Terminé, j'le poste demain.
magne toi soy
Bouge ton c*l soy!
Bien de profiter d'une faute de frappe ?
Bien de pas commenter mon chapitre ?? ~ ~
Bien de plus suivre ma fic ~ ~
Bien ou bien ?? ~ ~
bien, je sens qu'on parle pour rien ici
Spycho qui exprime sa rage de voir son pseudo mal écrit! ~ ~
rage pas soycho
Soycho
Bien de vous moquer d'une faute de frappe
Chapitre 44: Dans la soute.
Les deux panneaux métalliques se rabattirent sur le couloir et les créatures qui le peuplaient. Je me précipitai sur l'hologramme de commande, afin de le verrouiller au plus vite. Une fois le logo passé au rouge, je m'appuyai contre le mur, reprenant mon souffle. Daniel fixait d'un regard vide la porte, et je devinai aisément que ses pensées étaient dirigées vers Elsa.
Pendant les quelques secondes qui suivirent, j'étudiai la salle où nous avions atterris, afin d'essayer de voir où cela nous mènerait. Vraisemblablement, il s'agissait de l'une des soutes, ce qui était facilement explicable par le fait que nous nous trouvions tout en bas du vaisseau. Malgré les deux années passées sur la Méduse, la salle était encore remplie de divers conteneurs qui s'empilaient sur plusieurs mètres de haut.
De nombreuses caisses gisaient en travers des allées formées par les piles, dévoilant pour la plupart de outils de forage ou des débris rocheux. La zone avait l'air assez vaste, et ressemblait globalement à un magnifique petit labyrinthe. Derrière la porte, les hurlements des créatures s'éloignèrent, mais les murs commencèrent bientôt à grouiller de grattements.
Nous prîmes nos armes bien en main, prêts à ouvrir le feu sur tout ce qui viendrait.
Mais rien ne se produisit.
Les grattements s'éloignèrent progressivement, tandis que les échos des derniers rugissements s'évanouissaient. Bientôt, seule notre respiration brisait le silence qui s'était installé. Je me détendis légèrement, laissant mon fusil pendre au bout de mon bras.
« Ok... Bon, faut qu'on trouve par où passer maintenant. »
« Et Elsa? »
« On la retrouvera surement, elle et l'autre idiot. Une idée d'où on doit aller? »
« C'est pas toi qui voulait venir ici? »
« Si, mais ça veut pas dire que je connais le chemin... »
« Bah, faut juste qu'on traverse, donc... Par-là? »
Il indiqua du bras une direction vague, à droite de la porte. Effectivement, c'était dans ce sens là qu'il faudrait aller pour atteindre l'autre côté du brise-surface, mais encore fallait-il trouver un moyen de le faire. Des conteneurs s'étaient en plus écrasés au milieu, nous obligeant à nous engouffrer dans le dédale de caisses pour y aller. Je jetai un regard nerveux vers la porte et les conduits d'aération, puis nous nous mîmes en route.
Mais, bien évidemment, le danger ne vint ni de la porte, ni des conduits. A peine quelques secondes après que nous ayons commencé à marcher, toute la paroi à notre gauche commença à s'enfoncer. Nous nous arrêtâmes net, frissonnant, tandis que le mur s'incurvait lentement vers l'intérieur, de manière assez aléatoire.
Une énorme patte en forme de serre ne tarda pas à briser la paroi, cherchant à tâtons dans la salle. Ses doigts crochus se refermèrent sur l'un des morceaux de mur, et l'arrachèrent. Je poussai l'écrivain vers l'allée de caisses, sans toutefois décrocher mon regard de cet événement. Bientôt, une gueule reptilienne, avec plusieurs paires d'yeux et une mâchoires en trois parties s'engouffra dans la brèche, claquant des dents, braquant son regard multiple sur nous.
Presque à reculons, j'entrai dans le dédale, ne me retournant que lorsque la créature eut disparue derrière la pile de conteneurs.
« Putain, c'est quoi ce truc encore? »
« Tu tiens vraiment à le savoir? »
Les coups du mastodonte continuaient de se répercuter dans la salle au fil que nous avancions dans le labyrinthe. Nous n'osions pas courir, de peur de rater l'allée qui nous mènerait à la porte. Les nombreux conteneurs jetés à bas de leur support par le crash obstruaient de nombreux passages, rendant la traversée difficile et aléatoire.
La créature avait arrêté de frapper le mur, ce qui n'augurait rien de bon. Trois immenses caisses bloquaient le chemin, et nous dûmes faire un virage sur la droite. Quelques secondes après, le mur de boites à notre gauche s'effondra, tandis que le nécromorph géant en jaillissait. Nous nous mîmes à courir pour éviter cette averse mortelle, et les conteneurs se fracassèrent au sol, répandant leur contenu sur l'acier.
Le monstre était trop gros pour nous suivre dans les allées, ce qui ne l'empêcha pas de trouver un autre moyen. Il se jeta sur les piles, nous poursuivant par au-dessus, les caisses tanguant dangereusement sur son passage. A plusieurs reprises, il pencha la tête en avant, mais sa mâchoire claque à deux bon mètres au-dessus de nos têtes. Sa démarche, déjà bancale en raison de l'endroit où elle courrait, était assez étrange du fait qu'il lui manquait un bras.
