Chapitre 12

Le visage d’Anderson se crispa, la terreur venait de l’envahir. Il en allé de même pour Jared, il avait la réponse à la question qu’il se posait tant. La chose qui avait certainement tué Hunter était une griffemort échappé d’une expérience absurde. Le professeur Carraway était précis dans son rapport, il avait perdu tout contrôle sur Zéro et maintenant il était probablement mort de faim dans sa salle blindée. Quant à Zéro, il n’en savait rien, il pouvait très bien avoir quitté l’abri, mais cela n’aurait pas eu lieu sans attirer l’attention. De plus, malgré son intelligence, il n’aurait pas prit soin de fermer la porte derrière. Il était donc encore à l’intérieur, qu’il soit vivant ou mort.

Anderson se leva de la chaise, le regard vague, loin dans ses pensées. Il voulait quitter cet endroit, mais il devait faire un choix : être têtu au point de vouloir récupérer ses capsules, ou décamper et rester en vie. Gibbs, l’un de ses chiens de garde lui demanda ce qu’il avait lu.
« Une bestiole qui s’appelle Zéro, lui répondit-il le regard fixé au sol, apparemment elle fout pas mal de désordre là dedans ».
Après cet éclaircissement, le groupe sembla terrifié. Aucun ne voulait rester là-dedans, mais ils ne pouvaient le faire sans l’ordre de leur chef. Ils ne seraient pas payés s’ils fuyaient. Anderson les tenait de cette façon, il faisait d’eux ce qu’il voulait tant qu’il les payé ensuite.
« Qu’es-ce que l’on fait, Anderson ? » Lui demanda Tarak.
Il était toujours dans ses pensées, déconnecté du monde.

Jared, lui, avait peur aussi bien entendu. Mais il ne pouvait faire marche arrière, sa famille avait besoin de lui, le seul moyen pour les retrouver était de ramener cette foutue arme au King. Anderson ne le savait pas encore, il pensait toujours qu’il devait ramener la dépouille de Hunter. Jared espéra, malgré son dégout envers lui, qu’il reste avec lui dans l’abri. Seul face à Zéro il ne pourrait s’en sortir, il avait besoin de ses hommes et de leurs armes. Après il pourait les laisser crever dans cet endroit.
« Anderson, donnes-moi une arme, nous devons coopérer si on veut s’en sortir.
- Hors de question, de toute manière je ne viens pas avec vous ».
Il se tourna vers Tarak.
« Je vais attendre dehors, je double votre salaire si vous me ramener ce foutu corps. Tarak tu prends la tête à partir de maintenant ».
Il jeta un regard vers Jared afin de le dissuader de tenter quoique ce soit puis quitta les lieux. La grande gueule abandonne le navire à la plus grande surprise, mais ce n’était pas simplement de la peur, il avait un plan. Celui d’abattre Jared dès qu’il serait sortit de l’abri, il avait bien calculé le coup. Il s’assurait de rester en vie tout en ne lui laissant aucun échappatoire.

Il aurait préféré se débarrasser de lui dans l’abri mais il devait à présent trouver un autre plan. Anderson sortit de l’abri, laissant ses trois hommes avec Jared pour finir le boulot. Il avait été clair avec eux : aucune arme pour Jared. Mais ce n’était pas un problème, il sentait toujours le chiffon que lui avait offert Jacob contre sa peau. Il ignorait encore ce qu’il s’agissait mais c’était certainement une arme. Tarak prit la tête du groupe suivit de Jared et des autre. Il se déplaçait lentement, son arme braquée devant lui. Pour un chien de garde il était plutôt professionnel, il était le plus futé des autres.

