C'est bien comme FIC

Tu t'es bien rattrapé après le commentaire de Commando en réduisant le taux d'invincibilité des soldats

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Bah je me suis dit que mettre des space marines ça ferait pas très réaliste.

En fait, l'escouade a juste subi quelques modifications physique, comme une augmentation de la vitesse de réaction et quelques implants de glandes pour améliorer leur organisme.

Et ils ont des armure médicalisées assistées.

Et en face les mutants étaient des jeunes inexpérimentés.

Mais par contre ils ont morflés avec le seigneur.

Et oui

Mais c'est une chance qu'ils galèrent de temps en temps... Sinon ce serait à ch***

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Gabriel lâcha immédiatement Bruno, se retourna et se mit à genoux dans le même mouvement, les yeux baissés.
Le Général se trouvait en face de lui.
Le Commissaire se mit alors à parler à un rythme saccadé à son maître :
_Monseigneur, je suis désolé de cette violence, je me suis emporté, je vous prie humblement de bien vouloir m’excuser.

Le Général l’observa de toute sa hauteur, puis éclata de rire et lui tendit la main pour le relever.
_Ah, mon cher Gabriel, tu n’as pas à t’excuser de ton comportement, il est parfaitement légitime après ce que tu viens de subir.

Gabriel osa alors relever la tête et regarder le Général. Celui-ci était immense, un vrai dieu descendu sur Terre! Il y avait la même différence entre lui et Gabriel qu’entre Gabriel et un humain normal.
Il portait une armure assistée ouvragée faite sur mesure pas les meilleurs ingénieurs de Paris, et à ses côté pendait une épée d’une excellente facture, alimentée par une cellule énergétique et qui lui permettait de trancher armure, chair et os avec une égale facilité.

D’après ce qu’il savait sur le passé du Général, celui-ci était resté en hibernation durant toute la guerre, et avait été réveillé peu de temps après afin de reprendre la France, et sans doute une partie de l’Europe des mains des super mutants.
Il avait passé les 30 dernières années à reconquérir la capitale pieds par pieds, et maintenant, en 2110, il s’attaquait à Tours.

Il était plus vieux que Gabriel, mais ne le paraissait nullement. D’après le peu d'informations qui avaient filtré, le Général aurait subi un traitement spécial durant sa cryogénie, augmentant sa taille, sa masse musculaire, ses capacités de raisonnement, sa vitesse de réaction, et son intelligence. Il avait été choisi pour ça, un homme extrêmement endurant, dont la volonté ne pouvait être brisée.
Ce qu’avaient subi Gabriel et ses frères n’était que la pâle copie du traitement du Général.
Cet homme faisait preuve d’une vigueur hallucinante, d’une force et d’une vitesse hors du commun et d’une intelligence inouïe.

Une fois à Paris, Gabriel l’avait suivi à travers une colonie de super mutants. Le Général abattait quiconque se plaçait en travers de sa route, il avait tués des brutes et des maîtres super mutants sans même ralentir, et lorsqu’il arriva devant le chef des super mutants parisiens Gabriel fut témoin du plus fabuleux duel de sa vie.
Le Général enchaînait les attaques, blessant à de nombreuses reprises le chefs ennemis, et parant sans aucune difficulté les assauts de celui-ci, il semblait même jouer avec le super mutant, comme une chat avec un souris. Puis, lorsqu’il décida d’y mettre un terme, il abattit sa lame avec une vitesse que le seigneur super mutant comprit qu’il était mort seulement lorsque sa tête roula de sur ses épaules.

Le seigneur super mutant contre lequel lui et ses frères avaient eu à combattre n’aurait pas tenu trois secondes face au Général.
Cependant, maintenant le Général devait rester dans son QG à coordonner les différentes attaques, analysant et donnant ses ordres pour dix escouades à la fois.

Houlala...

Les fautes...

J'ai beau me relire, je les vois qu'après avoir posté...

Tu vois pas le soulignement rouge?

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Bah en fait c'est des fautes d'accord, et pas d'orthographe...

