Prologue

Je suis un maître Assassin mais pas en Italie mais en France J’ai 35 ans et je vais prendre ma retraite .
Je vous écris car je vais vous raconter ma vie.

Tout commence lorsque j’avais 15 ans, ma famille a été assassinée par des militaires de François Ier.

Chapitre 1 : La vérité

J’avais quinze ans, j’étais assez grand, les cheveux bruns, bref assez beau. Je suis né d’une famille bourgeoise.
Je revenais d’une virée entre amis dans Paris. Je rentrai dans la maison et je vis des gardes tué mon père le corps de ma mère, de mon frère est déjà à terre sans vie. Je lui sautai dessus lui arracha l’arme des mains et le tua. Ses compagnons attirés par les bruits accoursèrent.
Ils étaient trois contre un et des sourires se dessinaient sur leur visage, Le premier m’attaqua mais je l’avais anticipé j’avais un bond sur le côté et embrocha son compagnon qui affichait un air surpris ,j’en profitai pour planté mon épée dans le dos de celui qui m’avait attaqué .Le troisième apeuré essaya alors de me tuer par derrière mais ayant vu son ombre je plongea sur le côté et lui mit mon épée dans la cote
.Ne voyant plus aucun garde je me dirigeai vers mon père qui suffoquaient, ce qu’il me dit me troubla :
Mon fils .. Il faut que je t'explique ce qui va se passer maintenant, et que je t'annonce quelque chose..

Je restais là, a ses cotés, le tenant par la main, le serrant dans mes bras, j'attendais qu'il me dise..

- Tu sais mon fils, tous ces voyages d'affaires, quand tu étais plus jeune.. Et bien ce n'était pas pour du business, les services que je rendais, les contrats que je signais, ce n'était que des pactes avec des hommes puissant. Il me donnait de l'argent pour..

Je remarquai alors que sa voix était de plus en plus coupée, par manque de souffle.

- Pour ?
- J'étais tueur a gage à l'époque, c'est pour cela que ces hommes étaient présent.
Je ne savais pas comment réagir, je serrais alors, encore plus fort mon père, ma tête reposant sur son torse. C'est a ce moment, que j'entendis un un dernier gémissement, son dernier souffle.

Je fondais en larmes, pensant a tout ce qu'il venait de me dire.

Je trouvai une feuille indiquant un emplacement, un pont au-dessus de la Seine, le 14e pour être précis .Je découvris aussi des vêtements, avec des armes, une lame secrète, une épée, et des shurikens. Je m’habillai et allai au rendez-vous inscrit sur la feuille .Le rendez-vous était prévu a trois heures de l’après midi il était deux heures trente .

C'est ma premiere fic soyez indulgent
Je suppose qu'il y a des fautes d'othographe
Si vous aimez je posterai le chapitre 2

Chapitre 2

J’y arrivai à l’heure et vis une personne habillé de la même façon que les habits de mon père. Un habit blanc comme la neige, un pommeau d’épée du côté gauche, ce qui m’indiquai qu’il est droitier. Un glaive dans le dos, puis je vis quelque chose autour de sa main. La lame secrète sans doute Je m’approchai de lui en lui disant :
« Je sais qui vous êtes
-Et qui suis-je ? Ironisa l’assassin
-Vous êtes un assassin »

Il mit sa main sur le pommeau de son épée mais je continuai de parler

« Je ne vous veux pas de mal, je suis le fils de Robert
-Ou est-il ?
-Il est mort. Des gardes l’ont assassiné. Je suis venu pour rejoindre vos rangs.
-Je veux bien mais il faudra faire des essais parce qu’on ne rejoint pas les Assassins comme ça.
-Je veux vengé mon père !
-Suis-moi.

Il me conduisit jusqu’à son cheval, puis nous montèrent dessus.

Il me banda les yeux puis nous commencèrent à avancer. Le temps parut long, cela doit faire une demie heure, une heure Je n’en sais rien, j’ai perdu toute notion du temps. Soudainement nous nous arrêtâmes.

Il m’enleva le bandeau. La lumière du jour m’éblouit, je fus aveuglé pendant une dizaine de seconde. Je découvris une base fortifiée gigantesque, les murailles longues de cent kilomètres, hautes de vingt mètres, des champs a pertes de vues. Nous avançâmes encore un peu, dix gardes gardait le pont levis de chaque côté tous armaient jusqu’aux dents. J’avais peur.

