j´espere que la deuxième mi temps nous amenera des buts
Changements
anelka, trezeguet, zidane VS henry, wiltord, malouda
C´est dommage il manque une ou deux passes pour pouvoir se mettre en situation d´occasion. Je pense qu´on va les saucer en 2ème mi-temps. ^^
Quelle occasion raté
les saucer ça serait pas mal ouais^^
BUT SLOVAQUE de Nemeth
BUT FRANCAIS de wiltord
BUT SLOVAQUE de vachovacic...
Victoire de la Slovaquie 2/1 face à la France
Slovaquie > France
Barthez, Dhorasso, Malouda, Diarra -> la sortie.
Lol Malouda a eu une occasion énorme qu´il a raté, il a concédé le coup franc donc dehors ?
Il a eu une très belle occaz stoppée par le gardien, il obtient le pénalty aussi, faut pas voir que les mauvais coté
moi je sortirais Henry qui est pas fichu d´en mettre une au fond
Du coup j´ai pas écris ce que je voulais ^^
La première période n´était pas trop mauvaise même si il y a eu un manque de concrétisation, Zidane fait bien circuler la balle, ensuite la seconde période sans Zizou et avec 2 ailiers ou plutot un et demi vu que Wiltord a pris l´axe et laissé le couloir à Sagnol, résultat, Sagnol fait un très bon match même s´il y a un manque défensivement en 2e mais ces centres sont impec, mais je vais en venir au but de mon post, apparemment la France est dépendante de Zidane, il avait deja pris sa retraite et Domenech l´a rappelé mais que fera t-on après 2006 ? Si Zizou stoppe pour de bon les bleus et après il sera à la retraite^^
C´est sûr qu´on est dépendant de zidane mais bon c´est normal il est revenu et tout le monde le savait que c´était le sauveur... Maintenant je pense que dhoarsoo a fait un bon match en donnant des bons ballons aux attaquants, malouda a fait un match moyen car il a fait des bonnes choses comme son pénalty mais il a raté des occasions et il a fait une sale faute à l´entrée de la surface de réparation, abidal n´a pas été très bon, wiltord moyen, trezeguet-henry-anelka-- ont fait des bons matchs il manque que les buts! Zidane rien à dire, vieira et diarra ça va, la défense sans abidal était plutôt bonne... Pour nfinir je tiens à dire que fabien barthez ne peut rien sur les deux buts et qu´ila fait un arrêt exceptionnel en première période, maintenant que les "supporters" le siffle c´est nul acr ils ont oubliés qui a été fabien auparavant et qu´est-ce qu´ils nous apportés
Première défaite sous l´ère Domenech
COMME UN COUP DE TONNERRE
L´équipe de France a subi mercredi soir la première défaite de l´ère Domenech en match amical contre la Slovaquie (1-2), un incroyable paradoxe après avoir dominé ce match comme aucun autre pendant une heure. Les Tricolores n´ont converti aucune de leur quinzaine d´occasions franches. Cela pardonne rarement.
Le souvenir de la République Tchèque
En football, les buts sont un bien précieux et plutôt rare. A un certain niveau, les occasions frisent souvent la pénurie et la capacité à frapper fort au bon moment est la qualité qui, parmi toutes les autres, façonne les équipes les plus compétitives. Raymond Domenech n´avait probablement pas prévu de remonter si loin dans la révision des fondamentaux et pourtant, ce France - Slovaquie a remis quelques idées en place à trois mois d´une Coupe du monde qui n´offrira peut-être pas autant de situations favorables en trois matches de poule : le réalisme devant le but fait la grande histoire comme la petite. Personne, même une équipe de France très sûre de sa qualité technique, comme pendant 80 minutes mercredi, ne peut se payer le luxe de manquer à la chaîne plusieurs occasions très nettes. Résultat : le match que les Bleus ont le plus outrageusement dominé depuis la nomination de Raymond Domenech a coïncidé avec leur première défaite. Depuis une défaite au même endroit contre les... Tchèques (!) en février 2003 (0-2), les Français n´avaient perdu qu´à l´Euro face à la Grèce (0-1). Une seule défaite en trente-neuf rencontres. Cette période de solidité sans brillance s´est close sur une gifle monumentale, dont les conséquences sur la liste des 23 seront probablement modestes.