Ah ok

Honte à toi

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Le Général releva Gabriel d’une seule main et le remit debout avec une étonnante facilité.
_Je comprend ta colère mon fils, ton frère est sérieusement blessé et vous n’avez pas pu accomplir votre mission, mais cela fait déjà 60 mutants en moins, et on m’a rapporté que tu avais vaincu en duel un seigneur!

Gabriel était toujours étonné que le Général l’appelle son «fils» alors qu’il n’y avait aucun lien de parenté entre eux, à moins que ce ne fut le fait d’avoir traversé le processus qui avait créé ce lien. Après tout, Gabriel considérait les membres de l’escouade comme ses frères, et le Général les appelait eux aussi «fils».
Il ne le saurait sans doute jamais.

Il s’adressa alors à son maître :
_Monseigneur, sans l’aide de Jacques, je n’en serais pas sorti vivant, et sans mon escouade, je ne serais pas arrivé à vaincre tous cette détestable racaille…
Le Général lui donna une claque dans le dos qui le renvoya presque par terre :
_Ah Gabriel, et toujours aussi modeste à ce que je vois! Arrête un peu de te sous-estimer, je te connais comme si je t’avais fais!!
Le Commissaire savait que c’était effectivement le cas, car c’est le Général qui avait supervisé le projet « sur-humanisation ».

_Mais parlons stratégie, continua le Général en se dirigeant vers une carte de Tours étalée sur une table, la compagnie de Joseph a repéré des signe d’activité mutante près de la piscine du Lac, mais ils n’ont pas pu s’approcher plus, ayant été accueillis par des tirs nourris. De plus, ils ont notés en s’enfuyant un fort taux de radioactivité émanant de la piscine.

Gabriel étudia la carte :
_Que peuvent-il bien faire là-bas… Il n’y a rien d’intéressant…
_J’ai eu le même raisonnement, continua son maître, alors il va falloir envoyer quelqu’un là-bas, j’avais pensé aux scouts de Raphaël…
_Monseigneur, le coupa Gabriel, je demande la permission d’y aller pour laver mon honneur et celui de mon escouade de la honte de notre échec!

Le Général le regarda avec fierté :
_Je te reconnais bien là, prêt à retourner au combat. Mais tu dois te reposer un peu après la dernière bataille, ainsi que tes frères, ajouta-t’il en désignant le reste de l’escouade. Tu iras en reconnaissance demain dans la nuit, pour plus de discrétion, tu as plus de 17 heures devant toi pour te reposer avec ton escouade.

Gabriel leva vers lui des yeux emplis de reconnaissance :
_Merci Monseigneur, je ne vous décevrai plus !
_Tu ne m’as jamais déçu Gabriel.

Le Commissaire salua et sorti, suivi par ses hommes.
Ils sortirent du Palais de Justice et se dirigèrent vers la Mairie, où avait été installé l’hôpital de campagne. Ils entrèrent dans la grande bâtisse, et de là furent envoyés près de Eric.

_Comment vas-tu frère? demanda Gabriel.
_Ce salopard ne m’a pas raté, grogna le Marine, il m’a à moitié éventré, mais les chirurgiens ont pu rapidement tout recoudre et rien de vital n’a été touché, je serais sur pieds d’ici 10 heures.
_Bien, acquiesça le Commissaire, cela tombe bien, car dans 18 heures nous repartons en mission.
Le sergent manqua de sauter debout pour s’habiller, et seule la poigne de ses frères parvient à le forcer à se rasseoir.

_Le Général ne nous en veut pas? Pas après la débâcle de ce matin?
Gabriel le calma :
_Il nous a même félicité, car cela fait un seigneur en moins ainsi que soixante jeunes.
Le sergent soupira de soulagement, et une infirmière vint leur demander de quitter l’hôpital pour qu’il puisse se reposer.

Les Marines se dirigèrent alors vers leur campement pour prendre un repos bien mérité.

Cool

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Merci, mais... quoi qu'est cool?