Nous traversâmes le marché où les marchands criaient, je me plaqua les mains contre mes oreilles pour atténué le bruit .Nous étions devant un palais et nous rentrâmes dedans .

Il me conduisit jusqu’au chef
….

Chapitre 3

Je le vis un bref instant. Il était grand il avait deux tête de plus que moi large comme une épée.
Il m’emmena dans une salle. J’attendis un quart d’heure puis le Chef arriva :
-Je me nomme Charles, je suis le Chef des Assassin en France
-Euh… Je m’appelle Cédric, j’ai 15 ans et mon père est Robert,il travaillait pour vous.
-Oui c’était un très bon élément, un des meilleurs. Il entretenait des liens avec les Assassins Italiens…
-Pouvez-vous me raconté l’Histoire des Assassins ?
-Oui, cela a commencé lors des croisades, Une dizaine de personne se sont associés et ont créés la Confrérie des assassins .

Ils ont recrutés des personnes jusqu’à avoir un demi-millier de personnes dispersées dans l’Europe de l’Ouest et dans les Territoires Saints.

Ils livraient une guerre contre les templiers qui voulaient dominer le monde. C’est toujours le cas d’ailleurs. Ils se livraient une guerre à distance sans merci.
Les templiers utilisaient des marchands d’esclaves pour recruter dans leurs armés. Une légende dit qu’un Assassin les a tous éliminé. Il se nomme Altaïr.

Il est mort en tuant le Chef des Templiers à l’époque.
Ensuite Les Assassins de l’époque ne tuaient plus beaucoup, ils se chargeaient de collecter des renseignement pour trouver des trésors.

On retrouve des meurtres en Italie avec la famille Auditore qui avaient beaucoup de contacts princiers, avec Lorenzo de Médicis et toute sa descendance puis avec Léonardo Da Vinci, une personne très intelligente.

Ezio le chef des Assassins Italien est vieux pour ce métier il a 45 ans si mes souvenirs sont exacts, il a arrêté et se repose dans son village. Il forme dans son village une cinquantaine d’assassins.

En France nous sommes les premiers Assassins. Au cours d’un voyage en Italie j’ai rencontré Ezio et j’ai décidé de monté la confrérie en France

-Wooaau je suis étonné !! Que sont les Templiers ?
-Les Templiers sont des personnes qui veulent contrôler le monde et qui sont malhonnêtes, ils veulent utilisé tous les moyens possibles pour y a arrivé.
-Et quand commence l’entrainement ?
-Maintenant si tu le désires
-D’accord
- Va dans la cour je te rejoindrais

…. .

J'ai fais de mon mieux

bien au debut je trouvait que sa ressemblait trop a AC 2 mais apres c super sauf queque fautes dhorthographes mais c pas graves autrement super

Merci je me suis inspiré au début de AC II pour me lancé

Chapitre 4 (premiere partie)

Je sortis du palais et arriva dans la cour .Elle était grande, immense tout simplement, un grand carré de 200 mètres de long et pareil de large, des murs où certains s’entrainent à l’escalade des endroits où ils sautent dans de la paille.

Plusieurs groupes s’entrainent à l’épée .Le Chef me dirigea vers le groupe des débutants en gros des sous-merdes quoi .On me donna une épée et me désigna deux personnes à battre .Le combat s’engagea. Ils étaient plus grands que moi, une tête environ pas très sûr d’eux, mais content d’être en supériorité numérique. Ils me tournèrent autour lorsque le plus grand m’attaqua ,Je l’esquiva puis je le contrai, il me bloqua, il me mit un coup de pied dans le ventre, ce qui me fit tombé à terre, j’étais essoufflée me relevai enragé d’être humilié je m’acharnait sur lui ,il avait l’air de ployer sous les coups je continuai et aperçu la faille, je lui mis un coup de poings dans le ventre, il se plia et j’en profitai pour le désarmai.

Mais je venais de voir l’ombre par terre, je n’eus pas le temps de me retourner que je sentis un gros coup dans la tête puis plus rien.

Je me revis dans la cour de ma maison quand j’avais huit ans, les cheveux mi- longs en bataille comme aujourd’hui d’ailleurs, un nez légèrement en trompette parsemé de taches de rousseurs, des yeux marron, verts. Mon père me courait après avec les mêmes signes physiologiques que moi sauf qu’il avait des cheveux courts, Il riaient, ma mère nous regardaient, assis sur le banc, était enceinte de mon petit frère.