Dhorasoo en plein doute
Enumérer les occasions que les Français se sont procurés reviendrait à recopier plusieurs fois la liste des joueurs à vocation offensive alignés par Raymond Domenech (six au total, Zidane - Trezeguet - Anelka puis Wiltord - Malouda - Henry). Bien assise sur un bloc défensif de sept joueurs rarement inquiété, aligné pendant l´intégralité du match (Sagnol, Thuram, Boumsong, Silvestre - Diarra, Vieira, Dhorasoo), l´équipe de France a passé sa soirée à faire circuler le ballon entre des lignes slovaques peu mobiles et souffrant d´un net déficit athlétique et technique. La facilité aurait pu guetter les Tricolores qui s´en sont globalement exonérés malgré quelques couacs (Dhorasoo doute, c´est palpable). En cela, ils semblaient donner un prolongement aux gages de bonne conduite donnés toute la semaine. Mais que s´est-il passé pour qu´aucune des cinq occasions franches de la première période, et aucune des sept de la seconde ne se retrouve au tableau d´affichage ? Le gardien Lubos Hajduch y est un peu pour quelque chose (13e, 31e, 61e) mais il n´a jamais paru imbattable, même dans l´euphorie d´une première sélection. La maladresse dans les derniers gestes, non cadrés (Trezeguet, Malouda) ou pas assez appuyés (Henry), parut plus aveuglante. Elle finit par sauter à la figure de l´équipe de France, giflée par une volée sans bavure du Strasbourgeois Nemeth, à peine entré en jeu, si peu utilisé au Racing cette saison (0-1, 62e). C´était un accident et si les Bleus reprirent l´ascendant sur le jeu, un léger voile de doute en plus dans chaque geste, l´égalisation finit par intervenir sur un penalty de Wiltord (1-1, 75e). Mais le ver était déjà dans le fruit, ou plutôt, l´idée que tout était possible trop installée dans les esprits slovaques
Le jour de gloire slovaque
Barthez fut encore impuissant sur un coup franc limpide de Valachovic (1-2, 82e), et les Blancs d´un soir finirent par se fragiliser encore durant les dernières minutes de la partie, marquée par deux occasions nettes slovaques, une situation chaude en prime, et un nouveau tir à côté de Vieira. Si le sport était plus rationnel, il aurait été question de victoire logique pour l´équipe de France, qui reçoit de fait un avertissement assez humiliant après avoir passé deux jours à ne parler que d´elle, de ses objectifs, de ses soucis du moment, de ses sponsors, de ses primes, sans un mot ou presque pour l´adversaire. Tout le monde aurait salué l´entente possible entre Anelka et Trezeguet et aurait glosé sur les hallucinants sifflets réservés à Fabien Barthez dès ses premières prises de balle. L´équipe de France a été renvoyée à ses études avec insolence par une nation déjà toute fière d´avoir été barragiste de la Coupe du monde. S´il s´agissait de mieux jouer que pendant les qualifications, comme le demandait Zidane mardi, les Tricolores ont réussi leur soirée. Mais il n´y aura pas plus de note artistique à la Coupe du monde qu´il n´y en avait mercredi au Stade de France.
02/03/2006
Foot - Bleus : Domenech retient l´envie
Au terme de la défaite mercredi contre la Slovaquie (1-2) au Stade de France, Raymond Domenech a préféré retenir l´envie plutôt que le résultat : «Perdre, c´est un vrai déplaisir. On ne peut pas être content, mais il n´y a rien de grave. On regarde surtout ce qui s´est passé sur le terrain. J´ai vu de l´envie. On a vu des joueurs qui se sont bien adaptés au nouveau système mis en place au milieu.»