Elle est bien ta FIC

Malgré quelques erreurs d'inattention du genre ¨Dans 17heures tu retournes en mission¨ et après tu écris ¨On retourne au combat dans 18heures les gars¨

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Le Général a dit que Gabi et ses potes avaient plus de 17 heures pour se reposer, donc, 18 heures plus tard ils sont censés être prêts à retourner se battre.

T'inquiète, j'avais tout prévu.

Et on voit bien que malgré le fait que Gabriel soit un des meilleurs soldat de l'armée, amélioré physiquement et tout et tout, il n'en reste pas moins humain et en chie un max face à un seigneur super mutant.

Par contre, le Général est un type vraiment hors du communs, mais ses obligations l'empêchent de participer aux combats.

Impé Ouais en fait ton Général c'est Lance Amstrong

Bon sinon c'est pas mal, j'ai juste trouver bizarre le coup de l'amitié entre le Général et Gabriel, mais bon, tu fais comme tu veux

Et sinon tu le change quand le titre du topic?
Sinon je porte plainte pour plagiat sur mon pseudo

Bah en fait pour l'amitié c'est parce que c'est le
Général qui a conçu le processus de "sur-humanistion" et tu verra la suite.

Pis il est peut-être super puissant, mais on le voit jamais au combat car il doit rester au QG pour tout coordonner.

la première partie me fais penser à une escouade de halo avec Master Chief en tête.

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Gabriel se réveilla, 8 heures plus tard, parfaitement reposé.
Il s’assit sur sa couche, et son flanc se rappela douloureusement à lui. Il baissa les yeux et constata que malgré les soins apportés par son armure, sa blessure ne s’était pas refermée pendant son sommeil.
Il saisit un simple uniforme avec l'emblème de l’armée : une épée, pointe vers le bas d’où partaient des rayons incandescent, brodée sur sa manche droite, et sur sa épaule gauche l’insigne indiquant qu’il était Commissaire: un crâne grimaçant.

Son armure avait été envoyée à l’armurerie pour y être réparée par des techniciens compétents. Il sortit sur le toit du Palais de Justice où lui et son escouade avaient leur quartiers.
Cela faisait partie des nombreux avantages que leur conférait la position d’escorte personnelle du Général lors de ses déplacements.
Il se contentait de cet avantage-ci, voulant rester au plus près du Général en cas d’attaque lorsqu’il n’était pas de sortie.

Il observa Tours depuis le mirador installé en haut du bâtiment qui faisait office de QG pour l’armée. En regardant vers le Nord-Est, il observait la Cathédrale, vers le Sud, l’avenue Grammond et au Sud-Ouest il pouvait percevoir les feus allumés par les mutants dont les sombre volute de fumées montaient vers le ciel.
Lui et son escouade partiraient dans dix heures plein Sud, en reconnaissance vers le Lac.
C’était en ligne droite depuis le QG grâce à l’avenue Grammond.
Il frémit en pensant que si les mutants chargeaient par là, ils n’auraient qu’à aller tout droit, directement sur les portes, et avec toute la vitesse accumulée, il y avait de quoi faire du dégât avant de les arrêter.
Mais c’était réciproque, et cela le rassura un peu.

Il décida d’aller à l’hôpital pour se faire recoudre la plaie.
Alors qu’il descendait, il passa devant Jacques qui s’affairait à modifier son lance-flammes.
_Ah, frère, merci pour le coup de flamme hier, lui dit-il.
_Je vous en prie Commissaire, répondit Jacques, je n’ai fait que mon devoir.
Gabriel lui adressa un sourire et reprit son chemin.