Nouveau flash

J’avais 12 ans j’avais beaucoup grandis je me situais dans la moyenne. J’étais dans ma chambre et j’embrassais ma cousine qui elle avait 14 ans, elle faisait ma taille était blonde, très jolie .J’étais tout content

J'ai coupé parce que sinon cela fait trop long

Chapitre 4 (deuxième partie )

Nouveau Flash

Mon Anniversaire lors de mes 13 ans, toute ma famille était contente, j’avais reçu des cadeaux, une épée, et des vêtements magnifiques, de soie,
Mon père me donnait des cours d’escrime je comprends maintenant pourquoi, il m’entrainait à mon futur métier : le métier d’Assassin

Nouveau Flash

14 ans, mon père me donnait des cours d’escrime, J’apprenais l’escrime dans la bonne humeur et mon père aussi.

Nouveau flash

Je vis ce qui s’est passé dans la maison le jour de la mort de mes parents. C’était tellement horrible que je préfère ne pas la raconté.

Je me réveille j’étais sur un lit avec un médecin et Charles, le chef :
« Ça va ? me demanda Charles
-Oui, oui, marmonnais-je
-Il a subit un grand choc, il vaudrait mieux qu’il se repose pendant un jour. Il pourra reprendre l’entrainement demain.
-C’est d’accord, Cédric tu prendras des cours avec, comme ça il n’y aura pas de problème
-Oui »
Je me reposai toute la journée en regardant les autres s’entrainer. Je n’avais pas de chance
Je dormis et me réveilla à l’aube, J’entendis des pas arrivés je me mis donc en tenue

…. .

J'ai fais ce que je pouvais

c'est bien moi perso je trouve que c'est un bon début alors moi j'attend la suite ...
_______________________
Alan est ma nouvelle identité. Assassin est ma destinée
L'ordre des Assassins vaincra ...

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Alan est ma nouvelle identité. Assassin est ma destinée
L'ordre des Assassins vaincra ...

Je suis de retour je me mets a écrire le cinquieme chapitre

Voila

Chapitre 5

Il vint me cherchait et il m’emmena dans la cour, il ne m’avait pas adressé la parole sûrement contrarié par quelque chose qui avait dû ce passer :
« Oui, il y a un problème, un autre assassin est mort
-Comment avez-vous su ce que je pensais ?
-Tu me regardais, et tu réfléchissais
-Que s’est-il passé ?
-Il s’est fait tuer par un templier, une épée dans le dos, on la retrouvé comme ça sur le marché de Paris. »

Nous commençâmes notre entrainement, il était très fort, je n’arrivais a placé quelconque coup d’épée (elles étaient en bois), il me fit un croc en jambe et je tombais par terre. Il me mit son épée contre ma gorge et me dit : « Tu n’es pas assez vigilant, relève-toi . »

Je me relevai et énervé d’avoir été humilié l’attaquai avec tout le courage que j’avais. Il les para une à une, ce fut à son tour de m’attaquait, je résistai, mais je vis une faille il n’avait pas bien replacé son bras, je fis une feinte, il essaye de paré mon coup mais je lui mis un coup de poing dans le ventre, il eut le souffle coupé j’en profitai pour le faire tomber par terre, il tomba sur le sol, un regard surpris puis plein d’admiration traversa son visage :

«Tu m’as fait le même coup que ton père m’a fait il y a dix ans. »
Des larmes me montèrent aux yeux mais je réussis les retenir .

Il me fit rejoindre le groupe de la dernière fois. Cette fois-ci ce fut un contre un.

L’adversaire était à peine plus grand que moi, les cheveux noirs comme des cendres, un nez pointu, des yeux en amande, je vis dans ses yeux une tristesse énorme, il avait dû vivre quelque chose comme moi mais moi j’en ressors de la rage.

Il attaqua le premier, j’esquivai en sautant sur la droite le désarma puis le fis une clef de bras, il tomba, je le retenu pour qu’il ne se fasse pas mal, j’avais gagné ce combat qui c’était déroulé en quelque seconde .C’était pourtant le meilleur du groupe.