Entre les deux systèmes essayés (un 4-3-1-2 construit autour de Zidane puis un 4-5-1 après la mi-temps), le sélectionneur aura matière à réflexion et il a voulu rester optimiste malgré public mécontent au coup de sifflet final. «On a été intéressant dans tous les registres. Il nous a manqué un seul registre : l´efficacité. On a eu des occasions à la pelle. C´est dommage de ne pas avoir marqué au bon moment. Mais il y a un côté intéressant, c´est que des choses ont bien fonctionné. Pour moi, quelque chose s´est passé dans cette équipe qui va nous permettre d´avancer. Individuellement, il y a eu une vraie envie. Il y a eu une débauche d´énergie.»
En revanche, Domenech n´a pas digéré les sifflets subis par Barthez : «Je ne comprends pas qu´on ait aussi peu de mémoire et qu´on siffle un joueur qui porte le maillot de l´équipe de France. Je trouve cela inadmissible. Pour moi, c´est pire que la défaite. Je suis déçu par cette partie du public qui a oublié que c´était un match de l´équipe de France et uniquement de l´équipe de France. Dans ce cas-là, mieux vaut ne pas venir.»
Côté sportif, les joueurs ne voulaient pas non plus dramatiser, à l´image de Thierry Henry : «Il nous reste trois matches de préparation pour relever la tête. On a vraiment essayé de jouer vers l´avant mais on prend ce coup de poignard avec le but de Nemeth. On a alors dû sortir tous azimuts et on prend un autre but.» Mais pour le Gunner, «sur le plan du jeu, c´est l´un de nos meilleurs matches». Le revenant Mikaël Silvestre trouve lui de la «sérénité» à cette équipe et, selon lui, les Slovaques «ont eu de la chance ce soir, et ont eu un très grand gardien. Cela ne nous a pas souri. On avait le match en mains.»
02/03/2006
Foot - Bleus : Une entame encourageante
Si Angel Marcos, consultant de L´Equipe.fr, enrageait devant le nombre considérable d´occasions manquées par la France lors de sa défaite face à la Slovaquie (2-1), mercredi, il trouvait sa prestation encourageante. Le résultat est frustrant mais des points positifs sont à dégager. L´équipe de la première mi-temps pourrait servir de base pour l´avenir avec quelques changements.
«L´équipe de France a fait une entame de match très encourageante, durant 20, 22 minutes. Elle avait alors beaucoup de stabilité, de détermination et de précision technique. La Slovaquie ne pouvait pas respirer, ni se retourner. Nous avions aussi une bonne occupation de la largeur du terrain, par Silvestre dans un premier temps, puis Sagnol ensuite avec un jeu qui penchait un peu à droite. Les joueurs étaient près les uns des autres en exprimant beaucoup d´envie. Le seul problème, c´était un manque de soutien offensif avec trois milieux très défensifs en plus de Zidane.
Après, c´est comme si on avait eu besoin de souffler. L´équipe s´est étirée dans la longeur et s´est retrouvée comme coupée en deux. Les arrières ont commencé à reculer et il aurait fallu que les lignes se resserrent dans l´autres sens. On doit faire un bloc, que ce soit dans une partie du terrain ou dans l´autre. Mais les attaquants ne sont pas descendus. La Slovaquie a alors eu des ballons face au jeu et a connu une réussite exceptionnelle. Ils marquent deux buts mais ils ont aussi tiré à dix centimètres du poteau et forcé Barthez a un arrêt très difficile. Sept occasions pour une équipe comme celle-là, inexpérimentée, alors qu´on en verra des largement meilleures au Mondial, à part peut-être le Togo, ca fait se poser des questions.