Il rentra dans la Mairie et demanda à voir un médecin pour qu’on lui apporte des soins pour sa blessure.
Il fut dirigé vers une antichambre où une infirmière s’occuperait de son cas, les médecins étant tous indisponibles.
_Commissaire, le salua la jeune femme, qu’est-ce qui vous amène par ici ?, lui demanda-t’elle avec un doux sourire.
Gabriel entreprit d’enlever le haut de sa tunique, révélant la blessure ouverte.
_Ceci, dit-il en pointant du doigt l’ouverture de son flanc.
L’infirmière l’examina, palpant la blessure de ses mains expertes.
_Vous avez reçu une sacrée estafilade, heureusement, nous somme parfaitement habilitées à traiter ce genre de cas, seul votre muscle Grand Oblique Droit est touché, et il cicatrisera bien, surtout grâce aux nouvelles techniques.
Elle saisit un petit flacon de spray, et vaporisa sur la blessure un liquide désinfectant, puis elle entreprit d’étaler doucement un gel cicatrisant stérile dans la dans le muscle ouvert, et fini par le recoudre.

Gabriel remarqua la présence d’un prêtre dans l’autre pièce, et il se rappela que à l’approche de la mot les hommes appréciaient se présence réconfortante leur apportant le sacrement des malades.
Il était croyant, mais cela faisait bien longtemps qu’il n’était pas allé à un office, trop occupé par la guerre.
Il grimaça légèrement lorsque l’infirmière piqua un peu trop profondément, mais elle le regarda de ses grands yeux d’un air légèrement réprobateur :
_Voyons, Commissaire Gabriel, un grand garçon comme vous ne va pas se plaindre d’une petite aiguille.
Gabriel secoua la tâte, puis s’adressa à elle :
_Avec le père Henri s’entretient-il ?
_Avec le Général, répondit-elle presque nonchalamment.
Gabriel manqua de sauter de la table sur laquelle il était assis.
_Quoi?! Le Général est malade?! Il est mourant?!
L’infirmière le força à se rasseoir doucement.
_Non, il vient souvent à l’hôpital visiter les blessés et les mourants.
_Ah bon? Je ne l’avais jamais vu faire, l’incita Gabriel à continuer.

La jeune femme le regarda droit dans les yeux :
_Vous ne connaissez que le guerrier, mais c’est aussi un homme, et il a des sentiments lui aussi. Il vient ici pour adresser une parole d’encouragement aux blessés… Et il vient demander pardon aux mourants…
Ces mots semblèrent lui avoir été arrachés de force.
_Je l’ai vu une fois pleurer à genoux près d’un jeune homme mort, lui demander pardon de l’avoir envoyer à sa perte. Cette guerre lui pèse, Commissaire, car elle cause la mort de jeunes gens qui n’avaient rien demandés.
_Les morts sont inévitables dans toutes guerre, lui répondit-il.

Elle le regarda d’un air qui lui fit comprendre qu’il aurait mieux fait de fermer sa gueule.
_Peut-être, mais cela n’amenuise pas la douleur! répliqua-t’elle sèchement.
Gabriel se contenta de regarder le sol sans rien dire, et l’infirmière continua :
_Vous devriez lui apporter votre soutient, Après tout, vous êtes son plus proche parent.
Il la regarda, les yeux écarquillés :
_Je vous demande pardon?
_Vous êtes, vous et l’escouade du sergent Eric, liés par des liens d’affection, n’est-ce pas?
Il la regarda sans comprendre.
_Oui, nous avons surmonté plusieurs épreuves ensembles, dont le fameux processus…

Elle secoua la tête, comme un parent devant un enfant qui ne saisissait pas ce qu’on lui expliquait.
_Lors du processus, vous avez tous reçus un fragment de l’ADN du Général, mais seuls les plus forts ont pu le supporter, et cela vous a métamorphosés. Une technique très compliquée d’hybridation et de rétrotranscription de l’ARN a été utilisée sur vous et vos frères pour vous incorporer une partie du patrimoine génétique du Général, c’est pour cela que vous êtes si forts, si résistants, si rapides, et caetera.
Gabriel en restait bouche bée, en partie car il ne comprenait strictement rien à ce qu’on venait de lui dire. L’infirmière continua :
_C’est pour cela qu’il vous appelle «fils», car vous êtes comme tels pour lui.
Gabriel acquiesça doucement.

• Coup de théatre :o

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Gabriel, I'm your Father!!!