Les couloirs étaient sombres et mal aérés. Un silence angoissant y régnait. Ils se déplaçaient en groupe, chacun de leurs pas raisonnaient sur les plaques de métal. Après plusieurs mètres ils gravirent un escalier dont quelques marches étaient tachées de sang. Gibbs avala bruyamment sa salive puis emboita le pas de ses équipiers. Il n’y avait pas grand-chose de différent à l’étage, seulement des couloirs à perte de vue, des tables et des armoires renversées. Certaines bouchant l’entrée des pièces adjacente au couloir.
Un bruit lointain attira leur attention, comme si on venait de cogner un tuyau métallique contre un mur. Ce bruit les terrifia, ils stoppèrent leur progression afin de distinguer d’où il provenait. Mais aucun autre bruit mystérieux ne se fit entendre. Il reprirent la marche jusqu’à une intersection.
« Nous devrions se séparer pour trouver le corps plus rapidement chuchota Tarak, Jared tu viens avec moi ».
Ce choix lui convint parfaitement, quitte à se séparer autant être avec le plus doué. Des panneaux de direction était fixé sur le mur, l’un indiquait le laboratoire, l’autre les habitations.
« Allons à droite, proposa Jared, vers le laboratoire ».
Tarak acquiesça puis se dirigea avec lui vers le couloir de droite. Gibbs et Niko vers la gauche, vers les habitations. Jared avait proposé le laboratoire car pour lui Hunter était là-bas, son but était de sortir le professeur de cet abri, il était forcement là-bas. Tarak reprit la tête de la marche puis avança droit devant lui, vers la seule issue possible. Bientôt ils seraient au laboratoire et ils devraient vite récupérer l’arme de Hunter avant que Zéro ne débarque, officiellement il devait sortir son corps mais Jared préféra ne pas dire la vérité pour sa propre sécurité.

Gibbs et Niko marchaient eux aussi dans leur direction, les couloirs étaient plus sombres que précédemment et ils avaient du mal à mettre un pied devant l’autre. Par moment ils heurtaient des meubles renversés dans le couloir. Niko craqua une allumette pour avoir plus de visibilité.
Après une fouille de plusieurs pièces ils étaient toujours bredouilles, apparemment il n’y avait aucun corps, aucun cadavre de quelconque espèce.

Gibbs stoppa net, il avait entendu quelque chose… Une respiration lente et profonde, une respiration angoissante. Elle venait de droit devant, vers la suite des habitations. Niko avança sa main tenant l’allumette pour produire de la lumière plus loin mais il ne vit rien de plus. Peut être était-ce son imagination dut à la peur, mais Gibbs l’avait entendu lui aussi. Ils plissèrent les yeux pour essayer de mieux voir. Ce qu’ils virent leur glaça le sang. Deux petites orbites rougeâtre avait fait leur apparition au bout du couloir, suivit de la même respiration que précédemment. Les orbites disparurent un court instant pour réapparaitre ensuite. Ce n’était pas de simples lumières rouges, Gibbs et Niko l’avaient compris, c’était des yeux menaçant fixant dans leur direction…

AIE AIE AIE !!!!!!!!

oui comme tu dis ^^

attends toi a des scène violente

Je viens de lire ta fic, felicitation, c est super bien redigé, l' histoire est prenante et cohérente avec l'univers de fallout. Chapeau et vivement la suite !

la suite est prête

Je viens de lire: MAGNIFIQUE!

Je me suis éclaté et j'attend la sweet avec impatience!

merci vous êtes sympa

vous voulez attendre un peu ou je balance la suite ?

Je pense que tu ferai mieux de balancer tout de suite!

C'est trop bien!

Bon alors le chapitre suivant est plutôt cours mais c'est un passage que je me voyais mal mettre en pleine action, donc j'ai préféré en faire un chapitre

Chapitre 13

Le King avait le visage crispé, il n’aimait pas recevoir la visite de la RNC, plus précisément lorsqu’il s’agissait du lieutenant Red. Pacer lui avait annoncé qu’il arrivait. Il prépara une bouteille de whisky ainsi que deux verres à contre cœur. Il détestait ce genre de visite non planifiée. Il posa l’apéritif sur la table dans sa chambre puis attendit sa venue. Il avait quelque chose d’effrayant en lui, quelque chose qui faisait que même le King s’écrasait devant lui.

Quelqu’un frappa à la porte, Red, puis entra sans y être invité. Il porté une armure de rangers et était coiffé d’un béret rouge.
« Bonjour, Lieutenant Red.
- Bon jour, je ne crois pas, dit-il de sa voix rauque et calme ».
Il s’installa à la table puis se servit impoliment un verre de whisky. Le King le fixa avec mépris puis se résigna à le rejoindre sans dire mot. Il s’installa sur la chaise face à lui, en bout de table.
« Je ne m’attendais pas à vous voir aujourd’hui, fit-il remarquer.
- Et bien disons que je viens vous exprimer mon mécontentement.
- Mécontentement ? répéta-t-il, intrigué.
- Arrêtez de me mentir, King, vous avez bafoué le contrat que nous avons passé ensemble. J’attends des explications.
- Mais je n’ai…
- Arrêtez votre baratin, lança-t-il toujours d’une voix calme, l’un de vos membres m’à tout avoué, il a surprit une conversation plutôt intéressante je dois dire.
- Et lequel de mes hommes a-t-il la langue si bien pendue ?
- Inutile de le savoir de toute manière, il repose dans un caniveaux avec deux balle dans la tête ».