L’instructeur me félicita puis me dit qu’il fallait que l’on court, escaladait le mur (où je savais où m’appuyé puisque le jour d’avant j’avais les meilleurs le monté en quelque seconde) puis fassions des pompes, abdos tout le tralala quoi. Je m’effectuai plein de joie parce que j’avais montré qui était le patron dans le groupe.

Pendant deux semaines, je fis la même chose chaque jour, je m’étais élargi, et avait gagné en endurance.

Le seizième jour de mon entrainement, on m’emmena voir le Chef :
« Cédric, tu es maintenant prêt pour ton premier contrat, je te dévoilerais le contenu demain. Va te reposer. A demain. »

Je m’en allai dans ma chambre qui était celle de mon père avant qu’il ne rencontre ma mère.

Chapitre 6

Après une bonne nuit de repos, j’allai dans le bureau du Chef.

Il me dévoila tout de suite le contrat :

« Tu dois tuer Robert De Loie c’est un noble qui habite dans Paris, tu devras le tué lors qu’il descend de la voiture (avec les chevaux) et qu’il se dirigera vers sa maison (un noble n’a pas obligatoirement beaucoup d’argent) .Tiens prends-ça . »

Il me tendit une plume.

« Tu devras y mettre son sang. Fais attention, il est protégé par des gardes, cinq six tout au plus
-D’accord »

Je me promenai dans Paris comme dans il y a quelques temps, avec mes amis j’aimerai bien les revoir mais il pourrai le dire à leurs parents qui pourraient le révéler a beaucoup de personnes, donc ce n’est pas une bonne idée.

On m’avait prévenu qu’il arriverait cette après-midi vers 14h30, il est 10h,je le sais grâce au clocher qui vient juste de les sonnait.
Je repérai les lieux, une grande rue deux petites ruelles, beaucoup de personnes, des stands de marchands, Le plan commençait à germait dans mon esprit.

La voiture arrive, comme le Chef me l’avait dit cinq ou six, ici cinq, il ne portait pas de protections ce qui me rendait la chose plus facile. J’étais tapi dans l’ombre. Je sortis mes cinq couteaux de lancer, je les lançais, quatre gardes s’écroulèrent, mais un resta debout.

J’EN AVAIS MANQUE UN !!!

J’actionnai ma lame secrète, courut vers le garde lui sautai dessus mais il m’empêcha de réussir mon coup, il me jeta sur le côté. Ma cible, il ne faut jamais appelle sa cible par son nom sinon cela lui donne une personnalité, un sens de vivre, ce qui peut empêchait de la tuer, était restée ébahie, elle n’avait pas bougé de place. Le garde était par terre sous le choc puisque il avait tapé la tête sur le sol. Je sautai sur la cible, lui planta ma lame dans la gorge en disant « Requiescat in pace » .

Je sortis ma plume, l’imbiba de sang, je me relevai prêt a partir lorsque le garde se leva, je me mis à courir, le garde me suivait, je partis par une ruelle qui était en réalité une impasse. Le garde me croyait coincé mais je sautai sur le mur puis je m’appuyai sur le mur de toute mes forces, fis un saut acrobatique arrière, j’atterris par terre puis l’embrocha avec mon épée.

Mission accomplie.

C’est à ce moment que je vis une personne qui m’observait, je courus dans sa direction, j’atterris à l’angle de rue et là une dizaine de garde en face de moi, l’inconnu lui aussi était bloqué, il était recouvert d’une cape blanche.

Il sortit une épée mais les gardes l’attaquèrent, j’en profitai pour tous les prendre par derrière, j’ai tué six gardes avec mon épée dans la main droite et mon glaive dans la main gauche, par deux et par derrière. L’inconnu essaya de s’enfuir mais je lui sautai dessus avec ma lame secrète sur la gorge :
« Qui es-tu ?
-C’est moi »

C’était le Chef, il était venu voir si j’avais réussi ma mission

Nous retournâmes ensemble au repère.

... .

Alors ?

ça fait un peu long, non ?

s'il vous plait

C'est ma premiere fic

J'arrête parce qu'il n'y a personne

Mon pauvre t'a fic à un peu bidée...

Un peu ! énormément tu veux dire

s'il vous plait

Pas mal, mais les phrases de ta fic doivent plus detaillé, avec plus de mots. Car ces phrases sont trop simples. Pour l'orthographe, c'est assez bien, assez compréhensible.