tire pas on doit les avoir vivants ! Me chuchota le capitaine.
-Compris. Répondais-je en chuchotant.

Les trois miliciens approche et nous baissons la vitres, les trois autres derrière reste calme prêt à les neutralisés, je serre mon Colt bien fermement dans ma main droite sous mon jeans. Je traduis se qu’ils disent :

-Vous nous suivez ?
-No, señor. Répondit le capitaine un peu stressé.
-Descendez de la !!

Dans ma tête je me dis que c’est fini pour nous. Le milicien ouvra la porte et vit tomber mon fusil d’assaut. Cette seconde d’inattention m’à permis de prendre son AK-47 de la main gauche et je lui retournai le bras, puis je me lève et pointe mon Colt sur son ventre et je lui fais tomber son fusil. Le capitaine fit de même et les trois soldats derrière ouvrirent leur portière et le pointe de leur fusil.

-Ecoute-moi bien petit con ! Ou tu t’es procuré sa! Dit le capitaine à son otage.
-Hijo de puta !
- Je ne crois pas que l’on c’est bien compris ! Répliqua capitaine Edwards en lui fracassant la tête dans un mur.
-Calmos !! C’est Tavarez qui l’est achète à Tommy Wheel. Dit le gringo en pissant le sang.
-Deuxième round, ou est Tavarez ?
-Dans ton cul !
-Tu résiste ! Lui dit le capitaine en lui écrasant la tête contre la voiture.
-Il à un repaire à Antonio Plaza, tu vois ou c’est ?
-Ok tu m’à bien aidé gringo.
-Tu va me tuer ?
-C'est-à-dire que…Lui répond Edwards en l’étranglant. Miller bute le pareil Blane tue-le !
-Va te faire…Miller ! Dit le mexicain en me crachant à la gueule.
-Je préfère sa que terminé six pieds sous terre gringo ! Lui répondis-je en lui collant une balle dans la tête. L’enfoiré ! Ajoutais-je en me nettoyant le visage.
-Bon on retourne à la base mettre nos rapports, les deux autres voitures mon dit qu’ils sont en repérage à Antonio Plaza. On l’attaquera demain à 0400am (4h du matin)

Nous remontons dans la voiture et nous rentrons à la base. D’après nos services de renseignement, Tommy Wheel est dans un château dans le Kent et il demande au S.A.S. britannique d’intervenir.

A SUIVRE…

Je suis défoncé

C'est à dire ?

C'mon Yankee! Je commence à lire la fic

J'ai tout lu + sweet

Merci mon pote !

Moi aussi j'ai tout lu et j'en