Je ne me demandai pas comment elle l'avait perdu, me concentrant sur notre route. Une autre pile s'était affalée en travers du passage, nous offrant malgré tout un étroit chemin entre les boites. Nous nous arrêtâmes dans une glissade devant l'obstacle, tandis que l'abomination profitait de cette halte pour tendre son autre bras dans notre direction.
Je poussai Daniel dans l'interstice, où il se faufila difficilement. Les griffes du monstre fouettèrent l'air à quelques décimètres de moi, et je dus me baisser, tandis qu'il essayait de s'aplatir davantage, histoire de gagner les derniers centimètres.
« Allez Dan', magne-toi! »
« Je fais ce que je peux, c'est pas large! »
« Je m'en fous, je vais finir par perdre un morceau là! »
« Bah, au moins tu passeras plus facilement... »
Je me jetai dans l'ouverture au moment où l'atrocité retentait sa chance, poussant mon coéquipier dans le même temps. Nous en sortîmes difficilement au bout d'une ou deux minutes, et nous débouchâmes au niveau d'un croisement. Droit devant, la porte de la salle s'offrait à nous, son hologramme bleu nous invitant à l'ouvrir.
Cependant, ce carrefour de la soute offrait une zone légèrement plus large que les allées.
La mastodonte se laissa tomber devant nous, se réceptionnant sur ses pattes arrières et son bras restant. Il se pencha, de façon à ce que son horrible gueule soit presque à notre hauteur, ses multiples yeux rivés sur nous, un léger souffle jaillissant de ses mâchoires.
« Matt, il te reste une grenade? »
« Oui, pourquoi? »
« Comme ça... Donne. »
Je lui tendis l'explosif, tout en reculant pour m'éloigner de cette atrocité. Le jeune homme la pris à pleine main, l'activa et la lança. La sphère roula entre les pattes de la créature , toucha l'une des piles et s'immobilisa. La petite déflagration secoua à peine le mastodonte, qui tourna juste la tête vers la source de l'explosion, avant de rediriger son regard sur nous.
Dans un grincement, une des piles de conteneurs vacilla lentement, avant de commencer à sérieusement se pencher.
Alors que le monstre se dressait sur ses pattes arrières pour bloquer l'éboulement de son unique bras, nous nous jetâmes sous lui, parcourant l'allée à toute allure. Un grondement résonna derrière nous, et en tournant brièvement la tête, je vis que celle du nécromorph était légèrement entravée par deux énormes caisses. L'écrivain ouvrit la porte, et nous nous engouffrâmes à l'intérieur, à bout de souffle.
C'était une petite salle tout à fait normale, avec quelques placards, tables et deux autres portes. Je verrouillai à nouveau le panneau derrière nous, et fit un pas, cherchant quelle porte prendre.
Brutalement, l'une d'elle s'ouvrit et un homme en surgit, épuisé.
A peine entré, il braqua son arme sur moi, et nous dirigeâmes les notre vers lui. Essayant de passer outre les trois points bleus alignés sur ma poitrine, je dévisageait le nouveau venu, dont le visage encore rouge sur un côté m'étais familier.
« Fuker! T'étais passé où? »
« Je... J'ai eu.. un... »
Néanmoins, mes yeux venaient de se poser sur un petit détail, assez particulier. Il s'arrêta de parler et suivit mon regard. Lorsqu'il vit ce que j'observais, ses yeux s'écarquillèrent de terreur.
L'une de ses manches, celle qui tenait l'arme, était éclaboussée d'un sang rouge et frais, qui n'appartenait vraisemblablement pas à l'un de ces monstres. Le leur était légèrement plus sombre, avec une texture peut-être un poil plus visqueuse. Non, indéniablement, c'était du sang humain. Et au vu de l'emplacement de ses blessures, ce n'était pas le sien.
Il releva la tête vers moi, et une lueur de détermination passa dans ses yeux alors que son doigt glissait sur la détente.
Daniel lui envoya alors un coup de crosse monumental, qui lui arracha le cutter plasma des mains et l'envoya valser contre le mur, où il s'écrasa avant de glisser à terre, le nez en sang. L'écrivain le regardait avec un dégout et une rage non dissimulée.
« Où elle est? »
+ Oui, c'est la créature que sala avait collé dans son chapitre avant de se tirer lâchement de la station
Bon je lis et puis je donne mon avis! ~ ~
C'pas mal, c'pas mal mais le "Où elle est" le fait pas vraiment pour un écrivain ~ ~
Donc toi, tu parles à une personne couverte du sang de ta copine, une personne que tu détestes, et tu vas lui dire "Puis-je savoir où se trouve Elsa?"
Et merci
je m'étais poser la question au début mais dés qu'il lui manquait un bras j'avais compris
Ps : les nécro peuvent se régénérer lentement comme des lézards si ils ne sont pas tué ?
Non
+ Super chapitre, c'est à mon tour