Le King sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine, ce salaud avait abattu un de ses hommes après lui avoir fait avouer tout ce qu’il savait. Red but une gorgée de whisky puis reprit :
« Vu que vous faites semblant de ne pas comprendre je vais vous expliquer. Notre contrat était que je vous fournisse la carte de l’abri zéro en échange de quoi vous me retrouvait cette foutue arme, jusque là nous sommes d’accord ?
- Oui…
- Je comptais vous payer dix mille capsules illégalement pour cela, avec des fonds de la RNC, mais tout à changé lorsque j’ai appris que les Gun Runners vous payaient le double.
- Ecoutez, je…
- Vous avez osé me doubler, osé bafouer notre contrat. Alors je vais être bref, ma seule question est : Que fait-on maintenant ?
- Ecoutez, j’ai confié cette tache à un homme nommé Jared, il est partit depuis deux jours, il ne va plus tarder maintenant.
- S’il est toujours en vie bien sur. Vous ne savez pas ce qu’il se trouve là-bas, cet abri est la propriété de la RNC, nous y avons mené plusieurs expériences. Dieu sais ce qu’il y a là-dedans.
- Vous savez tout se sais à Freeside, ajouta le King, j’ai appris de source sur que Anderson et ses hommes son partit le rejoindre, pour une histoire de dette…
- C’est qui celui-là, je le connais ? demanda Red en fronçant les sourcils.
- C’est l’ancien propriétaire de l’Atomic Wangler.
- Si comme vous dites il est allé rejoindre ce Jared la bas, il à vu trop de chose, considérez que c’est un homme mort. Maintenant je vais vous dire ce que nous allons faire. Vous avez rompu le contrat en essayant de me doubler, je vais changer le contrat à mon tour. Il n’est plus question que l’arme entre dans votre soi-disant école. Je veux que ce Jared vienne à moi, qu’il me la rapporte lui-même, c’est compris ?
- J’ai appris que sa famille est détenue chez le gang de Wayne, pour une histoire de dette encore, sans doute celle qui l’a poussé à travailler pour moi ».

Red le fixa longuement puis but une nouvelle gorgée de whisky.
« Je vais faire en sorte qu’il vienne à moi.
- Et nous qu’es ce que nous allons faire ? Demanda le King, inquiet.
- Vous avez essayé de me baiser royalement vous ne me laissez pas le choix ».
Le Lieutenant Red sortit rapidement un pistolet 10mm équipé d’un silencieux puis le pointa vers le King, le laser sous le canon se déplaça lentement de sa poitrine jusqu’à son front. La balle se logea dans son cerveau. C’est ainsi que mourut le King, son cadavre s’écroula depuis la chaise dans une marre de sang imbibant la moquette.

Red avait maintenant l’intention de trouver ce Wayne et de faire en sorte que Jared vienne à lui, qu’il est une bonne raison de venir…

Quel enfoiré!

C'est super. Comme a ton habitude tu as su capter mon attention.

Tu as eu raison de faire un chapitre pour ça.

Bravo!

la suite dans la journée

A ouai ouai ouai quel bandes de salaud

Continue comme ca mon pote t'es trop baleze

Pour le chapitre suivant j'ai essayé de varier les points de vue, j'espère avoir vos critique la dessus c'est pas une chose que je fais souvent.

Je trouve que t'a une super plume,c'est hyper bien redigé je pense qu'on sera pas decu par la suite

merci

J'améliore quelques trucs et je met la suite

Chapitre 14

Niko lança l’allumette dans la direction de la présence inconnue. Une silhouette immense se dessina, elle prenait toute la taille du couloir. Les deux hommes purent l’analyser sous toutes ses formes. C’était une bête effrayante, elle portée une lourde armure noir ainsi qu’un casque faisant ressortir ses cornes frontales. De long bras musclés se terminaient par de grandes griffes aiguisées comme des lames de rasoir. Au centre de son plastron le chiffre zéro était peint en rouge, le même rouge que ses yeux perçant, avide d’intentions meurtrières.