On aurait dû faire bloc, surtout avec des joueurs comme Florent Malouda qui peuvent revenir dans notre moitié de terrain. En attaque, quand Thierry Henry s´est offert des possibilités, les arrières auraient dû monter. Il faut maintenant trouver l´équilibre entre une première équipe qui manquait de présence avec le seul Trezeguet vraiment devant et une autre qui dispose de plus de profondeur, mais dans laquelle on ne remplace pas Zidane comme ça. Les deux systèmes ont été supérieurs à la Slovaquie - on a eu jusqu´à 75% de possession du bal! - mais on sentait que la première équipe pourait servir de base avec Makelele à la place de Diarra et Abidal au lieu de Silvestre. Même si j´ai trouvé que Silvestre était très bien, meilleur que ce que j´attendais. La complémentarité entre Trezeguet et Anelka était bonne aussi. Anelka était même meilleur que Trezeguet, parfois trop axial.»
01/03/2006
Foot - Bleus : Barthez sifflé et impuissant
Pour le dernier test avant la préparation d´avant Coupe du monde, Raymond Domenech avait fait le choix de ne titulariser aucun Lyonnais mercredi contre la Slovaquie (1-2). Au milieu, il avait opté pour l´association de trois récupérateurs (Dhorasoo - Diarra - Vieira de droite à gauche) derrière l´incontournable Zidane, placé dans l´axe comme meneur. Le capitaine des Bleus a évolué en soutien des deux attaquants Trezeguet et Anelka. Devant Barthez, préféré à Coupet, Boumsong a joué tout le match avec Thuram en défense centrale alors que Silvestre a fait son grand retour à gauche. Ce système en 4-3-1-2 a évolué vers un 4-3-2-1 à la reprise avec les entrées de Malouda, Henry et Wiltord. Mexès, Clerc, Saha, Coupet, Makelele et Toulalan ne sont pas entrés en jeu.
Fabien BARTHEZ : Sifflé par une partie du public, il n´a absolument rien eu à faire pendant les vingt-trois premières minutes. La puissante frappe de Vittek l´a sorti de sa torpeur et l´a obligé à sortir une jolie claquette (23e). La suite s´est transformée en un véritable cauchemar. Le Marseillais s´est d´abord incliné sur la frappe pleine lucarne du Strasbourgeois Nemeth (62e) avant d´être battu une deuxième fois sur un coup franc à 20 mètres de Valachovic (80e). Le rival de Coupet n´a pas gagné de point.
Willy SAGNOL : Comme le jeu a penché à droite, il est souvent resté collé à sa ligne de touche. Toujours aussi précis dans ses centres, le Munichois a distillé deux ballons dangereux en moins de six minutes. Auteur d´une belle interception à la demi-heure de jeu, il n´a pas laissé beaucoup exister le Slovaque Vittek. Mais son impact et ses montées furent moins évidents après la pause. Dommage.
Lilian THURAM : Assez libre dans ses mouvements, le Turinois s´est fait prendre une fois de vitesse par Vittek, bien lancé (25e). Ses relances et son timing ont été bien assurés. Et malgré ça, les Tricolores ont pris deux buts. Inquiétant ?
Jean-Alain BOUMSONG : Au marquage de Jakubko, il s´est imposé sans forcer. A reçu un coup sur la tête en début de seconde période dans la surface slovaque et a baissé de niveau au fil des minutes. Sa technique et sa lucidité sont parfois en cause.
Mikaël SILVESTRE : Très attendu après ses dernières sorties décevantes en sélection en 2004, il a voulu bien faire en début de match. Le Mancunien a adressé un très bon centre à Trezeguet après seulement deux minutes. A moins débordé par la suite. Auteur d´un bon coup franc en seconde période (55e). Remplacé par Eric ABIDAL juste après le but slovaque (63e). Le Lyonnais est sorti indemne du Stade de France...
Vikash DHORASOO : Contesté dans son club, il devait avoir à coeur de se rassurer. Entreprenant, il a pris son aise dans le couloir droit et a parfois essayé de délivrer la dernière passe. Belle percée à la demi-heure de jeu suivie d´un centre impeccable pour Trezeguet. Le Parisien s´est mué en meneur excentré après la sortie de Zidane. Moins présent et moins précis dans le second acte.
Alou DIARRA : Le plus défensif des trois récupérateurs a joué dans l´axe et a touché beaucoup de ballons. Premier défenseur des Bleus, il s´est bien tiré de son rôle et s´est permis une montée pleine d´audace en fin de première période. Plus offensif après le repos, le Lensois a placé une tête au-dessus sur un corner (53e). Son investissement a encore dû lui faire gagner des points.
Patrick VIEIRA : Positionné à gauche de Diarra, il a souvent combiné avec Zidane à travers un jeu de passes courtes. Vif, il a souvent eu le bon geste et l´envie de replacer son équipe dans le sens des buts adverses. Souvent présent dans les duels, il n´a cependant pas assez pesé pour faire basculer la rencontre. A tenté sa chance d´un puissant tir croisé dans le temps additionnel.
Zinédine ZIDANE : Comme à son habitude dans cette position axiale, il a joué au plus près de ses attaquants. Il a orienté le jeu et a gratifié les spectateurs de jolis gestes pour son 99e match avec les Bleus. Remplacé par Florent MALOUDA, auteur d´une reprise manqué devant le but (55e) et d´une frappe qui aurait pu faire mouche (67e). Légèrement bousculé dans la surface, il a provoqué le penalty pour l´égalisation (74e).
David TREZEGUET : A failli marquer en début de match sur deux occasions franches (2e et 4e) avant d´être un peu court sur un ballon en profondeur (7e). Imprécis mais toujours à l´affût, il a trouvé le petit filet (22e) avant de voir sa tête (30e) et sa reprise en demi-volée captées par le portier slovaque. Remplacé à la pause par Thierry HENRY qui, lancé comme une flèche, a perdu ses deux premiers face à face avec le gardien (54e et 60e) avant de manquer de sang froid et de buter une nouvelle fois dessus à la 72e.
Nicolas ANELKA : Très à l´aise, il a beaucoup tenté. Son premier tir fut non cadré (10e) alors que le second a été repoussé par le gardien (12e). Il a dérouté les défenseurs adverses par ses nombreux crochets. Sylvain WILTORD a pris sa place à la reprise et fut crocheté dans la surface sans que l´arbitre ne siffle quoi que se soit. Très remuant, il a égalisé sur penalty à un quart d´heure de la fin.
Foot - Bleus : Ribery espère encore
Non sélectionné par Raymond Domenech pour affronter la Slovaquie ce mercredi, Franck Ribéry estime qu´il dispose encore de toutes ses chances pour disputer le Mondial avec l´équipe de France. «Ce n´est pas encore fait, a déclaré le milieu de terrain marseillais. Je vais continuer de travailler dur pour mon club et j´espère que cela jouera en ma faveur.»
Retenu au sein de l´équipe de France Espoirs qui a battu les jeunes Slovaques (2-1), mardi à toulon, Franck Ribéry espérait intégrer pour la première fois les A. «J´étais un peu déçu mais vous avez à respecter les choix de l´entraîneur.»
Tu fais exprès ?
Barthez n´aurait pas eu d´arrêt "exceptionnel" à faire s´il n´était pas au point de pénalty à chaque fois...
Il fait une relance de merde qui atterit sur un Slovaque, ce joueur fait une tête repoussé par Boumsong qui remet encore bien dans l´axe et ensuite ballon à Nemeth
Le coup france, il place son mur, c´est quand même un gardien d´expérience, il sait placer un mur, là le mur sert à rien et après il se palint qu´il ne voit pas le ballon
Barthez a sa part de culpabilité alors arrêtes de dire qu´il n´y peut rien
ouais peut être