Zéro poussa un puissant rugissement raisonnant dans les couloirs de l’abri. L’allumette s’éteignit, laissant Gibbs, Niko et la bête dans une opaque obscurité. Les hommes ne cherchèrent pas à s’enfuir, ils tirèrent sur Zéro avec leurs vieux fusils de chasse, devant recharger à chaque coup tiré. Les balles ricochèrent sur l’épaisse armure, provoquant des petites explosions d’étincelles. Les coups de feu émettaient des flashs de lumière permettant de distinguer la bête une fraction de seconde. Celle-ci poussa un nouveau rugissement puis se rua sur les hommes, ses pas faisant trembler le sol. Niko réussit sauter dans une chambre contrairement à Gibbs. Ce dernier se fit transpercer par les longues griffes de la bête, crachant un mollard de sang sur le sol métallique. Zéro le souleva puis avec son autre main tira sur les jambes de sa victime. Les os ainsi que les tendons ne résistèrent pas à une telle force. Le corps de Gibbs se divisa en deux au niveau du bassin, projetant une vague sanguinolente sur le sol et sur les murs.

La partie supérieur du corps de Gibbs étant toujours empalé par les griffes meurtrières, Zéro fit un brusque mouvement de bras pour le projetait contre le mur. La chair et les os claquant sur le métal provoquèrent un son répugnant. Niko était toujours à terre dans l’une des nombreuses chambres. Il n’avait pas vu la scène mais les bruits malsains de déchirure avait suffit pour lui faire comprendre que Gibbs n’était plus de ce monde. Il rampa discrètement vers le fond de la pièce, espérant de tout cœur que la bête ne l’entende pas. Il avait fait tomber son fusil, réduisant fortement ses moyens de défense. De toute manière les balles étaient inefficaces face à un tel monstre, fusil ou pas c’était la même chose. Il devait impérativement sortir de la discrètement. Mais il n’y avait qu’une porte dans la pièce, celle menant dans le couloir, vers Zéro…

Il avait atteint ce qui, au touché, ressemblait à un lit, il s’y cramponna pour se relever puis jeta un œil vers l’entrée. Il entendait toujours la respiration lente et puissante du griffemort mais ne le voyait pas. Ses yeux rouges n’étaient pas visibles eux non plus. Il n’était donc pas dans la chambre, une chance pour Niko. Il contourna le lit pour se diriger plus profondément dans la pièce, plus il serait loin mieux ce serait. Son pied heurta un objet gisant à terre, quelque chose de léger qui ne produisit aucun bruit fort heureusement.
Zéro n’était pas qu’une simple bête sauvage, durant les derniers mois il avait acquis un savoir, des reflexes. Et la seule chose qui l’obsédait depuis le dernier affrontement était de trouver le deuxième homme. Car il se souvenait dans avoir vu deux face à lui. Le premier était mort, bientôt il se délecterait de sa chair, un repas bien méritait qu’il n’avait pas eu depuis longtemps. Mais avant il devait trouver l’autre homme, il n’était pas loin, son flair était plutôt affuté mais pas assez précis pour le localiser. Il était dans le coin, entrain de se cacher comme l’avait fait les hommes en blancs, ceux qui lui avaient fait de nombreuses piqures douloureuses. Il n’aimait pas les hommes, ses souffrances étaient en partie de leur faute, il avait bonne mémoire.
Ses yeux rouges scintillant scrutaient le moindre recoin du couloir, son museau humide reniflait à la recherche de son odeur, l’odeur enivrante de la chair couverte de sueur froide. L’homme avait peur, il pouvait le sentir depuis le couloir. Il se rendit à l’endroit où il s’était jeté sur ses proies, l’homme ne pouvait s’être enfuis pour le couloir, il était dans la pièce à côté de la marre de sang.

Niko aperçu enfin les yeux rouges qui le terrifiaient tant, la bête était entré dans la chambre. Ses pas étaient lourds et lent, elle prenait son temps pour chasser, comme un plaisir sadique à terrifier sa victime. Niko sentait son cœur marteler sa poitrine, son souffle était trop rapide pour le contenir. Il tremblait de tout ses membres, aucune échappatoire ne s’offrait à lui, cet abri serait son tombeau. Zéro lui barrait la porte, il savait que l’homme était dans cette pièce, dorénavant il ne pouvait plus sortir. Son armure frotta sur les murs de métal de la chambre, se rapprochant à chaque pas de sa proie. Niko dut se rendre à l’évidence, il ne sortirait jamais d’ici vivant, la mort ne lui faisait pas peur. Ce qui l’horrifiait le plus était la souffrance dans laquelle il allait mourir, il avait entendu Gibbs se faire démembrer. La tension était trop forte pour lui et il craqua. Il couru vers l’entrée, tentant le tout pour le tout, mais Zéro était rapide, trop rapide pour un humain. Les pas de Niko suffirent pour être localisé dans le noir. Du revers de son bras musclé, Zéro envoya Niko contre le mur, sa tête cognant lourdement sur le métal. La douleur était infernale, il avait l’impression que sa tête allait exploser. Il se releva tant bien que mal en se tenant la tête dans les mains puis plissa les yeux pour voir dans le noir. De monstrueux yeux rouges étaient à quelques centimètres des siens. Il poussa un cri de désespoir et de surprise et la bête lui enfonça ses griffes dans les intestins. La douleur était pire que tout, il n’arrivait plus a respirer ni à crier. Après un instant à le regarder se vider de son sang, Zéro le décapita avec son autre main. Sa tête roula à plusieurs mètres…

Jared et Tarak avait entendu les coups de feu, la bête était donc toujours en vie. Après quelques minutes ils entendirent un cri bref et puis… plus rien. La monstruosité nommée Zéro était du côté des habitations, une chance pour eux. Bien que Jared se moqua pleinement du sort des deux autres, Tarak, lui, eut un bref sentiment de tristesse. Il pointa son arme en direction des habitations puis avança de quelques pas.
« Vas trouver le corps, Jared je m’occupe de lui.
- Attends il a eut tes amis, tu crois t’en sortir seul ?
- Vas-y je te dis ! »
Jared ne se fit pas prier plus longtemps, il couru jusqu’au laboratoire, laissant Tarak affronter seul le monstre. De toute manière c’était l’unique façon utile de lui rendre service. Il devait trouver le corps de Hunter à présent, et le ramener à Anderson afin de rendre son mensonge crédible et d’avoir la paix.

Jacob était dans sa montagne, la porte de l’abri était toujours à quelques mètre de lui. Il avait fait exprès de ne pas trop s’éloigner. Curieux du sort de ce groupe étrange. L’homme qui se nommait Jared était différent des autres, il dirait même contraint de les accompagner. Mais après tout ce n’était pas son problème.
Soudain des coups de feu étouffés lui parvint jusqu’aux oreilles. Cela venait le l’abri bien entendu. Il attendit un instant avant de faire quoique ce soit puis finit par entendre un cri humain ainsi qu’un rugissement bestial.
Il continua son chemin, ce n’était pas son problème. Du moins il tentait de s’en persuader car quelque chose le poussait à retourner là-bas, il ignorait quoi mais il voulait y aller. Il hésita un instant puis revint sur ses pas…

Sweet!

C'est cruel de nous faire attendre comme ça

Effectivement ce dernier chapitre est assez violent^^

Bon sang, mais quelle écriture !
Je m'absente une semaine et tu nous ponds tous ça.
Alors là, Big Daddy grand Bravo

Pour l'instant je ne vois aucun défaut apparent puisque je me suis tapé plus de 5chapitres d'affilés. J'ai pas eu le temps de prendre plaisir à lire tellement je voulais savoir la suite.

Personnellement j'ai complètement accroché au héros.

Même si, je pense, que tu devrais faire un flashback de la vie antérieure du héros afin de mieux comprendre le personnage.

J'ai été un peu déçu lors du chapitre du terminal.
On avait pas réellement l'impression d'avoir à faire a de véritable scientifiques.
Pas de langage technique utilisé, pas de typographie précise, même pas une présentation correct du terminal.

(Tu aurais pu écrire exactement comme les différents terminaux présents dans Fallout)

Enfin now, j'ai tout simplement envie de dire Sweeeetttt.

Tellement je suis impatient

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Mafia II - PaZ a PaZ - Chapitre 1 : http://www.youtube.com/watch?v=AgWUuxNrOzw